Depuis cette nuit, et sans discontinuer,
l’aviation israélienne opère au-dessus de l’Iran comme en terrain conquis.
Pas un missile. Pas une riposte. Pas même un leurre.
Un à un, les systèmes de défense tombent.
Les radars sont aveuglés.
Les centres de commandement sont pulvérisés.
Les bases sont ciblées avec une précision effrayante.
Israël contrôle l’espace aérien iranien.
Mais plus que cela : il semble tenir la stratégie dans sa main.
Comme s’il connaissait les plans.
Comme s’il avait les cartes.
Comme si les résistances avaient été désactivées de l’intérieur, bien avant le premier missile.
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Et pendant ce temps, où sont les Iraniens ?
Ils savaient.
Depuis des années.
Depuis les accords piégés, les sabotages, les menaces répétées.
Ils savaient qu’un jour viendrait où le ciel s’ouvrirait pour les frapper.
Et pourtant…
ils n’ont rien fait.
Ou plutôt : ils ont parlé.
Ils ont calculé.
Ils ont temporisé.
Ils ont espéré.
Mais ils n’ont pas préparé le peuple à la guerre finale.
Aujourd’hui, l’Iran ne sait même plus vers qui se tourner.
– La Russie se tait.
– La Chine détourne les yeux.
– Le monde arabe applaudit en silence.
– Le Vatican, jusqu’à cette heure, n’a pas dit un mot.
– Et l’Occident parle de “stabilisation”.
Alors… pourquoi en est-on là ?
Parce que pendant que les justes priaient,
les puissants pactisaient.
Parce que pendant que le peuple jeûnait,
les élites discutaient avec le diable.
Parce que pendant que les martyrs tombaient en Syrie,
les stratèges iraniens rêvaient d’un siège au G20.
Et parce que ceux qui savaient
ont préféré se taire pour conserver leur poste
plutôt que de crier pour sauver leur patrie.
Voilà pourquoi.
Et maintenant, il est peut-être trop tard pour empêcher la chute.
Mais il n’est jamais trop tard pour lui donner un sens.
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Après le voile …
Deux volets pour Une seule question : peut-on encore résister ?
1- “Si j’étais président de l’Iran…”
Ce que je ferais, ce que je dirais, maintenant — sans filtre.
Il ne s’agit plus de gouverner. Il s’agit de tenir debout.
2- Colombo enquête.(ce sera dans une prochaine lettre - celle ci est déjà complète !)
Sur Trump.
Sur cette étrange unanimité des grands médias mondiaux qui, cette fois, ne l’attaquent plus.
Car il a trahi. Il pense que l’Iran sera le nouveau caniche du Golfe.
Et à force de compromis, il devient l’idiot utile de l’axe Macron–Netanyahu–État profond US.
Oui, Trump est à l’unisson.
Et pendant ce temps… La Russie se tait.
La Chine détourne le regard.
Après avoir abandonné la Syrie,
les voilà qui laissent tomber l’Iran.
Alors que reste-t-il ?
Une poignée d’hommes debout.
Des lettres.
Et la vérité.
Encore.
Pour un temps.
(Suite après le voile)
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