55. Car c’est là le vrai enjeu : Non pas qui dirige, Mais qui résiste sans se vendre. Et sur cette réponse, l’Iran tout entier — et peut-être le monde — joue désormais son destin.
Le discours se termine comme il a commencé, sur une formule martelée : “La guerre appelle la guerre. Les bombes appellent les bombes. Une frappe sera suivie d’une frappe.”
Traduction du discours (18 juin 2025)
Ali Khamenei, Guide suprême de la République islamique d’Iran :
« Toute frappe américaine entraînera des conséquences graves et irréversibles. »
« L’entité sioniste a commis une grave erreur, et elle sera punie pour ses actes. »
« La nation iranienne résiste fermement à la guerre imposée, et elle résistera avec autant de fermeté à une paix imposée. Cette nation ne se soumettra jamais à la pression. »
« Seuls les intelligents comprennent qu’on ne peut pas parler à l’Iran avec le langage des menaces. »
« Ceux qui connaissent l’histoire de l’Iran et de son peuple savent qu’il est vain d’adopter le langage des menaces. »
« Notre peuple ne se soumettra à aucune injonction, d’où qu’elle vienne. »
« Les Américains doivent comprendre : toute intervention militaire entraînera des dommages irréversibles. »
« Qu’ils le sachent : l’Iran ne capitulera pas. Toute frappe américaine entraînera des conséquences sérieuses et irréparables. »
« À la guerre, on répond par la guerre ; aux bombes, par des bombes ; à une attaque, par une attaque. »
On préfère une bonne affaire à un prix mérité.
On préfère ce qui flatte à ce qui élève.
Et l’on s’étonne ensuite de ne plus rien recevoir qui transforme vraiment.
Le texte ne flatte personne.
Mais il pourrait — peut-être — vous rappeler ce que vous saviez déjà, avant l’oubli.
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Pour ceux qui cherchent encore à voir clair, et à tenir droit.
Bertrand@55Bellechasse.com
Ce qu’il a dit, ce qu’il n’a pas dit
Il a parlé.
Pas pour prévenir.
Pas pour alerter.
Mais comme on jette une malédiction dans le vent.
Une phrase nue. Sans appel.
Juste assez forte pour traverser le mur du silence,
Mais pas assez claire pour réveiller les endormis.
Il n’a pas donné d’ordre.
Il n’a pas mobilisé les siens.
Il a seulement dit :
“Ceux qui frapperont l’Iran devront en assumer les conséquences.”
Ce n’était pas un avertissement.
C’était un murmure funèbre.
Une vérité couverte de poussière, comme une pierre tombale gravée trop tôt.
Mais écoute bien.
Dans ses mots, il n’a pas seulement parlé du futur.
Il a enterré le présent.
(À suivre …)
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Faites un pas. Même petit. Mais réel. Pas pour moi.
À ceux qui soutiennent déjà, je dis : merci, de tout cœur.
À ceux qui hésitent : ce n’est pas moi qu’il faut convaincre. C’est vous-même. Mais je n’irai pas plus loin dans l’indifférence.
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