55. Et c’est là que nous en sommes. Mais peut-être pas pour longtemps. Car la vérité, quand elle n’a plus rien à perdre, n’a plus rien à craindre. GAZA : c’est un GÉNOCIDE !
Et demain ? Dire “Vive la Palestine libre” sera un délit Écrire “le sionisme = projet colonial” sera classé comme appel à la haine Demander la fin du génocide sera une “prise de position extrémiste”
Ils ont accepté les règles du jeu.
Ils ont “compris” les enjeux.
Ils ont glissé. Puis renoncé.
Puis trouvé ça normal. Puis confortant.
Et un jour, sans même s’en apercevoir,
ils sont devenus les scribes du mensonge,
les techniciens du silence, les gardiens des morts sans sépulture…
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Ce n’est pas une “newsletter” : C’est le fruit d’une vie entière.
J’ai tout donné pendant cinq ans. Mon temps, mes mots, mon souffle.
Aujourd’hui, ce n’est plus possible. Mais j’offre encore tellement… Pas assez, peut-être ? Tant pis.
Je continue pour ceux qui comprennent.
Mais je ne peux plus le faire contre ceux qui détruisent, parfois sans même s’en rendre compte.
La gratuité reste ouverte à ceux qui n’ont pas les moyens.
Mais si vous pouvez et que vous refusez de soutenir,
ayez au moins la dignité d’en assumer les conséquences :
je ne vous écrirai plus.
A Suivre :
GAZA … Les mots fuient. Les silences s’installent. Et l’enfer continue. Trump veut fêter la fin.
Signer un accord. Poser pour les caméras. Se faire applaudir par les génocidaires.
Neutraliser les procédures ouvertes contre Israël et Netanyahu, à la CPI et à la CIJ, mais aussi en Israël.
Tout enterrer, pour pouvoir mieux célébrer.
Car Trump ne vient pas sauver, il vient refermer le couvercle. Il vient blanchir les criminels, et recycler les mots pour effacer les faits.
Trump, revient après avoir trahi.
Gaza : ce n’est pas une guerre.
C’est un génocide. Et un piège de mots qui disent mal les maux.
Ceux qui parlent encore de “guerre” ont déjà trahi. Une guerre suppose deux camps. Deux armées. Une lutte. Ici, il n’y a qu’un rouleau compresseur, et des enfants, des mères, des journalistes, des médecins … de la résilience, sous les gravats.
Pas de champ de bataille, un ghetto sous les bombes et les balles de drones ou de snipers. Des hôpitaux détruits. Des écrivains traqués. Des visages effacés à la chaîne, comme des fautes de frappe dans un fichier Excel.
Ce n’est pas une guerre. C’est un mécanisme de purification. Un effacement total. Et un test.
Un test pour nous.
Pour nos artistes. Nos journalistes. Nos croyants. Nos dissidents. Et pour ceux qui prétendent incarner le retour du vrai, du bien, du juste.
Trump veut refermer le rideau.
Et nous faire croire qu’il n’a rien vu. Rien permis. Rien financé.
Mais Trump a tout vu. Il a tout su. Il a tout validé.
Quand l’Iran a été attaqué en juin 2025, Trump avait déjà donné son feu vert. Quand Gaza a été effacée, à nouveau « refuge après refuge, y compris les tentes », il a offert silence, argent et couverture diplomatique.
Et maintenant il revient. Main dans la main avec Netanyahu. Un jeu de poker. Un bluff géopolitique pour endormir les naïfs. Et piéger les peuples.
Ne tombez pas dans le piège. La première trahison révèle le masque du traître. La seconde révèle le masque de la victime consentante.
Trump ne vient pas réparer. Il vient sceller l’oubli. Et enterrer la mémoire, avant que la justice ne passe.
Obama tuait en chuchotant “Hope”. Trump tue en riant. En se glorifiant. En signant des budgets record pour Israël. Et en exigeant qu’on taise les noms : Epstein, Brigitte, Mossad, CIA.
Avec Trump, la diplomatie n’est plus qu’un écran. Et l’écran est une arme. Chaque discours un rideau de fumée. Chaque photo une opération.
Et quiconque s’y oppose ?
Doit être écrabouillé par des enquêtes, des tarifs, des sanctions… ou des bombes.
Avec Trump, la diplomatie meurt, au profit du bluff, de l’intimidation, de la mise à mort.
Le texte qui vient ne vous épargnera pas.
Il nomme. Il date. Il prouve. Il juge. Il expose ce que l’histoire ne pourra plus ignorer.
il faut regarder en face ce qui se trame vraiment derrière les silences et les mensonges ?
Et vous, que ferez-vous ? Regarder ? Oublier ?
Revenir au sport, aux memes, aux tweets anodins ? Ou résister enfin — par la lucidité, la mémoire, et le refus du mensonge ?
Ici commence « La lettre interdite. »
Sur Gaza. Sur le silence des puissants. Et sur ceux qui ont osé trahir le monde, sous couvert de le sauver. Et sur ce que nous sommes devenus.
Bertrand@55Bellechasse.com