Révolutionner le Monde d’une façon qui dépasse nos rêves les plus optimistes... (1/5)
Un article / essai de Bertrand qui est Exclusif pour notre lettre d’information sur Substack
par Bertrand Scholler
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Il y a quelques mois, en regardant le portrait officiel d’Emmanuel Macron, j’ai eu un choc considérable. Depuis, les pièces du puzzle s'emboîtent pour me dévoiler un personnage largement inconnu et mystérieux, alors qu’il ne cache finalement rien, ou pas grand-chose. Cependant comment ne pas « admirer » combien il nous connaît avec raffinement, en effet, astucieusement, il agit de telle sorte qu’on ne regarde pas ou n’ose pas chercher le sens de ce qui est affiché glorieusement et pompeusement sous nos yeux. Il s’amuse de nous et s’amuse d’être pris pour un idiot par ceux qui ne cessent de se prendre, face à lui, défaite sur défaite. Macron n’est pas qu’un « artiste » du en même temps et de la violence de feu tempérée par une apparente froideur, il est celui qui sait très bien où il veut embarquer l’humanité et la France est un excellent tremplin pour lui permettre d’y parvenir. Il a déjà convaincu les personnages les plus importants du Monde « humain », qui ont tous affiché une forme d’allégeance à son égard.
Ainsi et comme il le dit lui-même Macron n’est plus Jupiter, il est maintenant Vulcain … mais je n’ai pas d’illusion sur qui se cache derrière ces masques successifs. K Schwab (Chef du WEF de Davos et des ses armées de Young Leaders) l’a résumé en un lapidaire : « il est le meilleur d’entre tous, pour nous guider dans le Monde d’après… ».
Que faire, avec qui, quand et comment pour résister à ce que Sarkozy décrivait comme inarrêtable ?
Alors que d’un côté, les peuples du Monde où qu’ils soient essayent de survivre et refusent de plus en plus de se poser d’autres questions que celles de leur quotidien vital (pour survivre ou consommer futilement c’est selon) et parfois également celui de leurs enfants et anciens ; de l’autre, nos gouvernements, les grandes ONG et entreprises géantes (et sans frontières) s’appliquent à mettre en place un arsenal terrible et sans faille (contraignant ou insidieux) pour nous contrôler, créer la dépendance ou attendrir / enfermer les plus virulents et les moins dociles à de tels projets sournois, même si les plans ne sont pas cachés (cf Great Reset, Agenda 2030, Patriot Act, etc.), ni même les objectifs sublimés par les fameuses dialectiques de l’inversion accusatoire ou « pour plus de sécurité il faut accepter d’avoir moins de liberté et plus de contrôle ».
L’individualisme semble être la voie privilégiée dans les sociétés occidentales, avec une sorte de consentement et même d’avachissement de notre Monde, hier encore si civilisée, au moins en apparence. Que dire du conformisme de tous ceux qui veulent éviter les vagues, sauf s’ils rejoignent des minorités dans l’air du temps et auquel le système promettra tout, y compris une meilleure vie après la transition de leur genre et des hormones à vie … quel vice ? Qui croit que c’est parce qu’on va éradiquer les troupeaux de vaches et les remplacer par des usines à insectes, que le climat deviendra clément, alors que ceux qui nous racontent ce narratif blanchissent le ciel de leurs jets et de leurs projet d’ingénierie climatique … sans oublier de se poudrer le nez pour mieux accepter leur propre misère humaine.
La culture woke et son corollaire transhumaniste nous encercle et assaillit l’humanité entière, en occident, qui cherche ensuite par les guerres, le terrorisme et la dette … à l’imposer à ceux qu’ils prétendent vouloir sauver.
Bref créer les maux, pour obtenir le consentement à d’autres mots, une sorte de pacte avec le diable ? Dès le lendemain de la perte du Haut Karabakh le « gouvernement Soros » d’Arménie signait avec US-Aid en grande pompe, et Samantha Powell pouvait trôner à Erevan au pied d’étendards aux couleurs LGBT+. L’Afrique connaît également les méthodes de la colonisation 2.0, avec des « amis » qui ne veulent pas que votre bien, au contraire, et œuvrent plutôt en pompiers pyromanes … mais aussi comme des bouchers ou des braconniers, qui savent que les premiers sont aussi les mieux servis. Difficile de faire face à ceux qui ont « la bourse et le gros pistolet », mais aussi les routes maritimes et les bateaux, les terres agricoles, les sources d’eau et les champs de gaz et de pétrole, les stocks d’or ou de fausse vraie monnaie, le swift, les compagnies d’assurances, les big pharmas, les usines luxueuses à avortement, les pizzérias pour riches et dépravés, les brevets et leur contrôle, les médias et réseaux sociaux … et même Hollywood et Disneyland, sans oublier Coca Cola, Mc Donald, Apple, Microsoft, Oracle et Amazon.
Comment font-ils pour tout contrôler sans partage, d’où vient ce monde de l’usure, cette prédation des enfants, cette violence acceptable, ce sentiment et cette réalité d’impunité… ?
La Russie a osé dire non en 2022, après avoir longtemps courber l’échine et a réussi à entrainer des velléités courageuses dans son sillage, mais rien n’est simple. Les pompiers continuent à allumer des brasiers partout dans le Monde et à corrompre les plus malléables, pour faire avancer leurs agendas, qui ne visent qu’au contrôle total de l’humanité. Alors que les guerres se multiplient, la guerre principale est celle du contrôle de nos âmes, c’est le champ de bataille principal et celui où la résistance peut le moins facilement s’organiser dans un monde de dilettantisme, de loisir, de futilité et de censure. La peur et la contrainte permettent de tout obtenir des récalcitrants, y compris de laisser des potions dangereuses couler dans leurs veines, ou de la malbouffe les tuer à petit feu. Il faut bien survivre, il faut comme beaucoup le disent « accepter et profiter de cette vie, on ne sait jamais, nous sommes peut-être trop méfiants, trop complotistes … ».
Ainsi la « cape noire » du vice et de la perversité continue à étendre son voile sur l’humanité, les poches de résistance sont toutes identifiées et elles seront traitées par les sbires du « malin ».
Ainsi pour nous humains, qui voulons rester libres, il y a urgence à réfléchir en « stratèges combattants », qui se serrent les coudes et s’organise, plus qu’en « bienheureux souriants » qui pensent que leur sourire seul inversera le cours de l’implacable guerre qui se joue.
Au fil des ans je m’étais intéressé aux Religions, aux prophètes, aux saints, mais aussi aux héros de toutes les époques et régions, mais également de tous les champs de l’activité humaine, devenus célèbres par leurs inventions, leurs chefs d’œuvres, mais également leurs performances sportives, diplomatiques ou militaires. Je ne négligeais pas les cuisiniers, les agriculteurs et les éleveurs, ni les enseignants, médecins, explorateurs et résistants ou chefs d’armées.
Néanmoins, si rien de grand ne s’est fait sans passion, si aucune découverte n’a pu avoir lieu sans passion ou folie, si aucune découverte n’est née sans s’appuyer sur celles du passée ou les contredire (ce qui est un appui) ou l’émulation de chercheurs ambitieux ; je remarquais qu’à toutes les époques, il y avait un jaillissement d’une poignée de personnalités marquantes et assez éternelles, par zone géographique ou pour l’humanité entière ; pour le meilleur et en proportion quasi identique pour le pire.
J’observai également le caractère héréditaire, mais aussi largement contextuel du génie humain.
Ainsi la Science-Fiction regorge de récits, dans lesquels, depuis le futur il faudrait revenir dans le passé pour protéger ou tuer ceux qui peuvent (ou auraient) changer le destin du Monde.
Personnellement, je vois que le changement se passe ici et maintenant, et que « back from the futur » ne peut que créer des circonstances encore plus imprévisibles pour le futur, qu’ainsi il ne faut JAMAIS se prendre pour Dieu sous aucun prétexte.
Ceci vaut également pour toutes les technologies de type thérapie génique, modification du vivant (ogm et transition de genres) mais également essayer de créer une intelligence artificielle qui nous ressemblerait ou qui n’aurait que les défauts permis de notre époque, comme le wokisme, le culte du mensonge, le gout pour l’usure, le double langage et double standard, la censure, la violence aux enfants et la religion de l’avortement libre et pendant toute la grossesse … ce qui forcément nous amènerait à notre fin.
En effet, si l’humain, même le « pire », a une conscience qui peut se rallumer à tout moment, même chez les pires psychopathes et apprentis sorciers, ce ne sera pas le cas de leurs inventions technologiques (penser à Terminator …).
Un produit de thérapie génique foireux aura des effets secondaires incontrôlables et irréversibles ; une intelligence artificielle mal programmée aura des conséquences qui peuvent dépasser l’entendement, surtout si elle se mettait à apprendre par elle-même de façon quantique.
On se rappelle du Jihad de Butler de Frank Herbert, l'auteur de Dune. Cet événement pourrait avoir été nommé en référence à Samuel Butler, un contemporain de Charles Darwin, qui, après la publication de L’Origine des espèces, écrivait ceci en 1863 : « Qu’arriverait-il si la technologie continuait à progresser plus rapidement que l’évolution des règnes végétal et animal ? Nous remplacerait-elle aux commandes de la Terre ? Comme le règne végétal s’est lentement construit à partir des minéraux, et que le règne animal s’est, lui, construit à partir du règne végétal, un nouveau règne a brusquement surgi ces dernières années, règne que nous voyons dans sa période préhistorique… À chaque jour qui passe, nous lui donnons de plus en plus de pouvoir et de moyens d’auto-contrôle, ce qui sera éventuellement l’équivalent de notre intellect. »
Lorsque l’humanité échappe, in extremis, à sa fin sous les assauts de sa création artificielle, car certains hommes et de rares machines s’unissent pour vaincre et détruire totalement la suprématie des « machines pensantes » qui ont asservi l'Humanité au point de se prendre pour des Dieux. La conclusion de Frank HERBERT est qu’il ne faut jamais faire de machine qui pourrait imiter l’homme, cela sous aucun prétexte, car la machine peut nous dominer en tout, mais elle n'a pas de conscience. Seul l’homme peut changer car il a en lui le mystère impénétrable de l'univers qu'est l'Humanité.
Ce qu’il faut donc se rappeler, c’est que si certains se lançaient dans cette folie dees Machines Pensantes, d’autres devraient s’y employer avec la même vigueur, pour créer des armes technologiques capables de s’opposer à la perspective d'un génocide de machines froides et inhumaine à notre encontre. Si il le faut, alors la création indispensable est celle d'une AI qui aimerait l’Humain pour ses défauts et ses miracles, et aurait pour quête de découvrir les mystères de cette vie improbable sur Terre, à préserver à tout prix.
Elon Musk est un disciple Butlerien … Il sait que la boîte de Pandore est ouverte et il doit maintenant s'investir sur tous les axes du mal ... pour créer le bien compétitif
Mais l'AI "GROK", de Elon MUSK, n’est qu’une des petites cordes à son arc et je vous ferai découvrir la suite dans le prochain épisode dès dimanche prochain.
Ainsi vous découvrirez l’altruisme bienveillant des projets de Musk et son rêve d’armer le camp du Bien contre celui du Mal. Le camp de ceux qui croient que l’humanité peut s’élever vers plus d’altruisme et d’humanité ; face à ceux convaincus par une vision mortifère pessimiste et pour certains diabolique !
Musk a signé un pacte avec l’humanité, il reste néanmoins humain, c’est d’ailleurs toute la magie de cette vie sur Terre.
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Alors merci et je compte sur vous
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Mais surtout il est indispensable de mentionner l’auteur Bertrand Scholler et faire référence à cette lettre d’information Substack.
Et svp … nous ne pouvons pas fonctionner sans l’aide de certains d’être vous qui peuvent nous accompagner financièrement ou en industrie
il est temps de rappeler les 3 lois de la robotique de Asimov
Description parfaite,hélas,du monde où nous vivons et de celui qui nous attend si...