Enfant, passionné d’histoire, j’admirais les Spartiates de la Grèce antique. Leur rigueur, leur exigence, leur loyauté absolue. À bon entendeur… « les Complots Partie 1 »
Dans un monde où la vérité est sans cesse remise en question, savoir naviguer parmi cette masse d’informations devient une compétence essentielle…
Ce que j'entreprends n'est pas motivé par l'argent ou la gloire. C'est un pèlerinage de vérité, un voyage vers l'authenticité. Menacer ou tenter de m'emprisonner est inutile; chaque jour, mes lettres sont comme des bouteilles à la mer, destinées à échouer sur une rive et à réveiller des âmes. Ainsi, si vous le pouvez, soutenez-moi, mais ne vous attendez à rien de personnel en retour. Car ça n'arrivera pas. Je ne cherche ni pouvoir ni richesse; je dirai ce que j'ai à dire, et si cela me coûte de l'argent, qu'il en soit ainsi.
Liminaire
Je fais partie de ces journalistes citoyens qui ne plient ni devant l’intimidation, ni devant les compromissions. Ceux qui refusent de vendre leur plume ou leur voix au plus offrant, et qui acceptent d’être traqués, calomniés et censurés parce qu’ils choisissent la vérité plutôt que la facilité.
En face, il y a les mauvais journalistes, les traîtres parmi nous, ces parasites du système. Narcissiques et opportunistes, ils maîtrisent l’art d’imiter le langage et les postures de ceux qui cherchent la vérité, mais uniquement pour tromper leur audience et préserver leurs privilèges. Ils ne servent pas l’intérêt général : ils manipulent, désinforment, et se vendent aux puissances qui les nourrissent, en attendant qu’un maître plus généreux leur offre une place encore plus confortable.
Pour eux, le public n'est pas une communauté de citoyens à informer, mais une masse à manipuler, soit pour servir les intérêts de leurs bailleurs de fonds, soit pour satisfaire leur ego et leur besoin de reconnaissance, ainsi que leur volonté de ne pas laisser d’aspérité sur leur parcours le plus lisse et aseptisé possible, sauf opportunité sans risque. Souvent masqués par une habile rhétorique, ils deviennent les instruments des partis politiques en quête de votes. Ils s'allient volontiers avec les puissants ou leur opposition officielle, tout aussi influente et organisée, d'où proviennent leurs interviews "exclusives" et une bonne partie de leur financement. Observez ceux qui se sont empressés de briguer des postes lors des dernières élections, et ceux qui, par manque de courage, attendent en silence la prochaine occasion pour se repositionner. Lorsque le Rassemblement National (RN) semblait assuré de sa victoire, nombreux étaient ceux qui se rapprochaient de l'aubaine. Il en a été de même pour La France Insoumise (LFI), et maintenant avec Les Républicains (LR) sous l'impulsion de Bruno Retailleau... ahahaha. Tous ont oublié les trahisons subies par François Fillon, Philippe Séguin et d’autres avant eux, mais surtout les manœuvres ahurissantes qui ont permis l’ascension d’Emmanuel Macron au pouvoir en France. Il ne faut pas perdre de vue que Macron ne gouverne pas seul : il forme avec Brigitte un véritable tandem, une entité où l’image et la stratégie sont étroitement liées.
Ce que nous percevons n’est sans doute que la partie émergée de l’iceberg. Lorsqu’il se compare à Vulcain, il ne se trompe pas : cette histoire a tout d’un enfer brûlant pour ceux qui osent l’approcher autrement qu’en effleurant les évidences. Ici, le genre n’a plus d’importance… Le diable se loge dans les corps autant que dans les âmes. Il se montre même en photo officielle et a laissé dans les archives de l’INA un message en ombre Chinoise qui dit plus que mes lignes dans cette lettre. Pourtant on peut dire beaucoup, mais est ce utile à la veille de la bataille finale pour remettre le destin de l’humanité sur le chemin d’un avenir qui fait sens, pour ceux qui ont la foi.
Malgré ses efforts, Macron a échoué à s'imposer sur la scène internationale, peut-être en raison de son absence de charisme (hormis dans des conclaves, restraints, mais cela peut changer) et des interventions de figures comme Poutine et Trump, qui freinent sa destinée. Ces deux personnalités influentes le considèrent comme leur principal adversaire et même comme l'ennemi de l'humanité tout entière (n'en doutez pas). Cela peut rendre leurs actions incompréhensibles ou perturbantes, mais avec une vision eschatologique des événements, tout devient beaucoup plus clair et même limpide. Face au diable et ses acolytes, pour sauver ce qui peut encore l'être de l'humanité, il faut agir comme ils le font leurs alliés, tels que Musk, Xi, Ben Salmane et quelques autres de cette taille et de cette intégrité (mes 5 fantastiques). La lutte entre le bien et le mal se profile, et c'est le bien qui triomphera, sans aucun doute. L'heure des révélations est venue, comme prédit.
Dans le camps d’en face, celui du “mal”, il y a ces individus, qui font de la politique (ou de la désinformation) depuis leurs premiers pas et qui ont survécu à toutes les tempêtes, ne peuvent être considérés comme des personnes bien intentionnées. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'admire Donald Trump et Elon Musk, mais également Poutine et Xi. Ils ne sont pas entrés en politique par désir de pouvoir ou par défaut, mais ils se jettent dans la mêlée parce qu'ils croient qu'il faut sauver l'humanité, et ils sont capables de se battre dans ce combat, ils sont les meilleurs pour cette mission essentielle. Cela fait une sacrée différence ! J’espère à mon échelle, être de cette trempe dans ce que je fais chaque jour, je ne céderai à aucune compromission, AUCUNE.
L’obsession des marchands du temple de l’information et de la politique ? L’argent, les privilèges, et l’illusion qu’ils pourront ainsi combler leur médiocrité, leurs frustrations, voire leurs perversions. Ils n’hésitent pas à quémander des passages dans les grands médias mainstream, ou chez leurs alliés au sein de la mafia de la fausse dissidence, prêts à vendre leur âme et renier leurs derniers principes pour un peu de lumière et l’espoir d’élargir leur audience. Ce qu’ils ignorent, c’est qu’en agissant ainsi, ils bâtissent sur du sable, nourris par le même système qu’ils prétendent dénoncer.
Ils sont des scoubidous – tordus, colorés, interchangeables. Mais une audience fidèle ne se construit ni sur des studios flamboyants, ni sur de bons micros. Elle se bâtit sur du roc : des principes solides, une parole tenue, une constance à toute épreuve. À la fin, seul le contenu et l’intégrité comptent.
Et je ne me contente pas de l’espérer… je le vis. Car je ne cherche pas une audience immense, mais une communauté avec laquelle je peux construire, échanger, parfois de façon rugueuse, mais toujours avec sincérité, sauf avec les nigauds qui s’invitent.
Enfant, passionné d’histoire, j’admirais les Spartiates de la Grèce antique. Leur rigueur, leur exigence, leur loyauté absolue. À bon entendeur…
Aujourd’hui, en observant les grands personnages de notre époque, je vois qu’ils ne sont pas entourés d’une multitude informe, mais de Spartiates, de combattants déterminés, prêts à défendre une vision plutôt que de se noyer dans un marécage qu’ils entretiennent eux-mêmes.
En face d’eux, il y a ces marchands du temple de l’information, qui ont tellement perverti le journalisme qu’ils ont fait accepter l’idée que la collusion avec le pouvoir, l’organisation en clans mafieux et l’autocensure sont des pratiques normales. Nous découvrons qu’ils était des milliers à bénéficier des largesses d’USAID, qui en France ?
Observez-les bien : parfois, ils savent vous surprendre agréablement. Mais c’est souvent pour mieux vous endormir, vous corrompre l’âme et vous délester de votre bon sens autant que de votre bourse.
Et pour justifier leur soumission, et de vous pomper votre temps et votre argent, même quand vous doutez d’eux, ils répètent des formules devenues banales :
• « C’est comme ça que ça fonctionne. »
• « Tu ne veux pas que je finisse en garde à vue ? »
• « Tu sais bien qu’il ne faut pas parler de ça. »
• « C’est trop risqué, inutile de se prendre des coups pour rien. »
• « Ça ne nourrit pas d’en parler, moi je fais ça pour manger, pas pour la gloire ! »
• « Je fais des millions d’auditeurs et des centaines de milliers d’Euros chaque mois, (il) est juste jaloux » …
Je ne donnerai rien de ma vie contre une seule minute de la leur … RIEN. Vous en doutez … alors arrêtez de lire ici, vous perdez votre temps !
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Les faux dissidents se drapent dans une fausse neutralité, se prétendent indépendants, tout en récitant servilement les discours officiels ou ceux d’oppositions tout aussi contrôlées. Ils aiment se vanter de donner la parole à tout le monde, comme si cela relevait d’un principe absolu. Or, c’est une absurdité : permettre à chacun de s’exprimer ne signifie pas offrir de la notoriété à n’importe qui.
Sur X, je bloque régulièrement ceux qui ne cherchent qu’à polluer mon espace. Qu’ils déversent leur fiel ailleurs, dans leur propre fange – je n’ai pas à être leur souffre-douleur ni leur cible privilégiée. Loin de moi l’idée d’un débat ouvert qui ne serait qu’un prétexte au chaos ou à la manipulation.
Les marchands du temple, eux, donnent parfois l’illusion de sortir des sentiers battus, mais jamais bien loin. Tout est soigneusement calculé : juste assez pour entretenir un faux sentiment de rébellion sans jamais remettre en cause l’ordre établi. Comme les grands médias, ils orchestrent des moments de pseudo-contestation, destinés non pas à éveiller les esprits, mais à manipuler les émotions. Ils attisent la colère ou l’apathie, mais jamais la lucidité.
Et quand de vrais journalistes s’écartent de la ligne imposée, ils sont aussitôt diffamés, marginalisés, traqués. Mais si ces résistants tiennent bon, alors tout devient évident… Trop tard ? Peut-être. Car les parasites savent anticiper les changements de vent. Comme de bonnes girouettes, ils s’adaptent, retombent toujours sur leurs pieds, profitant de l’aveuglement et de la mémoire courte d’un public qu’ils tiennent sous perfusion, tel un gourou véreux maintenant ses adeptes sous emprise.
Moi, je refuse cette mascarade.
Je fais partie de ceux qui considèrent le journalisme comme une mission, pas un métier de courtiers. Comme un combat pour l’intérêt général, pas une stratégie de carrière. Nous, journalistes citoyens et lanceurs d’alerte, ne cherchons ni l’approbation, ni les honneurs, ni les privilèges du système. Nous savons que notre quête de vérité nous vaudra harcèlement, calomnies et persécutions, parfois même de la part de ceux que nous essayons de réveiller.
Mais contrairement aux parasites, nous ne reculons pas. Nous ne trahissons pas la confiance du public, nous la respectons. Notre but n’est pas de préserver un ordre corrompu, mais de révéler ce qui doit l’être, même si cela dérange.
En fin de compte, la différence est claire : ceux qui trahissent l’information perpétuent un système de mensonge et de manipulation. Nous, nous cherchons à briser ce cercle, à éclairer et à éveiller. Parce qu’aujourd’hui plus que jamais, nous avons besoin de véritables journalistes pour préserver le peu qu’il nous reste de liberté et de vérité.
Si vous voulez reconnaître ces faux journalistes, observez leur manière de traiter les figures clivantes comme Elon Musk ou Donald Trump, mais également comme Xavier Poussard, Candace Owens ou moi. Ce sont des girouettes qui n’ont jamais eu de véritable ligne, jamais eu de conviction profonde, seulement un flair opportuniste leur permettant de s’aligner sur ce qui est porteur à l’instant T. Hier, ils vomissaient Musk et Trump, les traitant de dangers publics ; aujourd’hui, ils hésitent, et demain, si ces hommes réussissent en bonne intelligence avec Poutine, Xi et Ben Salman, ces mêmes pseudo-journalistes chanteront leurs louanges, prétendant toujours avoir été lucides sur leur rôle. Vous voyez ?
Mais nous, les journalistes citoyens, ne fonctionnons pas ainsi. Nous ne courons pas après la tendance, nous restons ancrés dans une quête de vérité, coûte que coûte.
Nous n’avons pas besoin de suivre le vent : nous avons une colonne vertébrale. Quand l’histoire se fera, nous n’aurons pas à réécrire nos positions pour être du bon côté.
Nous y sommes déjà. J’Y SUIS DÉJÀ !
Internet est devenu le principal champ de bataille où se joue la fabrication et la confrontation de la vérité dans notre société moderne. Chaque jour, une masse d’informations circule à une vitesse inégalée, offrant à chacun la possibilité de s’informer, mais aussi de désinformer.
Parmi les nouveaux acteurs, il y a les journalistes citoyens, qui sont des individus utilisant les plateformes en ligne pour informer et commenter sur des sujets d'actualité, souvent en dehors du cadre des médias traditionnels.
En tant que journaliste citoyen, notre influence grandissante fait de nous des cibles. Plus nous dérangeons, plus notre vie est scrutée, disséquée, instrumentalisée. Nous sommes confrontés à la jalousie, aux campagnes de harcèlement orchestrées par des trolls, mais aussi à la pression bien plus inquiétante de la police et de la justice – surtout en France, où tout est bon pour obtenir notre silence, que ce soit par la compromission, la censure ou l’intimidation judiciaire.
Nous abordons des sujets que les puissants voudraient enterrer : les missions Apollo et leur apogée au numéro 11, l’assassinat de JFK, le Covid, l’élection américaine de 2020, le climat, le génocide de Gaza, l’incendie de Notre-Dame, la destruction de Nord Stream, le couple Macron, la pédophilie ou encore le transgenrisme. À chaque dossier sensible, la réaction est immédiate : pression, menaces, diffamation. Mais certains sujets sont encore plus dangereux.
Parler du génocide de Gaza, du rôle néfaste d’USAID et de ses liens troubles avec l’ADL et l’AIPAC, et peut-être même avec le Crif ou Conspiracy Watch ? Voilà qui donnerait des sueurs froides à ceux qui préfèrent les ombres aux projecteurs. Imaginez un instant que tout cela soit lié, un mécanisme aussi précis qu’une horloge d’officier de marine – du genre de celle que Macron trimballe d’un bureau à l’autre. L’idée même est terrifiante, n’est-ce pas ? Si tout était parfaitement huilé, agencé, orchestré… ce ne serait pas seulement un scandale. Ce serait diabolique.
Ces thèmes, particulièrement sensibles et polarisants, peuvent nous exposer à des réactions extrêmes, mettant parfois notre vie en danger et détruisant nos familles. Nous devons être conscients de notre pouvoir et de nos responsabilités, surtout face à un public qui peut être immature, impulsif ou facilement influençable.
Nous évoluons dans un monde où notre liberté d’expression et notre sécurité sont sans cesse menacées. Notre rôle est essentiel à la vitalité de la démocratie, mais il exige une vigilance constante et une résilience à toute épreuve face à l’hostilité. En France, comme ailleurs, la solidarité de notre communauté, une protection juridique efficace et une prise de conscience collective sont indispensables pour garantir notre sécurité et la pérennité de notre travail d’information. Mais ce n’est pas le cas … ou rarement à bon escient.
J’ai lancé une cagnotte pour ma défense. Brigitte Macron ne porte pas plainte contre X… mais contre moi et même pas une poignée d’autres, parmi des centaines de milliers qui ont évoqué le sujet et qui s’en régalent depuis des années sans mesure. Pourquoi ? C’est en réalité un sujet qui, ne m’a jamais vraiment intéressé dans sa version « sous la ceinture ». Car mon but n’a jamais été d’attaquer gratuitement, encore moins de harceler. Je déteste ça. Je ne suis ni paparazzi, ni un « Crocodile Dundee »(qui se rappelle de cette scène, lorsqu'il « met la main au panier » d'une femme âgée qu'ils prend pour une transsexuelle (à une époque où les transition chirurgicales étaient plus que rare)).
Ce qui m’intéresse, c’est ce que révélerait et impliquerait un tel complot s’il était avéré. Non pas le genre de la personne, qui est insignifiant en soi, mais l’ampleur des silences, des complicités, des falsifications. Imaginez un instant ce que cela signifierait : un mensonge d’une telle envergure impliquerait presque autant de complicités que le 11 septembre ou l’élection américaine de 2020, si il s’agissait également de complots... à suivre ?
Ils veulent mon silence. Mon procès se tiendra à Paris, les 27 et 28 octobre prochains. Deux jours… pourquoi pas dix ?
Merci de participer à cette cagnotte, car ce procès, je ne peux pas le prendre à la légère. Il s'agit d'un procès déclenché par l'Élysée, qui a militarisé ce combat avec des moyens immenses, et ne compte pas accepter un résultat jugé humiliant.
Si vous aimez la vérité et le courage, votre soutien est crucial. Ensemble, défendons la liberté d'expression.
Ce qui se joue ici dépasse ma personne, et pourtant, comme prévu, je suis seul (ou presque … heureusement et je ne remercierai jamais assez ceux qui sont là). La machine ne protège que les siens, qui, d’ailleurs, ne sont jamais réellement inquiétés. Tout au plus, une tape sur les doigts pour les remettre en ligne, ou un procès mis en scène pour leur offrir un peu de lumière. Jamais une entreprise de destruction méthodique.
La preuve ? À peine sorti de garde à vue, les complices du système s’empressaient déjà d’expliquer qu’il n’y en avait jamais eu, que tout cela n’était qu’une mise en scène pour me rendre “crédible” auprès des incorruptibles.
Que répondre à une telle folie ? Rien. L’indifférence est la seule réponse. Je ne perds ni mon temps ni mon énergie à bâtir sur des sables mouvants, encore moins à essayer de convaincre ceux qui se complaisent dans le délire.
Finalement, il est de plus en plus rare de voir des marchands du temples / médias de la dissidence (les grenouilles qui veulent ressembler au bœufs du mainstream), seule y les journalistes citoyens osent s'intéresser aux complots, car c’est nécessaire, c’est indispensable pour comprendre ce qui se déroule sous nos yeux maintenant, d’apprécier ce qui a pu se passer dans l’histoire ancienne ou récente. Mais, cela ne rapporte souvent que des désagréments : des coups, des procès, parfois même des gardes à vue et une vie détruite. Il faut le faire.
C’est le devoir, la mission de vie de certains, c’est mon chemin ! Un chemin de pèlerin mâtiné de spartiate et de poète, romantique et rêveur.
Voici le lien vers un projet le livre qui devrait vous passionner je pense
J’y imprime tout mon coeur ;-)
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Encore une fois, cette lettre est gratuite. Mais posez-vous une question simple : si elle était payante, auriez-vous hésité à lui accorder de l’importance ?
On vit dans un monde où la valeur se mesure au prix affiché, où ce qui n’est ni sponsorisé ni estampillé par un label – même celui de la dissidence organisée – est trop souvent perçu comme négligeable. Pourtant, chaque mot ici est le fruit d’un travail, d’une analyse, d’un engagement total.
Je pourrais mettre une barrière payante, instaurer un abonnement, filtrer l’accès. J’y ai pensé. Mais j’ai choisi de faire confiance. Parce que c’est ainsi que je fonctionne, et que je refuse de voir le monde autrement. Je crois qu’il existe encore des esprits capables de reconnaître la valeur d’un contenu, même lorsqu’il leur est offert sans prix affiché.
La gratuité a un sens. Mais seulement tant qu’elle ne rime pas avec indifférence. Il y a ceux qui prennent, et ceux qui comprennent. Ceux qui consomment, et ceux qui soutiennent.
À vous de voir où vous vous situez.
Elon Musk a racheté X (anciennement Twitter) pour 44 milliards de dollars, avec l'ambition de faire de cette plateforme le marché de la vérité en ligne. Les "Community Notes", anciennement connues sous le nom de "Birdwatch", jouent un rôle crucial dans cette mission en permettant à la communauté des utilisateurs de corriger, contextualiser ou fact-checker les informations partagées, favorisant ainsi une certaine forme de transparence et de véracité.
La divulgation des "Twitter Files" a révélé comment les anciens processus de modération fonctionnaient et ont mis en lumière les biais potentiels dans la gestion des contenus. Depuis, le passage de Twitter à X a non seulement modifié l'image de la plateforme mais a aussi introduit de nouvelles dynamiques d'engagement avec l'introduction de la rémunération des internautes via le partage publicitaire, les dons et les abonnements. Ces changements ont permis le développement d'un écosystème riche au sein de X, où les utilisateurs peuvent non seulement s'exprimer mais aussi monétiser leur contenu, créant ainsi une dynamique nouvelle pour les journalistes citoyens et les créateurs de contenu. La vaguelette #helloquitteX n’a eu aucun impact sur cette dynamique, au contraire, c’est la que ça se passe… si on veux contribuer les points de vue et savoir en direct ce qui se passe.
Ce nouvel écosystème a forcé les autres géants du GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) à se repositionner, tentant de suivre le sillage de X en repensant leurs modèles de rémunération des créateurs et de modération des contenus. Les grands médias, déjà en perte de vitesse, sont quasiment démonétisés, et la situation ne fera qu’empirer sans les subventions d’USAID, de Soros et consorts.
Pendant ce temps, les journalistes citoyens s’imposent comme de véritables Mousquetaires : pas besoin d’appartenir à la même structure ou d’arborer le même logo, chacun mène son combat pour la vérité à sa manière. Le public, lui, peut choisir librement son information, sans être forcé de consommer la soupe tiède des médias traditionnels, encore moins celle de leurs pâles copies comme GPTV ou tocsin, dont à un moment ou à l’autre, le masque tombera.
Et c’est bien là leur faiblesse : à force de se gaver et de vouloir vous gaver, ces médias finiront par éclater, comme la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf. Dans ce métier, il faut savoir rester modeste, altruiste et faire preuve d’abnégation.
Aux États-Unis, les principaux médias citoyens fonctionnent avec des équipes réduites, rarement plus de quatre ou cinq personnes. Mais en France, il en faudrait soi-disant quinze ou vingt, comme si l’ampleur des effectifs garantissait la qualité… alors qu’en réalité, c’est souvent un moyen de vous manipuler et de mieux vous tromper. (Que fait Musk … en ce moment avec l’administration US, et qu’à t’il fait avec X … le ménage …!)
Je discutais récemment avec un ancien auditeur de ces médias, écœuré d’avoir été naïf si longtemps. Et il n’est pas le seul. Car lorsqu’un naïf se réveille, il n’est pas souvent indulgent… Voilà pourquoi il est essentiel de le dire et de le répéter, avant que leur décrédibilisation ne nous nuise à tous. Soutenir un fruit qui ne peut que pourrir c’est criminel ! Notez bien cela.
Les changements récents ont permis à de nombreux journalistes citoyens de gagner en visibilité. Parmi eux, on trouve des Américains comme Matt Taibbi et Bari Weiss, qui ont joué un rôle clé dans la diffusion des Twitter Files. On peut également citer des figures internationales comme Candace Owens, Xavier Poussard, Tucker Carlson, Alex Jones, qui a connu un retour fracassant sur Twitter, ou encore YE (Kanye West). D'autres personnalités comme les frères "Cobra Tate" ou le collectif "Grayzone" se sont aussi fait remarquer, ainsi que des milliers d'autres, moi y compris (je viens de franchir les 100.000 abonnés sur Twitter et j’approche les 11.000 ici, même si vous êtes si peu à avoir décidé de vous abonner, je suis rassuré que ma parole circule, c’est déjà cela), à travers le monde.
Les auditeurs et lecteurs ont rarement le courage d'ouvrir les yeux face à la duperie, surtout quand celle-ci est instrumentalisée. Les gens sont souvent manipulés par des informations trompeuses, ce qui les détourne de ceux qui cherchent véritablement à les informer ou à les aider. En réalité, ils ne peuvent souvent pas échapper à la diffamation habile des "idiots utiles" du système, un terme que j’utilise pour désigner ceux qui, sans le savoir, soutiennent un système qu'ils pensent contester. Ce phénomène rend difficile le soutien aux véritables lanceurs d'alerte ou aux journalistes indépendants, car le système montre une intolérance marquée envers les nouveaux acteurs de l'information. J’ai eu l’impression de rentrer dans une secte en 2020, quand je me suis retrouvé parmi les seigneurs de la dite résistance médiatique, et ses parrains … tutélaires. Ceux dont les ouailles disent fièrement qu’elles sont des bébés XXX… ! Inquiétant. Mais j’ai aussi cru un temps qu’ils voulaient agir … en fait ils ne veulent que surfer sur et briller.
Sur des plateformes comme X, certains journalistes et analystes utilisent cette tribune pour diffuser leurs enquêtes et analyses, remettant en question les discours dominants et attirant l'attention sur des sujets souvent ignorés par les médias traditionnels. Cependant, la complexité de ce paysage médiatique est accentuée par le comportement de certains journalistes citoyens qui, par paresse, lâcheté, ou par nature, se transforment en agents doubles du système qu'ils devraient dénoncer. Ils deviennent ceux que j’étiquette de "marchands du temple de la dissidence", en réalité des rouages du système médiatique mainstream. Les algorithmes des grandes entreprises technologiques, souvent désignées par l'acronyme GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), favorisent ces acteurs, les flattant et les mettant en avant, ce qui rend nécessaire leur identification et leur dénonciation par un public critique. Certains en moins de 15 moins ont 350.000 abonnés YouTube, rien que cela montre la supercherie ;-) ?
Face à cette puissance artificiellement gonflée, rares sont ceux qui osent décrire la roublardise de ces "marchands du temple" et leurs artifices pour convaincre et prospérer, souvent à l'insu du public. La manipulation par ces acteurs est si subtile que peu de personnes se rendent compte de leur duplicité. C'est une réalité douloureuse à accepter, de découvrir qu'il y a de nouvelles couches de trahison là où on espérait trouver vérité et espoir pour sortir de nos déboires. Cette prise de conscience complique davantage notre quête de vérité et de changement dans un monde où la désinformation est un outil de pouvoir. Le réveil crée une douleur psychologique de découvrir que ceux en qui on avait confiance pourraient en réalité servir des intérêts contraires aux nôtres, compliquant davantage notre quête de vérité et de changement.
Je dénonce la désinformation car c'est un aspect essentiel de mon pèlerinage, de ma croisade pour la vérité. La désinformation est incontestablement un outil du pouvoir que j'ai vu être utilisé pour manipuler l'opinion publique, contrôler les narratives, et maintenir ou renforcer le statu quo politique, économique ou social. Cet instrument permet aux détenteurs du pouvoir de semer la confusion, de discréditer les opposants, et de justifier des politiques ou des actions qui pourraient autrement être contestées. Pour moi, la désinformation est un mécanisme clé dans l'arsenal de ceux qui souhaitent exercer une influence ou un contrôle sur les masses, souvent en exploitant les biais cognitifs ou les peurs des individus, et je suis prêt à me battre contre cela, même si je dois le faire seul contre tous ou presque.
Je constate qu’au fil du temps vous êtes de plus en plus nombreux à m’accompagner, cela me renforce et me rassure sur ce combat que je fais avec la force de ma foi, qui connecte mon cœur et mon esprit, ma mémoire et mes intuitions, en être humain et libre. Cette liberté accrue s'accompagne de risques, comme je l'ai vécu dans ma chair. Les conséquences peuvent être lourdes pour ceux qui osent s'aventurer sur des terrains controversés. Mais attention, certains parmi nous le font d'une manière qui ne déplaît pas à ceux qu'ils prétendent officiellement démasquer, je le répète, mais c’est important je pense.
Je continuerai.
Et si pendant une courte pause de lecture vous en profitiez pour me dire merci en passant à un abonnement payant. Si pour valider, votre banque vous demande de confirmer la somme de 0€, ce n’est pas un bug, elle vérifie juste que c’est bien vous…
(j’ai vraiment besoin de votre soutien)
Depuis l'élection de Donald Trump en 2024, Musk est devenu, plus que jamais, l'un des personnages les plus clivants au monde. Il fait face à des attaques de plus en plus virulentes, souvent polarisées par son rôle politique et ses positions controversées. Trump, en nommant Musk à la tête d'un nouveau département gouvernemental baptisé "Department of Government Efficiency" (DOGE), lui a confié la mission d'assurer que les fonds publics américains soient utilisés dans l'intérêt du peuple et non détournés par des mécanismes de corruption ou pour promouvoir ce que certains perçoivent comme des idéologies dangereuses. Parmi ces dernières, Musk critique ouvertement le "wokisme", les politiques en faveur de la communauté LGBTQ+, la pornographie, et le transhumanisme, associé selon lui à des pratiques comme l'avortement sans restriction (IVG) et l'euthanasie sans alternatives ou régulations éthiques. Musk a 11 enfants et ne veut pas s’arrêter là ! La baisse de la natalité est pour lui le plus grand danger de notre époque, je suis assez d’accord. Mais il y a d’autres dangers, dont, sans pouvoir être exhaustif, la fraude électorale industrialisée, les attentas sous faux drapeaux, le wokisme / lgbtq+, les guerres et révolutions de couleurs provoquées de loin, la biologie de synthèse et l’intelligence artificielle.
Dans ce domaine, X est devenu un lieu d'apprentissage privilégié pour l'intelligence artificielle Grok, car il y règne une liberté d'expression avec peu ou pas de censure, conforme à l'esprit du Premier Amendement de la Constitution des États-Unis. Cet environnement où l'information brute, y compris les opinions controversées, circule librement, constitue un terrain d'apprentissage idéal pour un outil d'IA. La capacité de Grok à analyser un large spectre de discours sans les filtres de la censure offre à cet outil un avantage compétitif significatif par rapport à d'autres intelligences artificielles développées dans des environnements plus restrictifs.
Revenons aux complots, un sujet sur lequel l’IA – y compris Grok, et peut-être surtout lui – reste particulièrement conservatrice. Pourtant, qui pourrait oublier cette séquence de novembre 2023, lors d’une conférence sur l’intelligence artificielle à Moscou ? Ce jour-là, Vladimir Poutine s’est vu présenter les capacités d’analyse d’images des outils d’IA développés par Google. Curieux, il a demandé à la machine son avis sur les photos des missions Apollo 11 et suivantes. L’IA a alors conclu que ces images étaient truquées, pointant des incohérences dans les contrastes clair-obscur. Face à cette réponse, Poutine s’est contenté d’un laconique « intéressant », comme s’il feignait la surprise tout en sachant que l’Occident n’était pas prêt pour un tel choc.
Quelques mois plus tard, lors de son entretien avec Tucker Carlson, il a de nouveau mis en avant la puissance de la propagande occidentale. Selon lui, même face aux mensonges et à la manipulation flagrante, la Russie se trouve impuissante à inverser la tendance, tant la machine de conditionnement des esprits est redoutablement efficace.
Pour préserver son identité culturelle et contrer l’influence occidentale, la Russie mise sur l’éducation à l’esprit critique et le renforcement du patriotisme, dès l’école mais aussi à travers ses médias.
Face à ces restrictions, la Russie, tout comme la Chine et l'Iran, tente de contrer le récit occidental sur des sujets tels que les laboratoires biologiques, les attentats contre Nord Stream, les effets néfastes du wokisme et l'immigration incontrôlée. Pour cela, elle a développé des médias internationaux qui diffusent sa propre vision du monde, adaptés aux spécificités de chaque pays pour offrir une alternative aux récits dominants. Toutefois, ces médias rencontrent une forte censure, surtout dans l'Union européenne, où des chaînes comme RT (Russia Today) et Sputnik sont bannies, accusées de propager de la propagande.
Macron est à la tête de toutes ces actions de censure, pourquoi ? Que craint il ? Est ce parce que Poutine a été le premier à parler d’eschatologie, de vampires, de diable, de bien contre le mal ? Très certainement …
La lutte pour le contrôle des esprits et peut-être même des âmes des utilisateurs est devenue omniprésente sur Internet, où chaque sujet est un champ de bataille. Cette guerre se joue non seulement par le biais de contenus qui visent à abaisser le niveau intellectuel des consommateurs, cherchant à émousser leur esprit critique, mais aussi à travers des stratégies de manipulation culturelle et informationnelle.
Les nations, les annonceurs, et divers organismes comme l'USAID, ainsi que des lobbies tels que l'ADL (Anti-Defamation League), Media Matters ou les vérificateurs de faits (conspiracy Watch en France), tentent d'influencer et de contrôler les narratifs qui circulent sur le web, avec la complicité des algorithmes de Google et de Meta (encore ?).
Prenons l'exemple de la controverse autour de TikTok aux États-Unis. Il est devenu évident que, sous couvert de protéger les enfants, l'objectif principal n'était pas la sécurité des jeunes utilisateurs. En réalité, la véritable préoccupation était de bloquer la diffusion de vérités gênantes concernant la guerre dans le Donbass, la gestion de la pandémie de Covid-19 et, surtout, le traitement de la situation à Gaza par le régime de Tel Aviv. La crainte était que des dizaines de millions de jeunes Américains, confrontés à la réalité de ces événements, refusent d'accepter ce qu'ils perçoivent comme des atrocités. Lors de conférence de la Knesset, le débat au sujet de Tik Tok USA était qu’Israël y perdait le combat des éléments de langages et donc celui des cœurs et des âmes.
La campagne visant à bannir TikTok aux États-Unis semble moins motivée par la protection des mineurs que par la volonté de contrôler les récits alternatifs susceptibles d’influencer la jeunesse, un enjeu clé pour l’opinion publique.
Parallèlement, Elon Musk et Donald Trump font face à des tentatives d’intimidation destinées à créer un conflit artificiel entre eux, car leur alliance inquiète ceux qui redoutent d’être exposés pour leurs fraudes et leurs corruptions. La réintégration de Kanye West sur X par Musk illustre clairement sa volonté de reprendre le combat contre des organisations comme l’AIPAC et l’ADL, qu’il perçoit comme des instruments de censure. Mais cela passe par terrasser ceux qui tirent les ficelles d’USAID, dont les flux d’argent déversés chaque années loin de tout contrôle dépasse les 40.000.000.000U$, et à nouveau ce n’est que le sommet de l’iceberg.
Sans l'intervention de Musk et Trump, les États-Unis et le monde entier seraient peut-être devenus irrémédiablement dystopiques. Leur résistance face aux pressions montre leur détermination à sauver les États-Unis – qui ne sont pas encore sortis d'affaire – et l'humanité d'un avenir contrôlé par un transhumanisme débridé et potentiellement destructeur, ou par une société où l'oisiveté serait financée par un revenu universel, où les citoyens passeraient leur vie devant des écrans bêtifiants (jeux vidéos ou TV) à consommer des barres énergétiques à base d'insectes, le tout sous perfusion de thérapies génétiques comme celles à ARNm dans un environnement de 5G. La lutte sera féroce, et Trump pourrait devoir recourir à des mesures extrêmes, voire à la conscription, pour inverser ces tendances, car ces adversaires pourraient aller jusqu’à la guerre civile ou … le largage de nouveaux virus ? Tout est possible dans cette guerre pour la survie ou l’annihilation de l’humanité sous sa forme actuelle.
Pour Trump, Musk et leur administration, le défi sera de concrétiser rapidement les promesses de campagne, notamment l’instauration de la paix en Ukraine, à Gaza et plus largement dans le monde. Le calendrier sera serré, et les résistances nombreuses.
Parmi les principaux obstacles, on retrouve les gouvernements de Tel-Aviv et de Paris, dont les dirigeants semblent davantage attachés à la poursuite des conflits qu’à leur résolution, néanmoins Netanyahu semble techniquement KO pour le
Moment suite à son passage chez Trump. Il n’a pas fait le poids. Face à ces adversaires, pour Trump, la simple chance ou des stratégies classiques ne suffiront pas, il a eu des années pour être prêt et bien s’entourer (Musk est certainement un exceptionnel DRH). Il faudra maintenant surprendre, déconcerter et imposer une nouvelle approche de la puissance et des relations internationales, que ce soit entre voisins ou entre grandes puissances rivales.
Tout sera mis sur la table, et les négociations prendront une tournure inédite sous l’impulsion de figures majeures comme Poutine, Xi Jinping, Trump, Mohammed ben Salmane et Musk. Ces acteurs ne seront pas seulement les artisans de ces changements, mais aussi les porte-voix d’une nouvelle ère géopolitique.
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