Bilan et prospectives en 2 parties (2024 à 2025) analyse géopolitique et eschatologique suite à la chute du régime Assad et aux événements qui s’accélèrent partout / quoi et qui croire ? (1/2)
Attentats, crise financière, épidémie, perte de repères, guerres, assassinats, élections truquées, censure, garde à vue d’opposants, etc et pourtant tout porte à croire que 2024 était une année sympa
Partie n1
Tout va cristalliser en Ukraine… et ouvrir les yeux, y compris aux plus endormis
L’Ukraine devient, chaque jour davantage, le pivot central des tensions internationales. Plus qu’un simple conflit territorial ou idéologique, elle est désormais le théâtre d’un affrontement entre des visions profondément antagonistes du monde.
Sur le plan démocratique, la situation ukrainienne soulève de nombreuses interrogations, tant au niveau national qu’international. Les élections, annulées sans qu’aucune nouvelle date ne soit fixée, constituent une violation flagrante de la constitution ukrainienne, compromettant ainsi les principes fondamentaux d’une démocratie fonctionnelle. Ce vide institutionnel, où les citoyens se trouvent privés de leur droit fondamental de choisir leurs représentants, s’accompagne d’une répression systématique des voix dissidentes. Notons d’ailleurs, que la population ukrainienne présente sur son territoire national n’est qu’à peine la moitié de ce qu’elle était début 2023, pourtant certains affirment que l’Ukraine va gagner ? On se demande ce que sniffent ceux qui claironnent cela, mais ça doit être poudreux.
En Ukraine, toute opposition, qu’elle soit politique ou médiatique, est désormais quasiment inexistante. Les figures critiques du régime sont soit marginalisées, soit emprisonnées, parfois dans des circonstances opaques, voire tragiques (c’est vrai également dans les médias subventionnés des principaux pays alliés à l’Ukraine ou plutôt aux ennemis de la Russie (grosse différence car l’Ukraine n’est qu’un proxy). Le contrôle rigide exercé sur les médias empêche tout contre-discours, réduisant l’espace public à un monologue officiel et dont l’absurdité ne peut pas être contredite, ce qui contribue à une hypnose nationale mais n’implique pas un désir de mourir sur le front (les ukrainiens cherchent nombreux à échapper à leur envoi sur les champs de batailles qui deviendront leur cimetière, les images sont affligeants, mais qui ose en parler à part les Russes qui décrivent cette aberration dans laquelle l’Ukraine est ensevelie par générations complètes). Dans ce contexte, le pluralisme, élément indispensable à une démocratie vivante, est devenu un souvenir lointain, et déjà les éléments de langage et la musique de fond était plus proche de TPMP (avec des comédiens jouant au piano avec leur bite) qu’à des émissions de Joe Rogan ou Tucker Carlson. (La France est indéniablement dans le sillage de ce nouveau modèle sans pluralisme, malgré de rares soubresauts de circonstances pour servir de contre exemple lorsque cette situation est dénoncée !!?!?)
Cette absence de structures démocratiques solides soulève des questions essentielles quant à la légitimité du gouvernement ukrainien sur la scène internationale. Si des négociations de paix devaient être initiées, qui pourrait représenter l’Ukraine de manière crédible ? Sans un mandat clair et démocratique, toute signature pourrait être considérée comme entachée d’illégalité, réduisant la portée de tels accords et alimentant davantage l’instabilité. Par ailleurs, en Mars 2022 un accord semblait trouvé, mais des amis qui avaient d’autres plans ont entraînés à l’escalade et « butcha » a fait le reste, démontrant à nouveau que les Russes ne savent pas traiter avec de tels psychopathes, malgré toutes leurs déceptions passées !
De surcroît, la constitution ukrainienne elle-même constitue un obstacle majeur à tout processus de paix.
En effet, elle interdit explicitement toute négociation de paix tant que les territoires disputés ne sont pas intégralement restitués à l’Ukraine. Cette clause rigide, bien qu’inscrite dans le cadre juridique du pays, agit comme un verrou institutionnel qui empêche toute avancée diplomatique. La situation est d’autant plus complexe qu’en raison de l’instabilité politique, de l’absence d’élections et de l’écrasement de l’opposition, il n’existe aujourd’hui aucune légitimité suffisante pour modifier cette constitution ou organiser les conditions nécessaires à son amendement. Ce vide institutionnel, conjugué à la guerre en cours, rend les perspectives de résolution pacifique presque impossibles à envisager. Les Russes ne signeront pas avec un pantin dont la signature ne vaut pas un kopeck … donc ?
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Pour la Russie, cette posture intransigeante, non seulement sur le plan politique mais aussi institutionnel, alimente des inquiétudes profondes. Elle rappelle des épisodes historiques marqués par des trahisons et des accords bafoués, comme les garanties de non-expansion de l’OTAN à l’Est qui n’ont jamais été respectées après la chute de l’URSS. Poutine a décrit cela lors d’une longue interview avec Ticker Carlson, dont l’importance a été sous estimée, car elle n’était pas dans l’esbroufe et les déclarations cinglantes, mais dans la réalité profonde des évènement historiques et de leur dynamique implacable, conduisant au Niet Russe et au lancement de l’opération spéciale. La porte des négociations n’a jamais été fermée par les Russes, mais elle impliquera une acceptation des conditions de terrain ET la démonstration d’une réelle volonté de paix durable (pas comme les voyages inutiles de Macron fin 2021 et début 2022 à Moscou; ou pire les accords de Minsk qui ne visaient eux aussi à ne faire que gagner du temps).
Cette méfiance envers l’Occident, nourrie par des décennies de tensions et d’accords non tenus, se trouve renforcée par l’attitude ukrainienne, perçue comme un prolongement de la volonté occidentale de maintenir la Russie dans une position de faiblesse et d’isolement. Quelle abomination de la part de l’Empire du Mal d’utiliser comme proxy, un peuple frère de la Russie, comme à l’époque Bolchevique ?
Pour les puissances occidentales, cette situation d’impasse diplomatique pourrait néanmoins servir des intérêts stratégiques à long terme (et qui remontent à des temps ancestraux). Derrière des discours parfois teintés de volonté de paix, l’objectif sous-jacent semble être de prolonger le conflit afin d’affaiblir la Russie de manière durable, puis le porter un coup fatal, de préférence de l’intérieur pour ne pas que ce soit trop visible ou qu’il y est des retaliations, même si il n’y a aucun doute sérieux, les médias réussirent à créer le doute (ainsi de l’attentat sur Nord Stream, de Crocus et maintenant de la Syrie, que dire de Magdebourg alors que les spins docteurs ont aboutis à une inversion d’inversion d’inversion, pour dire que c’est bien un musulman camouflé faussement en pro-Israël qui a fait le coup … tellement plus efficace que la vérité !).
En maintenant la pression militaire, économique et diplomatique, l’Occident cherche à réduire l’influence géopolitique de la Russie, voire à provoquer un effondrement de l’État, le fait d’harceler tous les alliés de la Russie, dont la Chine et l’Iran, prouve que la Russie est la véritable cible.
Les Russes le savent, et comprennent qu’aucune pause ne peut leur être favorable, Poutine a insisté sur ce point lors de son dernier « questions réponses » avec les Russes. Bref, même à Noël, sur le front ukrainien, il n’y aura aucune accalmie, pas par manque de désir de la part des Russes, mais par réalisme, car une pause leur coûterait trop de vie au sein de leurs rangs, en ce moment, ils gagnent sans débat, et doivent avancer jusqu’à effondrement / capitulation.
Les ambitions des ennemis de la Russie semblent héréditaires, et certainement elles ne sont pas nouvelles (depuis le temps des Khazars).
Elles s’inscrivent dans une longue tradition historique d’efforts pour contenir ou fragmenter la Russie, présentée comme un obstacle majeur à l’hégémonie occidentale aujourd’hui et vécue hier comme le pire et véritablement seul ennemi irréductible des adorateurs du diable (j’en ai beaucoup parlé dans ma précédente lettre ici). Dans cette optique, certains, dont moi depuis années, évoquent sans sourciller des théories plus sombres, même cauchemardesques, concernant les motivations profondes de ces dynamiques. Selon ces récits, il existerait une volonté concertée, portée par des groupes influents, d’effacer non seulement la puissance russe, mais également les valeurs civilisationnelles qu’elle représente : une société multipolaire, attachée à ses racines culturelles et spirituelles, et opposée à un monde uniformisé sous domination occidentale. Parmi les racines les plus ciblées de cette guerre eschatologique, il y a la religion chrétienne, qu’il faudrait effacer, quitte pour y parvenir à créer un conflit artificielle avec les musulmans, dans le cadre d’une sorte de croisade 2.0, avec les mêmes qui dans l’ombre œuvrent à la destruction de l’humanité dans toutes ses composantes y compris “biologiques”, vers le transhumanisme, sorte d’étape “naturelle” selon eux du Darwinisme. L’épisode récent à Magdebourg semble être une coïncidence de trop dans un alignement d’actions perpétrés afin de créer le chaos et de débrancher les esprits les plus fragiles, incapables d’en accepter la portée vertigineuse. Poutine le jour où il a interdit en Russie le prosélytisme LGBT+ à actionner contre lui, l’accélération de la machine infernale, il n’est pas question qu’une alternative existe au gloubiboulga de l’effacement des genres après celui des « races » ou l’effacement de l’histoire.
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Les marchands du temple
Mes thèses et réflexions (lire mes lettres SUBSTACK) s’appuient sur des références historiques et culturelles, notamment à propos des Khazars, un peuple ancien qui a exercé une influence considérable dans la région eurasienne. Certains chercheurs et commentateurs s’essayent nombreux au sujet, mais dans une forme d’excès dogmatique, loin de la réalité du terrain et de notre époque, où les guerres et les sanctions sont réelles, les missiles Orechnik aussi, les épidémies également, ce qui impose une lecture à plusieurs dimensions. Ainsi pas d’immédiateté, mais il faut avoir le souvenir de cette ancienne élite guerrière et des liens de sangs ou de textes avec dynasties contemporaines, notamment l’infiltration dans les familles royales et la creation de dynasties de l’usure, de l’esclavage, de la compromission / corruption (maintenant de la pornographie, de big pharma, de l’agroalimentaire et des big tech + réseaux sociaux, des médias …) et du colonialisme, dont la plus fameuse et finalement mystérieuse celle des Rothschild (grands collectionneurs d’animaux et d’insectes suceurs de sang … bizarre ?). Le terme “Rotes Schields” (boucliers rouges, en allemand) serait à l’origine du célèbre nom de famille, patronyme créé lorsque la dynastie a décidé d’afficher au grand jour la “Renaissance” de cette lignée et donc de ses ambitions ? Cette ancienne caste, décrite dans certains récits comme sanguinaire et conquérante, aurait selon certains inspiré des mythes comme celui des vampires, symbolisant une avidité sans limites et une domination par la peur (intéressez-vous à la famille de Bram Stocker l’écrivain de Dracula et sa descendance).
Si comme pour moi, cela vous fait penser à la situation actuelle du Monde, ça veut dire que nous sommes en plein dedans et qu’à nouveau le cycle de guerre va monter vers un paroxysme qui ne pourra laisser qu’une vision du monde et éradiquer l’autre.
Y a t’il d’autres thèses, solides, sans eschatologie ?
Nombreux sont ceux qui décrient ces thèses, et et dénoncent ceux qui les propagent, comme moi, affirmant que nous ne méritons pas d’être écoutés. Ces idées, selon eux, seraient le fruit de délires complotistes, voire pire, comme d’élucubration de fous (il n’y a qu’à regarder ce que Google met en avant me concernant pour comprendre comment ils opèrent en bande organisées, chaque média ou réseau ou moteur de recherche joue son rôle, avec quelques chefs d’orchestre qui imposent la partition et le tempo, les Twitter files ont révélé un peu de cette mécanique inlassable, qui détruit ou efface les gênants).
Au sein de la pseudo dissidence, c’est presque pire, car y règne un marécage dans lequel quelques mafieux font leur loi, et l’impose avec leur argent ou leurs partouzes et poudre blanche.
Vous n’imaginez pas le nombre de drogués, d’alcooliques, d’obsédés et pervers, de francs maçons et d’escrocs qui y ont fait un nid. Ils sont les alliés utiles d’un système qui ne risque pas de les déranger, au contraire, même leurs gardes à vue à eux n’ont rien à voir avec leur positions politiques mais plutôt à leur penchant maladif pour l’alcool, leur sentiment de toute puissance et pour certains leur racisme / antisemitisme qu’aucun vernis ne voile. J’en parle dans ma récente vidéo sur YouTube. Me concernant, et pour nuire non pas à ma personne, qui n’a aucun intérêt, mais à mes messages qui prouvent combien les leurs sont délétères, Ils avancent que Dieu n’existe pas, que les Khazars sont une légende qui décrédibilise, ou plus simplement qu’il est absurde de nourrir une méfiance, même analytique, envers les élites mondiales, lesquelles, selon leur discours, œuvreraient inlassablement pour le bien de l’humanité, et que lorsqu’elles échouent, elles sont lâches et remplacées. Ainsi ils annoncent la chute de Macron depuis 6 ans … mais rien ? Alors ils recommencent, les meme expliquaient que Trump n’avait pas quitté le pouvoir ou que Poutine est un Loubavitch déguisé. Dans cet esprit de notre temps, certains poussent le vice et la contradiction jusqu’à se présenter à des élections, en France, quel comble ? Quand un système est si pourri, mettre une pièce pour jouer le jeu … ce n’est plus de la bêtise, c’est de la complicité. Il n’y a qu’à regarder ce qu’il a fallu à Trump, aidé par Musk et Kennedy, mais également Ron Paul et d’autres, pour être à quelques jours de prêter serment à nouveau, pour devenir le 47e Président des Etats-Unis. Dois rappeler des tentatives d’assassinats et de mise en prison, les algorithmes des réseaux sociaux, des enquêtes à charge, les médias quasi unanimes y compris hors Etats-Unis, etc ?Il faut donc arrêter de croire que le marécage pourra être vidé calmement, car en plus d’être totalement métastasé partout, les peuples n’ont plus de repères ni de foi, encore moins de courage et de sens critique (et même pas de bon sens), par ailleurs le sentiment d’isolement et de fragmentation de la société est à son comble, beaucoup se sentent seuls et sans soutien, y compris dans leurs propres familles, ils n’y trouvent plus de personnes fiables, comme à l’époque de la Stasi en ex Allemagne de l’Est.
Bref, croire, avec une confiance aveugle, que le système est amendable de l’intérieur, ou imaginer qu’il n’est pas, au moins pour les rouages essentiels, entre les mains d’adorateurs du diable, se heurte à une série de faits “troublants” :
des campagnes massives d’injections géniques (rien à voir avec des vaccins … même si la définition a été malicieusement changée), sous couvert de progrès scientifique, ont été déployées à une échelle inédite, de façon trop coercitive ou alléchante (de l’argent ou des hamburgers ont même été offerts ou promis à ceux qui tendaient l’épaule aux injections) pour être bien intentionnées. Plus troublant, cela touche non seulement les populations humaines mais aussi leur environnement immédiat – aliments, air, et eau. Les exemples sont si nombreux que la liste serait interminable, surtout au cours des dernières années alors que tout s’accélère et que les faibles au sein des peuples le sont de plus en plus, comme si leur destin était implacablement de finir dans le néant, avant les suivants … et jusqu’au dernier « humain ». Il ne faut pas croire que l’on peut réchapper au prix de pactes avec le diable, au contraire.
Je rappelle néanmoins, car on n’en a pas assez parlé, que les scandales sanitaires, comme celui des eaux minérales en France, sont mis sous cloches, alors qu’outre la fraude, ils illustrent la malveillance maladive des grands groupes industrielles et financiers mondiaux à l’égard des peuples,
qui ne sont préservés de rien, surtout pas d’une alimentation à l’origine de toutes les maladies modernes, dans une valse qui enrichit ces « pompiers pyromanes » (vous vous rappelez les vaches folles ? Et que sais je encore ?).
Pourquoi « pompiers pyromanes », car ils créent les problèmes et osent proposer des solutions à leurs méfaits, solutions qui créeront de nouveaux problèmes et ainsi de suite (regardez big Pharma ou le monde de la finance, après la crise des sub primes se sont les fautifs … qui ont été grassement payé, pour détricoter un système qu’ils avaient créé et qui avait fait leur fortune. Bref, ce sont les riches qui socialisent les pertes, et capitalisent les gains, rien à voir avec du ruissellement par le bas). Pour ce qui est des injections Covid, on sait tous que ces thérapies, dont les effets secondaires à long terme demeurent incertains, illustrent une approche précipitée et opaque, pour nous rendre dociles à être mis sous perfusion de produits dont on ne sait rien, si on accepte de la merde dans nos veines, que n’accepterons nous pas ? Cela soulève des questions plus que légitimes sur les intentions réelles derrière ces initiatives ? Personnellement j’y vois une volonté transhumaniste de ceux qui tirent les ficelles, c’est à dire la fin de l’espèce humaine et peut être de la vie sur terre, c’est donc tout à fait diabolique !
Tout, absolument tout, corrobore la thèse que je défends. Nous assistons à une convergence d’événements, de décisions et de manipulations qui dessinent une trame eschatologique, c’est-à-dire une vision du monde orientée vers une fin des temps, où des forces contraires s’affrontent. Mais ce qui rend cette situation encore plus complexe et insidieuse, c’est l’habileté du diable à camoufler ses actions et celles de ses rouages nombreux. Cette ruse et cette manipulation sont telles que la plupart des gens, même les esprits les plus éveillés, peinent à en saisir les ramifications et les véritables enjeux.
Par ailleurs, le silence qui m’entoure – imposé par les grands médias et même par ceux que j’appelle les “marchands du temple” de la dissidence – est éloquent. Je suis invisibilisé, et avec moi, les vérités que je m’efforce de porter à la lumière. Cette censure subtile (pas vraiment ? Car les témoignages se multiplient), où mes idées ne sont jamais discutées de manière frontale mais seulement abordées de manière fragmentée ou caricaturale, témoigne d’une volonté concertée de maintenir le public dans une ignorance stratégique d’un point de vue alternatif que je défends et qui explique précisément, ce que tous les autres systèmes ne parviennent qu’à rendre encore plus incompréhensible, et donc accentuent la peur. Ceux qui me lisent et m’écoutent sur internet ou en conférences, me répètent souvent combien m’écouter les libère. J’en suis ravi, c’est l’idée.
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La censure est redoutable
Néanmoins, même lorsque mes sujets de prédilections sont évoqués, c’est souvent de manière découpée, dépourvue de toute vision globale et dynamique. Ce morcellement rend le travail de compréhension fastidieux, voire vain, pour les auditeurs.
Noyés sous une avalanche d’informations éparses, ils sont incapables d’en dégager les lignes de force ou d’appréhender la finalité vertigineuse de ce qui se trame. En d’autres termes, la structure même de la dissémination de ces idées, volontairement éclatée et confuse, participe à la désorientation générale, empêchant une prise de conscience collective. Voilà pourquoi je suis ciblé … en plus comme je n’hésite pas à me répéter, cela peut sembler laborieux et fastidieux, mais c’est nécessaire pour que le partage soit efficace, j’y met toute ma pédagogie. Sur les réseaux, la répétition est une des seules possibilités pour contourner un peu les algorithmes et devenir pas à pas plus visible. Je n’ai en effet, aucune intention de parler dans la vide, j’y donne trop.
Cette invisibilisation, ce découpage et cette caricature des idées ne sont pas des erreurs ou des hasards : ils relèvent d’une stratégie délibérée. Le but est de retarder, autant que possible, le moment où ces vérités deviendront évidentes pour tous. Mais ce retard ne sera pas sans conséquences. Lorsque la prise de conscience surviendra – et elle surviendra – elle sera brutale. Ce choc ne se limitera pas à l’acceptation de faits jusqu’alors occultés ; il entraînera une remise en question profonde des fondements mêmes de notre société, de nos institutions, et des forces qui les gouvernent. Tous ceux qui y auront participé porteront une lourde responsabilité, mais il est probable qu’ils jouent sur la mémoire de poisson rouge des peuples pour retrouver une audience et recommencer leurs œuvres, sauf si justement, on n’oublie plus JAMAIS ?
En définitive, la difficulté réside moins dans les faits eux-mêmes que dans la capacité de chacun à en saisir l’interconnexion et à en comprendre la logique sous-jacente, ainsi que la place et le rôle des acteurs, y compris ceux qui sont manipulés à leur insu, au moins au début. La véritable bataille se joue donc, comme je le répète depuis des années, dans l’esprit des hommes : entre ceux qui, submergés par des récits éclatés, restent prisonniers de l’illusion, même si ils essayent d’en sortir pour une partie d’entre eux (mais n’accèdent pas à des sources fiables ou n’y consacrent pas l’effort nécessaire) et ceux qui parviennent à reconstituer le puzzle pour voir la réalité dans toute sa profondeur.
Interlude
Pour résumer, nous assistons à une guerre fondamentale entre deux forces opposées : le camp du bien et celui du mal. Cette lutte dépasse de loin les enjeux politiques, économiques ou géopolitiques immédiats. Elle concerne la conquête ou, au contraire, la libération des esprits et des âmes de l’humanité tout entière. Ce combat, qui traverse les âges, est éternel. En 2024, à l’aube de 2025, nous nous trouvons dans ce qui semble être la phase finale d’un de ces grands cycles millénaires, où les enjeux sont portés à leur paroxysme.
Quid des options pour la Russie ?
Les masques sont tombés, et il est désormais évident que certaines élites mondiales œuvrent non pas pour le bien commun, mais contre les intérêts des nations souveraines et des peuples. Ces actions, menées avec des moyens colossaux et des objectifs dissimulés, visent à remodeler l’ordre mondial selon une vision hégémonique et autoritaire, mais également dictatoriale puis peut être, génocidaire ? Dans ce contexte, la Russie apparaît comme un rempart majeur face à ces ambitions destructrices. L’hostilité qu’elle subit – qu’il s’agisse de campagnes de déstabilisation, de sanctions, ou d’actions militaires indirectes – en est la preuve manifeste.
Mais la Russie n’est pas seule dans cette résistance. Avec des alliés tels que la Chine, l’Iran, la Biélorussie, la Corée du Nord, et d’autres nations partageant une vision multipolaire du monde, elle tente de contrer cet empire du mal, un empire qui cherche à imposer sa domination totale sur les ressources, les territoires, et les esprits. Ces nations, bien qu’isolées ou diabolisées par les grands médias occidentaux, s’unissent dans une tentative désespérée mais résolue de préserver une forme de souveraineté et de diversité culturelle, spirituelle et politique. Ce qui est rassurant, c’est que même avec une telle conscience du danger et de l’urgence, ils ne se laissent pas dépasser par les émotions et par les provocations, et agissent de façon structurée et pérenne. Ils donnent à cet égard une impression de force tranquille, ce qui redouble les velléités de l’Empire de détruire leurs projets prématurément.
Cependant, la tâche est immense. L’Empire hégémonique a récemment remporté une bataille importante en Syrie, où le régime de Bachar al-Assad, bien que longtemps soutenu par la Russie et l’Iran, ainsi que le Hezbollah, s’est effondré en quelques jours, comme un château de carte. Cela se traduit, en Syrie, par la position de la Russie qui se retrouve de plus en plus affaibli (peut elle seulement envisager d’y conserver des bases militaires, alors que les marionnettistes du coup d’état, demandent à leurs sbires de virer les Russes, comme préliminaire à toute aide à leur égard, évidement la Russie qui y a bcp d’homme et de matériel, n’a pas l’intention de partir comme les américains d’Afghanistan ? De quels leviers diplomatiques disposent ils ? Les relations avec la Turquie, semblent bonnes, mais jusqu’où est ce une pièce de théâtre ? Poutine ne passera pas un Noël reposant, les décision qui l’attendent ne sont pas compatibles avec l’esprit de cette fête). Cette victoire stratégique dans une région clé du Moyen-Orient ne fait que renforcer l’appétit insatiable de cet empire pour poursuivre son expansion et étendre son emprise.
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Une guerre pour l’âme humaine et les valeurs des religions du livre
Cela soulève une question cruciale : comment la Russie et ses alliés pourront-ils résister à cet empire apparemment invincible ? La réponse ne réside pas seulement dans la force militaire ou économique, mais également dans une résistance spirituelle et idéologique. La véritable bataille se joue sur le plan des valeurs, des croyances, et de la vision du monde que chaque camp porte en lui. C est pourquoi au coeur de la bataille il y a la censure et la tentative de détruire les journalistes citoyens perçus comme les plus dangereux pour le système.
Dans cette lutte pour l’âme de l’humanité, les nations qui s’opposent à l’hégémonie mondiale ne défendent pas seulement leurs frontières ou leurs intérêts géopolitiques. Elles tentent de préserver une alternative, une vision où la souveraineté, la liberté, et la dignité humaine ne sont pas sacrifiées sur l’autel d’une uniformisation globale et d’un contrôle totalitaire. C’est essentiel de mesurer cela au plus profond de vos entrailles, car c’est la seule bataille, tout le reste n’est que diversion, ou interlude, avec d’obtenir cette liquéfaction de l’humanité en choses sans âmes ou en machines sans cœur.
Ainsi, la situation actuelle en Syrie, comme dans bien d’autres régions du monde, n’est pas un conflit isolé. Elle fait partie d’un schéma plus vaste, une guerre silencieuse mais omniprésente pour définir l’avenir de l’humanité. Les forces du bien et du mal, dans leur éternel affrontement, jouent ici une partie décisive. Le camp qui triomphera ne déterminera pas seulement l’équilibre des pouvoirs, mais également le sens même de ce que signifie être humain dans les siècles à venir. Pensez juste en terme de wokisme, lgbt+, transgenre, mais également IVG, euthanasie, GPA, trafic d’organes dont cellules souches et fœtales, censure, élections truquées, médias lessiveurs de cerveaux, marchands du Temple infiltrés puis promis dans la dissidence par leurs sponsors ou “journalistes” adorateurs du diables. J’en parle dans ma dernière vidéo.
Mais revenons à l’ultimatum pour virer totalement les Russes mais aussi les Iraniens de Syrie, alors que le régime en place en Israël conquiert allègrement tous les territoires qu’elle désire pour le moment, cela montre bien que tout cela est eschatologique, car totalement irrationnel et artificielle, à moins de croire que ça répond à une logique stratégique militaire ou économique. Ça ne fait qu’ajouter aux perspectives de guerres sans cesse plus intenses et douloureuses.
Les guerres, dont au Proche Orient et aux marges de l’Europe et bientôt ailleurs, sont bien plus que de simples conflits territoriaux ou régionaux.
Cette stratégie illustre une lutte plus large entre deux visions du monde parfaitement antagonistes et inconciliables : l’une multipolaire, fondée sur le respect des souverainetés nationales, et l’autre unipolaire, cherchant à imposer un modèle unique à l’échelle globale; mais derrière il y a le transhumanisme et donc l’eschatologie !
Comme dit plus haut et régulièrement répété, dans mes lettres ici et sur YouTube, cette bataille dépasse les frontières de l’Ukraine, de la Syrie et de Taïwan; elle reflète des enjeux géopolitiques, culturels et même spirituels qui définissent l’avenir des relations internationales, et le rapport des humains avec eux mêmes et ce que seront devenus les structures familiales et sociétaires.
Voilà pourquoi le camp du mal, dirigé incontestablement par Macron, sur le sujet de l’Ukraine et bien d’autres (regardez toutes les cérémonies et les voyages, jamais par hasard et toujours suivi des conséquences ou de volte face) ne peut être analysé avec des outils purement rationnels, mais implique une dose d’eschatologie et beaucoup de modestie, et même d’abnégation.
L’Occident, en soutenant l’Ukraine de manière inconditionnelle tout en contribuant à entretenir une impasse diplomatique, semble jouer une partie stratégique où la situation actuelle devient une arme en soi. En maintenant et alimentant (par des milliards de dons ou de prêts, des ponts aériens d’armes et des soldats d’actives déguisés en mercenaires) une tension constante sans perspective claire de résolution, ce blocage pourrait, à terme, devenir un levier puissant pour fragiliser durablement, voire neutraliser, la Russie. Cette stratégie, bien qu’implacable, ne vise pas uniquement le champ militaire. Elle cible aussi les fondations économiques et diplomatiques de la Russie, dans une logique d’asphyxie à long terme. Pour l’instant ce n’est pas courtine de succès probants, lors de la dernière réunion des Brics, il était clair que la Russie n’était pas isolée. Mais de même que le front d’une guerre militaire peut conduire à l’attrition d’une des parties, ce jeu de massacre diplomatiques et de sanctions, peut à terme épuiser la Russie, ou faire tomber ses ennemis par effet boomerang. Qui tiendra le plus longtemps ? Comme aucun des deux n’acceptera ce destin, plus on s’approchera de la chute, plus le risque de guerre a très forte intensité sera une certitude implacable. Pour le moment, un espoir réside dans ceux que j’appelle les 5fantastiques, mais même ça ne se passera pas sans dégâts et il faut s’y préparer.
Cette approche de l’Occident est loin de garantir le succès, à court terme pour leurs choix stratégiques (et encore moins à long terme pour les peuples), comme le montraient les récentes dynamiques observées en Syrie. Malgré des années d’efforts pour déstabiliser le régime de Bachar al-Assad, avec un soutien occidental massif aux forces rebelles, le gouvernement syrien avaient résisté grâce à l’aide de ses alliés stratégiques, notamment la Russie et l’Iran. Néanmoins, l’empire ne lâché rien, si il échoue un temps, il apprend pour réussir la fois suivante, il en a les ressources et le cynisme. Ainsi, si cette expérience syrienne avait laissé des leçons amères pour les adversaires de ces puissances (Syrie, Iran, Russie et Hezbollah, mais aussi milices irakiennes), ils ont retenu que même un terrain apparemment acquis peut rester hors de portée lorsque des alliances solides et une résilience stratégique entrent en jeu, c’est donc ce qu’ils ont brisé lors de leur tentative suivante. Rappelez vous en effet, qu’en Syrie, à partir de 2016 et l’entrée en action de la Russie, cette dernière avait inversée toutes les projections des experts occidentaux et le régime d’assassinat avait tenu. La Russie montrait sa capacité à défier l’Empire, même en dehors de ces frontières.
Mais c’était sans compter sur le dévoiement des accords d’Astana, initialement prévus pour instaurer un cadre de paix et de désescalade en Syrie. Ces accords, au fil du temps, ont été détournés de leur objectif initial pour servir des intérêts divergents, notamment ceux des puissances qui, dans l’ombre, ont continué à exploiter la situation à des fins géopolitiques. Ce détournement s’est traduit par un pillage systématique des ressources naturelles de la Syrie – pétrole, gaz, eau et agriculture – au profit de groupes armés terroristes, qui, cette fois, semblent avoir mené leur mission destructrice jusqu’à son terme. (Leur récompense ne sera pas sur cette terre, car les marionnettistes ont déjà commencé à tuer les plus gênants, en attendant de se débarrasser de tous, pour mettre en place des pantins plus lisses et moins caricaturaux que d’ex coupeurs de têtes, dont la leur est mise à prix). (Le Russie ne devrait pas l’oublier si un jour elle retourne à une table de négociation avec des menteurs et tricheurs en face d’elle)
Après des années de lutte acharnée pour survivre à une guerre interminable, la Syrie a finalement succombé à une campagne d’efforts concertés menée par des régimes successifs en Israël et aux États-Unis, entre autres puissances.
Ces derniers, en particulier, ont méthodiquement détruit les infrastructures militaires syriennes (et de l’allié et ami iranien) à travers des bombardements incessants. Ces attaques, loin d’être des frappes isolées, s’inscrivaient dans une stratégie globale visant à neutraliser tout potentiel de résistance du régime syrien.
En parallèle, des opérations ciblées ont réussi à anéantir quasi totalement l’un des principaux alliés de la Syrie, le Hezbollah (qui est au moins largement décapités et donc sans orientation claire sur son avenir, en plus d’être certainement totalement infiltrés par des fossoyeurs. Ces tentatives, qui se sont étalées sur des années, ont culminé dans une série d’attentats terroristes d’une intensité inouïe (plus de 5000 attentas aux pagers téléphoniques et des milliers de bombardements sur des zones habités ou des infrastructures stratégiques), suivis de l’assassinat des cadres dirigeants du mouvement, y compris son leader charismatique Hassan Nasrallah, tué dans un bombardement massif en plein cœur de Beyrouth. Cet événement a marqué un tournant décisif, laissant le Hezbollah décapité et affaibli, incapable de soutenir efficacement son allié syrien.
Mais cette stratégie militaire ne s’est pas arrêtée là. En parallèle, les puissances étrangères ont infiltré les rangs des forces armées syriennes par la corruption, achetant la loyauté de nombreux officiers et notables locaux. Ces tactiques insidieuses ont permis de saboter de l’intérieur une armée déjà éprouvée par des années de conflit. Les agents de cet “Empire du mal”, opérant souvent dans l’ombre, ont atteint leur objectif avec une efficacité redoutable. En quelques jours à peine, l’ensemble du château de cartes syrien s’est effondré, laissant le pays sans défense face à ses ennemis.
Ces mêmes agents ont également œuvré à éroder les bases sociales et culturelles du pays. En infiltrant les structures familiales et tribales profondément enracinées dans cette société millénaire, ils ont semé la discorde et transformé des communautés autrefois unies en factions méfiantes et divisées. Ce travail de sape, invisible mais terriblement efficace, a affaibli les fondements même de la cohésion nationale syrienne, rendant toute résistance collective quasi impossible.
Par ailleurs, il ne faut pas sous-estimer le rôle joué par les groupes terroristes étrangers et les factions dissidentes syriennes, qui ont bénéficié d’un soutien massif de la part d’alliés extérieurs, notamment Israël, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Turquie, la France et, plus récemment, l’Ukraine.
Ces groupes ont été dotés d’équipements ultramodernes, notamment des dispositifs de brouillage capables de déconnecter les troupes loyalistes syriennes de leurs états-majors, paralysant ainsi toute capacité de coordination sur le terrain. Des lanceurs d’alerte ont démontré la présence d’unités d’élites ukrainiennes spécialisées dans les drones, qui se seraient montrées redoutables pendant les premières heures de cette opération éclaire. Par la suite, le régime de Kiev a confirmé avec gourmandise son implication, comme récemment avec l’assassinat terroriste du général Kirlov (le spécialiste des Biolabs US en Ukraine mais également des dossiers qui concernent directement la famille Biden en Ukraine, y compris des affaires de corruption mais également de dépeçage de l’industrie ukrainienne et de blanchiment de l’argent reçus par le régime, et renvoyé aux USA, dont par des sociétés de « bitcoin » comme FTX de Sam Bankman Fried, le plus grand donateur de Biden en 2020) devant sa maison, au moyen d’une trottinette piégée placée au pied de son immeuble.
En face, du pouvoir affaibli de Bashar el Assad et ses troupes loyalistes payées misérablement, les forces d’opposition, et leur alliés de circonstances, ont déployé des unités d’élite, parfois décrites comme sorties tout droit de récits dystopiques tels que Mad Max, avec des moyens de la guerre moderne, à laquelle personne n’avait préparé les troupes d’Assad. Ces commandos, lourdement armés et bénéficiant d’un entraînement de haut niveau, ont écrasé la résistance des rares forces loyalistes encore en état de combattre. Leur avancée vers Damas a été rapide, implacable, et finalement irrésistible. La capitale syrienne, symbole de résilience et de pouvoir, a été livrée sans combat majeur, marquant la fin d’une ère pour un pays déjà ravagé par la guerre.
Ce dénouement tragique souligne l’ampleur des moyens déployés pour renverser le régime de Bachar el-Assad (comme avant en Ukraine, en Géorgie et peut être également en Arménie et ailleurs dans la région). Mais au-delà de la chute du gouvernement, c’est l’ensemble du peuple syrien qui se retrouve brisé, abandonné à un avenir incertain. Derrière ce chaos, les forces qui ont orchestré cet effondrement poursuivent leur agenda, indifférentes aux souffrances humaines et aux conséquences dévastatrices de leurs actes.
Le cas particulier d’Israel (à suivre)
(Le lettre ne pouvait rentrer dans un s’il SUBSTACK, la suite arrive dans la foulée)
Le 10 décembre 2024 vers 6 heures, Bertrand Scholler a été interpellé à son domicile par les forces de police françaises puis placé en garde à vue par le Procureur de la République de Paris durant quelques 35 heures.
Le 11 décembre 2024, il a été cité à comparaître devant le tribunal judiciaire de cette même ville pour y être jugé les 27 et 28 octobre 2025.
Son crime : s’être exprimé sur X aux côtés de milliers d’autres personnes dans le cadre de débats publics concernant le couple présidentiel et la politique de notre pays.
C’est pour donner une chance à Bertrand de combattre à armes égales ses puissants adversaires que nous lançons cette cagnotte.
Parce que sans liberté de nous exprimer, nous ne sommes que des brebis conduites en silence à l’abattoir, son combat de demain est aujourd’hui le nôtre.
Merci de partager cette cagnotte et de contribuer pour défendre la liberté d'expression.
Votre solidarité sera déjà une victoire.
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ENGAGEZ-VOUS
L’impact du “laisser aller” sur l’Humain peut-être immense, surtout si ce dont on alerte prospère sans vigilance et opposition ferme.
Oui une opposition seule ferme pourrait éventuellement ouvrir la voie
Opposong noug fermement !
✝️🇨🇵❤️🙏
Ps : et avec vigourosité
Notre âme est la France, terre chretienne, où la religion catholique a fait son nid, la Royaute garante du pouvoir divin.
Notre France, cher pays des villages avec ses eglises et ses clochers si fièrement eriges vers le ciel.
Etre païen ou agnostique n y fut jamais un problème, de toute façon Dieu est dans le cœur.
La France est un grand pays chretien, soeur de la Russie, Terre d accueil de tant de juifs, musulmans, tsiganes, Terre d exilés.
La Revolution m a toujours paru comme un coup de couteau dans notre âme, alimentée par les khasars, oui merci Bertrand pour les explications, comme pour la creation de l usure du temps propagee par le protestantisme.
Depuis le pays a connu des hauts et des bas, surtout des bas. De Gaule fut une eclaircie au final, lui qui aimait par dessus tout son pays.
Mais voilà, Macron est au pouvoir, tel le Diable, qui nous divise, detruit
Oui, c est par le seul pouvoir du peuple que notre pays peut se redresser. Aucune autre issue possible, car la politique est trop vérolée.
Mais est ce possible dans un pays qui a perdu ses racines,refuse en majorite le vote Trump, et est autant divise qu un puzzle à assembler? Macron ne s en ira pas tout seul. J ai même peur qu il se donne les pleins pouvoirs Bertrand.
Ce gouvernement constitué par un Parlementaire,homme pourtant de dialogue est une provocation à ce que reste de Democratie.
De quoi être inquiet pour notre pays, non pour cette Republique franc-maçonne, mais pour la France, car c est elle qui nous unit et nous nourrit, au sens materiel comme spirituel.