Assiste-t-on à un marketing de la peur et de la misère pour corrompre nos âmes ?

Le film "Sound of Freedom" est enfin sur grand écran en France, et on peut facilement comprendre pourquoi.

Dans le monde, il y a deux types de récits : ceux de la peur ou de la sensiblerie, qui ne servent qu'à corrompre les âmes et à laver les cerveaux pour entraîner les peuples vers un chaos irrémédiable pour le destin de l'humanité (la "pilule bleue").

D'un autre côté, il y a les récits de la vérité, qui peuvent susciter la peur, les émotions ou la compassion, mais qui permettent de semer des graines qui, par la suite, donneront à l'humanité les moyens de s'élever (la "pilule rouge").

C'est une manière essentielle de voir les choses selon moi, car on ne peut comparer les récits utilisés et leurs objectifs propres. Ainsi nous sommes toujours confrontés à des narratifs aux objectifs opposés, Il y a les narratifs pilules bleues et les pilules rouges, comme dans "Matrix".

"Sound of Freedom" est clairement une "pilule rouge", et il faut remercier ceux qui l'ont rendue possible.

J'évoque ensuite les médias français et leur rôle de complice dans la diffusion en bande organisée de mensonges ridicules mais efficaces.
L'évaluation des forces en présence a réveillé le conformisme et la lâcheté, surtout parmi les plus en vue lors des crises précédentes. Qu'ont-ils peur de perdre alors que c'est l'humanité qui est en jeu ?