Comprenez bien ceci : ce poison ne se contente pas d’effleurer la surface. Il s’enracine, il corrompt, il nous détourne de ce qui compte. La bataille est eschatologique ! Votre âme est la cible …
Elle exige que nous soyons lucides, humains, libres. Alors, ouvrez les yeux, tendez l’oreille, et refusez de danser sur cette mélodie qui n’est pas la nôtre, c’est celle du diable et de son bal des V.
Le monde marche sur des œufs : une lecture alternative de la géopolitique actuelle
Depuis cinq ans, je martèle une vérité que beaucoup refusent encore de voir : Macron n’est pas la France. Il n’est ni un simple pion ni un technocrate zélé, mais une force destructrice, un architecte du chaos, un rouage d’un projet qui dépasse les frontières hexagonales. Avec son binôme à l’Élysée, il façonne l’Histoire dans une direction précise : dissolution, asservissement, mensonge total. Ceux qui le réduisent à un exécutant d’intérêts étrangers sous-estiment la gravité du mal qu’il incarne. Pour moi, il est un acteur clé d’une guerre eschatologique qui approche, un feu bien plus vaste que les calculs politiciens ne peuvent saisir.
Longtemps, mes alertes ont résonné dans le vide. Mais voilà que Scott Ritter, ancien officier du renseignement américain, lâche une bombe verbale qui fait écho à mes mises en garde. Dans un texte récent (6 mars 2025), il déclare : « Il est temps d’affaiblir et de calmer la France. » Pour lui, tant que Macron dirigera un pays doté de l’arme nucléaire, la sécurité mondiale restera en péril. Il va plus loin, suggérant que si les Français ne règlent pas cela via les urnes, les États-Unis pourraient considérer la France comme une « menace existentielle » et agir – une allusion à peine voilée à une intervention. Ritter, comme moi, voit dans la France sous Macron un danger, non pas à cause de son peuple, mais à cause de ceux qui la mènent à sa perte. Bientôt, d’autres voix, comme celle de Jeffrey Sachs, pourraient rejoindre ce constat, pointant des dynamiques similaires à Tel Aviv, bien que dans une moindre mesure.
En face, Dmitri Medvedev, dans un tweet du 5 mars 2025, adopte une posture radicalement différente. Réagissant aux propos de Macron sur la « menace russe », il ironise : Macron « ne représente pas une grande menace » et « ne manquera à personne » après 2027, date de la fin de son mandat. Cette lecture minimisante m’inquiète profondément. Elle risque de tromper les Russes – et d’autres – sur la dangerosité réelle du duo Macron, en le réduisant à une parenthèse électorale. Medvedev va même jusqu’à relayer une fake news grotesque : un message sur X (début mars 2025) prétendant que Macron aurait été « assassiné » dans un complot, une rumeur absurde qu’il amplifie avec son sarcasme habituel pour discréditer le président français. Cette désinformation, bien que risible, illustre une stratégie : minimiser Macron pour mieux détourner l’attention de son rôle, au sein de son binôme étrange d’un couple d’inconnus, dans les tensions actuelles.
Là où Ritter décèle une crise immédiate – un Macron « désespéré » prêt à des actes imprudents, selon sa référence à Shakespeare (« Ô méfait, tu es prompt à entrer dans les pensées des hommes désespérés ! ») –, Medvedev mise sur une disparition banale en 2027. Ni l’un ni l’autre ne saisit pleinement la dimension eschatologique que je défends. Ritter s’arrête à une menace stratégique, Medvedev à une moquerie simpliste. Pourtant, les faits s’accumulent et j’en reprendrai beaucoup dans la suite de cette lettre : discours belliqueux de Macron sur l’Ukraine, proposition d’étendre le parapluie nucléaire français à l’Europe (5 mars 2025), fake news russes amplifiant le chaos, mais avant l’incendie de Notre Dame, les cérémonies des JO, la politique Covid de la France, etc. Ces éléments se télescopent, signes d’un bouleversement plus profond que les analyses conventionnelles ne captent.
Macron n’est pas la France, mais c’est la France – et peut-être le monde – qui risque de payer le prix de ses actes. Chaque jour, des analystes chevronnés rejoignent mes pas, mais trop peu osent nommer l’ennemi pour ce qu’il est : un mal implacable qui avance tandis que les consciences reculent. Jusqu’à quand tiendrons-nous avant que le feu ne consume tout ?
Chers lecteurs,
C’est comme si chaque instant de ma vie – chaque rencontre, chaque détour, chaque sourire comme chaque larme – m’avait minutieusement préparé à être là où je suis aujourd’hui. À faire ce que je fais, avec la passion qui m’anime, et à dire ce que j’ai à dire, en alignant mon cœur, mon âme et mon esprit, droits comme ma colonne vertébrale.
Depuis cinq ans sur mon compte X, trois ans sur ma chaîne YouTube, et quinze mois sur ma lettre Substack, je vous offre des analyses rares, libres, profondément humaines. Leur qualité et leurs conclusions, jamais démenties par le temps, parlent d’elles-mêmes. Ceux qui me suivent depuis longtemps connaissent mon intégrité : incorruptible, sans peur, je ne plie pas.
J’écris avec mon cœur, je mets toutes mes forces à m’informer, à prendre des notes, à ériger des remparts d’analyses pour vous protéger des pièges qui jalonnent notre époque. Je combats sans trembler les imposteurs, même lorsque ceux-ci, nombreux, cherchent à me nuire pour se défendre. Cela m’importe peu. Je n’agis ni pour des flatteries ni pour des accolades hypocrites. Mon moteur, c’est la vérité, et mon élan, l’amour.
Je ne prétends pas détenir une vérité absolue, ni que mon amour soit parfait. Ma personne compte peu. Ce qui compte, ce sont mes messages. Ils me semblent essentiels, forgés par 55 années d’une vie intense, marquée par des épreuves que je ne souhaite à personne. Ma récente garde à vue de 35 heures à la PJ de Paris – arraché à mon lit à 6h du matin, suivi de 10 heures d’interrogatoire – n’était, à côté des cicatrices du passé, qu’une anecdote presque légère. Ces blessures, bien refermées, sont devenues une armure face aux tumultes, mais aussi une carte de visite, un témoignage vivant. Peu ont traversé ce que j’ai traversé, accumulé une connaissance aussi intime des coulisses du pouvoir – politique, diplomatique, mondial – et trouvé le courage d’agir sans se soucier des représailles, qu’elles soient vengeances, amendes ou privations de liberté.
Car c’est bien le destin de l’humanité qui se joue. Pendant ce temps, les esprits étriqués et les confortablement installés peuvent bien continuer leurs petites affaires… Je n’ai pas de temps à leur consacrer. Chaque jour, mes analyses dissipent un peu plus les doutes : le danger incarné par le duo à la tête de l’Élysée – dont les origines, trop floues, trop lacunaires, laissent entrevoir un vertige infernal – est réel.
Pour poursuivre ce pèlerinage, j’ai besoin de vous. Oui, je le demande, et je le répète, sans honte. N’est-il pas naturel d’être soutenu ? Autrefois, les pèlerins étaient accueillis, nourris, encouragés sur leur chemin. Moi aussi, je ne peux avancer dans le dénuement total. Des échéances judiciaires pèsent sur moi. Je me donne à vous sans compter ; en retour, je vous invite à me tendre la main. Une souscription à ma lettre Substack, un petit geste de votre part (pensez au miel ?), me permettrait de continuer. Et si cela vous semble trop, un simple « merci » sera toujours reçu avec gratitude.
Avec toute ma considération,
Bertrand Scholler
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Il est facile de se perdre dans le bruit médiatique incessant, les récits simplistes et les manipulations grossières qui dominent les discussions sur la Russie, l’Ukraine, et leurs relations avec l’Occident. On nous répète à l’envie que tout est noir ou blanc : la Russie serait un agresseur assoiffé de conquêtes, l’Europe une victime potentielle, et Zelensky un héros défendant la liberté. Mais si l’on prend un peu de recul, si l’on gratte sous la surface, on se rend vite compte que cette version est non seulement simpliste, mais aussi vulgairement fausse et trompeuse. C’est en effet tout l’inverse, comme en Palestine d’ailleurs !
Je sais, je sais, ce n’est pas la première fois que j’aborde ce sujet. Mais comment faire autrement ? Partout autour de nous, on est submergés par un flot incessant de messages qui parasitent nos réflexions, nos échanges, et qui sèment des doutes aussi inutiles que destructeurs. Vous me direz peut-être que vous ne regardez plus trop les grands médias – et je vous crois, tant mieux ! – mais est-ce qu’on peut vraiment leur échapper complètement, en plus vous écoutez parfois comme une drogue des marchands du temple, que vous n avez pas encore démasqués pour ce qu’ils sont ?
La politique est partout, les mensonges niés et les vérités travesties et inversées en mensonges ou en propagandes voir en complots.
Cette musique empoisonnée, mes amis, s’insinue dans nos vies avec la sournoiserie d’une ombre qui jamais ne s’efface. Elle n’a pas de visage, pas de nom, mais elle est partout, tenace, implacable. Prenez l’école, par exemple : dès le berceau de l’enfance, on y façonne les esprits, on y plante les graines d’une pensée docile, d’un monde déjà dessiné pour eux. On leur apprend à réciter avant même de réfléchir – une leçon bien apprise, n’est-ce pas ? Puis vient le travail, ce théâtre quotidien où la machine à café devient l’autel des grandes vérités. Là, entre deux gorgées tièdes, les voilà qui s’improvisent stratèges géopolitiques, débitant des certitudes qu’ils ont avalées sans mâcher, sans jamais se demander d’où elles viennent.
Et que dire de nos loisirs, ces instants où l’on croit naïvement s’échapper ? On allume un écran, on ouvre un livre, on tend l’oreille à une mélodie, pensant se libérer, mais elle est là encore, tapie, prête à surgir. Cette musique empoisonnée ne nous lâche pas – elle est le murmure incessant qui accompagne chaque pas, chaque souffle. Mais le pire, permettez-moi de le souligner avec une pointe d’amertume, ce sont ceux qui se targuent d’être armés, intellectuellement parlant. Ces esprits soi-disant affûtés, ces chevaliers autoproclamés de la pensée libre, qui s’effondrent pourtant dès le premier dîner en ville. Oh, ils brillent un instant, entre le foie gras et le Château Margaux, mais à la moindre bourrasque du discours dominant, les voilà qui plient, par lâcheté ou par conformisme. Incapables de tenir bon, incapables de risquer une fissure dans leur petite image soigneusement polie. Tout ça pour quoi ? Pour préserver encore un peu leurs existences fragiles de jet-setters d’op operette, ces vies vaines qui s’effritent au moindre souffle de vérité.
Comprenez bien ceci : ce poison ne se contente pas d’effleurer la surface. Il s’enracine, il corrompt, il nous détourne de ce qui compte. Mais il y a une issue, une lumière dans cette nuit – et elle passe par le courage, par la foi en quelque chose de plus grand que ces mascarades. Cette bataille, je vous le dis, est eschatologique. Elle exige que nous soyons lucides, humains, libres. Alors, ouvrez les yeux, tendez l’oreille, et refusez de danser sur cette mélodie qui n’est pas la nôtre, c’est celle du diable et de son bal des vampires.
Réfléchissons deux secondes : dans les films hollywoodiens ou les séries qu’on se tape sur Netflix, les méchants ont toujours un accent slave (ou arabes et parfois chinois) et une gueule patibulaire, comme s’ils étaient nés pour faire peur. Ce n’est pas un hasard, c’est une machine à stéréotypes bien huilée. Depuis des lustres, l’Est, et surtout la Russie, est vendu comme le grand méchant loup. On pourrait se marrer de cette caricature si elle ne servait pas à manipuler l’opinion et à justifier des décisions qui nous écrasent un peu plus chaque jour.
Prenez un instant pour examiner vos dernières factures – électricité, gaz, essence – ou le prix de votre baguette à la boulangerie. Peut-être avez-vous aussi cherché un dentiste, en vain, avant de recevoir une note salée pour vos soins. Ces chiffres, qui grimpent en flèche, ne vous ont sans doute pas échappé. Et pourtant, que faisons-nous ? Nous restons, pour la plupart, étrangement silencieux. On nous sert des explications bien commodes : les tensions avec la Russie, les sanctions économiques, une conjoncture internationale soi-disant inévitable. Mais la vérité, celle que l’on évite soigneusement de prononcer, mérite d’être mise en lumière.
Ces sanctions, orchestrées par des esprits que l’on pourrait qualifier d’exaltés – pour rester polis –, ne sont pas sans conséquences. Elles se retournent contre nous tel un boomerang, faisant s’envoler les prix, fragilisant notre industrie et resserrant chaque jour un peu plus l’étau de notre dépendance. Pendant ce temps, ceux qui les ont décidées semblent indifférents à notre sort. Ils évoluent dans un univers dont la plupart d’entre nous ne soupçonnent même pas l’existence, un monde où l’argent ne se contente pas de couler : il déborde, il inonde.
Réfléchissons-y un instant. Comment expliquer que des bouteilles de vin ou de cognac s’arrachent à plusieurs milliers d’euros pour 75 centilitres ? Que des sacs à main minuscules coûtent davantage qu’une automobile ? Que des souliers atteignent le prix d’un tour du monde en classe affaires ? Et, plus troublant encore, comment justifier que des transitions de genre – présentées comme une nécessité médicale, jamais comme un caprice ou une pente glissante encouragée par certains – soient prises en charge par l’assurance maladie, alors que tant de besoins élémentaires restent ignorés ?
Ce contraste, n’est pas anodin. Il révèle une fracture, un décalage vertigineux entre ceux qui décident et ceux qui subissent. Les premiers vivent dans une opulence qui défie l’entendement ; les seconds, vous et moi, voyons notre quotidien s’éroder sous le poids de choix qui nous échappent. Alors, ouvrons les yeux : ces sanctions, ces priorités absurdes, ne sont pas des fatalités. Elles sont le fruit de décisions humaines, et il nous appartient de les questionner.
Donc, pourquoi ce cirque ? Les naïfs diront que c’est juste de la géopolitique foireuse. Les lucides, eux, savent que c’est plus tordu : c’est un plan pour nous habituer à morfler, à nous diviser, à nous pousser vers le chaos – des guerres civiles, carrément sadique … et ça marche, ils n’ont pas d’oppositions qui comprennent leur manège. Car comprendre c’est risqué d’être ridiculisé ou mis en garde à vue, voire même en prison.
Les peuples sont déjà à bout, rincés par les injections forcées qu’on nous a enfoncées dans le bras, les manipulations climatiques bidon, et les agendas sociétaux à la con, genre LGBTQ+, qu’on nous fait avaler de force. C’est pas une théorie fumeuse que j’affirme, c’est sous nos yeux, et ça pue la volonté de nous écraser en nous divertissant et détournant de notre humanité.
Regardez autour de vous : même les syndicats, qui devraient protéger les plus fragiles, les ordres professionnels (dont médicaux etc) sont largués, coincés entre leurs vieux combats et les délires qu’on leur impose, ils dépendent de l’argent de Bruxelles ou sont infiltrés d’envoyés spéciaux par des sociétés secrètes dont le rôle et de servir et d’asservir le beau et le saint, en marécage et sables mouvants (…). Et les églises, ces soi-disant refuges de paix et de spiritualité ? Foutaises. Même là, c’est la merde, merci McKinsey et “le vaccin c est l’amour” qu’ils ont réussi à nous injecter dans l’âme urbi et orbi. Les cardinaux se permettent même de taper sur la Russie en public. C’est pas un détail innocent, c’est une preuve : l’Église, qui devrait planer au-dessus des magouilles politiques, plonge tête la première dans le jeu des puissants. Ils ne font qu’attiser le feu au lieu d’être des médiateurs neutres qui défendent la vie.
Et heureusement, il y a la Russie au milieu de ce bordel – la “sainte Russie”, comme on l’appelait avant, avec son passé chargé de foi et de grandeur. Aujourd’hui, c’est Vladimir Poutine qui tient la barre, et il divise autant qu’il fascine. Il va à la messe, parle de Dieu, défend des valeurs qu’on a piétinées chez nous, il respecte les puissants et les déshérités, il relève une société fracturée et sait prouver que son pays, son peuple ne va pas rompre. Pour beaucoup, pour moi, c’est le leader le plus chrétien du monde actuel. Écoutez sa sortie sur “le bal des vampires est terminé” : une façon de dire que notre décadence crasse, nos excès et notre abandon de toute morale nous mènent dans le mur, mais aussi qu’il y a en notre des seins des assoiffés de sang et qui ont signé un pacte avec le diable. D’accord ou pas, il cogne là où ça fait mal, il désigne et nomme les ennemis qui se reconnaissent, et il voit les enjeux et risques réels de fin du monde mieux que nos clowns en costard, qui pour la plupart n’ont pas compris qu’ils étaient manipulés. Lui ne fait pas parler la poudre pour relancer une industrie, il le fait pour sauver l’humanité !
En cette période de Ramadan et de Careme, parlons, voulez-vous, de l’Église catholique, ce théâtre d’une guerre qui, il faut l’admettre, ne manque pas d’un certain panache dans sa brutalité élégante. Là-dedans, ça cogne, ça trahit, ça complote – un ballet presque admirable dans sa sauvagerie raffinée. Et au cœur de cette mêlée, une question se pose, glaciale et insistante : quel rôle joue véritablement Emmanuel Macron ? Lui, si proche du pape François – ce François qu’on a hissé de force sur le trône de saint Pierre, évacuant sans ménagement l’immense Benoît XVI. Et par qui, je vous le donne en mille ? Obama, bien sûr, cet habile marionnettiste, l’un des grands parrains… de Macron lui-même. Tout cela, mes amis, n’est pas un hasard. C’est une partition écrite depuis la nuit des temps, un plan méticuleux où chaque note résonne avec une précision diabolique. Macron n’est pas un accident de l’histoire ; il est leur élu, un réceptacle soigneusement choisi. Il porte en lui le diable – et voilà pourquoi il s’entoure d’un binôme, car, soyons sérieux, le Malin a besoin d’espace pour déployer ses ailes.
Monseigneur Viganò, lui, a flairé la bête. Ce prélat indomptable, figure altière de la résistance spirituelle, ne se contente pas de murmurer ses récriminations dans les couloirs feutrés du Vatican, oh non. Il cogne, il tonne, il assène ses vérités avec une verve qui ne tremble pas. Ses mots sont des lames : il fustige les compromissions honteuses d’un clergé à la dérive, ces soutanes qui s’égarent dans les marécages du pouvoir, et il n’épargne pas les élites politiques – françaises en tête – qui se vautrent dans une fange aussi indigne qu’elles sont bien coiffées. Macron ? François ? Pour Viganò, ce sont des serviteurs zélés de Satan, des pions huilés d’une machinerie infernale. Il ne va pas aussi loin que moi, c’est vrai – pas encore. Mais il y vient, il le sent, il le pense de plus en plus. Car comment avaler l’impensable ? Pendant des décennies, on nous a désigné l’ennemi à Washington, à Moscou, à Pékin – des capitales commodes, des boucs émissaires bien taillés. Jamais à Paris, au Vatican ou à Tel-Aviv, ces prétendues marionnettes. Et pourtant, c’est là que le diable et ses princes ont posé leurs trônes, riant sous cape de notre cécité.
Rendons justice à Viganò : il a vu l’essentiel. Comme Dugin, d’ailleurs – mais ce dernier, hélas, s’essouffle, radote, s’enlise dans ses vieilles lunes. Et moi, alors ? Bertrand Scholler, seul avec cette analyse qui résiste à tout, cette bravoure qui refuse de plier sous les assauts d’une violence aussi visible que palpable, dont je suis la cible depuis quatre ans. Je n’en tire aucune gloire, croyez-moi. Cet isolement me pèse, me ronge. Mais Viganò et Dugin, eux, ont payé un prix plus cruel encore. Viganò, excommunié en 2024, jeté aux orties comme un paria par une Église qui préfère les tièdes aux téméraires. Ses anciens alliés, ces âmes jadis convaincues, ont choisi la prudence douillette, le confort des pantoufles ecclésiastiques plutôt que le fracas du combat. Des poltrons, des lâches en col romain, qui tremblent à l’idée d’un froncement de sourcil ou d’une mauvaise ligne dans les gazettes vaticanes. Quant à Dugin, son calvaire est plus poignant encore : sa fille, cette femme magnifique, lumineuse, aux paroles claires et puissantes, assassinée. Elle manque, cruellement.
Et pendant ce temps, l’Église vacille. Une institution qui sacrifie ses meilleurs éléments sur l’autel de la couardise ne mérite-t-elle pas de s’évanouir dans un murmure d’opprobre, un dernier soupir aussi tragique que distingué ? La chute, si elle vient, je ne le souhaite pas, mais les prophéties l’annoncent, aura au moins le mérite d’être impeccablement mise en scène.
Et ne nous y trompons pas, ce n’est pas un simple accroc dans la soutane.
Considérons, l’affaire de Bétharram – un scandale d’abus qui éclabousse prêtres et notables dans un recoin perdu des Pyrénées, un tableau d’une rusticité presque pittoresque, ne trouvez-vous pas ? Ce n’est pas seulement une sordide anecdote locale ; c’est une fenêtre ouverte sur une Église et une classe dirigeante française rongées par une corruption d’une sophistication exquise, presque artistique dans son écœurement. Ici, l’impunité joue les grandes dames, souveraine incontestée d’un bal où les coupables valsent avec une aisance mondaine. Une petite pirouette bien exécutée, un sourire en coin, et hop, les responsabilités s’évanouissent dans un silence d’une politesse si raffinée qu’on en applaudirait presque. Les institutions, complices jusqu’à la moelle, orchestrent cette chorégraphie avec un savoir-faire impeccable. Et l’argent ? Oh, il fait des miracles : il efface les crimes d’un revers de chéquier, tandis que la rédemption, elle, reste en villégiature – absente, introuvable, probablement en train de siroter un cocktail sur une plage lointaine.
Et nos procureurs, ces gardiens autoproclamés de la justice, que font-ils dans ce charmant décor ? Ils ferment les yeux, bien entendu, avec une distinction qui frôle le grand art. Sauf, naturellement, lorsqu’il s’agit de serrer la vis aux esprits frondeurs, ces impertinents qui osent soulever les tapis de soie sous lesquels le pouvoir dissimule ses turpitudes. Là, subitement, leur zèle se réveille, précis, implacable – un modèle d’efficacité bureaucratique. Pendant ce temps, le peuple, lui, somnole dans une ignorance cultivée avec soin. Nos médias, ces arbitres des élégances, y veillent jalousement : ils étouffent l’affaire avec une maestria consommée, un art de la diversion qui mériterait presque une standing ovation. Ainsi, le mal prospère, drapé dans un voile d’une pestilence discrète mais tenace, une odeur que l’on finit par ne plus remarquer tant elle imprègne l’air.
Ce « monde occidental », comme ils aiment à le nommer avec une morgue satisfaite, n’est plus qu’un marais fétide, un cloaque où l’on s’enlise avec une grâce toute particulière – une chute lente, distinguée, presque chorégraphiée. Ouvrez les yeux, je vous en conjure. Moi ? Je viens de passer 35 heures en garde à vue, claquemuré suite à une plainte de Brigitte Macron – oui, la Première Dame en personne – qui juge mes tweets trop « harcelants » pour sa délicate sensibilité. Mais pour les Gilets Jaunes tabassés, pour l’incendie de Notre-Dame toujours nimbé de mystère, pour les suspendus, pour les effets secondaires, pour les petites entreprises qui meurent d’une administration qui assassine, pour les Français tombés en Ukraine sous de faux uniformes, que dalle. Rien. Pas un frémissement, pas une enquête digne de ce nom. Faudra-t-il attendre le jugement de Dieu pour voir les coupables rôtir dans les flammes éternelles ? Eh bien, soit. J’attendrai, mais pas les bras croisés. J’ai du pain sur la planche : vous écrire, vous parler, ici, là, partout où l’on peut encore tendre une main ou prêter une oreille. Le combat continue, et je ne compte pas me ménage, dans cette guerre dont il ne restera qu’un camp, ce sera le mien, sinon il ne restera rien.
Ne soyons pas dupes : il ne s’agit pas d’une banale défaillance morale, mais d’un effondrement d’une profondeur presque théâtrale, celui d’un monde qui a vendu son âme au diable pour quelques flatteries bien tournées et des caresse dans le dos. Ces sociétés perverties, si fières de leur vernis, ne sont plus que des fruits gâtés, prêts à être jetés dans les flammes d’un enfer qu’elles ont elles-mêmes décoré. Le diable, ce fin stratège, n’a pas eu à forcer l’entrée : il s’est installé avec une patience d’esthète, tissant ses plans avec une précision diabolique – au sens propre comme au figuré. Il a attendu que tout soit mûr pour que ses desseins triomphent dans une apothéose sinistre. (Lisez mes lettres sur l’origine du mal depuis Noé, sur les Khazars, sur les sociétés secrètes (…) bref lisez mes lettres et abonnez vous !) Et ce moment, mes chers, semble imminent. On le devine dans l’air vicié, dans ce vide qui nous enveloppe d’une étreinte froide.
Les masques tombent avec une lenteur étudiée, les institutions s’effritent comme un château de cartes mal bâti, et le chaos s’invite avec une politesse glaçante. Nous sommes au bord du précipice, et ceux qui refusent de le voir sont déjà des ombres dans un bal masqué qui touche à sa fin.
Et la France, mes chers, où en est-elle ? La France de Clovis, de Jeanne d’Arc, cette nation qui exhalait la foi comme un parfum d’encens, n’est plus qu’une ombre à bout de souffle, prosternée dans une révérence pathétique. Notre boussole ? Égarée dans les salons feutrés des élites, qui ont bazardé nos trésors spirituels pour s’enticher de fétiches vulgaires. La laïcité, jadis un principe discret, est devenue une religion intouchable, drapée d’une solennité ridicule ; le wokisme, avec ses diktats grotesques, s’impose comme un code de bonne conduite pour âmes égarées ; et le sionisme, pour certains, flotte comme un étendard douteux au-dessus de cette mascarade.
Le catholicisme en France ? Relégué aux oubliettes, mes chers, assassiné en douceur avec une délicatesse presque exquise, surtout depuis l’affaire Fillon. Ce pauvre bougre, un peu comme Trump en son temps – 2016, souvenez-vous –, avait eu le malheur de s’entourer d’une garde rapprochée aussi fiable qu’un parapluie troué sous une averse. Fillon a été liquidé en 2017, (Trump en 2020 puis il est revenu … avec un destin forgé par Dieu lors d’un miracle en mondovision, un attentat raté un un fil, une micro seconde) proprement, dans un scandale cousu de fil blanc – une mise en scène si pratique qu’on aurait pu la savourer comme un bon cigare après un dîner trop lourd. Il n’a rien vu venir, le malheureux. Pas eu le temps de poser son verre, encore moins de saisir à quel point il était infiltré, miné de l’intérieur. Trop de petits pièges semés sur le chemin sinueux de sa carrière, trop de faux pas glissés sous ses souliers bien cirés pour qu’il puisse s’en dépêtrer.
Les péchés, voyez-vous, sont capitaux pour tous – pas de passe-droit, pas de salon VIP au purgatoire. Le mal, ce vieil opportuniste au sourire en coin, ne s’encombre pas d’amitiés ; il se repaît des âmes qui titubent, ramasse les débris avec une nonchalance presque chic, et ricane dans l’ombre, un verre de mauvais whisky à la main. Et Dieu ? Avec une patience infinie et une ironie qu’on pourrait qualifier de délicieusement divine, Il observe, bras croisés, laissant les traîtres mariner dans leur jus – ces âmes engluées dans leurs petits arrangements mesquins, incapables de bredouiller un « mea culpa » qui ne sonne pas faux. Fillon, ce pauvre diable, en est l’illustration parfaite.
Piégé, abandonné, il n’a été qu’un pion dans une partie bien trop sophistiquée pour ses frêles épaules – des épaules étroites, bien trop fragiles pour porter le poids d’un jeu où les règles changent à chaque coup, et où les alliés solides, droits, intègres, semblent s’être volatilisés comme des convives lassés d’un dîner interminable. Sans véritables soutiens, il s’est effondré, victime d’une machination d’une élégance presque insultante.
Et dire que je lui avais soufflé, avec une insistance que je croyais convaincante, de faire amende honorable, de se dresser avec un semblant de dignité, malgré les seaux de merde qu’on lui jetait à la face et sur ses intimes. Pour moi, nier c’était la mort politique assumée et la dégringolade judiciaire et médiatique. Mais non, il a prêté l’oreille ailleurs – aux murmures flatteurs de ceux qui savaient mieux, bien sûr. Erreur fatale.
Mais depuis, s’est-il repris en main ? A-t-il musclé son jeu, affûté ses réflexes, et surtout, s’est-il entouré de figures moins friables, moins promptes à plier au premier courant d’air ? Je pose la question, car le voilà qui reprend la parole, timidement, comme un invité qu’on avait oublié dans un coin du salon. Mon sentiment ? Oh, il est simple, et glacial : le monde va basculer si brutalement, avec une sauvagerie si peu coutumière, que la politique à l’ancienne – ces joutes policées, ces poignées de main amidonnées – est déjà six pieds sous terre, ensevelie sous un linceul de convenances désuètes. Le temps des ronds de jambe est révolu ; reste à voir si lui, ou quiconque, a su s’équiper pour danser sur les ruines. Regardez Villepin, qui s’est si brillamment vautré au sujet de l’Ukraine et contre la Russie et les Etats-Unis, si il se pense un recours, ce sera sans moi. Il n’a pas compris que le combat n’était pas celui de peuples ou de religions, mais la survie de l’humanité, la ligne de démarcation est dans la foi en une terre libre et humaine … le reste c’est du bavardage narcissique.
De toute façon, pour Fillon, c’était écrit, cousu dans le velours du destin. Les forces en présence – ces mains invisibles aux ongles impeccablement manucurés – avaient tout orchestré pour que la farce se joue selon le script, avec une précision horlogère. Regretter ? À quoi bon ? Mieux vaut se préparer à la suite, car sinon, nous serons condamnés à répéter ce refrain lassant : « Oh, encore une leçon d’élégance dans la cruauté, n’est-ce pas ? » Toujours en retard d’un acte, nous ne voyons rien venir, alors que le diable, ce gentleman ponctuel, annonce pourtant son arrivée – il envoie même une carte de visite gravée, mais nous préférons admirer la calligraphie plutôt que lire le message. Et le catholicisme, dans tout cela ? Évanoui, discrètement étranglé dans cette purge feutrée, réduit à un requiem susurré dans des salons aux rideaux tirés, loin des regards vulgaires. Une fin en demi-teinte, avec juste ce qu’il faut de classe pour ne pas totalement déplaire. Heureusement, il reste les orthodoxes et des poignées de catholiques sincères, pour sauver la foi chrétienne.
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Puisque cette année, je suis fière de suivre le chemin de mes amis musulmans en pratiquant le ramadan, parlons de cette religion. Ce que je pense c’est que l’islam, est l’objet depuis toujours, comme la chrétienté, de délicieuses manipulations par ceux que j appelle les Khazars. Ils lui ont réservé, après avoir orchestré des indices par milliers, avec un cynisme qui frôle l’œuvre d’art un portrait robot repoussant … terrorisant (j’ai pas résister au mot !). On a joué sur tous les tableaux : des flux de migrants savamment dirigés, des loups solitaires – ces âmes égarées, manipulées à leur insu jusqu’à devenir des pantins sanguinaires, criblés de balles avant qu’ils ne puissent trahir leurs marionnettistes du Mossad ou de la DGSE. Des terroristes transformés en passoires, bien sûr, car il ne fallait surtout pas qu’ils sussurrent un mot sur leurs véritables maîtres à penser. Et puis, cerise sur ce gâteau empoisonné, la grande légende, celle de Ben Laden – un conte tissé de bout en bout pour nous éblouir et nous mystifier. Du 11 septembre à sa prétendue fin, il n’a été qu’un instrument, une marionnette jetable pour semer le chaos, un chaos si parfaitement chaotique qu’on pourrait presque en saluer la mise en scène.
L’étiquette « islam », voyez-vous, a bon dos. On lui colle des faux drapeaux ciselés avec une précision d’orfèvre, on s’en sert pour attiser les haines, fracturer les sociétés – des cassures si commodes pour qui sait tirer les ficelles (depuis les temps anciens ?). Et puis, une fois l’objectif atteint, on la rejette, comme une vieille maîtresse dont les charmes fanés commencent à encombrer le boudoir. Rien, absolument rien de tout cela n’est fortuit. C’est une partition savante, jouée avec un brio glacial à la télévision, dans les colonnes lustrées des magazines, sur les écrans géants des cinémas, et jusque dans les musées – ces temples de la culture où l’on expose désormais nos illusions encadrées d’or. On nous forge des ennemis sur mesure, on nous tricote des récits bien ficelés, on nous sert des rancœurs sur un plateau d’argent gravé, et nous, convives dociles d’un dîner sans fin, nous avalons cette soupe fade sans même froncer un sourcil. À votre santé, messieurs-dames, et bon appétit.
Et qui trône au sommet de cette pyramide frelatée ? Emmanuel Macron, naturellement, cet hôte omniprésent qu’on nous impose avec une insistance presque comique.
Jamais un président n’a été aussi ostensiblement exhibé sous les ors de la République et aux yeux du monde. Les Jeux Olympiques ? À lui. La "réinvention" de Notre-Dame de Paris ? Son œuvre. Des tournées planétaires dignes d’une rockstar ? Il les collectionne, du Brésil à l’Inde, en passant par des scandales qui, loin de l’éclabousser, le polissent comme un diamant brut – car, voyez-vous, le bon peuple n’y comprend rien, sinon qu’on parle encore et toujours de lui. Depuis son élection – et même avant, dans une prémonition troublante –, il est partout. Son portrait officiel, quasi obligatoire, orne les murs comme une icône profane. Il décide de tout, sans daigner consulter quiconque : des discours interminables débités avec une assurance de maître de cérémonie, des garanties financières et militaires distribuées comme des petits fours, des entreprises stratégiques bradées sans un mot, des investissements dans des projets pharaoniques ou franchement absurdes.
Il s’offre des tableaux comme un collectionneur dilettante, inscrit l’IVG dans la Constitution avec une solennité de façade, supervise la “réinvention” de Notre-Dame – mais, dites-moi, qui donc a mis le feu à cette cathédrale ? Il impose des cérémonies aux esthétiques douteuses, comme celles des JO, d’une laideur presque étudiée.
Il tord les règles pour maintenir Jack Lang et Bernard-Henri Lévy dans leurs sinécures dorées, ces vestiges d’un autre âge. Les scandales ? Une litanie sans fin touchant ses ministres, mais il a l’astuce de recycler Manuel Valls comme paratonnerre, un bouclier bien commode pour détourner la foudre.
Macron rêve d’une France championne de l’artifice : insectes OGM, injections de l’humain (qui n’est plus l’œuvre de Dieu ?!!?), intelligence artificielle – un avenir de science-fiction à faire frémir les âmes sensibles.
Il enlace les chefs d’État devant les caméras – Zelensky, Lula, Trudeau, Modi – avec une familiarité théâtrale, et se pavane sur le balcon de la Maison-Blanche, les doigts formant un signe du cornu qui ne passe pas inaperçu, mais que personne n'accepte de voir. Ses discours, parfois, semblent tirés d’un roman gothique, ou babylonienne, d’une plume trempée dans l’encre noire, comme l'encrier calice & clocher doré de son portrait officiel. Un personnage, dira-t-on, mais d’une ambition qui confine au vertige. Il veut tout contrôler … puis tout embraser sur Terre !
Pourtant, l’histoire n’est pas une partition jouée d’avance. Face à cette marée d’encre et de compromission, des âmes d’exception se dressent, inflexibles. Pas seulement ces figures héroïques que je nomme avec une pointe d’admiration les “cinq fantastiques”, mais aussi des hommes et des femmes du quotidien, portés par une foi sincère et une volonté d’acier. Ils agissent dans l’ombre, non pas seulement pour sauver les vestiges d’un monde en perdition, mais pour préserver leur propre âme d’un naufrage collectif. Car l’enjeu dépasse la simple survie d’une civilisation fatiguée : c’est une lutte métaphysique, un combat pour l’âme même du monde, rien de moins.
Depuis 2022, ….
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Depuis 2022, …. la damnation programmée de l’humanité a pris un premier coup dans l’aile. La Russie de POUTINE a dit “Niet”, avec une fermeté qui a fait trembler les chancelleries. La Chine, dans une alliance stratégique sans faille, a suivi, soutenant son partenaire dans l’édification des BRICS – une plateforme qui vise à briser l’hégémonie du dollar et à saper les outils de la domination occidentale, dans la finance d’abord, mais aussi dans la médecine, la culture, les médias, et jusqu’à l’Internet lui-même. Et depuis 2025, le camp du bien semble reprendre du poil de la bête, par la période de la momie Biden, marquée par le génocide de Gaza et des guerres partout fans le monde. Avec Trump et Musk aux commandes, l’Amérique pourrait cesser d’être le bras armé du chaos mondial – une lueur d’espoir, fragile mais tangible. Rien n’est encore joué, cependant. Le balancier oscille, et le dénouement reste suspendu dans une tension exquise.
Une poignée d’hommes fantastiques, aidés par des millions d’autres, essayent d’affronter le diable sur terre et ses adorateurs !
Alors, ouvrez les yeux. L’Histoire s’écrit maintenant.
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Aparté
Pour le mercredi des Cendres, je suis allé avec un ami musulman allumer une bougie pour la Vierge Marie. Un geste simple, mais chargé de sens.
Nos différences de religion n’étaient pas un obstacle. Elles ne sont ni une raison de se méfier, ni une cause de division. Au contraire, elles nous ont permis d’échanger et de partager un moment de recueillement et de respect mutuel.
Cet ami pratique le Ramadan, et il m’aide à en comprendre toute la profondeur et l’importance. À travers lui, je découvre une autre façon de vivre la foi : un chemin de discipline, de dépassement de soi et d’apaisement intérieur. Proche de la pratique chrétienne du Carême, qui fait partie également de mon chemin avec le ramadan.
Ramadan jour 5
Trop souvent, on présente les religions comme des sources de conflit, alors qu’elles peuvent aussi être des ponts. Ce qui compte avant tout, ce sont les personnes, leurs intentions, leur sincérité. Le respect de l’autre est essentiel.
Dans un monde où l’on insiste tant sur ce qui divise, il est bon de se rappeler que la foi, quelle qu’elle soit, peut aussi rassembler.
Il est grand temps de faire front, ensemble.
X, cet espace d’une liberté extrême, est aussi un théâtre d’une violence et d’une malice sans bornes. C’est pourquoi j’ai fondé cette lettre sur Substack. Vous êtes aujourd’hui plus de 12 000 à m’y suivre – un honneur qui me touche au plus profond de l’âme. Mes écrits, eux, gagnent chaque jour en audience, en écho, parce qu’ils portent une vérité que vous ressentez dans vos chairs. Et pour ceux qui le souhaitent, une option podcast est là, vibrante, accessible.
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Alors, je compte sur vous, comme vous pouvez compter sur moi. Cette bataille est eschatologique. Restons humains. Restons libres.
Et pensez au miel ;-)
Voici le lien vers un projet le livre qui devrait vous passionner je pense
J’y imprime tout mon coeur ;-)
Découvrez ici un peu plus de la saga … cagnotte en bas de lettre !
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Ci dessous lien vers la cagnotte MACRON VS SCHOLLER
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