Lettre complète et ouverte à tous les abonnés,
Fumée blanche au Vatican et enfumage ?
Ce 9 mai, au-delà des dates et des symboles, c’est le choc des récits et la guerre des mondes qui se joue.
Restez éveillés. Partagez. Et n’oubliez pas : la paix n’est pas l’absence de conflit, c’est la victoire de la lumière sur le mensonge.
Le Pape est … L'Américain Robert Francis Prevost est élu pape et prend le nom de Léon XIV
Ce qui suit est la partie 1
La suite évoquera aussi Léon le Khazar et bien d’autres ramifications
Je suis Bertrand Scholler.
Et si ma vision peut sembler sombre à certains, elle est avant tout une lucidité nourrie par la foi. Car ce que nous vivons n’est pas seulement une succession de crises : c’est une révélation. Une apocalypse au sens premier du terme — une levée de voile. Avec l’avènement de Léon XIV, une étape majeure semble s’annoncer dans ce que beaucoup pressentent déjà comme la fin d’un monde… mais peut-être aussi le commencement d’un autre.
Dans cette lettre, toutes les pièces que j’ai semées depuis des années — au fil de centaines d’analyses, de milliers de publications sur X, et d’heures de vidéos sur YouTube — trouvent enfin leur cohérence. Comme si tout ce travail avait peu à peu forgé vos esprits et fortifié vos cœurs, en préparation à ce moment charnière.
Si c’est la première fois que vous me lisez, ne soyez pas inquiet. J’ai tâché d’écrire avec clarté, pédagogie et profondeur. Il se peut cependant que vous ressentiez le besoin d’y revenir, ou d’explorer les archives pour mieux comprendre ce que cette lettre n’a pu contenir en entier.
Car tout n’y est pas. Mais tout y commence.
(Je le répète volontairement — parce que c’est mon texte, et que je sais combien il sera repris, détourné, cité… sans jamais mentionner mon nom.)
Je suis Bertrand Scholler, ou @55Bellechasse, et j’assume cette parole que certains trouvent sombre, cette vision ténébreuse qui me poursuit. Non pas parce que j’ai perdu l’espérance, mais parce que ma foi me donne la lucidité d’affronter les ténèbres sans les craindre. Je sais que Dieu a déjà triomphé. Ce triomphe est scellé depuis la Résurrection. Mais nous, nous marchons encore au cœur des épreuves.
J’écris ces lignes en pleine période pascale, entre la Résurrection du Christ et son Ascension. C’est un temps suspendu, mystérieux, où le ciel s’ouvre mais où la terre n’est pas encore guérie. Un temps où le Christ ressuscité apparaît, console, enseigne… mais s’apprête à disparaître à nouveau aux yeux du monde. Ce n’est pas encore la fin. C’est l’attente. C’est la traversée.
Le mot tribulation, souvent oublié ou mal compris, vient du latin tribulare, qui signifie « broyer », comme on broie le grain sous la meule. Il évoque ces pressions intérieures, ces souffrances morales ou physiques, ces périodes d’incompréhension et de chaos que traversent les justes. Non pour les briser, mais pour les purifier, les rendre vrais, les ajuster à la lumière.
Nous vivons une époque de tribulations. Ce n’est pas une simple crise. C’est une phase cruciale de l’Histoire, un passage resserré, presque apocalyptique. Et c’est précisément ce que cette lettre cherche à explorer : le sens spirituel, prophétique, des secousses que nous vivons aujourd’hui.
Nous sommes en mai 2025, et l’élection de Robert Francis Prevost, cardinal américain et augustin, sous le nom de Léon XIV, n’est pas un simple changement de pontife : c’est un signe eschatologique, un pas vers l’abîme final.
Le nouveau pape, désormais Léon XIV, est considéré comme un proche allié du pape François. C’est ce dernier qui l’avait nommé cardinal, lui confiant une mission clé dans l’Église universelle : la sélection et la gestion des évêques dans le monde entier. En 2023, François l’avait désigné à deux fonctions majeures : préfet du Dicastère pour les évêques et président de la Commission pontificale pour l’Amérique latine.
Ces rôles stratégiques faisaient de lui l’un des hommes les plus influents du Vatican. Le préfet du Dicastère pour les évêques est chargé de recommander au pape les candidats aux fonctions épiscopales, autrement dit les futurs évêques de l’Église catholique dans le monde. Quant à la Commission pontificale pour l’Amérique latine, elle supervise et étudie les dynamiques ecclésiales, sociales et pastorales dans cette région particulièrement vivante et stratégique pour l’Église.
Ce pape, que certains imaginent naïvement comme un allié de Donald Trump, n’est qu’un pion aux mains de François (RIP) et d’Emmanuel Macron, que je vois comme l’Antéchrist, secondé par son lieutenant, Benjamin Netanyahu, le saigneur de la guerre, un homme qui n’a rien d’un seigneur. Leur alliance, tissée dans l’ombre par des lignées comme les Rothschild – peut-être héritiers des Khazars et des « Rotes Schields » – précipite l’humanité vers sa dissolution. Mais bien avant eux, d’autres familles ont bâti les fondations de cet édifice toxique. Les Rockefeller, les Warburg, les Carnegie et autres grands prêtres du capitalisme financier ont, dès le XIXe siècle, promu une vision du monde où l’homme n’est plus une créature divine, mais une variable économique, un sujet à contrôler, vacciner, surveiller, endetter.
Le culte de l’argent, érigé en religion d’État, a remplacé la foi, et la science détournée de sa vocation noble est devenue instrument de domination. Ce sont eux, déjà, qui ont financé l’essor des grandes fondations pharmaceutiques, des politiques eugénistes, et plus tard des programmes de manipulation mentale. Ils ont fait du progrès un veau d’or et de la vaccination un sacrement moderne. Ils ont lentement tissé la toile d’un monde où la liberté de parole ne survit que dans les interstices d’un système médiatique verrouillé, corrompu, et entièrement voué à un narratif de marchands du Temple.
Cette emprise n’a fait que s’aggraver au XXIe siècle, incarnée par des figures comme Bill Gates ou Anthony Fauci, héritiers zélés de cette oligarchie hygiéniste et financière. Sous couvert de philanthropie, ils poursuivent le projet de contrôle global : santé, alimentation, reproduction, pensée, tout devient matière à régulation et à profit. Et l’on ose encore parler de démocratie.
Mais ce qui me glace le plus, c’est de constater que cette logique s’est infiltrée jusque dans les marges. Les médias « alternatifs » eux-mêmes, souvent financés en coulisses ou pervertis par l’obsession du buzz et du branding, participent à cette grande illusion. Ils jouent aux rebelles mais reprennent les grilles mentales des dominants : individualisme, relativisme, fascination technologique et surtout, refus de nommer le mal.
Alors que les conflits s’embrasent, de l’Inde et du Pakistan à Gaza, où Tel-Aviv massacre l’âme du monde, je ne peux oublier les 27 millions de vies sacrifiées par l’Union soviétique pour libérer l’humanité du nazisme, célébrées chaque 9 mai à Moscou. Ces héros, et non les fausses élites d’aujourd’hui, sont le véritable rempart de l’humanité.
Ce passage introductif effleure ma vision, partagée avec vous, dans une formulation simple, qui permet même sans connaissances approfondies, de saisir pourquoi je suis si inquiet mais également optimiste, car j’ai la foi en Dieu.
Léon XIV, Bruxelles, Macron, Netanyahu – tout est lié dans un drame qui, je le crois, nous rapproche de la fin prophétisée par saint Jean. Mais il y a de l’espoir : en cherchant la vérité, en honorant les héros du passé, comme ceux du 9 mai à Moscou, nous pouvons résister. Restez curieux, et ne laissez pas la censure vous voler votre droit de comprendre.
Il m’a fallu du temps pour l’admettre. Du temps pour accepter cette vérité un peu amère : si je ne mets pas de cadre, si je ne fixe aucune limite, si je ne demande rien… alors très peu donnent. Très peu remercient vraiment. Et encore moins soutiennent.
Pendant les trois premières années de cette aventure, j’ai voulu croire à la force du don pur. J’écrivais, je partageais, j’enquêtais, je me mettais en danger parfois, tout cela dans une dynamique d’altruisme assumé. Je me disais que si le contenu était bon, juste, sincère, alors le retour viendrait naturellement. Peut-être pas massif, mais vrai. Humain. Spontané.
Et pourtant… à peine quelques cafés offerts. Quelques poignées de remerciements, souvent furtifs. Certains venaient à ma rencontre, s’enthousiasmaient, me félicitaient… puis repartaient, parfois même en laissant leur ardoise. Ce n’est pas une image : cela m’est arrivé plus d’une fois, au sens propre comme au figuré.
Je n’en veux à personne, mais je ne peux plus vivre – ni survivre – dans ces conditions. Il me faut aujourd’hui vous le dire simplement, sans colère, mais avec le poids d’une expérience : le contenu que je produis a une valeur. Une valeur de temps, d’engagement, de courage, parfois de solitude. Et il mérite, au moins, un minimum de respect. Un minimum de reconnaissance.
C’est pourquoi désormais, une partie de mes lettres, de mes analyses ou de mes réflexions seront réservées à ceux qui choisissent de me soutenir – ceux qui s’abonnent, ou ceux qui en font la demande avec sincérité. Cette lettre, par exemple, n’existe que grâce à vous : ceux qui me lisent avec attention, m’écrivent, m’encouragent, m’inspirent, me donnent de la force. Vous êtes peu nombreux, mais c’est avec vous que je continue.
Il ne s’agit pas d’un mur, ni d’une menace. Il s’agit d’un choix vital. Pour tenir. Pour durer. Pour ne pas me trahir en prétendant que tout cela peut se faire sans échange, sans retour, sans réciprocité.
Merci à ceux qui comprennent. Merci à ceux qui choisissent de faire vivre ce lien autrement qu’en silence.
La suite sera révélée à tous d’ici 48h ou sur simple demande respectueuse
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