55. Je l’ai découverte dans un dossier classé « confidentiel » du Bureau 14 — celui qui suit les infiltrations psychologiques, les mascarades bien huilées. Une Française. Intelligente. Très intel…
Oui, ce régime a ses rigidités, ses contradictions, ses peurs. Mais il était le dernier mur debout entre vous et le projet global de dissolution (je le dis depuis si longtemps … dans le désert …).
La phrase du diable
« Un Iran doté de l’arme nucléaire est une menace réelle — personne ne devrait l’ignorer. »
(Emmanuel Macron, 20 juin 2025)
Cette phrase est un acte de guerre rhétorique.
Elle légitime tout. Elle efface les responsabilités. Elle signe l’assaut.
Et elle confirme, s’il le fallait encore, que le plus dangereux homme d’État au monde aujourd’hui n’est ni Netanyahou, ni Trump, ni Zelensky…
mais Emmanuel Macron.
Parce que lui dit le mal en prétendant défendre le bien.
Et parce que son langage même est devenu une arme de destruction massive.
Et l’autre phrase piège du jour …
ALERTE – Le piège est tendu. Et presque tout le monde va tomber dedans.
Netanyahu vient d’annoncer que l’Iran disposerait encore de 28 000 missiles balistiques.
(À suivre)
Vous comprenez le piège de cette annonce ???
La réponse derrière le rideau
vous pouvez souscrire pour un proche … n’hésitez pas, plus les graines sont semées, plus on multiplie les chances de récolte !
Message d’accueil – À ceux qui préfèrent la lumière au vacarme
Chers amis,
Depuis plusieurs semaines, quelque chose s’est brisé.
Je ne parle pas de moi. Je parle de l’atmosphère.
De ce qu’est devenue la parole, là-dehors.
Des réseaux dits “sociaux” qui ne sont plus que des places publiques toxiques, où l’on ne lit plus, mais où l’on traque.
Sous mes vidéos, sous mes posts X, dans mes mails,
ce ne sont plus des critiques — ce sont des pièges.
On ne vient plus chercher la vérité :
on vient scraper, copier, ricaner, diffamer.
Ceux-là ne lisent pas.
Ils sifflent. Ils mordent. Et parfois, ils menacent.
Pourquoi ?
Parce que je dérange. Parce que j’ose dire ce qu’il ne faut pas dire.
Parce que je refuse les jeux d’alliances, les totems de carton, les héros frelatés qu’on n’a pas le droit de nommer.
Je ne changerai pas de ligne.
Mais je ne veux plus écrire dans le vacarme.
Désormais, je choisis de protéger la parole
À partir d’aujourd’hui, tout passe par Substack.
Et je ne publierai plus sur les réseaux traditionnels, ou alors à la marge.
Je me retire des arènes toxiques pour ne parler qu’à ceux qui écoutent.
Toutes mes lettres seront réservées aux abonnés.
Pas pour exclure, mais pour bâtir.
Pour écrire pour des lecteurs réels, pas des profils anonymes affamés de contradictions.
Et j’ouvre une fenêtre, brève, claire, fraternelle :
33% de réduction sur l’abonnement jusqu’au lundi 23 juin à 17h55.
Ensuite, le prix restera fixe.
Ceux qui veulent entrer le peuvent.
Ceux qui ne veulent pas n’auront qu’à ricaner dans le vide.
Les nouvelles règles
– Les archives sont désormais accessibles uniquement aux abonnés payants.
– Une ou deux lettres par semaine resteront en accès libre quelques jours, comme une respiration offerte.
– Le reste sera protégé.
Parce que je donne trop, parce que j’y mets trop de souffle, trop de veille, trop de feu,
pour que ce travail soit livré en pâture à ceux qui salivent sans lire.
Le mot vous choque ?
Vous pouvez toujours aboyer.
Je ne vous mettrai ni laisse, ni muselière.
Je n’en ai ni le goût, ni le devoir. Je vous laisse la meute, car moi, je parle aux vivants.
Et je vous le demande fraternellement :
Ne republiez pas mes lettres sans autorisation.
Même avec de bonnes intentions.
Car le contexte, la forme, l’équilibre du tout comptent.
Mais vous pouvez (et vous devez) :
– partager le lien Substack,
– encourager l’abonnement,
– accompagner ce média.
Je préfère 300 lecteurs engagés et lucides,
à 10 000 silhouettes numériques qui scrollent sans comprendre.
Et ceux qui ne peuvent pas ?
La gratuité reste.
Elle restera toujours.
J’ai connu la galère. Je la connais encore parfois.
Et je ne laisserai jamais un « homme » de bonne volonté sans accès à une lettre dont il a besoin, car il y a pris goût et je n’ai pas fait les lettres pour prendre l’argent à des gens qui n’en ont pas.
Il suffit de me le demander.
Et je vous l’offrirai.
Toujours.
Vous pouvez soutenir de mille manières :
– Abonnement classique
– Soutien “membre fondateur”
– Offrir une lettre à un proche
– Paiement par chèque, PayPal, Tipeee
– Ou en nature : aide technique, relecture, relais, graphisme, contact presse
Chaque geste compte.
Chaque lecteur est un fragment de la résistance.
Je continuerai. Avec vous. Pour la vérité.
Pas pour plaire.
Pas pour buzzer.
Mais pour tenir.
Merci à ceux qui lisent.
Merci à ceux qui résistent.
Merci à ceux qui, sans bruit, marchent encore dans la lumière.
Bertrand
À ceux qui soutiennent déjà, je dis : merci, de tout cœur.
À ceux qui hésitent : ce n’est pas moi qu’il faut convaincre. C’est vous-même. Mais je n’irai pas plus loin dans l’indifférence.
Petite précision utile :
Vous pouvez vous abonner également par chèque ou selon le moyen qui vous arrange.
Par ailleurs, Si, au moment de l’abonnement, votre banque vous demande de valider un montant de 0€, c’est tout à fait normal.
Il ne s’agit pas d’un paiement, mais d’une simple vérification : votre banque s’assure que vous êtes bien à l’origine de la demande.
C’est vous qui décidez, du début à la fin.
contact : Bertrand@55Bellechasse.com