… Car c’est là le génie terrifiant de Macron : même quand on le croit perdu, il trouve des solutions, des issues que personne n’avait vues venir. À Londres, il forge un "lien de sang" avec… 666
À Londres, il réitère une manœuvre qu’il avait déjà osée, à Versailles en mars 2022 (il y a 3 ans … 36 mois 6x6 !) un jeu si habile, si machiavélique, que même les plus puissants se retrouvent acculés
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Il y a des êtres dont la ruse dépasse l’entendement, des esprits si retors qu’ils semblent danser avec le diable lui-même. Emmanuel Macron, président de la France, est de cette race rare et effrayante. En mars 2025, alors que tant d’observateurs, trompés par les apparences, le pensaient au bord du gouffre – usé par les crises, contesté chez lui, ignoré à l’étranger –, il surgit tel un spectre implacable, un marionnettiste dont les fils enserrent le monde entier. À Londres, il réitère une manœuvre qu’il avait déjà osée, à Versailles en mars 2022 (il y a 3 ans … 36 mois 6x6 !) un jeu si habile, si machiavélique, que même les plus puissants se retrouvent acculés, le souffle coupé, au pied du mur.
Le 2 et 3 mars 2025, lors du sommet européen pour l’Ukraine à Londres, Macron frappe un grand coup, un coup que nul n’avait anticipé avec une telle ampleur. « L’Union européenne pourrait fournir à l’Ukraine des centaines de milliards d’euros », annonce-t-il, le regard froid, la voix chargée d’une gravité qui glace le sang. Mais ce n’est que le début. Il déroule une vision cauchemardesque : « Si Poutine n’est pas arrêté, il ira plus loin. Après l’Ukraine, ce sera la Moldavie, puis peut-être la Roumanie. » Une Russie surarmée, tapie à nos frontières, déployant des actes terroristes et des vagues de désinformation – voilà le monstre qu’il agite sous nos yeux, un péril si vaste qu’il semble engloutir toute raison. Et il en rajoute, comme un sorcier jetant des sorts : « Poutine a fait venir 10 000 soldats nord-coréens en Europe. Il a mendié des drones iraniens, payant avec des faveurs pour leur programme nucléaire, tout cela pour semer la guerre chez nous. »
Mais le véritable frisson vient de son adresse aux Américains, un piège tendu avec une précision diabolique. « Je veux que les Américains comprennent que se désengager de l’Ukraine n’est pas dans leur intérêt », martèle-t-il. « Abandonner l’Ukraine sans garanties de sécurité affaiblirait la dissuasion contre la Russie, la Chine, et d’autres. La destinée manifeste de l’Amérique est d’être aux côtés des Ukrainiens, je n’en doute pas. » Ces mots ne sont pas une simple supplique : ils sont une chaîne invisible, un étau qui se referme sur les États-Unis, et particulièrement sur Donald Trump, que beaucoup croyaient triomphant après une écrasante victoire en 2024 (les élections ne sont qu’un des cadenas …). Erreur fatale. Trump n’a pas gagné : il est tombé dans une nasse, un guet-apens tissé par Macron, et il lui faudra une agilité surhumaine pour s’en extraire sans y laisser des plumes – ou pire.
Car c’est là le génie terrifiant de Macron : même quand on le croit perdu, il trouve des solutions, des issues que personne n’avait vues venir. À Londres, il forge un "lien de sang" avec des nations européennes qui, naïves ou aveuglées, ne perçoivent pas la profondeur de son dessein. Il les rallie à sa cause, les lie à son destin, et par extension, il ligote les Américains à une guerre qu’ils voudraient fuir. S’ils restent, ils s’enlisent dans un bourbier coûteux, saignés par un engagement sans fin. S’ils partent, ils passent pour des lâches, abandonnant l’Europe à son sort et laissant la Russie jubiler. C’est une impasse, un choix impossible, et Macron, avec un sourire discret, en tient les clés.
Ceux qui sous-estiment cet homme devraient trembler. Son talent n’est pas seulement politique : il est infernal. Il joue avec les peurs, manipule les alliances, et transforme ses faiblesses en armes redoutables. En mars 2025, le monde découvre, horrifié, qu’il n’est pas un pion, mais un roi déguisé, un maître du chaos qui, d’un revers de main, met les puissants à genoux. Trump aura besoin d’aide – d’un miracle, peut-être – pour échapper à ce piège. Quant à nous, simples spectateurs, nous ne pouvons qu’assister, pétrifiés, à l’ascension d’un homme qui, même au bord de l’abîme, trouve le moyen de faire plier l’univers entier.
Chaque jour, j’y consacre mon temps, mon énergie et ma rigueur. Chaque analyse que je vous livre est le fruit d’un travail minutieux, d’une recherche sans concession, et d’une volonté farouche de mettre en lumière ce que d’autres préfèrent taire.
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Rappel de la lettre précédente
(Seulement ce texte n’est pas inédit !)
J’ai décidé de republier ce texte pour les nouveaux abonnés et ceux qui auraient pris du retard. Si vous en avez l’occasion, je vous encourage vivement à lire les lettres précédentes : elles ne sont pas de simples analyses d’actualité, mais des réflexions conçues pour rester pertinentes dans le temps, ou des décryptages robustes d’instants repères.
Le 28 février 2025, quand Trump et Zelensky se sont violemment accrochés à la Maison Blanche, pulvérisant l’accord sur les minerais et poussant le président ukrainien à claquer la porte, j’ai esquissé un sourire. Pas par méchanceté, mais parce que j’avais vu venir ce clash de loin. Pendant que les analystes autoproclamés s’épuisaient à tricoter des thèses sophistiquées mais vides, moi, je désignais l’évidence : Macron, ce rusé, avait non seulement pressenti cette fracture, mais l’avait espérée. Et aujourd’hui, je peux le dire avec une pointe de fierté : j’avais raison avant tout le monde. Je prends la plume parce que, depuis hier, je n’ai entendu que des raisonnements tordus, des histoires de pièges tendus par l’un ou l’autre, alors qu’en réalité, seul Macron pouvait orchestrer ça et continuer à surprendre, même un Donald Trump au sommet de son art. Il va rebondir mais aura besoin d’aide face a la folie diabolique en face.
Remettons les pendules à l’heure. Trump, ce fantastique, ne voulait pas voir Zelensky – les posts sur X le hurlent, il traînait des pieds comme un gamin capricieux. Mais qui l’a poussé dans ce piège, qui a insisté pour que cette rencontre explosive ait lieu ? Macron, le diable en personne. Avec son pouvoir de conviction infernal, il a embobiné Trump au dernier moment, jouant les entremetteurs avec un rictus sournois. Et vlan ! Le fiasco a éclaté : échanges tendus, départ précipité, fiasco diplomatique. Les médias y ont vu une bourde. Moi, j’y vois l’œuvre d’un démon
Extrait de l’article : « La rencontre a failli capoter. La visite de Volodymyr Zelensky ce vendredi 28 février à Washington a été annulée par les Américains avant d'être finalement confirmée après un appel d’Emmanuel Macron, selon une source diplomatique française à BFMTV.
Mercredi, le président ukrainien a reçu un message de l’administration américaine lui disant de ne pas venir aux États-Unis pour rencontrer Donald Trump. Volodymyr Zelensky a alors appelé Emmanuel Macron qui a lui-même joint Donald Trump, lui demandant de recevoir son homologue et ajoutant qu’il s’en portait garant.
Finalement, Donald Trump a accepté puisqu'il a annoncé lui-même ce mercredi qu’il recevrait le dirigeant ukrainien à la Maison Blanche.
Une discussion qui s'annonce tendue »
Vous comprendrez le piège de Macron ? Non … toujours pas ??? L’intuition de Trump lui disait non … et pourtant il a cédé à Macron encore une fois, une fois de trop car le piège est ÉNORME.
Arrêtez de m’expliquer dans vos mails ou messages que Macron n’est rien, juste un pantin, vous perdez votre temps et le mien !! Si ce que je vous écris et démontre ne suffit pas, l’échange est vain. J’aimerai douter encore, mais c’est terminé. Si vous êtes persuadé du contraire écrivez vos lettres mais ne me demandez plus de changer les miennes !
Pourquoi Macron, ce diable, aurait-il voulu ça ? Parce qu’il joue un jeu plus grand, plus sombre que vos plateaux télé. En exposant la fracture entre Washington et Kiev, il a donné à l’Europe – et à sa propre gloire – une chance de s’élever sur les cendres. À peine Zelensky humilié, Tusk, Starmer et Macron ont resserré les rangs, un front uni face à un Trump désarçonné. Stratégie diabolique, pas coïncidence. Il a allumé la mèche pour redessiner les alliances, et ça marche. Le sommet de Londres du 2 mars 2025 le prouve, et cerise sur le gâteau, ce soir 1er mars, Zelensky est reçu par Charles III, roi d’Angleterre – l’Europe serre les rangs sous la baguette de ce maestro infernal.
Et les analystes ? Ils n’ont rien vu venir. Leurs "Macron a improvisé" ou "c’était un accident" sont des fadaises. Moi, j’ai compris dès le départ : ce diable voulait cet éclat, il l’a orchestré, et il en tire les ficelles. Zelensky, qu’on dit fini, rebondit grâce à l’Europe. Tout va mal pour lui ? Pas si vite. Macron, le malin, est au centre de tout.
Mais parlons de Trump, ce fantastique. Il a péché par arrogance, c’est clair. En ce moment, il embrasse trop de sujets à la fois – Ukraine, commerce, migrants, Chine, Mexique, Canada, climat, dollar, doge, Israël, Gaza, etc. – et forcément, il y a des bévues. Cette fois, il s’est laissé ensorceler par les paroles mielleuses de Macron. Grave erreur. S’il veut s’en sortir, il doit écouter son intuition, cette flamme qui l’a porté si loin, et échapper aux griffes de ce diable qui le manipule.
Oubliez les lectures tièdes. Regardez le portrait officiel de Macron – ces symboles, ce regard de qui ensorcelle comme ses accolades.
Les "5 fantastiques" – Trump en fait partie, c’est certain – sont là pour sauver l’humanité, ils doivent juste s’unir, ils doivent ressentir avec le temps qu’une odeur d’eschatologie planent. Riez si vous voulez, restez dans le confort des marchands du temple de la dissidence. Moi, je vois un théâtre où Macron, le diable, joue un rôle effrayant, prophétique peut-être, sûrement en fait. Il ne cache rien d’ailleurs, prochaine étape le Nucléaire militaire.
Oui, je suis fier. Fier d’avoir vu clair avant les “experts” aveugles. Fier d’avoir senti le soufre pendant qu’eux cherchaient encore leurs lunettes, s’embourbant dans des contorsions intellectuelles pour accoucher de théories séduisantes, mais si tirées par les cheveux qu’elles ne tiennent face à aucune analyse sérieuse, ni même au temps qui passe.
La preuve ? Regardez cette photo avec Charles. Regardez cette conférence, annoncée en grande pompe à Londres, où il sera question de nucléaire pour “protéger” l’Ukraine. Tout était prévu.
Ce qui s’est joué à Washington n’avait rien d’un accident. Macron n’était pas un spectateur, il a tiré les ficelles avant, pendant et après. Même la tenue de Zelensky portait sa signature : cet homme est en totale subjugation. Et Trump n’a pas su le mesurer. S’il avait compris, il aurait réglé l’affaire en tête-à-tête avant même que le piège ne se referme.
Trump, écoute-moi : crois en toi, fuis ce diable. Ton intuition est une boussole divine. Ne la laisse jamais s’égarer.
Suite aux événements survenus hier à la Maison Blanche avec Volodymyr Zelensky, Haltbakk Bunkers, l’une des principales entreprises norvégiennes de carburant marin, a annoncé qu’elle ne ravitaillerait plus les navires de la marine américaine. La société a également appelé les autres entreprises européennes à refuser de servir les forces américaines.
Je ne tire aucune gloire d’avoir vu juste avant tout le monde – c’est normal. Je suis seul à intégrer l’eschatologie dans mes analyses, à rejeter les théories comme QAnon ou les influences loubavitch, et à considérer qu’Emmanuel Macron est au sommet de ce chaos, orchestrant tout dans les forces du mal. Selon moi, c’est lui qui a manigancé cette situation, utilisant ce grain de sable médiatique dont il avait besoin. Et le pire est à venir : tout ne fera que s’aggraver.
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Alors que l’attention internationale reste rivée sur Volodymyr Zelensky et le psychodrame en Ukraine, un autre théâtre d’opérations avance dans l’ombre, presque sans bruit. Comme je le dis et le répète depuis longtemps, Benyamin Netanyahu, loin de se contenter de la situation actuelle, poursuit avec détermination son projet d’annexion progressive d’un « Grand Israël ». Rien, semble-t-il, ne pourra arrêter cette ambition. Et aujourd’hui, c’est en Syrie que cette dynamique se déploie
Des informations de dernière minute confirment qu’Israël se prépare à une intervention militaire dans le sud de la Syrie. Selon des sources officielles, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et son ministre de la Défense, Yisrael Katz, ont ordonné à l’armée israélienne (Tsahal) de se tenir prête à défendre le village druze de Jaramana, situé en périphérie de Damas. Ce village est actuellement sous la menace des forces du Hayat Tahrir al-Cham (HTS), un groupe djihadiste qui a joué un rôle clé dans la chute récente du régime de Bachar el-Assad.
Dans une déclaration ferme, Netanyahu a averti : « Nous ne permettrons pas au régime islamique extrémiste en Syrie de s’en prendre aux Druzes. Si le régime porte atteinte aux Druzes, il en subira les conséquences de notre part. » Derrière cette rhétorique de protection humanitaire, beaucoup y voient une opportunité stratégique pour Israël d’étendre son influence dans la région.
L’effondrement du régime d’Assad, orchestré en partie par HTS, semble désormais servir les intérêts israéliens. Ce groupe, souvent qualifié de « vassal » par les observateurs critiques, aurait été instrumental dans le renversement du pouvoir syrien. Aujourd’hui, Israël pourrait chercher à exploiter cette instabilité pour consolider sa présence en Syrie, notamment dans les zones frontalières stratégiques comme le sud du pays.
Aparté
Israël a une longue histoire de frappes aériennes en Syrie, bien avant la chute du régime de Bachar el-Assad en décembre 2024. Depuis le début de la guerre civile syrienne en 2011, ces bombardements visaient principalement des cibles liées à l’Iran et à ses alliés, comme le Hezbollah, pour empêcher le transfert d’armes ou la consolidation de positions hostiles près de la frontière israélienne, notamment dans le Golan occupé. Avec le renversement d’Assad par Hayat Tahrir al-Sham (HTS) et ses alliés, la stratégie israélienne a évolué : dès les premiers jours de l’effondrement du régime, Israël a intensifié ses opérations, lançant environ 600 frappes en quelques semaines, détruisant 70 à 80 % des capacités militaires syriennes, y compris des bases aériennes, des dépôts d’armes et la flotte navale à Lattaquié. Ces actions visaient officiellement à empêcher que des armements, notamment chimiques, ne tombent entre les mains de groupes extrémistes.
Parallèlement, Israël a profité du vide sécuritaire pour avancer ses positions terrestres dans le sud-ouest de la Syrie. Le 8 décembre 2024, Netanyahu a ordonné la prise de la zone tampon démilitarisée établie par l’accord de 1974, arguant que le retrait des forces syriennes avait rendu cet accord caduc. Les troupes israéliennes ont dépassé cette zone, occupant des points stratégiques comme le mont Hermon et des villages proches de Damas, jusqu’à 15 kilomètres de la capitale. Cette région, incluant le gouvernorat de Quneitra et des parties de Rif Dimashq, est cruciale non seulement militairement, mais aussi pour ses ressources en eau. Les réserves d’eau potable du sud-ouest syrien, notamment celles alimentées par les hauteurs du Golan et le bassin du Yarmouk, représentent une part significative des ressources hydriques régionales. Bien que des chiffres exacts comme « plus de 40 % » des réserves d’eau syriennes soient difficiles à confirmer sans données officielles récentes, cette zone est historiquement vitale pour l’approvisionnement en eau de la Syrie et des pays voisins, un enjeu exacerbé par la crise climatique et les années de guerre.
Ce mouvement israélien soulève plusieurs interprétations. D’un côté, Israël justifie son occupation par des impératifs de sécurité, craignant que le nouveau pouvoir syrien, dominé par HTS—auparavant lié à Al-Qaïda—ne devienne une menace, malgré les déclarations conciliantes d’Ahmed al-Sharaa, leader de HTS, qui a assuré ne pas vouloir confronter Israël. De l’autre, cette expansion territoriale, combinée aux frappes massives, est perçue par certains comme une opportunité d’annexion durable, dans la lignée de celle du Golan en 1981, reconnue uniquement par les États-Unis sous Trump. Les ressources en eau, bien que non explicitement mentionnées par Netanyahu, sont un facteur stratégique implicite : le contrôle du Golan et des zones adjacentes renforce la domination israélienne sur les aquifères régionaux, un atout critique dans une région aride.
Cette situation crée un piège géopolitique complexe. Pour la Turquie, qui soutient certains groupes rebelles, l’avancée israélienne limite son influence au sud et complique ses relations avec le nouveau pouvoir syrien. Pour la Russie, qui conserve ses bases à Tartous et Hmeimim malgré une présence réduite, les frappes près de ses positions et l’occupation israélienne fragilisent son rôle de garant de la stabilité syrienne, déjà ébranlé par son focus sur l’Ukraine. Pour Trump, qui revient au pouvoir depuis janvier 2025, cela risque de torpiller ses ambitions diplomatiques, comme un rapprochement avec l’Arabie saoudite ou une détente avec l’Iran, en ravivant les tensions régionales. Enfin, la France et l’UE, qui souhaitent réduire l’influence russe en Syrie, pourraient voir dans les actions israéliennes une déstabilisation supplémentaire, bien que Macron, en contact régulier avec Netanyahu, n’ait pas publiquement critiqué cette offensive, laissant planer des doutes sur son implication tacite. Et quid du Liban ?
En somme, l’occupation du sud-ouest syrien et le contrôle potentiel des réserves d’eau s’inscrivent dans une stratégie israélienne de long terme, mêlant sécurité et opportunisme.
Vers un « Grand Israël » ?
Ce développement en Syrie n’est pas un événement isolé. Il fait écho à une vision à long terme que Netanyahu et son gouvernement n’ont jamais véritablement dissimulée : l’expansion d’Israël au-delà de ses frontières actuelles. Alors que le monde regarde ailleurs, distrait par d’autres crises, le régime israélien avance ses pions avec une précision implacable.
La situation reste explosive. Si Israël lance une offensive dans le sud de la Syrie, les répercussions pourraient être majeures, tant sur le plan régional qu’international. Une chose est sûre : Netanyahu, ravi de cette diversion mondiale, continue de tracer son chemin, et rien ne semble pouvoir l’arrêter pour l’instant.
Ainsi
Tandis que le monde s’égare sur Zelensky, Benyamin Netanyahu, en lien étroit avec Emmanuel Macron, savoure son plan machiavélique. L’annexion du « Grand Israël » avance, implacable, et la Syrie en est le prochain théâtre. Israël prépare une offensive dans le sud, sous prétexte de protéger les Druzes de Jaramana, menacés par HTS – ces pions djihadistes qui ont chassé Assad. Mais ne nous y trompons pas : HTS n’est qu’un outil, manipulé par Netanyahu pour semer le chaos et justifier ses conquêtes. Rien n’est hasard. Tout est orchestré, synchronisé avec Macron, dans une danse diabolique où chaque pas sert leur ambition. Tout cela est eschatologique, mais qui l’accepte ?
Encore une fois, cette lettre est gratuite. Mais posez-vous une question simple : si elle était payante, auriez-vous hésité à lui accorder de l’importance ?
Depuis son excommunication en juillet 2024, Mgr Carlo Maria Viganò, ancien nonce apostolique aux États-Unis, ne mâche pas ses mots. Dans ses déclarations récentes, il dénonce avec une fureur prophétique ce qu’il appelle la trahison de l’Église catholique par le pape François, un homme qu’il refuse de nommer autrement que « Bergoglio ». Mais ses attaques ne s’arrêtent pas là : elles visent aussi Emmanuel Macron, présenté comme un complice dans une vaste entreprise de subversion mondiale, ainsi que des scandales personnels et des dérives idéologiques de l’Église.
Aparté
Depuis son excommunication prononcée par le Vatican le 4 juillet 2024, Mgr Carlo Maria Viganò, ancien nonce apostolique aux États-Unis, continue de faire entendre sa voix, fidèle à sa ligne radicale. Le Dicastère pour la Doctrine de la Foi l’a déclaré coupable de schisme pour son refus de reconnaître l’autorité du pape François, son rejet de la légitimité du Concile Vatican II et sa rupture de communion avec l’Église. Cette mesure, rare pour un prélat de son rang, a été officialisée le 5 juillet 2024, après qu’il a refusé de se présenter à Rome pour sa défense.
Viganò n’hésite pas à lier Macron et François dans une conspiration qu’il qualifie de satanique. Dans une déclaration choc du 27 février 2025, il affirme que « Bergoglio, avec Macron à ses côtés, incarne la marionnette d’un pouvoir mondialiste qui cherche à détruire la foi et la civilisation chrétienne ». Pour lui, leur synchronisation n’est pas un hasard : Macron, qu’il a déjà accusé d’être un agent du « Nouvel Ordre Mondial », serait un exécutant des mêmes forces occultes que le pape. Il évoque notamment la gestion de la crise pandémique, où les deux hommes auraient collaboré pour imposer des mesures autoritaires, dont les vaccins, au mépris des libertés fondamentales.
Plus provocateur encore, Viganò a relancé les rumeurs autour de Brigitte Macron dans un texte publié en juillet 2024, qualifiant son mariage avec Emmanuel d’« aberration » et insinuant des « vérités cachées » sur son identité. « Macron, sous l’influence de forces obscures, vit dans une imposture qui reflète celle de Bergoglio sur le trône de Pierre », écrit-il. Sans apporter de preuves, il utilise ces allégations pour diaboliser le président français, le présentant comme un symbole d’une élite décadente liée au Vatican actuel. Surprise ?
Viganò revient aussi sur la position de François, qui, en 2021, a qualifié la vaccination contre le Covid-19 d’« acte d’amour ». Pour l’archevêque, cette prise de position est une trahison. « L’Église, sous Bergoglio, a vendu son âme aux puissances pharmaceutiques et aux globalistes, forçant les fidèles à accepter une injection expérimentale sous couvert de charité », tonne-t-il dans une lettre d’octobre 2024. Il accuse le Vatican d’avoir abandonné sa mission spirituelle pour se plier à une agenda politique, une critique qui trouve écho chez certains fidèles sceptiques. Merci McKinsey et Pfizer ?
Enfin, Viganò fustige ce qu’il appelle le « prosélytisme LGBTQ+ » promu par François. La décision papale de décembre 2023 autorisant les bénédictions de couples de même sexe est, pour lui, la goutte d’eau. « Bergoglio impose l’acceptation de l’homosexualisme, transformant l’Église en une institution inclusive, immigrationniste et éco-durable, loin de la vérité divine », écrit-il en janvier 2025. Il y voit une continuité avec les réformes du Concile Vatican II, qu’il rejette comme une « hérésie » fondatrice de cette dérive.
Face à cette « Église synodale » qu’il juge corrompue, Viganò lance un appel vibrant aux catholiques : résister à François, à Macron et à leurs alliés. « Nous sommes dans une guerre spirituelle contre des forces démoniaques », affirme-t-il. Ses mots, bien que controversés, résonnent auprès d’une frange traditionaliste. Reste à savoir si ce cri dans le désert d’un excommunié changera la donne ou s’éteindra dans l’indifférence.
Bien sûr, Mgr Viganò me suit et nous échangeons de temps en temps… je ne sais pas exactement à quel point il adhère à mes analyses. Mais chose certaine, il me considère comme le meilleur analyste en langue française, c’est un fait qu’il a lui-même exprimé !
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Regardez autour de vous : combien de figures que vous croyiez sincères hier vacillent aujourd’hui sous la pression ? Combien trahissent leurs propres convictions pour quelques honneurs ou une place plus confortable ? Combien, après avoir dénoncé les manipulations, finissent par les relayer eux-mêmes ? Sans une colonne vertébrale inébranlable, personne ne tient.
Nous sommes comme Ulysse face aux sirènes : séduits par des récits enjôleurs, mais qui ne mènent qu’au naufrage. La seule façon d’y échapper, c’est de s’attacher fermement à une grille de lecture juste, cohérente, et libre de toute compromission. C’est ce que je fais ici, et ce que font les rares journalistes citoyens qui n’ont pas vendu leur intégrité.
Depuis des années, j’écris, j’alerte, je décrypte. Longtemps ignoré, parfois moqué, je constate aujourd’hui que les faits finissent toujours par donner raison aux analyses sincères et rigoureuses. Mais il faut du temps pour voir clair et encore plus pour être entendu.
Ce combat n’est pas seulement un combat pour l’information. C’est un combat spirituel, une épreuve de foi et de discernement. Car si vous doutez de tout, alors ceux qui vous manipulent ont déjà gagné.
Pâques approche. Carême et Ramadan se superposent cette année. L’état du Pape inquiète. Rien de tout cela n’est anodin. Tout prend sens, et tout s’accélère.
C’est maintenant qu’il faut tenir bon. Ne lâchez pas les repères qui vous maintiennent debout. Suivez ceux qui parlent avec droiture, non ceux qui vendent du spectacle.
Emmanuel Macron calcule chaque mouvement avec une précision glaciale. Sa mission : consolider le camp du mal, neutraliser toute dissidence, imposer un ordre implacable. Pas d’émotion, juste une stratégie létale.
En opposition, cinq forces brutes – Poutine, Trump, Xi, Ben Salman, Musk – doivent s’aligner. Une coalition nécessaire, mais anormale. Leurs profils divergent, leurs bases les renient, l’opinion les rejette. Pourtant, cette union est la seule barrière face au plan de Macron. Sans elle, le chaos gagne.
Parallèlement, chrétiens et musulmans doivent fusionner leurs lignes. Les divisions, artifices entretenus par les manipulateurs, n’ont plus de place. L’enjeu n’est ni national ni religieux : il est terminal, eschatologique.
Macron domine le plateau. Les cinq et les fidèles, s’ils échouent à s’unir, signent leur propre dissection.
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