La fin du bal des Vampires ? On nous a fait oublier le diable & rejeter ses méfaits comme des fables absurdes. Pourtant, il est là, bien réel parmi nous. Qui est prêt pr la chute finale ou le rebond ?
Des mensonges si gros qu’ils en deviennent invisibles, avalés par des foules hypnotisées par les écrans et les promesses creuses.
Objet : Une bouteille à la mer – Pour un procès des élections truquées de 2020 mais pas que …
Ce que j'entreprends n'est pas motivé par l'argent ou la gloire. C'est un pèlerinage de vérité, un voyage vers l'authenticité.
22 février 2025
The Honorable PAM BONDI
Attorney General of the United States
U.S. Department of Justice
950 Pennsylvania Avenue, NW
Washington, DC 20530-0001
Madame la Procureure Générale,
Je vous écris pour porter à votre attention une situation qui, selon moi, mérite l’ouverture d’une procédure par votre bureau.
Merci d’avance pour le temps et l’attention que vous consacrerez à cette affaire.
Je vous écris d’un pays où le mot démocratie n’est plus qu’un ornement vide, un vestige accroché aux frontons des institutions, un mensonge que l’on nous force à réciter. Je vous écris d’une France où les élections ne sont plus que des simulacres, où les résultats sont écrits d’avance, où l’opposition populaire est matée à coups de matraques et de procès.
Nous ne savons même plus si le couple présidentiel qui trône à l’Élysée – ou à la Lanterne – est un conte de fées diaboliques ou un compte de faits qui sera notre ruine. Tout est flou, insaisissable, comme ces récits qu’on nous intime de croire sous peine d’être mis au ban.
Quant aux oppositions politiques et syndicales, voire médiatiques, elles ont été soigneusement construites pour être inoffensives, peuplées de figures dociles, calibrées pour ne pas faire de vagues. Ceux qui s’écartent du script sont exclus, broyés par un système qui collectionne les dossiers ou les fabrique à la demande. L’affaire Fillon en est l’illustration parfaite : son éviction brutale en 2017 soulevait déjà des doutes, mais les affaires qui ressurgissent aujourd’hui, avec leurs ramifications troubles, confirment que rien n’a été laissé au hasard. L’échiquier politique est sous contrôle, et ceux qui menacent l’ordre établi sont écartés avant même d’avoir pu jouer leur coup.
Heureusement, par un souffle qui défie leur engrenage obscur, Trump a glissé hors des griffes d’un attentat qui aurait dû l’engloutir. Dieu n’a pas ployé la trajectoire de la balle, mais celle de sa tête, comme un signe murmurant que son chemin restait inachevé. Et il ne marche pas seul. À ses côtés, des individus braves et dignes se lèvent contre le gouffre qui sinon allait finir de nous déshumaniser : Poutine, Xi, Ben Salman, Elon Musk, et tant d’autres encore, illustres ou sans nom, refusent de s’incliner face à l’empire tissé de faux-semblants.
L’humanité, désormais, n’a plus d’échappatoire : il faut drainer le marais, extirper jusqu’à la racine ces serviteurs de l’ombre qui s’y gorgent depuis des siècles, pillant les peuples, brisant les innocents, et surtout les enfants—ceux immolés sur l’autel des guerres, broyés par les chaînes des cartels, ou éteints avant même que leurs yeux n’effleurent la lumière du jour.
Et ce matin, en voyant l’état du monde, je repensais à l’élection de 2020.
Comment voulez-vous que nous y croyions ? Comment un homme déjà diminué, un fantôme errant dans des meetings vides, un candidat sans ferveur, sans énergie, sans réel programme, aurait-il pu obtenir plus de 81 millions de votes ? Plus que Barack Obama à son sommet ? Plus que tout autre président de l’histoire américaine ? Cela défie l’entendement, les statistiques, la simple logique.
Mais peut-être que la logique n’a plus sa place dans un monde bâti sur des mensonges colossaux.
On nous a dit que Lee Harvey Oswald, un tireur isolé avec un vieux Carcano rouillé, avait supprimé JFK d’un coup de fusil magique, une balle capable de zigzaguer dans l’air, de perforer plusieurs corps et de ressortir intacte pour poser sur une civière comme une starlette à Hollywood. Un scénario si parfait qu’il en devient risible, digne d’un roman de gare écrit par un agent de la CIA en manque d’inspiration – et pourtant, c’est la version officielle, gravée dans le marbre par la Commission Warren, pendant que les témoins gênants disparaissaient comme par enchantement.
Mais si la CIA a servi de paravent, qui était derrière ? Certains évoquent le complexe militaro-industriel, furieux du désengagement au Vietnam. D’autres parlent de la mafia, trahie après avoir aidé JFK à se hisser au pouvoir. Et puis, il y a cette piste plus obscure, plus insidieuse : celle du Mossad, qui aurait vu d’un mauvais œil la volonté de Kennedy de brider le programme nucléaire israélien. Il voulait inspecter Dimona, il voulait empêcher la prolifération, et pour certains, il a signé son arrêt de mort en s’opposant à l’État hébreu et à ses parrains invisibles dans les hautes sphères américaines, d’une nouvelle Sion, d’où le contrôle du destin de la Terre est plus facile que de Paris ou de Tel Aviv.
Depuis, la même mécanique implacable s’est répétée. Ceux qui dérangent disparaissent, ceux qui contestent sont discrédités ou éliminés, et le mensonge se perpétue, protégé par des médias serviles et des commissions d’enquête bidon. Toujours le même marécage, toujours les mêmes marionnettistes dans l’ombre, toujours les mêmes méthodes, et la liste est longue.
On nous a dit que des grottes afghanes, armées de quelques barbus en sandales et d’un stock de kalachnikovs, avaient suffi à faire s’effondrer trois tours en 2001 – deux touchées par des avions, et une troisième, la fameuse Tour 7, qui s’est écroulée toute seule, comme par un miracle de la physique défiant toute explication rationnelle. Des passeports retrouvés intacts dans les décombres, des effondrements à la vitesse de la chute libre, des rapports officiels qui éludent les explosifs entendus par des dizaines de pompiers : un conte pour enfants servi avec des billions de dollars de contrats militaires en prime et … le patriot act pour mieux nous prendre des libertés au nom de plus de sûreté ? La bonne blague ? Sans oublier le moyen orient mis à feu et à sang. Et puis, comme cerise sur ce gâteau d’absurdités, on nous a raconté l’épilogue rocambolesque de leur grand méchant loup, Oussama ben Laden, éliminé dans des circonstances si folles qu’elles semblent tirées d’un mauvais film d’action.
Aparté
On nous a dit que le 2 mai 2011, dans une maison fortifiée d’Abbottabad, au Pakistan, une équipe d’élite des Navy SEALs, la fameuse Team 6, avait abattu ben Laden lors d’un raid éclair. Pas de capture, pas de procès pour le cerveau du 11-Septembre – non, il fallait le tuer sur place, nous a-t-on expliqué, car il était “trop dangereux” pour être pris vivant, même désarmé, entouré de femmes et d’enfants, dans une pièce sans issue. Les détails ? Flous, changeants. Une fusillade héroïque, puis un corps jeté à la mer depuis un porte-avions, conformément à une soi-disant tradition islamique expédiée en quelques heures – pas de photos publiées, pas de preuves tangibles, juste la parole de l’administration Obama et un communiqué triomphal. On nous demande de croire qu’un homme traqué pendant dix ans, censé être l’ennemi public numéro un, a été liquidé sans qu’on puisse jamais examiner son cadavre, comme s’il s’agissait d’un fantôme qu’il fallait faire disparaître au plus vite.
Mais l’histoire devient encore plus sombre. Quelques semaines après cette opération, le 6 août 2011, un hélicoptère Chinook transportant 38 personnes, dont 15 membres de la SEAL Team 6 – certains ayant participé au raid contre ben Laden – est abattu dans la province de Wardak, en Afghanistan. Officiellement, une embuscade talibane, un coup de RPG chanceux. Le plus gros bilan humain en une seule journée pour les forces spéciales américaines dans ce conflit. Une coïncidence, bien sûr, nous dit-on. Pourtant, les familles des victimes crient au scandale : pas de boîte noire récupérée, des corps incinérés sans autopsie, des enquêtes bâclées, et des témoignages suggérant que l’appareil était une cible désignée. Des rumeurs circulent – jamais confirmées, mais jamais étouffées – que cette unité savait trop de choses, qu’elle devenait gênante, qu’il fallait couper les fils d’une vérité trop encombrante.
Et pourquoi pas, après tout ? Dans un monde où les passeports survivent à des brasiers d’acier fondu et où les tours s’effondrent comme des châteaux de cartes, pourquoi ne pas imaginer que ceux qui ont vu ben Laden en face – ou qui n’ont rien vu du tout – aient été sacrifiés pour clore le récit ? On nous vend une victoire éclatante, un méchant terrassé, mais tout sent la mise en scène : un corps englouti par les flots, des héros morts dans des circonstances douteuses, et une vérité qui s’évapore comme une ombre dans le désert afghan.
On nous a dit que l’homme avait marché sur la Lune en 1969, retransmis sur des écrans cathodiques avec des images floues et un drapeau frémissant dans un vide sans vent — un miracle technologique d’une époque rudimentaire. Pourtant, on prétend avoir oublié le chemin du retour, trop occupés à tourner des fictions terrestres ou à gaspiller la NASA sur des rêves ternes. Les sceptiques, avec leurs ombres suspectes et leurs radiations de Van Allen ? Des hurluberlus, dit-on. Vraiment ?
Qui a filmé le décollage de la capsule, cette caméra magique braquée depuis un sol lunaire désert ? Et ce prétendu coup de fil depuis la face cachée, défiant les ondes bloquées par la Lune — Nixon jouant les standardistes depuis son bureau ovale ? La jeep lunaire, un jouet pliable trimballé là-haut, utile comme un caprice dans le vide ? Quant aux astronautes, ils refusent de jurer sur la Bible leur présence là-haut. Pourquoi ce silence face à un livre saint tendu comme un défi ? Croient-ils encore en Dieu, mais doutent de ce sol gris qu’on leur attribue ? Ou portent-ils, muets, le poids d’une fable trop lourde, d’un décor qui vacille sous leurs pas ?
Une épopée fissurée, un drapeau trop docile, des questions qui percent la toile.
On nous a dit que Saddam Hussein cachait des armes de destruction massive, des stocks de gaz moutarde et de missiles prêts à pleuvoir sur l’Occident, une menace si imminente qu’il fallait envahir l’Irak séance tenante. Colin Powell agitant une fiole de sucre glace à l’ONU, des rapports bidonnés, des centaines de milliers de morts plus tard : rien, nada, que dalle. Mais les puits de pétrole ont changé de mains, et les contrats de reconstruction ont fait des heureux chez Halliburton.
Kadhafi, lui, devait mourir pour la démocratie, nous a-t-on juré – un dictateur excentrique transformé en martyr par des bombardements “humanitaires” orchestrés sous l’égide de Nicolas Sarkozy, alors président de la France, pendant que la Libye sombrait dans le chaos et devenait un supermarché pour trafiquants d’armes et d’esclaves. Mais derrière cette croisade officielle, un tableau bien plus sombre se dessine. Sarkozy, aujourd’hui sous le feu d’un procès historique débuté en janvier 2025, est accusé d’avoir conclu un “pacte de corruption” avec Kadhafi dès 2005, recevant des millions d’euros pour financer illégalement sa campagne de 2007 – des valises de cash livrées par des intermédiaires comme Ziad Takieddine, selon les enquêteurs. Une ironie macabre : l’homme qui a poussé pour l’élimination de Kadhafi en 2011 aurait été son débiteur, un pion vendu à celui qu’il a ensuite trahi.
Et ce n’est pas tout. Sarkozy n’en était pas à son coup d’essai en matière de liaisons vénales. Ses liens troubles avec Liliane Bettencourt, la milliardaire de L’Oréal, ont aussi éclaboussé sa réputation. Dans l’affaire Bettencourt, on l’a soupçonné d’avoir profité de la vulnérabilité de l’héritière pour siphonner des fonds illicites – encore pour cette même campagne de 2007. Relaxé en 2013 faute de preuves irréfutables, il n’en demeure pas moins que les juges ont relevé une “forte suspicion”. On ne saura jamais tout, c’est certain. Ceux qui en savent trop, comme Shukri Ghanem, ex-ministre libyen du pétrole dont les carnets mentionnaient des paiements à Sarkozy, ont fini noyés dans le Danube en 2012, ou comme d’autres témoins clés, morts ou réduits au silence.
Mais… pas de fumée sans feu. Et quand les coïncidences ou les indices sont trop nombreux – des valises de billets, des carnets compromettants, des témoins volatilisés –, ils deviennent plus convaincants que des alibis boiteux ou des preuves fabriquées pour blanchir les puissants. Sarkozy, qui clame son innocence face à une justice qu’il accuse de parti pris, porte un costume taillé dans une toile de mensonges qui se déchire peu à peu. Kadhafi mort, Bettencourt disparue, les secrets s’enterrent avec eux – mais les relents de soufre, eux, persistent.
On nous a dit que les banques étaient “trop grosses pour faire faillite” en 2008, qu’il fallait les sauver à coups de milliers de milliards sortis de nulle part, pendant que des millions de familles perdaient leurs maisons. Des banquiers en costume-cravate jouaient au casino avec l’argent des contribuables, récompensés par des bonus indécents, tandis que les petits épargnants pleuraient la perte de leurs retraites. Une crise orchestrée, disent certains (et j’en fais partie), pour concentrer encore plus de pouvoir dans les mains d’une élite qui ne rend jamais de comptes. En outre, les Américains ont privatisé les gains de cette pyramide de Ponzi, tout en socialisant les pertes avec le reste du monde. Bref, le dollar est un drame pour l’humanité, sauf les riches qui sont corrompus ou compromis (Epstein ?).
La crise sanitaire a été un moment où les libertés individuelles ont été mises sous cloche, avec des mesures présentées comme incontournables : confinement généralisé, QR codes pour prouver qu’on était "safe", applications de traçage qui faisaient ressembler nos smartphones à des mouchards tout droit sortis d’un roman de Philip K. Dick. On nous a vendu l’idée qu’un virus, né d’un pangolin malchanceux ou d’une soupe de chauve-souris sur un marché de Wuhan, justifiait cette surveillance totale. Mais jamais, au grand jamais, il ne pouvait venir d’un laboratoire – surtout pas celui de Wuhan, financé en partie par des subventions occidentales, notamment via des circuits impliquant le NIH américain sous la houlette d’Anthony Fauci. Non, ça, c’était le terrain glissant des "conspirationnistes", même si des documents déclassifiés et des enquêtes ultérieures ont montré que l’hypothèse d’une fuite de labo n’était pas si farfelue.
Aparté
Fauci, figure centrale de la gestion pandémique aux États-Unis, a incarné cette narrative officielle. Conseiller scientifique en chef, il a défendu bec et ongles la version "naturelle" du virus tout en minimisant les questions sur le financement américain de recherches sur les gains de fonction – ces expériences qui boostent la dangerosité des virus au nom de la science. Pendant ce temps, on comptait les morts à la va-vite, parfois en mélangeant "mort avec" et "mort de", tandis que des traitements alternatifs comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine étaient relégués au rang de tabous, censurés ou ridiculisés par les autorités sanitaires et les médias. Les sceptiques, eux, étaient cloués au pilori, exclus des restos, des boulots, de la vie sociale – tout ça au nom du bien commun.
Et puis il y a eu les gagnants. Pfizer et consorts ont engrangé des milliards, surfant sur des vaccins (injections !) développés à une vitesse éclair, vendus à prix d’or, avec des contrats opaques et des immunités juridiques en béton. Pour les uns, un jackpot historique ; pour les autres, une prison invisible, faite de restrictions et de stigmatisation. Fauci, lui, est resté jusqu’au bout le visage rassurant de cette machine, un symbole pour certains, un bouc émissaire pour d’autres – mais toujours au cœur d’un récit qui laisse encore tant de questions sans réponses claires (mais le doute est il permis). Il a été pardonné par un Biden momifié … ça ne devrait pas être suffisant. Ainsi et Heureusement RFK jr fraîchement nommé ministre de la santé … va gérer ce dossier en personne, avec l’aide de Rand Paul.
On nous a dit que le sabotage des gazoducs Nord Stream, en septembre 2022, était une énigme géopolitique, un acte mystérieux attribué vaguement à des “intérêts obscurs”. La version officielle hésite, évoque des enquêtes en cours, tandis que l’évidence crève les yeux : des infrastructures vitales pour l’énergie européenne, reliant la Russie à l’Allemagne, détruites dans un contexte de guerre en Ukraine et de tensions avec l’Occident. Les États-Unis, qui avaient publiquement exprimé leur opposition au projet – Joe Biden promettant même en février 2022 qu’ils “y mettraient fin” –, restent étrangement silencieux, et les enquêtes piétinent. Pourtant, l’absence de débris analysés, la rapidité du black-out médiatique et les bénéfices évidents pour certains acteurs laissent peu de doutes : ce n’était pas un accident, mais une opération calculée, dont les commanditaires semblent protégés par un mur de silence.
De même, l’attaque du 7 octobre 2023 par le Hamas contre Israël défie toute logique simpliste. On nous a vendu une faille sécuritaire inexplicable : une incursion massive, des centaines de morts, dans un pays doté d’un des systèmes de renseignement les plus sophistiqués au monde. Difficile d’imaginer que le régime de Tel-Aviv, avec ses satellites, ses drones et son réseau d’informateurs, n’ait rien vu venir. Plus troublant encore, des indices – mouvements de fonds suspects, communications interceptées, avertissements ignorés d’alliés comme l’Égypte – suggèrent que cette attaque n’a pas été seulement su, mais peut-être souhaitée, voire encouragée en sous-main. Les preuves ? Faciles à exhumer pour qui veut creuser : des rapports d’inaction délibérée, des bénéfices politiques pour Netanyahou en quête de légitimité, et un timing trop parfait pour justifier une riposte écrasante.
Dans les deux cas, Nord Stream comme le 7 octobre, les versions officielles s’effilochent face à des réalités trop criantes pour être ignorées.
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Et puis, dans un registre plus personnel, des hypothèses troublantes ont émergé, qui remettent en question les fondements mêmes de ce qu’on nous présente comme une réalité incontestable. Prenons Brigitte et Emmanuel Macron, couple au sommet de l’État français : et si ces deux figures n’étaient pas du tout celles qu’on nous a décrites ? Leur biographie officielle – elle, une professeure discrète devenue Première Dame, lui, un énarque prodige propulsé président – pourrait n’être qu’une façade, un récit minutieusement fabriqué, truqué de toutes pièces. Certains vont jusqu’à suggérer que leur avènement n’a rien d’un hasard, mais résulte d’un plan conçu depuis la nuit des temps, peaufiné avec une précision chirurgicale, remontant même au règne de François Mitterrand dans les années 1980. Sous son ère, déjà, des réseaux auraient posé les jalons, identifié des pions, préparé leur ascension dans une mécanique implacable, masquée sous des apparences de spontanéité démocratique.
Aparté
Ces soupçons, bien que relégués au rang de spéculations par les canaux officiels, s’inscrivent dans un contexte plus vaste de pouvoir et de manipulation. Les cercles qui dominent la France et au-delà – incarnés par des dynasties comme les Rothschild, piliers historiques de la finance mondiale, Bernard Arnault, maître de LVMH et symbole d’une élite économique omnipotente, ou encore la famille Soros, avec George Soros, milliardaire dont la fondation Open Society irrigue des mouvements transnationaux – pourraient avoir joué un rôle dans cette mise en scène. Les Rothschild, avec leur influence sur les banques et les institutions, Arnault, dont l’empire du luxe croise les sphères politiques, et Soros, finançant ONG et campagnes idéologiques, ne seraient pas de simples spectateurs : ils opéreraient dans un espace où l’argent, l’idéologie et le contrôle s’entrelacent pour façonner des destinées. Des rencontres discrètes avec des décideurs, des soutiens financiers stratégiques, des liens avec des événements clés – autant d’indices qui, bien que fragmentaires, esquissent un dessein plus large.
Ce qui renforce cette hypothèse, c’est l’emprise exercée sur la presse et les récits officiels par des acteurs clés, au cœur desquels figurent des familles puissantes et leurs relais stratégiques. Les Rothschild, avec leur participation dans Libération, Bernard Arnault, maître de Les Échos et du Parisien, et George Soros, via ses financements de structures influentes comme Open Society, orchestrent un contrôle subtil mais tangible sur ce qui peut être publié ou tu. À ce tableau s’ajoutent des figures comme Michèle "Mimi" Marchand, patronne de l’agence Bestimage, et Xavier Niel, gendre de Bernard Arnault et magnat des télécoms et des médias. Marchand, communicante sulfureuse et proche des Macron, a joué un rôle déterminant dans la construction de leur image publique. Introduite auprès d’eux par Niel au printemps 2016, elle a orchestré une campagne médiatique minutieuse – des unes de « Paris Match » aux clichés savamment mis en scène – pour polir leur ascension et étouffer les rumeurs. Niel, compagnon de Delphine Arnault et actionnaire majeur du groupe « Le Monde », de «Nice-Matin »(qui a racheté Bestimage en 2024) et d’autres titres, apporte une puissance supplémentaire à ce verrouillage narratif, consolidant une influence qui croise télécoms, presse et élites politiques.
Les biographies impeccables des Macron, leur montée fulgurante, leur image de couple parfait auraient ainsi été façonnées et protégées par cette coalition. Une censure feutrée, opérant à travers des participations médiatiques et des réseaux d’intérêts, interdit de citer certains faits ou soupçons – enquêtes avortées, témoignages écartés, archives verrouillées. Avec Marchand aux manettes de la gestion d’image et Niel en architecte d’un empire médiatique aligné sur les desiderata de l’Élysée, le récit officiel devient une forteresse inexpugnable, où chaque détail est contrôlé avec une précision redoutable.
Les tentatives pour percer ce voile achoppent systématiquement. Les plaintes ou investigations visant ces réseaux d’influence – financements occultes, collusions, falsifications – ne sont jamais jugées sur le fond. Elles s’évanouissent dans des vices de procédure, des délais de prescription ou des débats secondaires, bien futiles face à l’énormité de ce qui pourrait être en jeu. Par ailleurs, ce système révèle une autre facette inquiétante : des personnes ont été condamnées ou poursuivies sur des prétextes fallacieux, totalement déconnectés des questions de fond qu’elles cherchaient à éclaircir. Des peines prononcées pour des motifs périphériques – diffamation, formalités administratives – servent à museler ceux qui osent gratter sous la surface, tandis que les véritables enjeux restent intouchés.
Parmi ces cas, le mien, est emblématique pour moi en tout cas. En attente de procès après une garde à vue de 35 heures, j’ai été cueilli chez moi à 6 heures du matin par les forces de l’ordre, sur la base d’une plainte déposée par Brigitte Macron pour “harcèlement”. Pourtant, je n’ai jamais cherché à la contacter, à la voir ou à lui nuire de quelque manière que ce soit. Mes seules actions ? Poser des questions légitimes, comme tout journaliste citoyen devrait pouvoir le faire face à des incohérences publiques. Cette plainte, loin de reposer sur des faits concrets, semble destinée à intimider et à détourner l’attention des interrogations de fond – celles qui touchent à l’identité et au parcours des Macron, à leur ascension orchestrée. Mon cas n’est pas isolé : d’autres, cherchant à explorer ces réseaux, subissent des pressions similaires, leurs voix étouffées sous des accusations disproportionnées ou fabriquées.
La question cruciale – l’existence potentielle d’un système où les Rothschild, les Arnault, les Soros, mais également Mitterand puis ses relais, auraient orchestré l’émergence de figures comme les Macron, avec des identités et des passés réécrits – reste ainsi sans réponse, noyée sous des arguties techniques ou des représailles ciblées. Ces condamnations et poursuites, détachées des véritables dossiers, agissent comme un écran de fumée, protégeant une mécanique qui échappe à tout contrôle démocratique. Dans cet univers, chercher la vérité devient un acte punissable, tandis que les architectes présumés de ce récit demeurent intouchables.
L’ampleur de cette possibilité est si vaste, si folle, qu’elle glace le sang. Si Brigitte et Emmanuel Macron ne sont pas ceux qu’on nous a vendus, si leur histoire a été sculptée depuis des décennies, peaufinée sous Mitterrand et au-delà, alors ce n’est pas une simple imposture : c’est une machinerie terrifiante, impliquant une constellation d’acteurs – financiers, industriels, idéologues – dans une logique presque diabolique. Un plan où chaque détail, chaque étape, chaque silence serait calculé pour installer des marionnettes au sommet, pendant que la presse, complice ou muselée, maintient l’illusion. Que des mensonges d’une telle échelle puissent être protégés par des querelles stériles défie l’entendement et place le doute au cœur d’une ombre menaçante, suspendue sur nos certitudes.
Chaque fois, ces vérités officielles se révèlent être des fables cyniques, des récits cousus de fil blanc par des marionnettistes qui rient dans l’ombre. Des mensonges si gros qu’ils en deviennent invisibles, avalés par des foules abruties par les écrans, les slogans et les promesses d’un monde meilleur qui ne vient jamais.
Et puis il y a Notre-Dame de Paris, cette cathédrale millénaire, ce symbole d’une civilisation, réduite en cendres en 2019. On nous a dit que c’était un accident, une cigarette mal éteinte ou un court-circuit providentiel. Pas de coupable désigné, pas de main criminelle, juste un acte de Dieu, paraît-il. Un comble pour une époque qui rejette le divin à chaque coin de rue, mais qui l’invoque dès qu’il faut absoudre les incompétents ou dissimuler les pyromanes.
On nous a parlé du pangolin et des chauves-souris, ces boucs émissaires exotiques d’une pandémie mondiale, alors que la vérité est peut-être plus sordide : des chauves rabougris et pervers, terrés dans des biolabs financés par nos impôts, jouant aux Frankenstein du gain de fonction. Ils bidouillent des virus, trafiquent la nature, et osent ensuite nous sermonner sur la santé publique, un masque sur le visage et une seringue à la main.
On nous a vendu des écoles où l’on n’enseigne plus la grammaire ou l’histoire, mais la pornographie, dès le plus jeune âge, sous prétexte d’éducation “moderne”. On nous explique que les humains, dans leur glorieuse évolution au sommet du règne animal, ne se contentent plus de deux genres – trop banal, trop naturel – mais qu’ils en ont inventé une centaine, chacun plus fluide que le précédent, au point que la biologie n’est plus qu’une opinion fasciste.
On nous assure que des hommes peuvent légitimement boxer des femmes sur un ring, pourvu que leur passeport clame qu’ils sont des femmes, peu importe l’évidence des chromosomes ou des muscles. La science ? Un détail. La justice ? Une formalité. Les médailles pleuvent, et les os craquent, au nom d’une égalité tordue jusqu’à l’absurde.
On nous fait croire que l’argent peut s’imprimer par milliers de milliards sans conséquences, comme si les lois économiques étaient des contes pour enfants désuets. Les monnaies virtuelles, les NFT, l’art numérique : tout cela est “révolutionnaire”, nous dit-on. Et beaucoup y croient, investissent, spéculent, en attendant de s’en mordre les doigts quand la bulle éclatera, laissant derrière elle des fortunes évanouies et des illusions en ruines. Mais s’il y a un scandale qui incarne cette folie, c’est bien celui de FTX et de son golden boy déchu, Sam Bankman-Fried, un nom qui résonne désormais comme un synonyme d’arnaque monumentale.
Aparté
FTX, pour ceux qui auraient oublié, était une plateforme d’échange de cryptomonnaies fondée en 2019 par Bankman-Fried, un jeune prodige autoproclamé, cheveux en bataille et discours altruiste en bandoulière. En quelques années, elle devient l’une des plus grosses bourses crypto au monde, valorisée à 32 milliards de dollars à son apogée en 2022. L’histoire officielle ? Un génie visionnaire qui révolutionne la finance décentralisée. La réalité ? Une pyramide de Ponzi moderne, un château de cartes bâti sur des mensonges, des fonds volés et une fausse monnaie blockchain conçue pour attraper les gogos.
Le scandale éclate en novembre 2022, quand un article de CoinDesk révèle que Alameda Research, une firme de trading liée à FTX et dirigée par Bankman-Fried, repose sur des sables mouvants : ses actifs sont majoritairement composés de FTT, un jeton créé de toutes pièces par FTX, une sorte de Monopoly money numérique sans valeur réelle hors de leur écosystème. Les clients paniquent, une ruée sur les retraits s’ensuit, et FTX s’effondre comme un soufflé raté, incapable de rendre l’argent qu’elle n’avait jamais réellement. Résultat : 8 milliards de dollars de fonds clients volatilisés, un million de créanciers laissés sur le carreau, et une faillite retentissante.
Mais l’affaire ne s’arrête pas à une simple escroquerie financière. Sam Bankman-Fried n’était pas juste un fraudeur en tongs, c’était aussi un acteur politique majeur. Deuxième plus gros donateur du Parti démocrate après George Soros, il a injecté près de 40 millions de dollars dans les élections de mi-mandat de 2022, et pas moins de 10 millions pour la campagne de Joe Biden en 2020. Officiellement, cet argent venait de ses profits mirifiques. Officieusement, les procureurs américains ont révélé qu’une partie provenait directement des fonds volés aux clients de FTX, détournés via des prête-noms pour contourner les lois sur le financement électoral. Une lessiveuse d’argent sale au service des élites washingtoniennes.
Et puis il y a l’Ukraine, cerise radioactive sur ce gâteau empoisonné. En mars 2022, FTX s’associe à une initiative ukrainienne, “Aid for Ukraine”, permettant de convertir des dons en cryptomonnaies en argent liquide pour soutenir l’effort de guerre. Officiellement, une œuvre de charité. Mais une théorie persistante – alimentée par des coïncidences troublantes et des déclarations d’élus républicains – suggère que FTX aurait servi de super-blanchisseuse pour recycler des milliards d’aide américaine envoyés à Kiev. Le schéma supposé ? Les États-Unis envoient des fonds à l’Ukraine, une partie est investie dans FTX, et cet argent revient discrètement aux démocrates via les dons de Bankman-Fried. Preuve irréfutable ? Pas encore. Mais le timing – des milliards d’aide déversés pendant que FTX prospère, puis s’effondre – et les connexions politiques de “SBF” avec la Maison Blanche (il rencontrait des conseillers de Biden en 2022) laissent un parfum de soufre.
Le cœur de l’arnaque, c’est cette fausse monnaie blockchain, le FTT, une fiction numérique gonflée artificiellement pour duper les investisseurs. Comme dans tout schéma Ponzi, les premiers entrants – souvent des initiés – s’enrichissent, tandis que les derniers, les gogos attirés par la hype, paient les pots cassés. Bankman-Fried et ses lieutenants, dont sa compagne Caroline Ellison d’Alameda, ont siphonné des milliards pour des villas aux Bahamas, des jets privés et des dons politiques, pendant que les clients croyaient dur comme fer à la “révolution crypto”. Quand tout s’est écroulé, il a eu l’audace de plaider que FTX était “solvable mais illiquide”, une pirouette pour minimiser le carnage.
Condamné en mars 2024 à 25 ans de prison pour fraude et conspiration, Bankman-Fried a été reconnu coupable d’un des plus grands détournements de fonds de l’histoire américaine. Mais le scandale FTX dépasse son cas personnel : il révèle une époque où l’argent virtuel, imprimé sans limites ni garde-fous, devient une arme pour manipuler les marchés, les élections, et les esprits. On nous vend des NFT à des millions, des cryptos “révolutionnaires”, des promesses de richesse instantanée, et pendant ce temps, les Bankman-Fried de ce monde rient en coulisses, jusqu’à ce que la musique s’arrête. Et elle s’arrête toujours.
Et nous avons découvert, chaque fois, que ces vérités officielles n’étaient que des fables cyniques, des mythes écrits par les vainqueurs pour justifier leurs guerres, leurs pillages, leurs révolutions de palais. Des mensonges si gros qu’ils en deviennent invisibles, avalés par des foules hypnotisées par les écrans et les promesses creuses.
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L’élection de 2020 n’est pas un accident. C’est l’aboutissement d’un plan, l’un des chapitres d’un récit plus vaste, écrit depuis des décennies par une caste qui ne se cache plus. Un marécage profond et tentaculaire, aux ramifications historiques et géographiques, un réseau qui a toujours su faire taire les gêneurs et réécrire l’histoire à son profit.
Car ce qui s’est joué en novembre 2020 dépasse de loin les basses manœuvres politiques d’un parti ou d’un État. Les États-Unis, autrefois phare de la liberté, sont devenus les hommes de main de forces du mal basées à Paris et Tel-Aviv, des puissances occultes qui tirent les ficelles dans l’ombre. L’Amérique n’a plus un gouvernement au service de son peuple, mais une marionnette aux ordres d’individus diaboliques, animés par des plans eschatologiques. Ils ne cherchent pas seulement le pouvoir ou la richesse : ils veulent redessiner le destin de l’humanité, précipiter une fin des temps qu’ils orchestrent avec une froideur millimétrée, un agenda où les nations ne sont que des pions et les peuples, des sacrifices.
On pourrait croire que cette fraude est née dans les backrooms d’un parti, dans les bureaux feutrés d’un ministère ou d’un conseil d’administration. Mais elle est bien plus que cela. C’est une pièce essentielle dans l’édifice de leur grand projet, celui qui ne vise pas seulement à dominer les peuples, mais à les refaçonner, à les anéantir spirituellement et physiquement. Ils rêvent d’un monde où l’homme ne sera plus qu’un rouage, surveillé, numérisé, asservi. Un monde où le corps est une marchandise, où la pensée est un crime, où la chair elle-même est obsolète face aux machines. Transhumanisme, post-humanité, gouvernance algorithmique : voilà leur horizon, celui d’une élite qui se prend pour Dieu et qui, pour y parvenir, doit d’abord détruire tout ce qui fait de nous des hommes libres.
Et pour cela, il fallait évincer Trump.
Parce que Trump, malgré ses contradictions, malgré ses erreurs, représentait une anomalie. Il était une rupture dans leur trajectoire. Une variable incontrôlable. Une menace pour leur dessein.
Alors ils ont triché. En bande organisée. Avec méthode et sans scrupule.
Car partout, les traces de la fraude sont visibles. Des milliers de témoignages, des vidéos d’urnes bourrées en pleine nuit, des machines aux résultats inexplicables, des lois modifiées à la dernière minute pour ouvrir la porte aux irrégularités. Une élection qui s’est jouée à quelques centaines de milliers de voix… et que des anomalies massives ont fait basculer du “bon” côté.
Et depuis, le monde paye le prix de leur coup d’État par braquage électoral… et qu’en France, seul un diablotin (en binôme) a vraiment rigolé en parfaite connaissance de cause (…).
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Soutenir ou cueillir sans semer ?
Chaque semaine, je tisse plus de 120 heures de mon âme dans ces lignes, un labeur sans trêve, un murmure dans l’ombre. Pourtant, 95 % de ceux qui dansent avec mes mots, mes fidèles ombres, ne tendent jamais la main. Sont-ils tous des âmes errantes, dénuées de pièces d’or ? Mon cœur en doute, vacillant.
Je rêve que les démunis puissent encore cueillir ces fleurs d’encre sans bourse à ouvrir. Mais les autres, ces silhouettes plus fortunées ? Pourquoi cueillir les pétales sans jamais arroser la terre ?
Dois-je dresser des murs d’argent, fermer mes jardins aux âmes légères ? Ou bannir ceux qui prennent sans un regard en arrière ? Non, je préfère chanter à votre noblesse perdue, à cette lueur d’honneur qui sommeille en vous. Si mes vers ont caressé votre esprit, offrez-moi une étoile, un souffle, un signe.
Merci à ceux dont le cœur bat encore au rythme de cette danse.
Le reste se voile, comme une larme dans le vent ;-)
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