55. L’essentiel est il devenu invisible ? Il y a des lettres qu’on écrit comme on allume une bougie dans une église désertée. D’autres, comme on dépose une pierre sur la tombe d’un veilleur.
Et certaines, comme on s’agenouille devant un symbole qu’on a enfin appris à lire. D’autres, enfin, dont peut être celle ci, comme on comme on frappe à la porte du sanctuaire.
Liminaire en temps réel…
Nous sommes le 18 mai.
C’est ce dimanche qu’a lieu la première messe solennelle du nouveau pape, Léon XIV.
Et aujourd’hui, au Vatican, cette messe est entièrement dédiée à Pierre.
Pierre, la pierre. Le fondement de l’Église. Mais aussi, peut-être, le signe que les prophéties s’accomplissent.
Car ce jour-là, dans la nef sacrée de Saint-Pierre, on peut voir réunis des visages inattendus.
J.D. Vance, vice-président de Donald Trump, est là.
Mais aussi Ursula von der Leyen…
Et Volodymyr Zelensky.
Trois figures-clés d’un monde en basculement.
Le climat est lourd. Eschatologique.
Comme si l’histoire elle-même s’était invitée à la messe.
Il faut se souvenir que depuis Vatican II, le nom “Israël” a été intégré au cœur des liturgies catholiques.
Une mention régulière, presque banale…
Mais qui, en réalité, agit comme un goutte-à-goutte spirituel.
Infiltration douce dans l’imaginaire collectif chrétien catholique.
Un déplacement progressif de la centralité du message évangélique.
Et, dans le contexte actuel, une goutte qui écrase Gaza.
Croyez au hasard si vous le souhaitez.
Mais moi, je vois un agenda.
Et cette messe, sous ses airs de tradition, marque peut-être le début d’un temps nouveau — ou d’un grand dévoilement.
C’est un théâtre ???
Outre l’ukrainien Volodymyr Zelensky et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, sont aussi place Saint-Pierre l’israélien Isaac Herzog et nigérian Bola Ahmed Tinubu, ainsi que leur homologue péruvienne Dina Boluarte.
Le chancelier allemand Friedrich Merz, le Premier ministre français François Bayrou, la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni et de nombreuses têtes couronnées ainsi que des milliers de fidèles !
Je vous parlerai de cet anneau lors d’une prochaine lettre
Préparez vous à des surprises … IMMENSES. Tout est montré …
Il y a des lettres qu’on écrit comme on allume une bougie dans une église désertée.
D’autres, comme on dépose une pierre sur la tombe d’un veilleur.
Et certaines, comme on s’agenouille devant un symbole qu’on a enfin appris à lire.
D’autres, enfin, comme on grave une stèle au sommet d’une montagne.
Et certaines, dont peut être celle ci, comme on frappe à la porte du sanctuaire.
Non pour forcer, mais pour dire : j’étais là. Et vous aussi, peut-être.
La publication de ce dimanche 18 mai 2025 est un pèlerinage.
Un chemin balisé de trois étapes.
Trois respirations. Trois appels.
La première, je l’adresse à mes fils.
Je leur murmure ce que j’aurais aimé qu’on me dise plus tôt.
Je leur montre que le monde ne ment pas : il parle.
Par ses marques, ses mots, ses images.
Encore faut-il savoir lire. Encore faut-il réapprendre à voir.
Encore faut-il croire que tout signe peut être retourné — pour le mal… ou pour la vérité.
La deuxième, ce n’est pas moi qui l’écris.
C’est celle qu’un de mes fils m’écrira peut-être un jour.
Quand les rideaux seront tombés.
Quand mes combats auront laissé plus que des cicatrices : des clefs.
Quand ils comprendront, peut-être, que mes avertissements n’étaient pas des obsessions… mais des veilles d’amour.
Et dans un prochain Substack, moi aussi, j’écrirai à mes parents. À mes proches.
Car le combat n’a de sens que s’il est ancré dans la lignée.
Et la troisième lettre, c’est le sanctuaire.
Là où je décrypte.
Les marques. Les logos. Les mots. Les pièges.
La fin du grec et du latin. Le sabotage de Vatican II.
Le langage oublié des oiseaux. Le monde devenu un rébus.
Et enfin — le portrait de Macron.
Non pas une image, mais un grimoire occulte.
Un sceau. Un rituel. Une mise en scène. Un signal.
Un manifeste en silence, saturé de signes.
Je vous en livre ici l’analyse complète.
Pas un commentaire en surface, mais une plongée dans les profondeurs.
Les clefs pour nous défendre. Les lunettes pour réformer la réalité.
Car depuis que j’ai publié publiquement cette lecture du portrait officiel, tout a changé.
… TOUT
Je suis devenu un nom interdit.
À l’époque, je passais partout. Médias traditionnels, radios libres, chaînes de la dissidence. Mais aussi les grandes chaînes où des années avant j’avais également mes habitudes.
Et puis, soudain, silence.
Non pas un désaccord, mais une excommunication. Les parrains de cette mafia l’ont décidé, selon des ordres venant d’encore plus haut.
La méthode outre la fin des invitations, et bien… certains ont fait courir le bruit que j’étais devenu fou.
D’autres que j’étais infiltré.
D’autres encore, que j’étais dangereux.
Il fallait oublier jusqu’à mon nom.
Ne plus me citer. Ne même plus réagir. Faire comme si je n’avais jamais existé.
Et ce fut coordonné. Froid. Précis.
Ceux qui osaient encore me soutenir étaient rappelés à l’ordre. Ou isolés à leur tour.
Comme si prononcer mon nom rendait contagieux.
Ça aurait pu réussir et ça a sans doute réussi avec d’autres …
Mais au fond… ce fut ma plus grande chance.
Car c’est là que j’ai pu commencer ce pèlerinage.
J’ai appris à écrire autrement. À parler autrement.
À bâtir ma propre cathédrale de mots, loin des studios, loin des plateaux.
D’abord un compte X. Puis ma chaîne YouTube.
C’est seulement après qu’est née cette lettre Substack et une lettre Patreon que je vous recommande car mes lettres y sont lues par une voix humaine et que c’est vraiment un plaisir, le ton y est, ça devient captivant pour ceux qui n’ont pas le temps de lire, mais celui d’écouter en conduisant ou travaillant.
(Pour Patreon lien ci dessous)
Tout cela reste artisanal, fragile, imparfait.
Mais tout cela est vrai.
Je n’apprends pas pour manipuler ou séduire.
J’apprends pour que mes mots soient plus fluides,
mon ton plus juste, mon message plus fort.
Je vous le redis ici, avec la même foi qu’au premier jour : Je n’ai jamais trahi.
Je n’ai jamais joué un autre rôle que celui d’un homme libre.
Et si vous êtes encore là aujourd’hui,
c’est peut-être que cette liberté est contagieuse, elle aussi.
Ce nouveau texte est derrière un voile temporaire.
Il est là en entier des aujourd’hui, si vous souhaitez franchir le seuil de l’abonnement, sinon,
Ce sera accessible … dans 48h.
Et si vous ne pouvez pas franchir le seuil, demandez-moi. Je vous offrirai la clef.
Mais entrez. Car c’est maintenant.
Le monde vous parle. Encore faut-il oser répondre.
Car il n’y a plus de temps.
La suite est essentielle … rejoignez moi maintenant, sinon, ce sera accessible mercredi 21 mai, vers 15h.
Si vous ne pouvez pas vous abonner, un seul e-mail sans vous justifier et je vous donne 7 jours gratuitement avec plaisir. Bertrand@55Bellechasse.com
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