Arrêtez de vous persuader que les autres comprennent ce qui vous semble évident … c’est le plus souvent l’inverse qui se passe !!! Une lettre essentielle à lire d’urgence !
Et pendant ce temps, des récits venimeux prospèrent : Trump et Musk, mais aussi Poutine et Xi ou Ben Salman sont érigés en parangons du mal absolu, ils seraient des fléaux à fuir à tout prix...
Alors croyez ce que vous voulez. Je ne suis pas là pour plaire, mais pour dire « la » vérité ou plutôt « ma » Vérité !
Depuis hier, les médias en France – télé, journaux, plateaux – tournent en boucle avec une mission : laver les cerveaux. Partout, des photos et des mots tirés de 40 minutes d’échanges entre Trump et Zelensky sont découpés, ciselés pour un seul but : faire de Zelensky un martyr héroïque et détruire Trump, son administration, et surtout Musk. Le message est martelé : Trump est un dictateur, aussi dangereux que Poutine ; l’Amérique est devenue l’ennemie de l’Europe, un danger pour nous tous. Même des voix inattendues, comme Dominique de Villepin, répètent cette litanie, tombant plus bas qu’on ne l’imaginait. Marine Le Pen, Bardella ou Mélenchon qui détestent Trump ? Pas une surprise. Mais là, c’est l’unanimité – sauf sur X, où des irréductibles résistent.
Pourtant, ce qui se joue va plus loin qu’une guerre d’images. Les vieilles lignes de fracture – entre pays ou partis – sont artificielles, des leurres. La vraie cassure est ailleurs : au cœur des peuples, entre ceux qui voient clair et ceux qui gobent le récit. Aux terrasses des cafés, en France ou ailleurs, le poison fait effet : des amis lucides hier se détournent de Trump, déçus par son rôle à Gaza ou son plan pour l’Ukraine, jugé cynique avec ses conflits d’intérêts sur les terres rares. Même ceux qui lui faisaient confiance vacillent. Mais moi, j’y crois encore – pas aveuglément, juste avec prudence et force. Dans mon cœur les rôles des uns et des autres sont clairs, c’est limpide.
Que s’est-il passé ? Trump a trébuché. Il savait que Zelensky devait être écarté des négociations – son intuition le lui criait. Mais il a cédé, et le piège s’est refermé.
Zelensky, « offusqué », quitte la Maison-Blanche ; c’est pire que Musk qui lève le bras ; et hop, la machine médiatique s’emballe. Macron jubile : c’était son rêve. En France, en Europe, dans l’OTAN, il impose une union sacrée – aucun parti ne s’écarte de sa ligne, de Berlin avec Merz à Londres avec Starmer. Les Russes, eux, savent ce que ça vaut : trois ans qu’ils subissent la même victimisation.
Ce n’est pas une victoire pour Trump comme beaucoup l’affirment parmi ses fans et je vais l’expliquer ci après, c’est quasi une catastrophe, mais Trump Sait rebondir et il n’est pas seul.
Le narratif est clair : Trump, avide de profit, trahit la paix ; Zelensky, le saint, est humilié. On le répétera jusqu’à l’absurde. Partout dans le monde, des messages affluent : ce cynisme ne passe pas. Trump devient l’ennemi, une marionnette de Poutine ou même de Macron – grotesque, mais ça prend. Pourquoi ? Parce que le diable joue bien. En Europe, le camp du mal domine, porté par Macron, maître des illusions. Zelensky, pantin cocaïnomane ? Trop complexe pour les foules. Macron, un rien ? Une erreur fatale à ne pas voir qu’il orchestre tout.
Trump est résilient, il rebondira. Mais il doit prouver qu’il mise sur Poutine, pas sur les « alliés » qui le poignardent. Le risque ? Une troisième guerre mondiale, si la propagande l’emporte.
Alors, lisez, décryptez, tenez bon. Le bien triomphera, mais pas sans lutte.
Le bras levé de Musk, l’erreur de Trump : ce sont des détails dans une bataille plus grande, où les démons – Macron en tête – affrontent ceux qui, comme moi, cherchent encore la lumière. Merci de votre aide et de vos partages !
cette publication n’existe que par vos dons et abonnements, ou intérêt pour la découverte de bons miels ou des conférences là où l’on m’invite.
Le Grand Affrontement : Macron au sommet du camp du mal
Dans les coulisses du pouvoir, un homme avance ses pions avec une habileté diabolique : Emmanuel Macron. Son objectif ? Maintenir la domination du camp du mal, écraser toute opposition et neutraliser ceux qui pourraient encore lui résister.
Face à lui, cinq figures historiques doivent apprendre à s’unir : Poutine, Trump, Xi, Ben Salman et Musk.
Cette alliance est une nécessité absolue. Pourtant, elle sera incomprise, rejetée, combattue de toutes parts, y compris et surtout parmi les leurs. Car ces cinq hommes sont présentés comme des adversaires irréconciliables, leurs pays ou projets également.
Dans la tempête qui s’annonce, sans repères solides, nous sommes condamnés à l’éparpillement. Sans fondations, chaque rafale de propagande nous déstabilise, chaque discours médiatique nous emporte dans des spirales de doutes, chaque manipulation nous détourne de l’essentiel. Seule une colonne vertébrale de principes clairs et une foi inébranlable permettent de résister.
Regardez ce qui se passe autour de vous : combien de personnes, pourtant lucides hier, vacillent aujourd’hui sous l’impact de la dernière narrative fabriquée ? Combien, après des années d’éveil progressif, se laissent à nouveau séduire par les chants maudits de ceux qui veulent les asservir ? C’est le piège dans lequel nous risquons tous de tomber si nous ne construisons pas en nous une structure intérieure indestructible.
Nous sommes comme Ulysse face aux sirènes dans son Odyssée. Le héros grec savait que seul, il ne pourrait pas résister. Il savait que leur chant, aussi beau soit-il, le mènerait à sa perte. Il a donc pris ses précautions : il s’est attaché solidement au mât de son navire et a bouché les oreilles de ses compagnons. Il a anticipé la manipulation et a tenu bon.
C’est exactement ce qu’il nous faut faire aujourd’hui.
Ne vous attachez pas au mât du premier gourou venu. Ne vous enfermez pas dans des illusions confortables. Mais attachez-vous à une grille de lecture fiable, ancrée dans des vérités profondes.
Depuis des années, j’écris, j’analyse, je décrypte. Et pourtant, je commence à peine à être véritablement entendu. Pourquoi ? Parce que les chants des sirènes sont puissants, séduisants, et que beaucoup n’ont pas encore solidifié leurs repères.
Si vous ne vous accrochez pas à des vérités inaltérables, si vous ne construisez pas une pensée structurée et enracinée, alors vous serez à nouveau emportés. À la moindre brise, vous vous perdrez dans des conjectures stériles, vous reviendrez à vos maigres certitudes d’hier, prêtes à être balayées par la prochaine vague.
Il faut avoir la foi en ce moment.
Pas une foi aveugle, mais une foi consciente et assumée, une force intérieure qui vous permet de voir clair malgré le chaos. Car si vous doutez de tout, alors ceux qui veulent vous manipuler ont déjà gagné.
N’oubliez pas que Pâques approche, et cette année Carême et Ramadan se superposent … ce n’est pas une coïncidence ! Ni l’état de santé du Pape … et tant d’autres choses. Tout cela est eschatologique et ce sera de plus en plus visible.
Bref, pour les 5 fantastiques, leur union est perçue comme une anomalie, une hérésie politique. Mais elle est le seul rempart contre la marche forcée vers le chaos.
De même, l’union entre chrétiens et musulmans devient une urgence. L’heure n’est plus aux divisions artificielles, savamment entretenues par ceux qui veulent dominer le monde par le mensonge et la manipulation. L’enjeu dépasse les nations, dépasse les croyances : il est eschatologique.
Le piège des terres rares : une faute stratégique
Dans l’univers impitoyable de la géopolitique, chaque faux pas se paie au prix fort. Trump, pourtant habitué aux négociations rugueuses, a sous-estimé le piège tendu par Macron. Il a cru voir une opportunité économique là où il n’y avait qu’une manœuvre sordide. Résultat ? Une erreur qui affaiblit sa position, brouille son image et risque d’entraîner des conséquences désastreuses.
Je sais que beaucoup d’entre vous, même parmi mes lecteurs les plus fidèles, hésitent encore à l’admettre. Pourtant, les faits sont là : Macron est le grand manipulateur, celui qui tire toutes les ficelles, celui qui orchestre l’illusion. Vous pouvez refuser de le voir, mais cela ne changera rien à la réalité.
Tout a commencé par une mise en scène digne des plus grandes stratégies de subversion. Macron a soufflé ou fait souffler à l’oreille de Trump une promesse alléchante : “Tu auras des terres rares, Donald.” Comme toujours, le président français ne fait rien au hasard. Il savait exactement comment appâter Trump, lui parler dans un langage qui résonne avec son instinct d’homme d’affaires. Mieux encore, il a feint d’être lui aussi intéressé par ces ressources stratégiques, laissant croire que les Européens se positionnaient en partenaires d’affaires… alors qu’il ne s’agissait que d’une ruse pour lui faire baisser la garde.
Mais la question qu’il fallait poser était évidente : “Pourquoi négocier avec un cadavre ?”
L’Ukraine, autrefois un pays fier et enraciné dans son histoire, est aujourd’hui un champ de ruines, un territoire fantôme où l’immense majorité de la population est livrée à un destin tragique. Ceux qui restent n’ont plus d’avenir : ils sont condamnés à survivre dans des conditions misérables ou à servir de chair à canon dans une guerre qui ne profite qu’à une élite corrompue.
Les jeunes hommes sont traqués comme du bétail, arrachés à leur quotidien pour être envoyés de force sur le front. Pas de formation digne de ce nom, pas de réelle perspective de victoire, seulement un passage quasi certain vers la mutilation ou la mort. Ils ne sont pas des soldats, mais des sacrifiés, pris dans l’engrenage d’une guerre dont ils ne sont que les pions jetables.
Et pendant que cette génération est brisée, pendant que des familles entières meurent de froid et de faim, privées de gaz, d’électricité et même de médicaments de base, une autre réalité existe, cachée derrière les rideaux de la propagande.
Car il y a ceux qui profitent de la situation. Une caste, une élite dorée qui vit en dehors du cauchemar quotidien de la population. Ceux-là ne connaissent ni la faim ni la peur. Ils parcourent le monde en jet privé, dînent dans les palaces de Londres, Paris ou Dubaï, roulent en Lamborghini pendant que leurs compatriotes se terrent dans des caves sans chauffage.
Ils osent parler de “résistance” et de “patriotisme”, mais leurs actes les trahissent. Leur seul souci est de préserver leur train de vie en exploitant le chaos et la misère d’un peuple qui souffre en silence.
L’Ukraine d’aujourd’hui, c’est un pays à deux visages : celui d’une nation sacrifiée, où des millions de gens sont abandonnés à un sort misérable, et celui d’une oligarchie impitoyable qui a transformé cette guerre en un immense marché noir, où la corruption et la manipulation règnent en maîtres.
L’Ukraine n’est plus un État souverain. Ce pays, autrefois stratégique, n’est plus qu’un champ de ruines, une terre pillée, un territoire dont les décisions ne se prennent plus à Kiev, mais à Washington, Bruxelles et surtout Paris.
Il n’y a plus de président légitime, plus de parlement en état de fonctionner : les élections ont été annulées. La presse d’opposition a été muselée, traquée, éradiquée. Des journalistes ont disparu, assassinés dans l’ombre, comme Gonzalo Lira, exécuté pour avoir osé dire la vérité. D’autres sont morts sans même avoir eu le temps d’être connus.
Mais ce n’est que la partie visible de l’iceberg. L’Ukraine est devenue le royaume des abominations, le cœur d’un système fondé sur la corruption, le crime et le chaos.
Pourquoi Trump est-il tombé dans ce piège ? Pourquoi a-t-il cru une seule seconde qu’il pouvait négocier avec Zelensky comme s’il était un véritable chef d’État ? Quitte à céder aux tentations du diable, autant négocier directement les putes et les icônes religieuses… plutôt que de jouer aux équarrisseurs avec des terres rares qui ne seront jamais livrées.
Macron, lui, le savait. C’est lui qui a tiré les ficelles. C’est lui qui a soufflé à Trump cette idée absurde : traiter avec un homme qui ne contrôle plus rien, même pas son propre peuple. Un pantin qui envoie son armée de fortune à la boucherie pendant que lui et ses proches sillonnent le monde en yachts et en Lamborghini, festoyant pendant que leur pays brûle.
Voilà ce qu’est devenue l’Ukraine : un territoire où l’on traque les jeunes hommes dans les rues pour les envoyer mourir au front, où la population crève de faim et de froid, tandis que les élites corrompues s’enrichissent sur la misère et la guerre.
Et Trump, lui, a perdu un temps précieux dans ce bourbier, alors que son instinct lui criait de ne pas s’y aventurer.
C’est là que réside la faute. Car on ne négocie pas avec un cadavre. Pire encore, on ne pille pas un cadavre sous les projecteurs.
Mais a-t-il vraiment le choix ? Je me pose la question. Sur les terres rares, il aurait pu éviter cette maladresse qui va lui coller à la peau comme un sparadrap tenace, impossible à décoller. Pourtant, Trump semble s’en moquer, fidèle à son style désinvolte. Il avance, indifférent aux murmures, sûr de sa trajectoire.
Même pour les Américains, cette manœuvre pose problème. Cette négociation sur les terres rares laisse un goût amer, une impression de rapacité, d’opportunisme presque morbide, qui pourrait bien se retourner contre lui. On ne tond pas un œuf, comme dit le proverbe. Avec l’Ukraine de Zelensky, il n’y a plus grand-chose à gratter, sinon la fin d’un conflit épuisant. Jouer cette carte au pire moment, c’est tomber tête baissée dans le piège habilement tendu par Macron : faire passer Trump pour un prédateur économique, prêt à tirer profit des ruines encore fumantes d’un pays dévasté.
Or, un artisan de la paix – ce que Trump prétend incarner – doit rester au-dessus de tout soupçon de conflit d’intérêt.
Aparté
Trump devient exaspérant et déroutant – je l’admets volontiers – lorsqu’il parle de Gaza. Comment peut-il sérieusement envisager une « Riviera » sur les ruines d’un génocide, alors que les exactions du régime de Netanyahu continuent de ravager la région sans la moindre pause ? Cette idée, jetée comme une lubie de magnat de l’immobilier, détonne par son absurdité. Il ne semble même pas lier ce projet à la fin des violences orchestrées par Tel-Aviv, comme si la paix n’était qu’un préalable anodin avant de couler du béton sur le littoral. Cette posture dérange profondément : où est passé l’artisan de la paix qu’il prétend incarner ? À Gaza, il donne l’impression de détourner le regard de l’essentiel, de fantasmer des chantiers clinquants pendant que le sang coule encore. Est-ce une simple façade, une maladresse de communication ? Ou pire, un cynisme froidement assumé ? Difficile de trancher sans un frisson d’inquiétude. La vidéo qu’il a posté sur les réseaux est le comble du mauvais goût, siroter un coktail avec Netanyahu au bord d’une piscine d’un hôtel de cette Riviera … c’est obscène… mais ça fait parti de la danse de Trump avec le diable, de sa nage au milieu des Piranhas.
Trump doit être plus rusé que ceux qui le surveillent de près. Imaginez-le comme un joueur d’échecs entouré d’adversaires qui guettent la moindre erreur. Pour l’instant, il n’est pas encore assez puissant pour imposer son jeu. Alors, que fait-il ? Il fait semblant d’être dans le camp de ceux qui le scrutent, histoire de gagner du temps. C’est une stratégie : avancer masqué, montrer des gages de bonne volonté, jusqu’à ce qu’il soit vraiment en position de force. Mais attention, il n’y est pas encore – loin de là.
Cette position de force, il ne l’atteindra qu’à une condition : s’unir véritablement à ce que j’appelle les « 5 fantastiques ». Qui sont-ils ? Ce sont les seuls leaders capables de changer la donne mondiale. Ensemble, ils pourraient former un front solide, un contrepoids aux pressions qui pèsent sur lui. Sans cette alliance, Trump reste vulnérable, coincé dans un jeu d’équilibriste.
Malgré ce malaise – parce que oui, ses faux pas agacent parfois – je garde confiance en lui.
Pourquoi ? Parce que je ne sous-estime pas ceux qui le surveillent, prêts à bondir à la moindre occasion. Prenez des groupes comme AIPAC (le lobby pro-israélien) ou l’ADL (qui lutte contre l’antisémitisme) : ils sont incroyablement puissants aux États-Unis. Ces organisations investissent des millions de dollars pour influencer l’opinion, faire pression sur les politiques, et surtout ternir l’image de Trump dès qu’il s’écarte de leurs priorités. Tout ce qui touche à Israël, à Gaza, ou aux questions sensibles qu’ils défendent est un terrain miné pour lui. Un mot de travers, une idée maladroite – comme sa « Riviera » à Gaza – et ils en font une arme pour le discréditer.
Mais voilà : je pense que Trump le sait. Il connaît leurs règles, leurs attentes. S’il semble parfois jouer leur jeu, c’est peut-être pour mieux les contourner plus tard. Sa force, c’est de surprendre, de renverser la table quand on s’y attend le moins. Alors oui, il doit être malin, plus malin qu’eux. Et s’il parvient à rallier ces « 5 fantastiques », il pourrait transformer ce piège en opportunité. Pour l’instant, il avance sur une corde raide. Mais s’il réussit, ce ne sera pas juste une victoire personnelle : ce sera un tournant.
Ce que je crois fondamentalement, c’est que derrière ce désastre apparent, une solution se dessine, et je crois que Trump, le moment venu, saura la saisir. J’y ai souvent fait allusion : Israël regorge de dizaines de milliers d’habitations inoccupées, propriétés de binationaux ou d’investisseurs qui y possèdent des pieds-à-terre jamais habités. Ces logements pourraient devenir des refuges providentiels pour les Palestiniens, à l’image de ce qui s’est passé en Europe avec les millions de réfugiés ukrainiens. Souvenez-vous des stations de ski en Pologne, des villages entiers mobilisés pour accueillir ceux qui fuyaient la guerre : un élan pragmatique et humain, malgré le chaos. Pourquoi pas ici ? Ces appartements vides, souvent luxueux, parsemés dans les grandes villes ou les zones côtières israéliennes, pourraient offrir un abri immédiat, une dignité retrouvée, loin des camps de tentes et des bombardements.
Mais bien sûr, rien n’est aussi simple. Loin de là. Dans le chaos ambiant, cette idée, aussi séduisante soit-elle, se heurte à des murs : politiques, logistiques, symboliques. Les tensions historiques, les jeux de pouvoir, et l’intransigeance de Netanyahu compliquent tout. Trump, avec son flair et son goût du coup d’éclat, pourrait-il transformer cette piste en réalité ? Je veux y croire. Pas par naïveté, mais parce que dans le tumulte, il a déjà surpris par sa capacité à retourner des situations. Reste à voir s’il dépassera ses propres contradictions pour y parvenir.
Et que dire de sa manière d’aborder Zelensky ? Face caméra, il lui serine qu’il est son meilleur allié pour arracher le maximum à Poutine. Derrière les mots, on devine une promesse : si les Américains obtiennent des gains substantiels – terres rares ou autre – ils pourraient jouer les girouettes au Donbass, changeant de cap au gré de leurs intérêts.
Cette approche, c’est du Trump pur jus : pragmatique, opportuniste, quitte à flirter avec l’incohérence.
Encore une fois, cette lettre est gratuite. Mais posez-vous une question simple : si elle était payante, auriez-vous hésité à lui accorder de l’importance ?
Mais elle soulève une question : peut-on bâtir la paix sur des sables mouvants ? Un artisan de la paix – rôle qu’il revendique haut et fort – doit inspirer confiance, rester irréprochable, au-dessus de tout soupçon de conflit d’intérêt. Or, il répète la même erreur qu’à Gaza. Du moins en apparence. Car peut-être n’est-ce qu’une posture, un écran de fumée pour masquer une stratégie plus profonde. Mais si ce n’est pas le cas ? S’il s’enlise dans ces ambiguïtés par choix ou par nature ?
En réécoutant ses déclarations d’hier, cette maladresse saute aux yeux. Sans le vouloir peut-être, il donnait l’impression de ne pas être fiable aux yeux de Poutine. Promettre monts et merveilles à Zelensky tout en laissant planer le doute sur ses intentions réelles, c’est un jeu risqué.
Poutine, lui, ne s’embarrasse pas de tels flottements : il avance, clair et glacial. Trump, au contraire, semble pris dans une danse étrange, entre ses élans de cow-boy et les contraintes d’un monde qu’il doit apprivoiser. D’où l’urgence qu’il parle directement à Poutine et à Xi. Mais peut-il changer de caractère ? Le devrait-il seulement ? Compte tenu du bourbier qu’il doit gérer – aux États-Unis et dans tous les endroits où ils ont mis les pieds – son style imprévisible est peut-être une arme autant qu’un défaut. Reste à savoir si elle le mènera à la paix ou à davantage de chaos.
Aparté
Quand on observe Trump, une chose est essentielle : il faut rester critique et le dire haut et fort. Ses décisions, ses paroles, ses coups d’éclat – tout doit être passé au crible. Mais en même temps, il ne s’agit pas de le juger à la va-vite. Prenez un instant pour réfléchir à son parcours. Cet homme a traversé des tempêtes, appris à ses dépens, et surtout ces dix dernières années ont été une leçon brutale : la politique, les médias, les trahisons. La vie lui a enseigné à encaisser, à s’adapter, à contourner les obstacles. On peut critiquer ses méthodes, mais on ne peut pas nier qu’il sait rebondir (autant qu’il sait se fourvoyer).
Et cette fois-ci, il n’est pas seul. Regardez son équipe : Musk, Vance, Rubio, et d’autres encore. Ce sont des poids lourds, des esprits audacieux ou stratégiques, qui renforcent ses cartes. Il est mieux entouré qu’avant, et ça compte. Mais attention : le « marécage » – ce système opaque de Washington, avec ses lobbies et ses vieilles habitudes – est profond. Très profond. Même avec une équipe solide, il doit ruser pour ne pas s’y noyer.
De l’autre côté, il y a des figures comme Poutine, Xi Jinping, et Mohammed Ben Salman. Ces leaders ne sont pas du genre à s’impatienter. Pourquoi ? Parce qu’ils savent exactement ce que Trump doit affronter. Eux-mêmes ont passé des années à dompter leurs propres « marécages » : vingt ans pour Poutine, une décennie pour Xi et Ben Salman. Ils ont nettoyé, consolidé, imposé leur vision chez eux. Alors, ils comprennent que Trump doit jouer un jeu complexe, zigzaguer entre les pressions internes et ses ambitions globales. Ils attendent, observent, et savent que son heure viendra – ou pas.
Ce qui s’est passé hier, c’est du grand Trump. Imaginez un cow-boy au milieu d’une partie de poker : il bluffe, il brouille les pistes, il avance en eaux troubles comme si c’était naturel. C’est son style, sa marque de fabrique. Mais est-ce que ça fonctionne face aux caméras ? Pas toujours. Quand même les choses simples et claires échappent au public, cette approche désordonnée peut semer la confusion. Comparez avec Poutine : lui, c’est la clarté incarnée – froide, calculée, presque chirurgicale. Trump, lui, n’a pas ce luxe. Il doit jongler sans arrêt : tendre une main au marécage washingtonien, lâcher des miettes à ses adversaires, tout en préparant son vrai coup.
Je pense qu’il finira par y arriver, d’une manière ou d’une autre. Pas parce qu’il est infaillible – loin de là – mais parce qu’il sait naviguer dans le chaos. Seulement, le chemin sera sinueux, souvent déroutant, et beaucoup n’y comprendront rien.
C’est pour ça que je continue d’écrire ces lettres. Mon but ? Décrypter, expliquer, éclaircir ce qui se joue dans ce théâtre d’ombres.
Avec Trump, il faut critiquer, oui, mais aussi voir au-delà des apparences : son passé, son entourage, et les forces qui le soutiennent ou le freinent. Le tableau est plus grand qu’on ne le croit.
Quitte à me répéter encore et encore …
Trump avait un pressentiment, une petite voix intérieure qui lui soufflait une vérité simple : rencontrer Zelensky, c’était perdre du temps. Cette intuition s’est renforcée quand il l’a vu descendre de l’avion puis idem sur le petit perron de la Maison-Blanche, toujours vêtu de son éternelle tenue kaki moulante, comme un militaire d’opérette. Mais un militaire de quoi, au juste ? Zelensky n’a jamais servi sous un vrai drapeau. Avant d’être président, il n’était qu’un acteur, un produit d’une série télévisée taillée sur mesure pour le propulser au pouvoir. Trump l’a vu, et pourtant, il a laissé cette rencontre avoir lieu. Pourquoi ? C’est là que l’histoire devient intéressante – et frustrante.
Dès le départ, Trump avait une autre idée en tête : parler directement à Poutine. Pourquoi ? Parce que la Russie, elle, existe encore. C’est un État solide, avec une armée, une économie – même sous pression – et une vraie puissance. Si une négociation devait se faire, c’était avec le Kremlin, pas avec un homme comme Zelensky, dont le pays n’est plus qu’un décor en ruines.
L’Ukraine de Zelensky ? Un chaos organisé. Une plaque tournante où s’entremêlent trafics d’armes, d’êtres humains, de drogues, et même – aussi sordide que cela paraisse – de cellules souches de fœtus. Ce n’est plus une nation, mais un carrefour du pire, dirigé par un président qui n’a ni les rênes ni la légitimité d’un chef d’État, et dont tous les analystes sérieux pensent qu’il est inconstitutionnellement encore au pouvoir, ce qui entache sa signature de doutes sérieux.
Alors, pourquoi Trump a-t-il quand même tenté le coup avec lui ? Parce qu’il a cru, l’espace d’un instant, que ce face-à-face pourrait lui donner un avantage stratégique. Peut-être pensait-il pouvoir utiliser Zelensky comme un levier, une carte à jouer face à Poutine ou aux Européens. Mais il s’est trompé. Il n’a pas vu venir le piège : on ne gagne rien à s’asseoir avec quelqu’un qui n’a rien à offrir.
Regardons les faits. Zelensky n’a pas d’armée digne de ce nom – elle dépend des armes et des fonds étrangers, elle est mal formée et les meilleures troupes sont décimées partout sur le front. Son économie ? En lambeaux, soutenue à bout de bras par l’aide internationale. Sa souveraineté ? Une illusion, tant il est ballotté par les intérêts de Washington, de Bruxelles (et surtout de Paris, après avoir quitté la Malson-Blanche de façon fracassante, il a immédiatement appelé Macron …) ou de la mafia locale qui gangrène son pays.
Il n’est pas un dirigeant, mais une marionnette, un acteur qui joue un rôle écrit par d’autres. Trump a voulu négocier avec lui, mais c’était comme marchander avec un fantôme : il n’y avait rien de concret en face. Pas d’accord possible, pas de promesses tenables, juste du vent.
Ce tête-à-tête était une erreur, une manœuvre contre-productive. Trump aurait dû écouter son intuition dès le début : contourner Zelensky et aller droit au but avec Poutine. La Russie a ses défauts, ses ambitions, mais elle a une structure, une voix qui porte, elle respecte sa parole et ses contrats. Avec Zelensky, Trump s’est enlisé dans une mise en scène stérile, et il en est sorti les mains vides. C’est une leçon : dans ce genre de jeu, il faut savoir reconnaître les vrais joueurs des figurants. Zelensky appartient à la deuxième catégorie, et Trump aurait dû le voir venir. Par ailleurs, ce chaos va avoir des effets en cascades plus négatifs que beaucoup de fans de Trump le l’imagine, et j’en fait partie.
Je le dis en gardant toute ma confiance en Trump : il est du bon côté de l’histoire. Mais cela ne le rend pas infaillible. Comme un fils prodige, il peut fauter, se laisser aveugler un instant, se croire plus malin que ceux qui tissent les pièges.
Dans ce cas précis, il aurait dû refuser la rencontre. Il aurait dû maintenir sa ligne, ne parler qu’avec ceux qui comptent vraiment : les vrais dirigeants, pas les figurants.
Maintenant, il doit rattraper cette erreur. Car Macron, lui, jubile. Il a obtenu ce qu’il voulait : un Trump affaibli, suspecté d’opportunisme cynique, pris au piège d’une mise en scène qui sert les intérêts du camp du mal.
Et si pendant une courte pause de lecture vous en profitiez pour me dire merci en passant à un abonnement payant. Si pr valider, votre banque vous demande de confirmer la somme de 0€, ce n’est pas un bug, elle vérifie juste que c’est bien vous…
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Zelensky est arrivé au Bureau ovale remonté comme une horloge. Surexcité, arrogant, prêt à en découdre, il jouait son rôle de martyr avec une assurance théâtrale. Trop de poudre dans le moteur ? Peut-être. Mais une chose est sûre : il n’était pas là par hasard. Derrière cette énergie, il y avait un script, un plan minutieusement préparé par ses coachs – ceux qui, dans l’ombre, le manipulent comme un pion sacrificiel. Et face à lui, Trump, Vance et Rubio ont tenté, sincèrement, d’être pédagogiques et raisonnables. Mais ils ont sous-estimé leur adversaire. Car avec Zelensky, on ne discute pas : on tombe dans un piège.
Trump, Vance et Rubio voulaient poser les choses calmement. Trump a commencé posément : « On est là pour trouver une solution, pour arrêter ce conflit. Mais il faut que tu sois sérieux. » Vance, lui, a essayé d’expliquer : « On te soutient, mais il faut des résultats concrets, pas des discours. Fais un deal, ou ça ne tiendra plus. » Même Rubio, discret sur son canapé, a tenté une approche raisonnable après coup sur X : « Le président défend l’Amérique, il mérite du respect pour ça. » Ils ont cherché à ramener Zelensky à la raison, à lui montrer que son pays n’a plus les moyens de jouer les durs – plus d’armée autonome, plus d’économie, juste des milliards étrangers pour tenir debout.
Mais Zelensky n’écoutait pas. Il était là pour performer. À chaque tentative de dialogue, il dégainait une réplique bien rodée. Quand Vance lui a reproché son « irrespect » dans les médias, il a répondu du tac au tac : « J’ai signé des accords avec Poutine – cessez-le-feu, prisonniers – et il a tout détruit. Il a tué nos gens. » Une ligne parfaite, émouvante, taillée pour les caméras. Puis, face à Trump qui l’avertissait – « Ton régime joue avec la troisième guerre mondiale » –, il a retourné la mise en garde : « Tout le monde souffre en temps de guerre, même vous. Vous ne le sentez pas encore, mais ça viendra. » Chaque mot, chaque intonation était calculée. Il savait exactement où il voulait les emmener : dans une impasse où ils passeraient pour les méchants.
C’était comme un débat présidentiel. Zelensky, l’acteur aguerri, briefé à la perfection, suivait son script à la lettre. Il connaissait les points sensibles, les phrases qui font mouche, le timing précis pour lâcher une réplique et fermer le piège. En face, Trump, Vance et Rubio ont fait preuve d’une certaine naïveté. Ils ont cru pouvoir raisonner avec lui, comme on discute avec un partenaire honnête. Mais Zelensky n’est pas un partenaire – c’est un comédien qui sait transformer une discussion en spectacle. L’image qui reste ? Un petit Zelensky, frêle mais bravache, accablé par des « géants en costumes-cravates » qui semblent le bousculer. Une catastrophe visuelle. Et pourtant, ce n’est pas eux qui ont perdu le contrôle : c’est lui qui les a entraînés là-dedans.
Aux échecs, on apprend vite une règle d’or : ne jamais sous-estimer son adversaire, même quand un coup semble anodin. Un pion mal placé, une réplique banale, et toute la partie peut basculer. Zelensky a joué ce coup-là avec brio. Il a laissé Trump s’énerver – « Tu n’es pas en position de dicter quoi que ce soit ! » –, Vance s’emporter – « Remercie le président au lieu de pleurnicher ! » –, et Rubio se taire, dépassé. Chaque réaction renforçait son récit de victime héroïque. Ils ont voulu être pédagogiques, lui tendre une perche pour sortir du chaos. Mais lui avait un objectif : les faire passer pour des brutes et s’en tirer en martyr.
Je répète … cette rencontre n’aurait jamais dû se dérouler devant les caméras. Pourquoi ? Parce que l’image l’emporte toujours sur les mots.
Trump avait raison de dire que l’Ukraine est un instrument dans un jeu plus vaste (avec Macron comme chef d’orchestre devait il lacher !!!). Mais cette vérité s’est perdue dans le chaos visuel. Zelensky, parfaitement coaché, a transformé leurs efforts raisonnables en une scène de lynchage. Les échanges seront dénaturés, les intentions détournées. Et pendant ce temps, la machine infernale continue de tourner, avec un Zelensky renforcé dans son rôle et des Américains piégés par leur propre bonne volonté maladroite.
Pendant que Trump tente de mettre fin à l’aide militaire qui alimente “la machine nazie” de Kiev, Macron jubile. Il a une nouvelle fois démontré qu’il est le marionnettiste en chef du théâtre géopolitique occidental.
Le Choc des Civilisations en Marche … ou la Renaissance de Satan ou Lucifer comme Annoncé lors de la cérémonie des JO ?
Ce qui s’est joué lors de cette rencontre ne sera pas oublié. C’est un tournant.
D’un côté, le bloc du mensonge et de la manipulation, dirigé par Macron, soutenu par l’OTAN, les élites européennes et les forces occultes qui orchestrent le chaos.
De l’autre, ceux qui refusent de se soumettre, mais qui doivent encore apprendre à s’unir.
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