C’est un miracle ? Nous sommes en 2025 ! Finalement jusqu’ici tout va bien ? NON Ainsi, dès ce soir, une nouvelle minute de silence pour les Palestiniens de Gaza, le lieu où l’humanité est assassinée…
Dans "Le Lien", je vais tisser des histoires qui traversent les générations, des histoires où les héros ne sont pas des super-héros en collants, mais des personnes avec des coeurs battants, des âmes…
Un peu de musique - Ecoutez la magie de cet hymne et regardez combien Moscou est belle
Réfléchissez-y quand vous entendez des sottises à propos de ce pays, comme tous ceux qui sont décriés et harcelés par l'empire du mensonge, avec ses légions d'adorateurs du diable et leurs accommodements idéologiques et compromis.
Comment l’humanité pourra-t-elle survivre à Gaza ?
Sommes-nous encore vraiment humains en 2025 à festoyer ?
Je n'ai pas eu le cœur à faire la fête cette année.
Trop de choses,
Trop de détresse,
Trop de silences à briser.
Nous devons arrêter cela avant que l'humanité ne s'efface complètement.
Et dire ce qui se passe vraiment. Ainsi seulement en vérité nous pourrons redevenir un par un … HUMAIN ET LIBRE.
Ma dernière lettre de 2024 demeure une pertinente première lettre de 2025.
Je vous invite à y consacrer le temps nécessaire pour la lire en entier.
C'est une seule et même lettre, de haut en bas !
Et je vous serais reconnaissant de partager vos impressions ensuite.
Cette lettre peut être lue via l'application SUBSTACK si vous le préférez.
Voici le lien, avec un bouton "lecture" ;-) qui vous permet de faire autre chose en même temps, d'autant plus que la voix est bien rendue.
S’il vous plaît ESSAYEZ et lisez ou écoutez toute cette lettre.
Ah, 2024, l'année où j'ai répété à l'infini, espérant que l'écho soit plus convaincant à chaque tour que depuis 2019, lors de mes débuts publics sur X. En route pour 2025, où j'espère que mes redites ne deviendront pas encore plus assourdissantes.
Vous m'avez submergé de conseils, et je les ai tous lus, répondant à ceux qui ne me faisaient pas trop bâiller (humour …), juste pour vous montrer que je ne suis pas totalement sourd aux sirènes du bon sens. Merci pour ça.
Vos suggestions sont comme des échos dans une grotte – être égoïste, prendre du recul, se rappeler que les cimetières sont pleins de ceux qui se croyaient indispensables (et regardez, personne ne se souvient d'eux).
Je devrais m'améliorer, faire des vidéos YouTube dignes d'un Oscar, abréger ces lettres sur SUBSTACK, moins polluer X avec mes pensées, arrêter de me répéter...
Mais suivre ces conseils, ce serait renoncer à mon identité pour devenir un clone de ces gourous du développement personnel. Mon moteur, c'est le cœur, l'âme, l'intuition – pas une feuille de route stratégique. J’en accepte les conséquences, car ça vient de moi, ça permet d’être en équilibre, en conscience et en confiance. C’est un vrai luxe d’accepter d’être soi même, le seul truc c’est que de temps en temps je me rase, et que j’essaye de faire des vidéos dans un lieu agréable.
Et pendant que je travaillais comme un forçat sans rien demander, ma vie s'est transformée en une série dramatique à la française. Demander de l'aide ? C'est comme admettre que notre super-héros intérieur a besoin d'une pause ou d’une âme charitable. Il m’a fallu du temps pour accepter que si mon travail n’avait pas de prix, il avait quand même une valeur, et qu’il était juste que je ne soit pas le seul à en avoir conscience. Vous êtes quelques un à m’avoir répondu et je sais qu’en 2025 d’autres viendront, car ma constance et mon conscience sont une vraie différence dans un monde plein de ventilateurs et de girouettes, qui aiment la poudre blanche et l’entre soi mafieux. D’ailleurs, vous êtes constamment abusés par ces "marchands du temple de la dissidence" – des charlatans qui profitent de votre intelligence et de votre temps, tout en prétendant être les sauveurs du monde. Cela vous rend naturellement échaudés et je le comprends, c’est pourquoi, la liberté est mon credo, l’humain est mon combat et ce pèlerinage est mon chemin. En revanche, je propose la découverte de BON MIEL, et ça, pour ceux qui l’ont goûté, c’est un autre extraordinaire cadeau de ma hotte ;-). Essayez ?
(Contact : bertrand@55bellechasse.com)
Certains me suggèrent que je pourrais :
- Me concentrer sur la qualité plutôt que la quantité (parce que dans la société de consommation frénétique et du zapping à la tik tok, la qualité se vend mal).
- Collaborer avec d'autres (pour diluer la folie entre plusieurs et devoir accepter de concilier y compris sur Gaza ou sur Poutine, voire même sur Musk ou autre, c’est à dire d’attendre avant de prendre position et donc laisser le terrain à ceux qui disent l’inverse de ce que je pense qu’il faut affirmer ou dénoncer. Je ne veux pas, mais j’accepte de l’aide et du soutien, vous le savez et même je vous le demande, c’est un peu faire équipe ?).
- Investir dans des formations (pour améliorer mes compétences ou juste remplir les poches de quelqu'un d'autre ?) ou en proposer !
- Diversifier mes revenus (quand je suis déjà diversifié comme un menu de fast-food, et que je ne réussis pas à faire tout ce que je devrai faire, pour aller aussi loin que je voudrai dans le partage de mes analyses).
- Prendre du temps pour moi (pour ne pas finir comme une allumette consumée, ou comme la petite marchande d’allumette … ou au cachot sur ordre de l’antechrist, car épuisé ma langue a trop fourché et il ne l’a pas toléré).
- Être sélectif avec mes sujets (comme si mes sujets n'étaient pas déjà une suite de chaos qu’il faut tous connecter entre eux, pour pouvoir maîtriser le moindre d’entre eux. C’est pourquoi d’ailleurs mon profil en insupporte tellement, je donne du sens à ce qui sinon n’en a jamais et permet de maintenir dans la torpeur où on indifférence jusqu’à l’acte final).
- Utiliser des stratégies de marketing (parce que manipuler, c'est le nouveau mot pour sincérité).
- Créer une communauté (ou devrais-je dire un culte ?), on me reproche déjà d’exister, alors … créer une bande je vous dis pas !
Avec tout ça, je suis dans un sacré pétrin. Ce n’est plus mon truc, d’ailleurs même dans le passé ça ne l’était pas, mais c’était mon initiation pour devenir qui je peux essayer d’être aujourd’hui, un être LIBRE ET HUMAIN.
(Mais svp n’arrêtez de m’écrire et m’appeler avec vos conseils, ça me maintient en éveil et en questionnements.)
J'ai décidé de suivre mon cœur, ce qui signifie que je dors bien, sauf quand je suis réveillé par la menace d'une garde à vue pour avoir posé des questions qui dérangent. Mon contenu est gratuit parce que qui voudrait payer pour ce que je donne déjà ?
Depuis un an, je sais que sans vous, je serais un naufragé sur l'île de l'absurdité. Vous avez en partie, financé ce qui est devenu un travail à temps plein – un travail qui me prend plus d'heures que je ne dors. À nouveau pensez à vous abonner, à me commander du miel ou à faire des dons, peu importe le montant, si le cœur vous en dit et l’intuition vous y invite.
En 2025, j'aurai enfin "Écrit un livre" ? (Il est dans ma tête et je commence à en accoucher.) Je ne vais pas écrire parce que c'est à la mode, mais parce que personne d'autre ne l'a fait, ce livre dont je rêve et qui aurait déjà dû être écrit des dizaines de fois. Ce sera un livre au service de la réhabilitation du réel, une ventilation des mensonges et des menteurs, mais d'une manière qui reconnecte le lecteur avec de belles valeurs, beaucoup d'optimisme et de confiance dans l'avenir, même si le présent semble sans issue.
Je ne prétends pas écrire un nouveau "Petit Prince", un "Livre vert" ou "rouge", un évangile ou un "Da Vinci Code", ni même "Inconnu à cette adresse" de Kressmann Taylor, qui est un rappel poignant que les tyrans ne s'arrêtent pas à ceux qui se croient en sécurité, ou encore "Le Jihad de Butler" de Frank Herbert, qui parle de la guerre des humains contre les machines; mon livre s'appellera "La Table Rouge", une saga dont le premier tome s'intitule "Le Lien". Il s'adressera aux petits et aux plus grands, et même aux anciens.
"La Table Rouge" n'est pas juste un livre; c'est une quête pour retrouver notre humanité dans un monde qui semble l'avoir oubliée. Dans "Le Lien", je vais tisser des histoires qui traversent les générations, des histoires où les héros ne sont pas des super-héros en collants, mais des personnes avec des coeurs battants, des âmes chercheuses, et des esprits qui refusent de se soumettre à la banalité du mal.
Ce sera une saga où chaque chapitre est une invitation à la réflexion, un appel à se détacher des illusions imposées par une société qui préfère l'ombre à la lumière.
"Le Lien" parlera de connexions, pas seulement entre les personnages, mais entre nous tous, avec la terre, avec notre passé, et avec l'espoir d'un futur où l'optimisme n'est pas juste une façade, mais une force motrice pour le changement.
Et si dans ce monde où tout semble écrit d'avance, "La Table Rouge" est une tentative de réécrire notre destin, de remettre l'humain au centre de l'histoire, loin des algorithmes froids et des mensonges sophistiqués. C'est un livre qui ne cherchera pas à vous divertir, mais à vous réveiller, à vous rappeler que même dans les moments les plus sombres, il y a une lumière à trouver, une vérité à embrasser, et un avenir à façonner avec nos propres mains.
(Suite)
en cette fin ou début d’année … s’il vous plaît …
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Découvrez ici un peu plus de la saga … cagnotte en bas de lettre !
(Suite)
Mais revenons au paysage actuel du Monde, cette folie de la dictature, celle du diable, cette guerre du Bien contre Le Mal, que je décris comme eschatologique, et qui nous concerne tous, y compris au fin fond de l’Amazonie ou sur tous les îlots des Maldives.
Le génocide à Gaza, une tragédie qui se déroule en direct, où chaque image terrible est cachée, et où les monstres donnent un cours magistral de cynisme, montrant comment on peut détourner l'attention du monde pendant que l'humanité se consume.
Les accusations de génocide à la Cour Internationale de Justice (CIJ) contre Israël sont le théâtre d'une bataille juridique où l'Afrique du Sud (rejointe par d’autres Pays) a demandé l'arrêt des opérations militaires israéliennes, soulignant que le gouvernement Netanyahu commettait un génocide, selon toutes les définitions possibles du terme. En parallèle, la Cour Pénale Internationale (CPI) a émis des mandats d'arrêt contre le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, pour crimes contre l'humanité, accusé d'avoir utilisé la famine comme méthode de guerre, entre autres crimes. Là où le froid glacial de l'hiver frappe Gaza, sans électricité, sans chauffage, sans nourriture humainement convenable ou confort minimum, sans les infrastructures de base pour survivre, on observe, à l’encontre des mêmes palestiniens, par les mêmes perpétrateurs, d'un apartheid assassin en Cisjordanie, où les indigènes (ils y vivent depuis bien avant mathusalem) subissent une ségrégation quotidienne, des confiscations de terres, des checkpoints militaires, et une violence systématique, tout cela sous le regard complaisant de ceux qui devraient protéger les droits humains.
La situation en Syrie... un autre acte de cette tragédie où les puissants jouent aux échecs avec des vies humaines et des territoires riches en ressources ou stratégiques pour relier les marchés. Les puissances étrangères ont soutenu tous ceux qui pouvaient déstabiliser le régime en place, souvent au détriment des civils syriens. Et dans ce chaos, certains ont eu l'audace de glorifier les coupeurs de têtes, les présentant comme des héros de la liberté, une réécriture de l'histoire où les bourreaux deviennent des sauveurs pour justifier des interventions militaires qui n'ont souvent d'humanitaires que le nom.
J'en parle souvent, mais c'est nécessaire, ces fameuses répétitions... Je devrais insister sur le sort du Liban, les incertitudes pour le Yémen et l'Irak, mais aussi l'Iran, même si elle semble hors de danger, merci à la Russie de Poutine, sauf si ses nouveaux dirigeants continuent à agir avec une immense naïveté.
Aparté
La mort de hauts dirigeants et de militaires iraniens a été un coup dur pour Téhéran, frappant directement au cœur de leur influence au Moyen-Orient. À Damas, un raid israélien a visé ce qui était considéré comme une annexe du consulat iranien, transformant en cendres non seulement des infrastructures diplomatiques mais aussi des vies humaines stratégiques. Parmi les victimes, Mohammad Reza Zahedi, un haut gradé des Gardiens de la révolution, était un pilier de la coordination entre les divers groupes islamistes soutenus par l'Iran, un homme clé dans la région. Sa mort a été un message clair : même derrière les murs des ambassades, personne n'est à l'abri des représailles israéliennes.
À Beyrouth, le bombardement a été encore plus dramatique. Le quartier où se trouvait le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a été réduit en poussière, sans laisser de survivants.
Nasrallah, un symbole du pouvoir et de l’influence de l’iran au Liban, a péri aux côtés d'Abbas Nilforoushan, un autre haut commandant des Gardiens de la révolution (et des dizaines de chefs clefs de ce mouvement devenu iconique dans la région). Ce bombardement n'a pas seulement visé des individus, mais a cherché et réussi (car c’était la pierre angulaire de toute une stratégie préparée depuis longtemps et qui attendait juste le Go du Prince des Ténèbresj à décapiter la structure de commandement du Hezbollah, montrant à quel point Israël était prêt à aller pour affaiblir ses ennemis, même au risque d'une escalade régionale. Les débris de ce qui était autrefois des bâtiments résidentiels et des bureaux ont servi de testament à la brutalité de la guerre moderne, où la diplomatie s'efface devant la force brute.
Ces actions ont laissé un vide de pouvoir, des incertitudes quant à la succession, et une question qui plane sur la région, alors que le Hezbollah est plus que décapité et que la Syrie est devenue de facto un pays ennemi, dans lequel l’Iran a laissé ses rêves de puissance régionale et des dizaines de milliards de $ mais aussi le respect d’elle même. Devant un tel constat, vont il réagir et si oui, jusqu'où ira la riposte iranienne ? Peuvent ils continuer à faire preuve de faiblesse et de mesure quand ils répondent à des attaques destructrices. Sont ils passés de tigres à chatons manucurés ?
L'Iran, déjà endeuillé par l'assassinat de Qassem Soleimani en 2020 et l'accident (signé MOSSAD ?) d'hélicoptère qui a coûté la vie à son président en 2023, doit maintenant naviguer dans un paysage encore plus complexe et hostile.
Le Liban, déjà fragilisé par des années de conflits internes et externes, se retrouve au bord de l'abîme, avec des infrastructures dévastées et une population sous le choc. Le Yémen et l'Irak, également touchés par les retombées de ces tensions, font face à des avenirs incertains, où les alliances peuvent changer du jour au lendemain.
La Russie, sous la direction de Poutine, a été une sorte de bouclier pour l'Iran, mais avec un nouveau leadership, l'Iran doit se montrer prudent, et solide dans ses alliances, ne pas succomber aux sucreries et promesses de leurs ennemis (déguisés en amis), car la naïveté dans ce jeu d'échecs géopolitique peut coûter bien plus que des pions.
Rappelez-vous des images du nouveau Président Iranien, Masoud Pezeshkian, souriant benoîtement lors de sa rencontre avec Emmanuel Macron, le 24 septembre 2024 à New York, en marge de l'Assemblée générale des Nations Unies, la veille des bombardements dévastateurs de Beyrouth le 25 septembre 2024.
Cette naïveté manifeste a conduit les dirigeants du Hezbollah à tomber dans un piège (en se réunissant tous ensemble, ce qui est contraire à la prudence élémentaire, mais qui leur semblait inutile compte tenu des garanties orales de cesser le feu promises par Macron) qui a coûté de nombreuses vies, suivant de près les attentats aux pagers au Liban en août 2024 et l'attentat contre Ismaïl Haniyeh à Téhéran le 31 juillet 2024. Comment pouvait-il être si naïf et croire que Macron était un émissaire fiable ? N'a-t-il pas suivi les visites de ce dernier chez Vladimir Poutine, notamment celle du 7 février 2023, où la lassitude de Poutine face à cette sournoiserie devenait évidente !
Ce nouveau président iranien, avec son sourire et son optimisme, semble ignorer les subtilités et les dangers de la diplomatie moderne, où chaque poignée de main peut cacher un poignard. Sa grande naïveté contraste avec la réalité d'un monde où les guerres ne se livrent plus seulement sur les champs de bataille mais à travers des réseaux sociaux, l'ingénierie climatique, la biologie de synthèse, et des armes technologiques comme les drones, les cyborgs, et ce que certains appellent l'« intelligence artificielle », mais qui dans ce contexte pourrait bien être une "inintelligence artificielle" – une force aveugle et destructrice.
De plus, les mollahs iraniens, avec leur appareil vieillissant, semblent incapables de s'adapter à cette nouvelle ère où la guerre est aussi une guerre d'information, de perception, et de manipulation génétique.
Leur rigidité idéologique et peut-être également leur manque de vision prospective les rendent vulnérables à des attaques qui ne respectent plus les anciennes règles du jeu. Ils doivent se rappeler du sort de Mouammar Kadhafi, assassiné le 20 octobre 2011 après la chute de son régime, de Saddam Hussein, capturé le 13 décembre 2003 et exécuté le 30 décembre 2006, et maintenant de Bachar el-Assad, qui devrait survivre à son pays, mais en se cachant à l’abris d’assassins et de chasseurs de primes. Ils doivent en tirer des leçons. Ils s'accrochent à un pouvoir temporel qui se désagrège sous l'assaut de nouvelles formes de conflits, où les lignes de front ne sont plus claires, où la vérité est une monnaie en voie de disparition, et où les adversaires peuvent frapper sans avertissement, à distance, avec des moyens qui dépassent l'entendement des stratèges d'antan. Ils vont devoir prendre des décisions aux conséquences terribles, ou accepter la fin de l’histoire pour leur Pays-Civilisation qui sera dépecé puis réduit en cendre sauf zones pétrolières et gazières qui seront elles préservées.
Ces événements, ces morts, ces bombardements, sont des rappels brutaux que dans cette partie du monde, la paix est un luxe que peu peuvent se permettre, et que la guerre, souvent, est le seul langage imposé aux pays pauvres et non alignés par ceux qui ne veulent rien partager. Cependant, j'ajoute que selon moi, tout cela s'inscrit dans un plan eschatologique qui dépasse la stratégie de la plupart des protagonistes, qui ne perçoivent qu'une vision trop fragmentée de ce qui se déroule pourtant sous leurs yeux. Nous assistons à une bataille pour l'âme de l'humanité, où les armes physiques et les stratagèmes politiques ne sont que les éléments visibles d'un conflit plus profond, spirituel et moral, où chaque partie pense jouer pour un enjeu bien plus grand que le pouvoir temporel ou la domination géopolitique. Je répète ici que la naïveté du nouveau président iranien et le caractère vieillissant des mollahs ne sont que des symptômes d'une maladie plus vaste qui touche l'humanité entière – une incapacité à voir au-delà du matériel, à comprendre les forces eschatologiques à l'œuvre, et à anticiper le prochain coup dans un jeu où les règles changent à chaque instant.
(Suite)
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Que fera la Chine, qui continue sa partie de Go avec une maîtrise qui force l'admiration, sachant qu'elle devra certainement en découdre à Taïwan, à Panama et aussi sur le plan financier et économique, que ce soit seule ou dans le cadre des Brics ? La Chine joue un jeu long, stratège, où chaque mouvement est calculé pour maximiser son influence mondiale. À Taïwan, Pékin prépare le terrain pour une réunification, soit par la diplomatie, soit par la force, avec des exercices militaires de plus en plus fréquents et des démonstrations de puissance destinées à dissuader toute intervention extérieure. La situation à Panama, un point névralgique pour le commerce mondial, est scrutée de près par la Chine, non seulement pour ses implications économiques mais aussi pour les potentielles alliances militaires et économiques dans cette région stratégique, surtout après les déclarations de Donald Trump.
Sur le plan financier et économique, la Chine cherche à réduire sa dépendance au dollar américain, promouvant le Yuan dans le commerce international et renforçant les institutions financières des Brics comme alternative aux structures économiques occidentales.
La Banque de Développement des Brics et la Nouvelle Banque de Développement sont des outils clés pour ce faire, offrant des financements à des pays membres et partenaires sans les conditions parfois jugées humiliantes et cannibales des institutions de Bretton Woods, qui ne servent en fait qu’à mettre en place un colonialisme 2.0. Comme c’est le talon d’Achille de l’hégémonie américaine, on peut prévoir un combat épique sur cette question des monnaies et systèmes alternatifs à l’hégémonie américaine. Les menaces fusent déjà. Mais avant d’affronter la Chine, les Etats-Unis rêvent de finir de dépecer l’Europe, qui elle se croit toute puissance au sons des incantations de Macron, qui sait que l’avenir de l’humanité est réduit à une feuille de papier à cigarette, qui brûlera comme un pétard quand il le souhaitera ? (Mais en eschatologie qu’est que cela veut dire ?)
L'alliance avec Moscou est un atout majeur pour la Chine, renforçant non seulement la sécurité énergétique mais aussi offrant un contrepoids géopolitique à l'Occident. Cette relation, forgée dans l'acier des intérêts communs contre l'hégémonie américaine, et plus encore, face à la perversion de certains chefs d’états qui rendent le monde plus instable que jamais (Macron et Netanyahu en tête, pour des raisons souvent décrites dans mes lettres), permet à la Chine de naviguer avec plus d'assurance dans les eaux turbulentes de la politique mondiale.
Je n'évoque pas dans cette lettre l'Ukraine, également très liée aux Khazars, comme tout le proche et moyen orient, mais je souligne que la Corée du Nord semble être de plus en plus dans la partie.
Pyongyang, avec son arsenal nucléaire et ses provocations militaires, sait que le destin qui se joue ne laissera aucune partie du Monde à l'abri. La Corée du Nord, en se positionnant comme un allié potentiel pour la Chine et la Russie, même si parfois encombrant, pourrait jouer un rôle clé dans ce que certains appellent une nouvelle guerre froide. Elle pourrait servir de levier diplomatique ou militaire pour influencer les politiques en Asie du Nord-Est, particulièrement en réponse aux mouvements stratégiques des États-Unis et de leurs alliés dans la région.
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Ainsi, la Chine, avec son alliance solide avec Moscou, sa stratégie à long terme à Taïwan et Panama, et ses efforts pour redessiner l'ordre économique mondial, montre qu'elle est prête à affronter n'importe quel défi, sachant que la partie de Go qu'elle joue sur l'échiquier mondial est loin d'être terminée, et que chaque pièce, y compris celles qui semblent les plus périphériques comme la Corée du Nord, pourrait bien avoir un rôle crucial à jouer.
Les Chinois prennent également conscience que l'eschatologie n'est pas juste un terme inventé par des grenouilles de bénitiers ou des hurluberlus en quête de sectes, mais bien une réalité tangible, résumée par Poutine avec des formules comme « bien contre le mal » et « bal des vampires », et «parfaitement» décrites, concernant Macron, dans mes nombreuses analyses qui sont depuis longtemps sorties des frontières de l’hexagone et intéressent de nombreux penseurs Russes et Chinois, mais également leurs médias.
Comment ils en apprécient la portée vertigineuse reste encore à voir, car pour l'instant, ils ne le montrent pas explicitement. Leur approche est plus subtile, comme on peut l’imaginer venant de se peuple millénaire. Ils observent et analysent les mouvements géopolitiques et culturels à travers le prisme de cette lutte eschatologique, mais ne se précipitent pas. La Chine, avec sa longue tradition de pensée stratégique et philosophique, pourrait bien être en train de reformuler ces concepts dans sa propre langue, adaptant la notion de "mandat du ciel" ou de "harmonie universelle" pour comprendre et naviguer dans ce qui pourrait être perçu comme une fin des temps ou un renouveau mondial. Leur silence public sur ces thèmes ne signifie pas une absence de réflexion ou de préparation; au contraire, cela pourrait bien être une indication de leur profonde compréhension et de leur préparation à ce que le futur pourrait apporter.
Quand on décrypte, et les russes et les Chinois ne s’en privent pas, on voit que ceux qui adorent le diable sont toujours à la manœuvre, dans l'ombre, ET qu'ils ont gagné presque toutes les batailles récentes, et cela sans y laisser beaucoup de contre parties. Le "grand Israël" se construit, étendant son influence et son territoire, tandis qu'en Occident, le maillage de l'OTAN et de l'UE se transforme en une toile d'araignée en titane renforcé, piégeant les nations dans une dépendance militaire et économique. La seule résistance notable semble venir de la "sainte Russie", et de quelques autres pays fragiles qui peuvent être déstabilisés à tout moment par l'Empire du mal, par le biais de révolutions de couleur ou de guerres par proxy, où les conflits sont alimentés par des intérêts géopolitiques plutôt que par des principes moraux ou humanitaires.
Ce monde semble orchestrer une symphonie de désastres où chaque note joue une partition écrite par ceux qui se plaisent à voir l'humanité divisée, affaiblie, et toujours prête à se vendre pour un peu de sécurité ou de prospérité illusoire. Les puissances manipulent les peuples comme des pions sur un échiquier géant, et pendant ce temps, les innocents de Gaza, de Syrie, de Cisjordanie, et tant d'autres endroits, souffrent en silence, oubliés par un monde distrait par ses propres illusions de grandeur et de supériorité morale. Mais en réalité je pense que tous ne sont que les pantins, d’un destin eschatologique qui nous dépasse tous, que la seule possibilité est de trouver sa propre voie, en se reconnectant à nos racines, à notre foi et à des règles dictées par le bon sens, c’est urgent.
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Dans ce monde où la vérité est plus tordue qu'un thriller de série B, prenons l'exemple des déclarations d'Elon Musk sur l'immigration, gonflées comme un ballon de baudruche selon l'idéologie du moment. On l'a tour à tour sanctifié comme un messie progressiste ou diabolisé comme le héraut de l'apocalypse, selon ce que les narratives du jour avaient besoin de vendre. Moi je crois que c’est un des acteurs essentiels à la sauvegarde du plus grand nombre d’humains à la veille de l’apocalypse.
Mais parlons de la bataille épique entre Fauci, Rand Paul, et Kennedy sur le sujet du Covid - une guerre de mots où la vérité est souvent la première victime.
Fauci, le grand prêtre de la science, s'est retrouvé sous le feu des critiques argumentées de Rand Paul pour des recherches de "gain de fonction" interdites, tandis que Kennedy Jr. dénonce et DÉMONTRE un complot pharmaceutique. Pendant ce temps, Pfizer et Moderna ont engrangé des milliards en vendant ce qui, pour SÛR, n'était pas loin d'être de la "merde" en bouteille – des vaccins dont l'efficacité et la sécurité ont été plus débattues que la dernière saison de Game of Thrones, ce qui a permis de maintenir le doute parmi les naïfs. Et les gouvernements ? Ils se cachent derrière le secret d'État, refusant de dévoiler les négociations, les contrats, et les milliards dépensés, comme si tout cela était une opération de l'ombre digne des plus grands complots.
Et que dire des journalistes qui, avec un mea culpa aussi léger que du papier de soie, admis leur complicité pendant les années Covid ?
Un mea culpa si léger qu'il est presque inaudible, une confession sans conséquence, où ils s'auto-absolvent d'avoir été les "marchands du temple" de la désinformation, manipulant les masses avec une science biaisée, des chiffres sortis du chapeau de magicien, et une peur cultivée comme une mauvaise herbe.
Et ces querelles entre les soi-disant dissidents ? Rien d'autre qu'un spectacle de marionnettes où chacun se bat pour une miette d'influence, créant un vacarme qui couvre le bruit de l'alarme de la réalité. C'est vrai dans le monde politique, avec les syndicats, aux heures de pointe des médias financés par l'État, ou chez leurs équivalents indépendants à fort tirage. Les médias dissidents, en prenant les grands médias comme modèle, ne font pas dans l'originalité; pourquoi changer une recette qui fonctionne et vous permet de prospérer dans une mafia bien organisée ? Chacun cherche à avoir sa part du gâteau médiatique, s'accusant de trahison ou d'incompétence, oubliant qu'ils jouent tous au même jeu de division et de distraction, pendant que la véritable corruption, les véritables injustices, restent dans l'ombre, tolérées ou ignorées car elles servent les intérêts des puissants. Un exemple, s'il n'en fallait qu'un, le traitement de l'actualité à Gaza, qui est pour moi la boussole pour savoir à qui vous avez affaire. La multiplication d’émissions et d’invités du matin au soir vise à s'assurer que vous n'irez pas chercher l'information ailleurs, vous noyant dans un brouhaha où vous ne retiendrez rien d'autre que le besoin de donner de l'argent ou de confier vos économies ou votre temps de cerveau disponible. Il y a peu d'exceptions... très peu.
Les pires Marchands du Temple ont déjà des états de services légendaires, mais leurs victimes n’osent que rarement parler, de ses loups déguisés en agneaux, j’y reviendrai car j’accumule trop de témoignages pour rester silencieux au sujet de certains lascars. Rien à voir avec les légendes urbaines, ce sont tout simplement de faux Robin des Bois et de vrais aigrefins. Ils plaisent d'ailleurs aux pouvoirs publics, qui ne les cueillent que quand ils ont vidé assez de bourses... histoire de décourager et d'écœurer définitivement, les braves aux cœurs purs et généreux, qui avaient espérés, pour la énième fois, ne pas avoir été abusés et trompés à nouveau.
Et ne nous étonnons pas si, dans un dernier acte de cette farce, Biden décide de pardonner Fauci, mettant ainsi fin à toute possibilité de procès. Après tout, dans ce monde, l'accountabilité semble être un concept aussi rare que l'honnêteté en politique. En France, ça commence mal, il n’y a aucune mise en examen, parmi les mis en cause « Covid », déjà peu nombreux et pas trop mal menés, quand on se rappelle le sort des suspendus et la vie des lanceurs d’alertes, traités comme pire que des pestiférés ou des terroristes. Idem au niveau de l’UE, puisque Van der Leyen est restée présidente de la Commission de Bruxelles. On en reparlera en 2025 ?
(Suite)
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Dans vos relations avec moi, soyez libre – libre de vous désintéresser, libre de participer. Et si je suis attaqué par Madame Macron, c'est parce que j'ai osé remettre en question le statu quo, et pour ça, j'ai une cagnotte. Rappelons-nous qu'on n'est jamais à l'abri de la tyrannie, même quand on pense être dans le camp des gentils.
Cette lettre est aussi un rappel cynique que nous sommes tous dans le même bateau, dirigé par des avides, des menteurs, et des manipulateurs. Alors, en cette fin d'année, je vous souhaite de vous reconnecter avec la vie, loin des agendas machiavéliques et des marchands de fausses poussière d'étoiles mais de vraies cendres de l’humanité, dont ils sont des artisans de la crémation.
Et si je semble cynique, c'est parce que je vois la boîte de Pandore ouverte, vomissant une AI débridée, une cybernétique de cauchemar, et une biologie qui joue à Dieu. Tout ça pour quoi ? Pour nous distraire de l'enfer que nous créons ?
Alors, faites une balade, allumez un cierge, et pour l'amour de tout ce qui est saint, reconnectez-vous à quelque chose de réel, avant que nous ne devenions tous des personnages de la dystopie que nous avons laissée se construire autour de nous. Si vous avez la foi, nourrissez là et partagez la.
Donc, en cette fin d'année, je vous exhorte à vous reconnecter à quelque chose de réel, loin des agendas machiavéliques et des promesses vides. Prenez un thé chaud, avec du bon miel (oui de MIEL … du MIEL …!), et regardez le ciel avant qu'il ne soit remplacé par des écrans de fumée plasma et votre survêtement par une camisole ou un uniforme de soldat, en partance pour le front d’une guerre qui n’est pas la vôtre !
Je nous souhaite le meilleur, dans la foi et l’espérance, dans l’amour et la bienveillance. Soyons aux côtés des hommes et femmes de bonne volonté en 2025 plus encore que par le passé. C’est ainsi que nous redeviendrons HUMAIN ET LIBRE, chacun et chacune.
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Joyeux NOËL
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L’impact du “laisser aller” sur l’Humain peut-être immense, surtout si ce dont on alerte prospère sans vigilance et opposition ferme.
❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️Meilleurs Voeux Bertrand pour cette nouvelle annee et tous les defis que cela annoncent. En tous les cas je me rejouis chaque fois de vous lire et j admire le fait que vous soyez le seul qui maintenez le cap contre vents et marees-. Ce n est que dans vos textes que je maintiens ma foi dans l homme et je sais que le BIEN triomphe TOUJOURS. ❤️💋🙏. Que Dieu te vienne en aide et te guide chaque jour puisqu il t a choisi pour REVEILLER les peuples. De tout coeur MERCI. MERCI. MERCI. ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Magnifique hymne russe. Et magnifiques paroles patriotiques.