Bertrand Scholler | 55Bellechasse Media

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55. Il ne s’agit pas d’accumuler des faits. Il s’agit de se souvenir. Non pas avec la mémoire, mais avec l’âme. Car ce que tu dois savoir, tu le sais déjà.
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55. Il ne s’agit pas d’accumuler des faits. Il s’agit de se souvenir. Non pas avec la mémoire, mais avec l’âme. Car ce que tu dois savoir, tu le sais déjà.

« Ce n’est pas le bruit qui fait l’histoire. C’est ce qu’on sauve du naufrage. » (René Char)

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Bertrand SCHOLLER
juin 20, 2025
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55. Il ne s’agit pas d’accumuler des faits. Il s’agit de se souvenir. Non pas avec la mémoire, mais avec l’âme. Car ce que tu dois savoir, tu le sais déjà.
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Aujourd’hui, j’ai reçu une menace de mort écrite.
La colère vient, m’écrit-il, de sa frustration à ne pas réussir à me joindre —
lui qui affirme détenir des informations capables de renverser l’ordre du monde.
Et la goutte d’eau, selon lui,
c’est que j’ai osé critiquer une vache sacrée de la fausse dissidence.
Les gens deviennent fous.
Et je n’ai pas besoin d’être dans leur ligne de mire.
D’où la suite de ce texte, encore plus vitale qu’elle ne me paraissait hier,
alors même que j’en terminais les dernières lignes et les transitions.
Ce n’est pas la première fois que je suis menacé de coups ou de mort.
Cela avait commencé dès mon passage chez Hanouna, en 2022.
Ça n’a jamais vraiment cessé.
Mais j’ai entendu cet individu il y a quelques mois, une fois de trop.
Et je prendrai les mesures,
comme je l’ai fait — ou comme je le ferai — chaque fois qu’il le faudra.

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Chers amis,

Depuis plusieurs semaines, j’observe quelque chose d’étrange — et d’assez triste.
La violence verbale s’intensifie.
Pas tellement sous mes lettres — vous le savez, les commentaires y sont depuis longtemps réservés aux abonnés payants.
Mais sous les vidéos…
Et surtout, sous les posts X, (mais aussi dans ma boîte mail et mes messageries téléphoniques).
Là, on ne lit plus, on traque.
Certains viennent, scrollent, copient, recollent, insultent.
Non pour comprendre, mais pour décourager.
Non pour chercher, mais pour faire du bruit.
Ils laissent un sillage nauséeux, comme pour empoisonner l’eau après leur passage.
Pourquoi ?
Parce que je dérange.
Parce que j’ose critiquer les vaches sacrées du marché du temple —
celles qu’on n’a pas le droit de nommer,
celles qui font commerce du faux courage,
et détournent les foules au lieu de les réveiller.
Je ne changerai pas de ligne.
Mais je veux écrire pour ceux qui écoutent,
pas pour ceux qui viennent ricaner.
À partir de maintenant, toutes mes lettres seront réservées aux abonnés.
Ceux qui lisent vraiment.
Ceux qui partagent, discutent, construisent.
Pas ceux qui viennent contredire pour jouer aux procureurs,
ou tester leur stock de venin.
Beaucoup d’entre vous m’ont écrit pour demander un tarif plus accessible.
J’ai entendu.
Et j’ai décidé ceci :
Le prix de l’abonnement est réduit de 33%, jusqu’au lundi 23 juin à 17h55.
Ensuite, il restera fixe.
Par ailleurs :
– Les archives sont désormais accessibles uniquement aux abonnés payants.
– Une lettre de temps à autre restera disponible en accès libre quelques jours après publication, une ou deux fois par semaine.
Je me donne trop pour que mon travail soit livré en pâture.

Et je vous le demande fraternellement :
ne republiez pas mes lettres sans autorisation.
Certains le font avec de bonnes intentions, je le sais.
Mais je ne le souhaite pas.

En revanche, vous pouvez partager le lien Substack,
inciter à s’abonner,
et accompagner ce média.
Je préfère 300 lecteurs lucides et engagés,
que 10.000 figurants numériques.

Je veux continuer à écrire avec rigueur et vérité,
sans faire semblant.
Et la gratuité, alors ? Elle reste. Toujours.
Je sais ce que c’est que la galère.
Je l’ai vécue. (Demande à Bertrand@55Bellechasse.com)
Et vous êtes nombreux à m’écrire que certaines lettres vous ont éclairés, portés, sauvés,
dans des nuits trop longues ou des combats trop silencieux.

Alors tout le monde peut continuer à lire gratuitement.

Il suffit de me le demander.

C’est possible — et ce sera toujours possible.

Mais si vous pouvez aider, sachez que :
– Vous pouvez payer par chèque (je vous enverrai l’adresse),
– Par PayPal,
– Par Tipeee,
– Ou même en nature : aide technique, relecture, relais, graphisme, contact presse…
Chaque geste compte.

Pensez aussi aux options suivantes :
– “Membre fondateur” (pour ceux qui peuvent donner davantage),
– Ou “Offrir une lettre” à vos proches.
Car plus il y aura de vrais soutiens,
plus il sera rationnel — et juste — de maintenir de nombreux abonnés gratuits.
Merci à vous.
Merci à ceux qui lisent.
Merci à ceux qui tiennent bon.
Merci à ceux qui, sans bruit, marchent encore dans la lumière.
Bertrand

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À ceux qui soutiennent déjà, je dis : merci, de tout cœur.
À ceux qui hésitent : ce n’est pas moi qu’il faut convaincre. C’est vous-même. Mais je n’irai pas plus loin dans l’indifférence.

Petite précision utile :
Vous pouvez vous abonner également par chèque ou selon le moyen qui vous arrange.
Par ailleurs, Si, au moment de l’abonnement, votre banque vous demande de valider un montant de 0€, c’est tout à fait normal.
Il ne s’agit pas d’un paiement, mais d’une simple vérification : votre banque s’assure que vous êtes bien à l’origine de la demande.
C’est vous qui décidez, du début à la fin.

contact : Bertrand@55Bellechasse.com

PayPal : newsletter@55leCampanile.com

J’ai pris toutes ces décisions en mon âme et conscience,

non par lassitude, mais comme la suite logique d’épreuves récentes, souvent inattendues — et parfois franchement inutiles.

Je ne peux pas déplacer les montagnes.

Et pour les contourner par le haut ou par les flancs, mieux vaut une cordée fiable, resserrée, fidèle.
J’ai aussi parlé de cela avec certains d’entre vous.
Des lecteurs devenus amis, des repères devenus essentiels.
Hier encore, j’ai reçu un bracelet népalais ancien, pour mon poignet :
cadeau simple, offert avec insistance par une lectrice qui ne vit en France que quelques mois dans l’année.
Elle m’a regardé et m’a dit :
“Arrête de t’épuiser pour ceux qui ne veulent pas comprendre. Cette altruisme t’abîme. Cette naïveté te vampirise.”
Et elle a raison.
Ce qui ne donne jamais de réconfort
ne mérite pas que l’on s’y consume.
Alors voilà.
Comme écrit ci dessus, ce qui suit est réservé aux abonnés. Mais voici ce que vous allez découvrir…
Je ne vais pas tout vous dévoiler ici.
Mais cette lettre parle de l’Iran.
Et derrière ce mot, c’est le monde entier qui s’y reflète.
La guerre visible — et l’autre.
Le pétrole, oui — mais surtout les ponts invisibles entre les civilisations.
Et ce que le Diable veut effacer : la Terre.
Cette lettre n’est pas un cri politique.
C’est un avertissement spirituel.
Elle se termine sur un constat que peu osent dire :

Le piège est refermé. Et les éléphants dansent dans la porcelaine.

Et voici ce qui vient dans les prochains jours :
Sur Substack :
– Une lettre à mes amis iraniens,
Suivi de
Ce qu’aurait pu faire l’IRAN ? Et pourquoi, selon moi la « stratégie » actuelle est exactement ce que ses ennemis attendaient de l’Iran ?
Puis
Et si un changement de régime survenait en Iran…
Ce ne serait pas une libération.
Ce serait une dislocation.
Un effondrement méthodiquement orchestré — à la Eltsine, après la chute de l’URSS.
– Et un article essentiel :

“Comment se débarrasser définitivement des Khazars”

Non pas par violence, mais par discernement, vigilance et lumière.

Dans Histoire Magazine :
– Un texte sur les papes et les temps qui viennent,
– Une enquête sur les sociétés secrètes, leur influence réelle, et leur mode opératoire depuis deux siècles.
Je vous en dirai plus à l’approche du numéro.

À ceux qui hésitent, ou qui me jugent mal

Je ne veux pas être suivi pour ce que je ne suis pas.

“Malheur à vous, quand tous les hommes diront du bien de vous.”

(Luc 6,26)

Je ne suis pas parfait. Je peux être impatient.
Je peux critiquer sans gants ceux qui abusent de leur image, de leur visibilité,
de la confiance des foules pour tromper, manipuler, détourner.
Pour moi, c’est un crime. Et je le nomme.
Si cela en dérange certains,
qu’ils aillent vers des vidéos plus douces,
des textes qui chantent mieux à leurs oreilles.
Il y a, chez certains, une haine froide,
un rejet viscéral, une rage incontrôlable.
Cela relève parfois de la psychiatrie.
Je n’y peux rien. Qu’ils m’évitent.
Je n’écris pas pour eux.
Mais à vous, qui cherchez encore la vérité, même vacillante,
qui ne demandez pas des maîtres, mais des compagnons de veille,
alors…
Cette lettre vous est offerte.
À tout de suite,
de l’autre côté du rideau.
Bertrand

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