Associé à des titans comme Elon Musk et son DOGE révolutionnaire, Vladimir Poutine, Xi Jinping et Mohammed ben Salmane, Trump tisse un réseau d’hommes forts qui redessinent les règles du jeu.
En jetant un os à ronger aux vampires, Trump gagne du temps, vis à vis des forces du mal, il maintient l’illusion qu’il suit leur partition guerrière… à suivre !
Ce que j'entreprends n'est pas motivé par l'argent ou la gloire. C'est un pèlerinage de vérité, un voyage vers l'authenticité.
Avant de commencer, je tiens à rendre hommage à mon ami Stéphane Gayet, qui nous a quittés. Ces mots sont difficiles à écrire, tant ils portent le poids de son absence, mais ils sont essentiels, car Stéphane était bien plus qu’un ami : il était une lumière rare, de celles qui marquent une vie à jamais. Merci, Stéphane, pour tout ce que tu as apporté – ta générosité sans limite, ton esprit vif, toujours prêt à offrir une parole juste ou un conseil éclairé, guidé par cet altruisme profond qui faisait ta force. Ta voix, tes idées, ta manière d’écouter et d’accompagner avec douceur continuent de résonner en moi, comme un écho précieux qui ne s’effacera pas.
Tu avais ce talent unique de révéler le meilleur chez ceux qui t’entouraient, de les inspirer à se dépasser tout en restant d’une humilité désarmante. Où que tu sois aujourd’hui, je suis certain que tu veilles encore sur nous, avec cette sagesse discrète et cette humanité qui te rendaient si particulier. Ton départ creuse un vide immense, mais il laisse aussi une trace lumineuse : l’héritage de tes valeurs, de ton courage, de ta volonté d’illuminer le monde à ta façon. Repose en paix, Stéphane, et merci, du fond du cœur, pour tout. Que ton regard bienveillant continue de nous guider, où que tu sois.
Pour rendre un « dernier » hommage à Stéphane, je serai à Strasbourg mardi prochain pour ses obsèques. Ce voyage, aussi inattendu que coûteux, est une évidence pour moi. Stéphane a marqué de son empreinte une période si intense, si destructrice, où tant de vies ont été brisées. Par ses sacrifices, son courage, il a été une présence inébranlable, un roc pour beaucoup. Pour sa famille, voir que sa perte nous pousse à venir de loin, à nous rassembler malgré la distance, sera un réconfort profond – une preuve vivante que son impact a transcendé les kilomètres, les obstacles, et qu’il continue de nous unir même dans le chagrin.
Mes billets sont pris, je serai là, quoi qu’il arrive. Si certains d’entre vous souhaitent m’accompagner dans cet effort ou alléger ce déplacement, un don via PayPal serait une aide précieuse – un geste libre, simple, à l’image de ce que Stéphane aurait aimé, il n’était naïf de rien, surtout pas de l’altruisme de certains. Plus que tout, il aurait voulu que sa famille nous voie nombreux pour cet au revoir, entourés par ceux qu’il a touchés. Comptez sur moi pour vous représenter, pour porter vos pensées auprès des siens. Merci à vous, sincèrement.
Macron chez Trump le 24 février …
En convoquant Macron, Trump ne se contente pas d’un simple tête-à-tête : il adresse un signal clair à Poutine, Xi, Ben Salman – et même Musk. C’est une manière de leur offrir des gages, de montrer qu’il prend en main une situation qu’ils jugent tous empoisonnée par le rôle néfaste de Macron. Ces figures, unies dans leur méfiance, ne doutent pas un instant de l’influence délétère de ce dernier sur l’échiquier mondial. Elles placent en Trump l’espoir d’une solution, d’un coup de baguette capable de neutraliser l’illusionniste français. Une attente peut-être naïve, presque chimérique, tant la tâche semble immense. Pourtant, au pire, cette confrontation aura le mérite de dissiper les brumes : Trump saura enfin à quoi – ou à qui – il a réellement affaire.
Donald Trump, colosse de clairvoyance et maître incontesté des « échecs géopolitiques » avec une attitude et des tactiques de joueur de poker, a déjoué les manigances minables d’Emmanuel Macron avec une aisance qui force l’admiration. Cela va si vite que les forces du mal ont le tournis… leurs dernières danses de leur bal de vampires ?
Pendant que Macron, illusionniste européen au rabais, s’épuise en numéros de cirque diplomatique – sommets stériles, déclarations creuses et selfies avec des drapeaux ukrainiens –, Trump mains dans les mains avec les autres « 5fantastiques », lui, bâtit un monde nouveau, loin des caméras mais avec une précision chirurgicale.
Associé à des titans comme Elon Musk et son DOGE révolutionnaire, Vladimir Poutine, Xi Jinping et Mohammed ben Salmane, Trump tisse un réseau d’hommes forts qui redessinent les règles du jeu.
Energie, technologie, finance, puissance militaire : voilà où se joue l’avenir, pas dans les salons feutrés de Bruxelles (que ce soit UE ou OTAN) ou les couloirs poussiéreux de l’ONU. Et ça marche : les tensions s’apaisent en Ukraine, le Moyen-Orient respire un peu, et le marécage mondial – ce cloaque de globalistes corrompus – tremble comme jamais.
Emmanuel Macron, ce diablotin agité au sourire narquois, n’est qu’une marionnette maléfique dont le pouvoir tentaculaire s’étend bien au-delà des dorures de l’Élysée. À la tête d’une puissance nucléaire, il règne en quasi-dictateur, un antéchrist de salon qui contrôle tout : les institutions, les médias aux ordres, et même les faux-semblants d’une opposition ridiculisée.
Le RN, avec ses billards à 666 bandes autour de la nomination scandaleuse de Richard Ferrand à la tête du Conseil constitutionnel, n’est qu’un pion grotesque dans ce théâtre d’ombres. Ferrand, un vassal loyal, renforce les prérogatives de ce maître du chaos, pendant que les déboires du Premier ministre – un fusible bien commode – ne font qu’amplifier la toute-puissance de Macron. Mais ce pouvoir, aussi immense soit-il, vacille sous le poids de scandales qui prennent une ampleur internationale et menacent de révéler sa véritable nature. Je l’espère !
D’un côté, l’affaire Betharram éclabousse la caste au pouvoir comme une grenade dégoupillée lancée dans un marécage déjà fétide. Trois hommes mis en examen, des soupçons de corruption et de réseaux obscurs : une diversion classique pour détourner les regards d’un président aux abois. Mais cette fois, l’écran de fumée ne suffit plus. Car de l’autre côté, l’affaire Brigitte, relancée par la talentueuse Candace Owens, explose comme une bombe à fragmentation. Cette journaliste sans concessions considérée comme Trumpiste (et antisémite !), avec ses millions d’abonnés, ne se contente pas de murmurer des rumeurs : elle démontre, documents à l’appui, que la « Première dame » cache un passé trouble et que Emmanuel Macron aussi, peut être plus !
Et ce n’est plus une théorie de comptoir : les médias fédéraux russes, RT en tête, s’emparent du scandale, lui donnant une résonance planétaire. De Varsovie à Washington, de Moscou à Pékin, l’hypothèse d’une imposture au sommet de l’État français devient une arme géopolitique, un levier pour discréditer un président déjà chancelant. Et si c’était vrai ? Et si c’était encore plus terrible, que ça remontait à une machination éternelle.
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Face à cette tempête qu’il a lui-même attisée, Macron, ce cynique qui saborde la paix avec une jubilation malsaine, sent son masque se fissurer peu à peu.
La paix, pour lui, est une ennemie intolérable : elle mettrait à nu ses faux-semblants, dévoilant au grand jour ses mensonges savamment tissés, ses alliances troubles et son rôle de marionnettiste diabolique dans un jeu géopolitique mondial qu’il ne parvient plus à dominer.
Ses sbires, ces maillons faibles qui gravitent autour de lui, n’ont décidément pas l’étoffe des véritables damnés. Ils manquent de cette flamme infernale, de cette ardeur démoniaque qui en ferait des exécutants implacables, des serviteurs dignes d’un maître du chaos. Regardez-les : Ursula von der Leyen, avec son vernis d’autorité européenne, chancelle sous le poids de ses ambitions mal assurées, critiquée au Parlement et fragilisée par des vents contraires qu’elle peine à dompter. Keir Starmer, lui, s’accroche à une légitimité vacillante au Royaume-Uni, où son étoile pâlit déjà sous les murmures de mécontentement. Olaf Scholz, bientôt évincé, titube vers une sortie électorale imminente, un chancelier en sursis dont l’ombre s’efface avant même d’avoir marqué l’histoire. Et que dire de Thierry Breton, ce technocrate zélé, dont les éclats interventionnistes masquent mal une influence qui s’érode dans les couloirs de Bruxelles, où il n’a plus de bureau (…) ni de titre ?
Puis il y a Volodymyr Zelensky, porté aux nues comme un héros martyr, mais dont la légitimité s’effrite sous le regard sceptique de ceux qui scrutent son pouvoir prolongé sans élections, soutenu par une clique européenne en mal de symbole. Le président polonais Donald Tusk, quant à lui, joue les durs face à la Russie, mais son intransigeance cache une fragilité : son pays, pilier de l’Est, reste dépendant des jeux de puissance qui le dépassent. Ajoutons à cette liste des figures comme les leaders baltes, ces micro-États aux accents de croisade, ou encore les seconds couteaux de l’OTAN, tous unis par une ferveur belliqueuse mais dépourvus de la trempe nécessaire pour incarner une véritable menace infernale. Ce ne sont que des pions, des silhouettes pâles dans un théâtre d’ombres orchestré par un diablotin aux abois.
Alors, que reste-t-il à ce petit démon acculé, empêtré dans les filets gluants de ses propres machinations ? Pris au piège, il n’a plus d’échappatoire : il dégaine son va-tout, une carte usée tirée d’un jeu fatigué, patiné par des décennies de ruses. C’est un coup de bluff, une manoeuvre aussi audacieuse que désespérée, un ultime sursaut pour reprendre les rênes d’une partie qui lui glisse inexorablement des mains. Sans cette flamme maudite qui devrait consumer ses lieutenants, sans cette horde de damnés prêts à tout ravager sur leur passage, il n’est plus qu’un marionnettiste pathétique, les doigts tremblants, regardant ses fils se casser un à un. L’échiquier qu’il croyait dominer se retourne contre lui, et il se retrouve nu, vulnérable, à la merci de forces qu’il ne peut plus ni charmer ni contraindre.
Il lui reste encore quelques appuis, bien sûr, des béquilles branlantes sur lesquelles il tente de s’appuyer. Le régime de Tel-Aviv, par exemple, avec Benjamin Netanyahou à sa tête, un allié aussi tenace que controversé, prêt à jouer les durs dans une région en ébullition – mais jusqu’à quel point ? Ses marges de manoeuvre sont étroites, ses choix scrutés, et son soutien, bien que bruyant, reste entravé par ses propres batailles internes. Puis il y a les relais aux États-Unis, ces ombres influentes qui murmurent dans les coulisses, mais qui, elles aussi, hésitent à sortir pleinement de l’obscurité. Prenez George Soros (ou plutôt son fils …), par exemple : ce financier aux poches profondes et aux réseaux tentaculaires, habitué des grandes causes et des grandes manipulations, semble avoir ralenti ses visites à l’Élysée ces derniers mois. Fini le temps où il franchissait les portes dorées pour y chercher des directives ou y distiller ses conseils empoisonnés – un signe, peut-être, que même lui sent le vent tourner.
Et que dire de Larry Fink, le grand manitou de BlackRock, ce colosse de la finance mondiale qui pèse des trillions ? Lui aussi, on le voit moins souvent rôder autour des palais parisiens. Autrefois, ses passages étaient des rituels quasi sacrés, des moments où les ordres qu’ils recevait de Macron se donnaient et les stratégies s’affinaient dans l’ombre feutrée des salons. Aujourd’hui, son absence – ou du moins sa discrétion nouvelle – trahit une prudence calculée. Ces titans, Soros comme Fink, savent que s’exposer trop crûment, c’est risquer de brûler leurs ailes déjà fragilisées par les regards indiscrets et les vents contraires. Ils préfèrent rester tapis, guettant l’occasion, mais sans oser encore jouer leur plein jeu. Ainsi, le diablotin, jadis maître des ficelles, voit son cercle se rétrécir, ses soutiens s’effilocher, et son pouvoir s’étioler dans un silence qui résonne comme une défaite.
L’article 16 de la Constitution française, ce joker dictatorial taillé pour les heures sombres, devient son sésame précieux. Cet outil lui offre la possibilité de s’arroger les pleins pouvoirs dès lors qu’une crise grave – réelle ou soigneusement orchestrée – pointe à l’horizon. Et quoi de mieux pour légitimer une telle manoeuvre que la loi de programmation militaire de 2023 ? Ce texte, conçu comme une machine de guerre totale, a été voté dans une indifférence quasi générale, malgré ses implications vertigineuses : mobilisation de tous, y compris des plus de 65 ans, et une facture colossale s’étalant sur sept ans, avec des centaines de milliards d’euros de dettes – dont, dit-on, des centaines de milliers dilapidés en perruques pour parfaire son théâtre. Cette loi lui fournit l’arsenal rêvé pour précipiter les Français vers le front, civils réquisitionnés en tête, sous le prétexte fallacieux d’une menace existentielle qu’il aura lui-même façonnée de toutes pièces. Ainsi, dans l’ombre de ses calculs, Macron tisse une toile où la guerre devient le paravent de son pouvoir vacillant.
L’affaire Notre-Dame de Bétharram n’est pas un simple scandale, c’est l’outil parfait pour faire tomber François Bayrou et ouvrir la voie à Emmanuel Macron pour prendre les pleins pouvoirs en France. Tout s’aligne avec une clarté implacable. Bayrou, fraîchement nommé Premier ministre, est déjà un poids mort. Les révélations sur les violences systématiques dans cet établissement catholique des Pyrénées-Atlantiques – 132 plaintes, des décennies de maltraitances physiques et sexuelles – le désignent comme un coupable par inaction. Les preuves sont là : Françoise Gullung, une ancienne enseignante, l’a alerté dès les années 1990, alors qu’il était ministre de l’Éducation. Sa femme, Élisabeth, impliquée comme catéchiste à Bétharram, a vu les coups portés aux élèves et n’a rien dit. Des documents judiciaires de 1998 montrent que les autorités savaient, et Bayrou, maire de Pau à l’époque, ne peut pas feindre l’ignorance. Ce vendredi 21 février 2025, il s’accroche, dénonçant une chasse à l’homme, mais c’est peine perdue. Sa crédibilité s’effondre, et avec elle, sa capacité à tenir Matignon. Sa chute est inévitable, et c’est exactement ce qu’il faut.
Car tout converge vers un seul objectif : Emmanuel Macron doit saisir les pleins pouvoirs, et vite. Bétharram n’est qu’un amuse-bouche, un levier pour écarter Bayrou et dégager le terrain. L’affaire Brigitte, elle, est le carburant qui fait monter la pression. Les rumeurs sur son identité – amplifiées par des voix comme Candace Owens – ne sont plus contenables. Elles alimentent une défiance viscérale envers ce couple perçu comme étrange, hors sol, presque irrecevable. La légitimité des Macron s’effrite à vue d’œil, et chaque jour qui passe rend leur position plus précaire. Bayrou, censé stabiliser le gouvernement, devient un boulet. Sa démission ou sa mise à l’écart est la condition sine qua non pour que Macron reprenne la main, sans entraves.
Et comment y parvenir ? Un geste fort, immédiat, logique : un "false flag" d’envergure, dès ou avant lundi 24 février 2025. Un attentat monté de toutes pièces en France, une provocation ukrainienne contre des civils russes orchestrée en sous-main, ou une cyberattaque massive imputée à la Russie – peu importe la forme, le résultat est le même. Macron déclare l’état d’urgence, suspend les institutions classiques, et s’impose comme l’homme providentiel face au chaos qu’il aura lui-même déclenché. La guerre mondiale, ou du moins son spectre, devient l’alibi parfait pour justifier cette prise de contrôle totale. Bétharram fait tomber Bayrou, l’affaire Brigitte fragilise le couple présidentiel, et le "false flag" scelle le destin du pays. C’est une mécanique implacable : pour survivre politiquement, Macron doit tout renverser, et ça commence par sacrifier Bayrou. C’est la seule issue, et elle est déjà en marche. J’espère l’inverse mais peut on proposer une autre analyse ?
Pourquoi ? Parce qu’une guerre globale serait son salut, son rideau de fumée ultime pour étouffer les révélations et asseoir son pouvoir absolu. Pendant que Netanyahu, son frère d’armes dans le cynisme, joue la même partition au Moyen-Orient, Macron rêve d’un conflit qui effacerait ses turpitudes sous les décombres. L’ironie ? Cette escalade ne ferait que confirmer ce que Candace Owens et ses relais russes clament : un président prêt à tout, même à embraser le monde, pour ne pas rendre de comptes.
Ce qui est gratuit a-t-il encore de la valeur à vos yeux ?
Encore une fois, cette lettre est gratuite. Mais posez-vous une question simple : si elle était payante, auriez-vous hésité à lui accorder de l’importance ?
La gratuité a un sens. Mais seulement tant qu’elle ne rime pas avec indifférence. Il y a ceux qui prennent, et ceux qui comprennent. Ceux qui consomment, et ceux qui soutiennent.
À vous de voir où vous vous situez.
Accrochez-vous, car l’horizon politique mondial du camp du mal (…) tremble sous les pas de géants de l’administration Trump qui a clairement pris fait et cause pour la survie de l’humanité et la protection de tous les enfants du Monde, y compris Palestiniens !
Les nominations de ce titan ne sont pas de simples choix bureaucratiques : ce sont des bulldozers, des forces de la nature anti-état profond, des briseurs de chaînes prêts à dynamiter les vieilles structures corrompues qui ont trop longtemps étouffé la liberté ! Chaque nom dévoilé est une déclaration de guerre aux élites poussiéreuses, un coup de tonnerre qui résonne jusqu’aux confins de l’échiquier géopolitique. Leur impact ? Une onde de choc ! Ils redessinent les lignes de force, redonnant à l’Amérique une poigne d’acier qu’on croyait rouillée, tout en envoyant un message clair : fini les compromis mous, place à l’action brute et déterminée !
Et que dire des négociateurs de paix désignés pour l’Ukraine et le Proche-Orient ? Ce sont des maestros, des virtuoses de la diplomatie musclée qui forcent le respect par leur audace et leur vision ! En Ukraine, ils jonglent avec le chaos pour imposer une trêve durable (on peut y croire ?), transformant un bourbier sanglant en une table de négociations où les voix s’élèvent avec autorité. Au Proche-Orient, ils dénouent les fils d’une tension millénaire avec une assurance qui désarme les sceptiques. Ces artisans de la paix ne se contentent pas de belles paroles : ils plantent des drapeaux de stabilité là où règnait la discorde, gagnant l’admiration des peuples et le respect des puissants (c’est pour ça que les discussions se passent à Ryad et pas à Istanbul ou Paris …?).
Leur secret ? Une fermeté inébranlable alliée à une finesse stratégique qui fait plier les plus récalcitrants. (Et surtout un cahier des charges clair)
Mais attention, ce grand spectacle ne perturbe pas la dynamique constructive des BRICS ! La Chine et la Russie, ces colosses indomptables, avancent main dans la main, leurs regards perçants fixés sur un horizon multipolaire. Ils n’oublieront jamais – jamais ! – le pouvoir malfaisant du dollar, cette arme sournoise qui a trop longtemps faussé l’équilibre mondial au profit d’une hégémonie arrogante.
Les BRICS – Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud – ne sont plus une simple coalition de circonstance : ils incarnent une force montante, un bloc uni par une ambition farouche d’indépendance et une solidarité qui s’épaissit à mesure que les défis se dressent. Ensemble, ils érigent un rempart, un véritable bastion économique et politique, contre une domination qui pourrait renaître de ses cendres, portée par des stratagèmes aussi vieux que sinistres – des assassinats ciblés, des manipulations dans l’ombre, ou des coups tordus pour restaurer l’ancien ordre. Cet édifice qu’ils construisent ne se contente pas de résister : il défie frontalement les règles éculées d’un jeu mondial trop longtemps truqué, où quelques-uns dictaient leur loi aux autres. Loin de vaciller sous les bourrasques trumpiennes, cette alliance se raffermit, galvanisée par une vision partagée, claire comme le jour : un monde où le pouvoir cesse enfin de rimer avec soumission, où les nations ne ploient plus sous le joug d’une hégémonie déguisée en vertu.
Et Trump dans tout ça ? Officiellement, il joue la carte de la méfiance, plissant les yeux avec une grimace de défiance envers les BRICS, comme un cow-boy prêt à dégainer. Il brandit des menaces tonitruantes : des taxes insupportables, des barrières économiques écrasantes, un mur de sanctions censé faire plier ces nations rebelles – Russie, Chine, Inde, Brésil, Afrique du Sud – qui osent défier l’ancien ordre. C’est du grand théâtre, une posture taillée pour amadouer les esprits étroits qui l’entourent, ces idiots utiles, ces vampires assoiffés de pouvoir et de sang économique, dont il a encore besoin pour consolider son assise. Mais au fond, derrière les rideaux de cette mise en scène, il sait. Il sait pertinemment que les BRICS ne sont pas juste une menace qu’on peut mater avec quelques coups de bluff tarifaires. Leur montée en puissance est bien plus qu’un défi : c’est une nécessité historique, une lame de fond qui redessine les contours du monde, un courant qu’aucune bravade ne peut arrêter ni même ralentir.
Car la vérité, Trump la connaît mieux que quiconque dans son camp : il a bien plus besoin des BRICS qu’eux de lui. La Chine, avec ses usines et son emprise sur les chaînes d’approvisionnement mondiales, tient l’économie américaine par le col. La Russie, avec ses ressources énergétiques et sa résilience face aux sanctions, est un pilier qu’on ne peut ignorer. L’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud, chacun apporte sa pierre à cet édifice multipolaire qui échappe aux griffes déclinantes de l’Oncle Sam. Trump peut bien agiter ses menaces de taxes – ces taxes « insupportables » censées faire trembler les capitales de l’Est et du Sud –, mais c’est un écran de fumée. Ces gesticulations ne sont pas là pour effrayer les BRICS, qui ont déjà appris à danser sous la pluie des pressions occidentales. Non, elles servent à endormir les « vampires » qui rôdent encore autour de lui : ces faucons néoconservateurs, ces lobbyistes voraces, ces reliques de l’état profond qui disposent toujours d’un pouvoir de nuisance toxique. En leur jetant un os à ronger, Trump gagne du temps, maintient l’illusion qu’il suit leur partition guerrière.
Mais ce n’est qu’une feinte, un écran de fumée savamment orchestré. Pendant que ces ombres – ces vampires néoconservateurs et lobbyistes enivrés par leurs fantasmes de domination – s’agitent dans une frénésie stérile, les enquêtes du FBI, discrètes mais d’une précision chirurgicale, avancent dans l’ombre, loin des regards. Les dossiers s’amoncellent, les preuves s’entassent comme des pièces d’un puzzle macabre, et bientôt, ces fruits mûrs, gorgés de corruption et pourris par leurs propres excès, tomberont d’eux-mêmes, fauchés par la justice ou emportés par la disgrâce publique. Trump n’est pas un spectateur passif dans ce grand jeu : avec son flair de joueur d’échecs, il manœuvre sur deux fronts, flattant les egos étriqués de son entourage pour mieux les endormir, tout en laissant les BRICS déployer leur ascension inexorable. Car il sait, au fond de lui, que leur puissance n’est plus une option à écraser, mais une force vitale, indispensable à l’équilibre mondial – et, plus encore, à sa propre survie politique dans un monde qui ne pardonne pas les faux pas.
Et pour mener cette purge à bien, Trump ne mise pas sur des amateurs. Kash Patel, un limier redoutable, a été nommé pour diriger le FBI avec une mission claire : traquer les renards dans le poulailler, débusquer les traîtres et les corrompus tapis dans les recoins de l’appareil d’État. À ses côtés, des figures comme Tulsi Gabbard, avec son franc-parler et sa détermination à briser les vieux schémas, rejoignent le combat, apportant leur poids moral et leur crédibilité pour faire tomber les masques un à un. Ce duo, et d’autres encore, forme une équipe de choc, prête à plonger dans les marécages de Washington pour en extirper la vermine. Mais l’offensive ne s’arrête pas là. L’Attorney General, fraîchement désigné, entre en scène avec une faux aiguisée : il licenciera à tour de bras, décapitant les bureaucrates complices, les apparatchiks qui ont trop longtemps prospéré dans l’ombre des intrigues. Chaque coupe sera un message, chaque départ un avertissement aux survivants : l’heure du ménage a sonné.
Et ce n’est que le prélude. Car après les exécutants viendra le tour des juges politisés, ces robes noires qui ont transformé les tribunaux en arènes partisanes. Ces gardiens autoproclamés de la justice, qui ont plié le droit pour servir des agendas obscurs, verront leur sort scellé. Trump et son équipe préparent le terrain pour une réforme sans pitié : leurs arrêts biaisés, leurs décisions scandaleuses ne seront plus tolérés. Une vague de nominations loyales et intègres balaiera ces reliques d’un système gangréné, redonnant aux cours une mission oubliée : rendre la justice, pas la manipuler. Ainsi, pendant que les BRICS avancent et que les vampires s’endorment dans leurs illusions, Trump orchestre une révolution intérieure, un grand nettoyage qui, sous couvert de chaos apparent, pose les bases d’un ordre nouveau – un ordre où il compte bien rester maître du jeu.
Il comprend, peut-être mieux que ses prédécesseurs, que le dollar, cet empereur monétaire qui a régné sans partage depuis les années 70, ne retrouvera JAMAIS sa splendeur passée. Surtout pas après ces vingt dernières années, marquées par une domination insolente, puis par une accélération brutale au moment du Covid, quand le billet vert a été brandi comme une arme pour plier les récalcitrants. Ce temps-là est révolu, et Trump, sous ses rodomontades, le voit clairement : les BRICS ne plieront pas, et lui, en fin stratège, devra composer avec eux, quoi qu’en pensent les vampires qui s’accrochent encore à ses basques.
Trump, derrière ses postures calculées, doit l’accepter : le monde a changé, et les BRICS, avec leur dynamisme et leur rejet viscéral de l’asservissement, en sont les architectes. Ce n’est pas une fissure dans son plan ; c’est une réalité qu’il devra apprivoiser, qu’il le veuille ou non.
Et pendant ce temps, loin des projecteurs et des regards indiscrets, Trump, Poutine et leurs alliés veillent, tels des sentinelles inébranlables dressées contre les vents du chaos. Ces figures imposantes ne se contentent pas de surveiller l’horizon : elles se parlent, se comprennent, tissant depuis longtemps une entente subtile, presque instinctive. Leurs échanges ne passent pas par des discours grandiloquents, mais par des signes discrets, un langage codé qu’eux seuls savent déchiffrer – un véritable « code morse » au service de ce qu’on pourrait appeler le camp du bien ! C’est une danse silencieuse, une complicité qui échappe aux radars des commentateurs pressés, mais qui pulse comme une évidence pour qui sait regarder au-delà des apparences. J’essaye d’aider à décrypter depuis longtemps, et il semble que cela porte un peu de fruits, certains disent même que ma garde à vue, prouve que je gêne énormément.
Ainsi, pendant ces cinq dernières années, j’ai eu un plaisir immense – presque jubilatoire – à observer ce ballet géopolitique et spirituel se déployer sous nos yeux. J’ai tenté, avec mes modestes analyses, de vous transmettre cette excitation, de partager ces éclairs de lucidité qui m’ont traversé. Certains, avec une pointe d’exagération flatteuse, ont qualifié mes analyses de « prophétiques ». Mais en réalité, qu’y avait-il de si extraordinaire là-dedans ? Rien de sorcier, juste une question d’attention : observer, décrypter ce qui se trame devant nous, ces fils rouges qui relient les événements aux vérités plus anciennes. Car tout est là, écrit depuis des siècles dans les pages de la Bible, et plus encore dans les Évangiles – ces textes vibrants qui, pour peu qu’on les lise avec le cœur et l’esprit ouverts, révèlent les contours d’un dessein bien plus vaste. Ce que j’ai vu, ce que j’ai partagé, ce n’était pas une divination, mais une simple mise en lumière de ce qui est déjà sous nos yeux, pour peu qu’on prenne la peine de regarder vraiment.
Leurs mains serrent l’étau autour des élites corrompues, ces marionnettistes de l’ombre qui croyaient pouvoir manipuler les nations à leur guise. Les exigences russes de décapiter ces castes pourries – au sens figuré, bien sûr, mais avec une intensité qui glace le sang – résonnent comme un écho aux choix de Trump : des nominations qui ne pardonnent pas, des profils taillés pour trancher dans le vif. Ensemble, ils orchestrent une symphonie implacable où chaque note est un pas vers la justice, chaque mesure une avancée contre les vieilles tyrannies déguisées en démocratie. Le monde retient son souffle, car l’histoire est en train de s’écrire sous nos yeux – et elle promet d’être grandiose !
Macron, ce diablotin nucléaire, danse sur un fil au-dessus d’un précipice. La période est explosive : un psychopathe acculé, un scandale international, et des armes prêtes à tonner. La paix le démasquerait ? Peut-être. Mais la guerre qu’il appelle de ses vœux pourrait bien l’enterrer sous ses propres ruines.
Les peuples en ont assez, leur ras-le-bol gronde comme un tonnerre prêt à éclater ! Partout, des foules se lèvent, excédées par les manipulations, les mensonges et les chaînes qu’on leur impose. En Moldavie, les élections bizarres de fin 2024 ont suscité des soupçons d’ingérence, et Macron, fidèle à son rôle de gardien des intérêts troubles, a soutenu sans sourciller les résultats contestés, au mépris des voix populaires. En Roumanie, même scénario : des scrutins réguliers annulés par un conseil constitutionnel aux ordres de l’UE ? Sous la pression citoyenne, rien ne se passe, les gesticulations de Paris et de Bruxelles permettent de sauver un statu quo favorable à l’UE dans ce pays, alors qu’ils voulaient se tourner vers Moscou. Et que dire de la Géorgie, où des tentatives de révolutions de couleur, orchestrées par des mains étrangères et leurs marionnettes locales, ont cherché à déstabiliser un pays qui refuse de plier ? Là encore, Macron, en coulisses, a joué les pyromanes, soufflant sur les braises d’une agitation qu’il espérait profitable à son agenda.
Mais en France, c’est une autre histoire : le peuple semble toujours figé, comme conservé sous formol, engourdi par un double poison. D’un côté, les médias mainstream, ces machines à propagande bien huilées, débitent leurs refrains soporifiques pour endormir les consciences. De l’autre, les prétendus médias dissidents, qui se pavanent en héros de la liberté, mais ne sont en réalité que des marchands du temple, des opportunistes qui singent l’opposition tout en servant, sciemment ou non, les intérêts de ce pouvoir diabolique qu’ils feignent de combattre. Ces faux prophètes, alliés masqués d’un système qu’ils prétendent défier, maintiennent la France dans une torpeur artificielle. Pourtant, ça doit changer – ça va changer ! Le réveil est inéluctable, car même les plus endormis finiront par ouvrir les yeux.
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LES RÉVÉLATIONS CHOC DE CANDACE OWENS
Les enquêtes de Candace Owens forcent à reconsidérer la chute de François Fillon et l'ascension rapide de Macron. Des preuves nouvelles et cohérentes alimentent l'hypothèse d'une manipulation orchestrée par des forces bien au-delà de la politique française.
Ces révélations ne se limitent pas à exposer les manipulations ayant permis à Macron d'accéder au pouvoir; elles posent une question plus vaste : jusqu'où les nouvelles technologies, la chirurgie, autant que la corruption et la compromission (Epstein ? Drogue ? Pédophilie ? Etc.) ont-elles servi à falsifier l'Histoire ?
Dans un monde où la transparence est sacrifiée sur l'autel du pouvoir, ces révélations menacent ceux qui dirigent non seulement la France, mais l'Europe entière.
L'étau se resserre. Faites vous une idée en regardant mes émissions sur le sujet.
Macron, lui, s’agite dans son coin, empereur d’un château de cartes prêt à s’effondrer. Il a tout fait pour torpiller un accord en Ukraine, jouant les va-t-en-guerre de salon avec une arrogance qui frise le ridicule. Pendant que ses Rafale rouillent dans des hangars oubliés, symboles d’une armée plus ostentatoire qu’opérationnelle, et que ses Mirage vieillissants – généreusement offerts à Zelensky comme un cadeau empoisonné – ne peuvent rien changer sinon semer des catastrophes sur les populations civiles déjà martyrisées, il parade, micro en main, comme un général de théâtre. Que valent ces reliques volantes face à la réalité d’un conflit qu’il ne maîtrise pas ? Rien, si ce n’est un risque accru de désastre humanitaire, un de plus à mettre sur le compte de sa vanité. Et que dire de son copinage éhonté avec Benjamin Netanyahou ? Ce faiseur de chaos, hilare sous cape, ne bombarde plus Gaza en ce moment, mais continue à semer le chaos et la mort dans toute la région – Liban, Syrie, Cisjordanie –, dont les effets induits à Gaza de sa campagne génocidaire persistent, asphyxiant une population déjà à bout. Par ailleurs, les expropriations scandaleuses en cours à Jérusalem-Est, où des familles palestiniennes sont chassées de leurs foyers ancestraux, prouvent sans ambiguïté ses intentions de nettoyage ethnique, poursuivant une logique de dépossession implacable. Ensemble, Macron et Netanyahou incarnent les porte-étendards d’une force obscure, d’un mal qui se drape dans les oripeaux de la légitimité. Mais leurs illusions vacillent : le sol se dérobe sous leurs pas, et leurs trônes d’argile tremblent.
La presse aux ordres, ces chiens de garde du narratif officiel, hurle à la mort, désespérée par l’effritement de son emprise. Jadis omnipotente, elle assiste, impuissante, à la montée d’une défiance populaire qui la réduit à un écho rauque. Les lobbies, eux aussi, sentent le vent tourner. AIPAC et l’ADL, ces mastodontes qui dictaient leur loi dans les coulisses, comptent désormais leurs derniers alliés, abandonnés par une réalité qu’ils ne peuvent plus tordre à leur guise. Leur influence, autrefois écrasante, se fissure sous le poids d’un monde qui se réinvente. Macron, Netanyahou, et leurs sbires médiatiques ou financiers n’ont plus que des mirages à offrir – des mirages que les peuples, lassés d’être dupes, s’apprêtent à balayer d’un revers de main rageur. Il est temps de changer les gouvernements dans ces pays déconnectés des intérêts de leurs peuples et de l’humanité. Idem dans des boîtes comme Pfizer et BlackRock, ces géants qui prospèrent sur les décombres d’un monde qu’ils contribuent à détruire.
Ainsi, Trump convoque Macron : un ultimatum implacable
C’est dans ce contexte que Trump, en stratège suprême, a convoqué Macron à Washington ce lundi 24 février 2025. Pas une invitation polie, non : un ultimatum cinglant, un rappel brutal que le patron, c’est lui. Macron, qui se voit en Napoléon du XXIe siècle, n’est qu’un caillou dans la chaussure de la paix, et Trump le sait. Avec les nominations fracassantes de son administration – des faucons incorruptibles qui font frémir l’état profond – et les exigences de Poutine pour décapiter ce même marécage mondial, les forces du mal sont acculées. Macron et Netanyahu, psychopathes en costard, sentent la fin approcher, et c’est précisément ce qui fait de cette période la plus dangereuse imaginable.
Trump a deux choix, tous deux délicieusement implacables. Option un : domestiquer Macron, ce roquet arrogant, en lui imposant un cadre où la France redevient une note de bas de page dans l’Histoire. Option deux : l’exposer au monde comme le clown qu’il est, un agitateur futile dont les gesticulations ne trompent plus personne. Netanyahu, lui, n’est pas loin derrière : son “diviser pour régner” s’effrite face à un Trump qui pourrait bien imposer une paix au Moyen-Orient, privant ce cynique patenté de son fonds de commerce guerrier.
False flags en vue : le baroud d’honneur des psychopathes
Mais attention : d’ici lundi, ces deux-là ne vont pas se laisser faire sans un baroud d’honneur. Macron, avec son flair pour la mise en scène, pourrait orchestrer (sans laisser de trace de son rôle, espère t’il) un false flag bien sordide : un attentat terroriste bidon pour crier au loup, une attaque ukrainienne truquée contre des civils russes pour rallumer la guerre, ou une provocation grotesque à la frontière de Dieu sait où. Netanyahu, pas en reste, pourrait lâcher quelques bombes de plus sur Gaza ou le Liban, histoire de supplier l’Occident de voler à son secours. Ces psychopathes, acculés, sont prêts à tout, et leur désespoir pue à des kilomètres.
Trump, lui, n’est pas né de la dernière pluie. Avec DOGE qui dynamite les vieilles élites financières et Poutine qui assène des coups mortels à l’état profond, il a déjà trois longueurs d’avance. Il pourrait riposter d’ici lundi avec une annonce qui fera date : un accord de paix surprise en Ukraine, scellé en coulisses avec Moscou, ou la révélation de dossiers brûlants sur Macron – imaginez des preuves de ses petits arrangements avec les lobbies ou ses mensonges sur l’OTAN. Peut-être même un coup de théâtre diplomatique qui reléguera la France et Israël au rang de figurants. Les surprises seront légion, et elles porteront toutes la marque du génie trumpien.
Une période explosive, mais une victoire inéluctable du camp du bien.
Ces prochains jours sont un baril de poudre. Macron et Netanyahu, marionnettes d’un ordre mourant, pourraient bien déclencher une crise artificielle pour retarder l’inévitable. Mais face à Trump, architecte d’une ère nouvelle, leurs simagrées ne pèsent pas lourd. Le marécage mondial suffoque, la presse aux ordres s’effondre, et les lobbies comme AIPAC et l’ADL regardent leurs empires s’écrouler. Avec les nominations de Trump et la poigne de Poutine, les forces du mal – dont Macron et Netanyahu sont les étendards fanés – sont au bord du précipice.
Lundi 24 février marquera un tournant. Cette convocation de Macron par Trump ne sera pas qu’une réunion : ce sera une leçon d’Histoire, une démonstration éclatante que la force, la vision et la vérité triomphent toujours des intrigues cyniques et des psychopathes en bout de course.
Le spectacle qui se profile promet d’être absolument savoureux, un régal pour les amateurs de retournements historiques ! Une fois encore, Trump en émergera comme le grand vainqueur, un colosse triomphant, laissant Macron et Netanyahou pantelants, étourdis, mordant la poussière dans un nuage de déroute. Le président français, avec ses rêves de grandeur évanouis, et le dirigeant israélien, englué dans ses calculs belliqueux, verront leurs masques tomber sous les coups implacables d’une réalité qu’ils ont sous-estimée. C’est une étape cruciale, inéluctable même, car Trump sait qu’il doit faire le ménage dans son propre camp. S’il ne s’attaque pas aux psychopathes qui s’agitent dans son ombre – ces faucons assoiffés de chaos, ces va-t-en-guerre qui rêvent de dominer par le feu –, d’autres s’en chargeront à sa place. Et ceux-là ne feront pas dans la dentelle.
Les Russes et les Chinois, tapis comme des prédateurs patients, ont déjà les griffes sorties. Leur tolérance, usée par des décennies de provocations, a atteint ses limites. La Russie de Poutine, avec sa froide détermination, et la Chine de Xi, avec son implacable stratégie de long terme, ne se contenteront pas de demi-mesures ni de politesses diplomatiques. Si Trump laisse les fous furieux de son entourage dicter la cadence, ce sont Moscou et Pékin qui prendront les rênes, et leur intervention ne sera pas un ballet feutré de négociations feutrées. Non, ce sera un coup de massue, un règlement de comptes brutal, sans fioritures, pour rétablir un équilibre que l’Occident a trop longtemps malmené. Leur message est clair : le temps des petits jeux est révolu, et ils sont prêts à frapper fort si l’arrogance persiste. Trump, avec son flair légendaire, l’a compris. En domptant ses propres extrémistes, il ne fait pas que sécuriser sa victoire : il évite un choc frontal avec des puissances qui n’ont plus ni patience ni scrupules à épargner.
Attachez vos ceintures. Sans oublier que tout cela est eschatologique … et que quand le diable agit … tout, surtout le pire, est certains.
Parce que cette fois, la tempête ne sera pas que médiatique, voilà ce qui se passe, cette fois ça pourrait changer, alors que jusqu’à la les adorateurs du diable gardaient le contrôle :
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