55. Il y a des vérités qu’on ne veut pas voir, parce qu’une fois admises, elles nous obligent à tout revoir. Pendant des années, nous avons cru que les attentats étaient des accidents, des erreurs…
Il est temps de voir. Pas pour accuser à l’aveugle, mais pour refuser de rester aveugles. Il ne s’agit pas de tomber dans le piège d’un complotisme vide. Il s’agit de comprendre que …
Et si, l’attentat était devenu la nouvelle langue du monde ?
Pas un cri de révolte, mais un levier stratégique.
Pas une rupture soudaine, mais un rituel récurrent.
Un outil pour semer la peur, réorienter les récits, créer des héros ou des bourreaux à volonté.
Du Bataclan à Gaza, de Charlie à Deir Yassin, de Nairobi à l’Ukraine… une seule logique : choc → sidération → reformatage → soumission.
Un attentat est un miroir, une clef, une balance.
Il révèle, il oriente, il pèse.
Et nous, chacun, y sommes confrontés : comme cible physique, comme spectateur émotionnel, comme âme mise à l’épreuve.
Mais il y a aussi une fonction occulte plus grave encore : le test de la population mondiale, presque à la manière d’un jugement.
Non pas un jugement humain, mais un filtrage :
qui croit ? qui pense ? qui obéit ? qui voit ?
Et à chaque fois, les architectes de ces événements, qu’ils soient visibles ou non, exécutants ou concepteurs, observent les résultats. Ils testent les seuils. Ils mesurent l’efficacité de leur œuvre.
La saga de la TABLE ROUGE …
Je ne vous demande pas grand-chose.
Juste d’y penser, maintenant, avant que l’été n’efface l’essentiel sous les distractions.
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…
Et pourtant… quelle retenue, parfois, lorsqu’il s’agit d’aider.
Même quand il s’agit d’un procès.
Un procès réel, engagé contre moi, à la suite d’une plainte de Brigitte Macron.
Une garde à vue, un système qui cherche à broyer — pour avoir trop parlé, trop vu, trop montré.
Vous n’imaginez pas… ou peut-être que si.
Peut-être que vous le sentez.
Peut-être que certains d’entre vous comprennent ce que cela coûte, de parler encore avec droiture dans un monde qui ne supporte plus la clarté.
Je risque la prison.
Ce n’est pas une figure de style, ni une provocation.
C’est une réalité judiciaire.
Et même si ce n’était qu’avec sursis, cela change tout.
Car pour un journaliste citoyen, pour quelqu’un qui écrit librement, sans mandat, sans réseau, sans costume officiel, mais avec une plume affûtée par l’expérience, la foi, la mémoire et la lucidité —
cette menace-là est la plus cruelle.
Ce n’est pas seulement une sanction.
C’est une épée de Damoclès au-dessus de la pensée.
Une tentative d’intimidation permanente.
Un climat d’étouffement, où chaque mot devient un risque.
Donner à tous, c’était mon premier réflexe.
Jusqu’à ce que je réalise que certains ne savent que consommer,
détourner… ou mépriser.
Alors non, ce n’est pas un mur. C’est un seuil.
Et je ne regrette que ce qu’il ferme aux sincères. Ils bénéficient de la gratuité sur demande et sans explication, juste le respect d’un message.
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À suivre !
Pour les abonnés :
On commence par la fin ?
Et si les attentats aussi s’alignaient par coïncidence pour son règne et celui de ses sAigneurs.
Voici une sélection d’attentats, attaques ou événements violents sous Macron 1 (2017–2022) et Macron 2 (2022–…), dont le calendrier est troublant de “coïncidence parfaite”, au point qu’ils semblent fonctionner comme des “verrous” ou des “dérivatifs” émotionnels, utilisés pour désactiver une tension sociale ou détourner une opinion publique.
Puis