Le Malin sème le chaos pour nous rendre idiots. On ne sait plus qui croire, quoi défendre, ni où chercher la vérité. Pendant ce temps, les vrais résistants tombent, suicidés par d’autres, ou brisés …
Macron à Paris, Netanyahu à Gaza, Trump à TruthSocial, Marleix “mort à l’Assemblée”, Denece “mort au volant”, Epstein effacé, les platistes promus et nous, piégés entre sidération et diversion
Pendant que Trump s’agite sur Internet, accumulant les promesses non tenues, les contradictions grossières et les flatteries entre alliés douteux, les BRICS, eux, observent. Et ils sourient.
Ils ne croient plus au “plan”. Ils ont compris.
Ils voient clair dans cette agitation américaine : des tweets patriotiques pour masquer une reddition politique, un théâtre viriliste pour cacher une soumission structurelle. Trump a signé un budget monstrueux. Trump a livré des armes à l’Ukraine. Trump a laissé Netanyahu reprendre la main. Et surtout : Trump a trahi tous ceux qui l’avaient porté en 2024.
Pendant ce temps, les États-Unis détruisent leur propre peuple : par la dette, la censure, la fracture raciale, la corruption morale, la désindustrialisation. Et comme cela ne suffit pas, ils s’acharnent à exporter le chaos : vers l’Iran, vers l’Afrique, vers la Russie, partout où la foi et la souveraineté osent encore résister.
À leur tête : Macron, puis Netanyahu.
Deux figures différentes mais coordonnées, reliées par une même main, plus sombre que toutes les alliances militaires visibles.
Derrière eux : les hordes fanatiques, les oligarques numériques, les idéologues invertis.
Ce sont eux qui effacent la mémoire, inversent les mots, et désignent les résistants comme des fous ou des menaces.
Et les résistants français ?
Ils se retrouvent “suicidés”. Par des hommes invisibles. Par des injections de découragement.
Par des pensées construites pour les réduire à néant.
Par l’isolement, la diffamation, ou l’épuisement.
Par l’arme ultime : le doute sur leur propre lucidité.
Mais ailleurs, les choses bougent.
En Chine, on construit, on planifie, on fabrique du réel, parfois avec dureté, mais souvent avec efficacité.
En Russie, on assainit.
Pas seulement en surface. En profondeur.
On coupe les réseaux, on nettoie les alliances, on fait sauter les relais de l’Occident. Littéralement parfois.
Rappelez-vous le rôle de Mikhaïl Michoustine, Premier ministre discret mais central dans l’architecture de Poutine. Son mandat était clair :
– Éradiquer la 5e colonne.
– Assainir le marécage.
– Faire tomber les pions de l’ennemi intérieur.
Et cela continue aujourd’hui, avec méthode, avec fermeté et parfois par les fenêtres. (Au cours des derniers jours de nombreux escrocs sont tombés avec fracas … et il va y en avoir d’autre - l’argent et le sexe corrompent !)
Alors non, tout ne se vaut pas.
Il y a des pays qui nettoient. Et d’autres qui s’enfoncent.
Et il y a ceux qui crient “réveil !”,
Mais endorment les foules pour mieux les sacrifier.
La question, maintenant, n’est plus qui manipule.
Mais jusqu’où. Et surtout : que faisons-nous ?
(En fin de lettre deux bonus, dont un chapitre de la saga La Table Rouge … et une enquête de Colombo … )
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Les faits sont criants.
Gaza brûle. L’Iran est isolé.
Et la Syrie, à bout de souffle, vient d’être sortie de la liste des États terroristes — non pas parce qu’elle a changé, mais parce qu’elle a accepté de signer les Accords d’Abraham, version 2025.
Contre quoi ?
Contre son propre démembrement, méthodique, interne.
Comme tous ceux qui ont cédé avant elle.
Il suffit de regarder le Maroc, devenu aujourd’hui le bras armé d’Israël au Maghreb, traquant les voix libres et tendant la main aux pires opérateurs du chaos.
Le plan est visible. Il n’est même plus dissimulé.
Et pourtant… je continue à croire qu’il y avait du bon en Trump. (En reste t’il quand on regarde qui l’entoure ou qui entourent, ceux qui l’entourent …dont, la fiancée de Kash Patel, le nouveau patron du FBI est l’exemple le plus fascinant ?)
On ne peut pas tromper autant de monde sans incarner, au départ, une vérité, une faille, un espoir.
Mais j’ai mis cet espoir de côté.
Car les faits, là encore, sont têtus.
Trump s’affiche avec Netanyahu.
Il le remercie publiquement.
D’avoir proposé son nom pour le prix Nobel.
Quel simulacre.
Que Trump soit proposé au prix Nobel ? Pourquoi pas.
L’histoire en a vu d’autres. Après tout, Obama l’a bien eu pour la paix… avant de faire exploser la moitié du Moyen-Orient.
Mais que ce soit Netanyahu qui le propose — Netanyahu, dont le régime mène un génocide à Gaza, poursuivi par la CPI et la CIJ pour crime contre l’Humanité et crime de guerre — et que Trump le remercie, le félicite même…
C’est une ignominie.
Un pacte de sang déguisé en accolade diplomatique.
Un crachat sur les morts.
Et une trahison de plus, pour ceux qui croyaient encore au sursaut. (Dont moi …)
Et pendant ce temps, les États-Unis s’effondrent.
Le dollar chute, la dette explose, le pays se vide de sa substance.
Qui voudra encore de la monnaie d’un empire en banqueroute, qui ne produit plus rien, qui n’attire même plus les touristes ?
Quel gâchis.
Mais qui peut encore changer cela ?
Peut-être personne.
Car comme l’a dit Peter Thiel et c’est un homme qui sait de quoi il parle, les États-Unis sont devenus le mal absolu.
Son mot exact : “Ce système bipartisan met les USA entre les mains de l’Antéchrist.”
Et cet Antéchrist… ce n’est pas Trump.
C’est Macron.
Tout ce chaos était prévisible dès que Macron est devenu, selon Trump lui-même, “un mec bien”, comme l’a rapporté Candace Owens dans ses récentes révélations.
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Parce que si tout peut être partagé sans conscience, sans respect, alors plus rien ne tient debout.
Pas même la vérité.
J’ai tout donné pendant cinq ans. Mon temps, mes mots, mon souffle.
Aujourd’hui, ce n’est plus possible. Mais j’offre encore tellement… Pas assez, peut-être ? Tant pis.
Je continue pour ceux qui comprennent.
Mais je ne peux plus le faire contre ceux qui détruisent, parfois sans même s’en rendre compte.
(Dans la suite de cette lettre :
une enquête de Colombo sur la Terre plate,
et deux surprises qui pourraient bien tout inverser, et vous rendre lecteur de la saga “la Table Rouge”.)
La gratuité reste ouverte à ceux qui n’ont pas les moyens.
Mais si vous pouvez et que vous refusez de soutenir,
ayez au moins la dignité d’en assumer les conséquences :
je ne vous écrirai plus.
Bertrand@55Bellechasse.com