Sans une connaissance au moins sommaire de l’eschatologie des grandes religions du Livre, il manque une clef pour que l’irrationnel puisse prendre sens ! La voici … à lire et partager ?
Comment défaire des décennies de lavage de cerveau, et de faire en sorte que le public croit à l'inconcevable… et en tire les conséquences pour sa vie et donc ses actes ?
Si vous m’écoutez, c’est que vous reconnaissez l’importance fondamentale de l’eschatologie dans le déroulement des événements mondiaux actuels. Ils semblent en effet se calquer sur des prévisions millénaires, qui soit sont la représentation fidèle de notre destin, que des « élus » ont pu voir ou connaître par anticipation, sous forme de révélations (exemple : la parole de Jésus-Christ) ou d’apparitions, soit sont des modes d’emplois pour malades mentaux puissants et organisés en bandes depuis « la nuit des temps », qui les utilisent comme un lien intergénérationnel, ne laissant que peu de place à l’originalité ou à l’humanité de leurs successeurs, dans une approche darwiniste des relations humaines.
Dans les deux cas, nous savons ou devons tous savoir à quoi nous attendre ; les adorateurs du diable seront sans pitié, y compris avec ceux qui auront consentis à leur pactes !
Par ailleurs, aussi communément partagée soit-elle, je ne privilégie pas la thèse du désordre créatif et des coïncidences, car elles sont devenues trop nombreuses. Ceux qui observent avec acuité ont constaté que même les étoiles s’alignent sur la thèse eschatologique, et qu’il devient inutile de résister à ce qui semble s’imposer comme une évidence, aussi vertigineuse qu’inattendue, que l’eschatologie se réalise sous nos yeux dans son acte final.
Ainsi, un personnage devenu central comme E. Macron, en binôme, nous a offert trop de signes qui ne font sens qu’au travers d’une lecture eschatologique du temps qui a été, est et sera.
Ce que Macron montre, ce sont des pièces d’un puzzle qui s’emboîtent parfaitement dans les trous à remplir, et cela laisse apparaître que nous sommes manifestement entrés dans le temps de l’Apocalypse.
Le tableau n’est pas rassurant, le « bien » est attaqué sans pitié par le « mal », avec un désir net de tuer l’humanité ou ce qu’il en reste. Mais quitte à enlever prématurément le suspens à ce texte, le bien l’emportera.
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La partie difficile, de ce métier de journaliste citoyen, est de défaire des décennies de lavage de cerveau, et de faire en sorte que le public croit à l'inconcevable ET sache que c’est là qu’est la « vérité » à trouver
Si l’on revient à la définition, afin d’être tous sur le même référentiel, l’eschatologie, en tant qu’étude des fins dernières, transcende les frontières théologiques et philosophiques. Elle constitue aujourd’hui la clef pour comprendre les dynamiques globales, sinon totalement irrationnelles, mais auxquelles elle donne une explication.
Si elle n’est pas au centre de mon approche, qui privilégie un regard analytique des paroles, écrits, faits et gestes des acteurs clefs du monde contemporain et de leurs prédécesseurs, visibles ou dans l’ombre, l’eschatologie prend un place importante dans tous les aspects de mes questionnements et tentatives de donner un sens à ce brouhaha d’informations. Pour trier et organiser ce flot incessant, parfois divertissant et souvent étouffant de faits, puis pour leur donner un sens, l’eschatologie est un outil indispensable, même si, je le répète, il existe toujours d’autres hypothèses et constructions intellectuelles intéressantes. Je reste ainsi curieux des autres analyses, y compris celles qui justifient les doubles langages et standards, mais aussi les catastrophes de la politique des dirigeants occidentaux (catastrophes, sauf si leur but est la fin de l’humanité ?).
Ainsi, et selon moi, sans une connaissance au moins sommaire de l’eschatologie des grandes religions du Livre, il manque une clef pour que l’irrationnel puisse prendre sens. Ensuite, puisque tout reste « infiniment »complexe car la matière est l’humain, seule l’intuition peut nous parler à voix plus haute, pour nous aider à démêler les choses, en accepter une lecture satisfaisante qui permette d’être en ligne avec soi-même.
D’après mes recherches, la compréhension la plus complète de cette dimension spirituelle et prophétique ne peut être atteinte qu’en considérant ensemble les trois eschatologies abrahamiques : celle de la Torah juive, celle du christianisme, et celle de l’islam. Bien qu’elles semblent parfois divergentes en apparence, ces trois traditions eschatologiques sont, en réalité, profondément harmonieuses. Chacune apporte une pièce essentielle à une vision unifiée de l’avenir spirituel de l’humanité.
Même si je suis catholique latin, je tiens à souligner l’importance du christianisme oriental, catholique et orthodoxe, qui, à mon avis, est le plus proche de la vérité parmi toutes les branches du christianisme ; leprotestantisme en est le plus éloignée, ne serait ce qu’à cause de la pratique de l’usure. Ce courant oriental, par sa fidélité à la tradition apostolique et sa profondeur spirituelle, offre une vision de l’eschatologie chrétienne qui est à la fois authentique et compatible avec les eschatologies juives et islamiques.
Cependant, en opposition à cette harmonie des trois grandes traditions abrahamiques, nous trouvons l’eschatologie propre au judaïsme talmudique. Cette branche particulière du judaïsme, bien que minoritaire historiquement, a pris une place prépondérante aujourd’hui. Elle a, selon moi, usurpé et déformé l’eschatologie abrahamique originelle à des fins égoïstes et matérialistes. Ce sont ceux que j’appelle les adorateurs du diable : « Les Khazars ». Poutine lui semble préférer le terme « vampires », mais en réalité ce sont les mêmes et ils ont eu mille étiquettes pour traverser l’histoire et la géographie.
Au fil du temps, ils ont su s’infiltrer et subvertir ou corrompre partout, non sans remous et rejets, mais jamais comme à l’époque contemporaine actuelle ; mais cette fois-ci, ils n’effacent pas leurs méfaits, au contraire. Auparavant, comme des assassins / bandits professionnels, ils ont su effacer bien des traces de leurs méfaits, dont ils ont fait accuser d’autres. En parallèle, ils ont appris de leurs erreurs et trouvé les failles pour se perfectionner et vaincre les oppositions, y compris balbutiantes, qui pourraient s’élever, à nouveau, sur le chemin de leur destin (exemples : des lois qui permettent de censurer plus ou moins radicalement des révolutions de couleur, de la triche électorale… ou simplement le lavage des cerveaux à l’école et dans les médias, la corruption et la compromission, etc.).
Toutes les expériences passées ont été nécessaires : c’étaient le chemin et le temps nécessaires pour tester, apprivoiser puis contrôler et enfin piloter finement les rouages les plus intimes de la dynamique des individus, des groupes et des peuples (cf. Milgram, Asch et la théorie des jeux où le dilemme du prisonnier, entre autres) et également, pour mettre en place un maillage international de soldats qui constituent par leur loyauté et dévotion, une sorte d’armée plus ou moins dormante, qui serait activable en temps utiles, pour que in fine les prophéties se réalisent.
Le paysage est sombre mais ça ne me semble plus ni une caricature, ni une vision absurde de la réalité, comme je l’aurais interprété il y a 5 ans.
Il est même possible que ce soit bien pire que je n’ose l’imaginer. Ainsi, plus que jamais, dans la plupart des pays puissants du monde, il y a un alignement, plus ou moins tacite, sur l’eschatologie « talmudique ». Les rares non alignés sont brisés, car ils ont forcément des failles dans notre monde de tentations et d’excès. La Russie, et dans une certaine mesure la Chine, qui est loin de cette vision du monde, sont les seuls pays qui peuvent dire « Non » et refuser cet ordre non naturel des relations humaines et du sens de l’histoire.
On est arrivé à ce qui semble être devenu un point de non-retour, comme si certains s’étaient transmis un relais maudit… qui nous a conduits où nous en sommes, un plan du diable, qui est donc, par opposition, également le plan de Dieu.
Quels ont été les rôles sur le chemin de François Mitterrand, de Jeanne d’Arc, de Charlemagne, ou de Lénine et celui d’Abraham Lincoln, de Cochise ou celui de JFK et Saddam Hussein ou Kadhafi ?
L’étude de l’histoire montre combien elle a été écrite et réécrite, loin de la réalité. On peut retrouver des lignées au sein desquelles le camouflage a été la norme, mais aussi les changements de noms, pour effacer une généalogie ou un genre, pour prendre des places et positions à défaut inaccessibles : bref, pour tromper la vigilance et trahir la confiance.
Ainsi, les Talmudistes, sous le voile du judaïsme, semblent agir par travestissement ; leurs préceptes ont été créés par des personnes sans véritable foi, sinon l’adoration du diable, à des époques et dans des régions dans lesquelles régnait la sauvagerie la plus ignoble
(la région des tristement fameux «boucliers rouges», ou Rotes Schields en allemand). Depuis, ils avancent imperceptiblement (pour la multitude des humains, incapables de s’affranchir d’une histoire qui déshumanise et culpabilise tous les hommes sauf eux, y compris soi-même, comme un nouveau péché originel à expier et pour lequel aucun baptême n’existe !) et semblent imperturbables pour accéder, étape par étape, à des objectifs qui ne servent ni la vérité divine ni l’humanité, mais uniquement un agenda de domination mondiale : un agenda diabolique.
Face à eux, les Etats, les grandes organisations internationales et mêmes les institutions religieuses, y compris le Vatican, semblent avoir été débranchés et/ou infiltrés jusqu’à leurs sommets, jusqu’à en devenir impuissants ou pire complices : bref, incapables de protéger l’humanité du funeste destin qui semble inéluctable.
Les peuples sont donc livrés à eux-mêmes, sauf dans de rares pays, qui ont repris (ou essayent de reprendre) miraculeusement certains leviers d’actions, pour tenter de mettre un terme à cette folie. La Russie de Poutine en est un exemple central : il a eu la patience et l’habilité d’être en situation de dire : « NON, ça suffit ! », puis d’agir en conséquence, avec une forme de force tranquille. Que pourra faire Trump, associé à Musk, aux USA ? Tous deux ne sont pas du même tempérament que Poutine mais doivent aussi réaliser un nettoyage dumarécage, sans oublier d’assumer bien des rôles à l’international, parfois antagonistes entre eux. Bref, comment ne pas être écartelé et finalement complaisant, avec des bribes du pacte dont rêve le diable avec chacun d’eux. Aux USA plus qu’ailleurs, le marécage (à vider) est si consubstantiel de l’hégémonie du $ et ses corollaires que Trump devra faire des choix cornéliens. Car s’il veut tout et ne sacrifie rien, il devra se résoudre à suivre les pas, maudits, de ses prédécesseurs.
Par ailleurs, sans rééquilibrage de la « musique » des grands médias et des institutions financières, les carottes semblent cuites, car les peuples ne peuvent se réveiller, tout au contraire ; X est de plus en plus la cible, au moins dans l’UE, de toutes les attaques les plus vicieuses, souvent créées ou amplifiées par ceux qui s’en diront victimes.
C’est pourquoi le journalisme citoyen est vital et j’apprécie vraiment cet outil SUBSTACK, surtout la formule « payante » ; X et YouTube mais aussi Telegram et certainement d’autres supports sont également utiles pour s’informer et partager.
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Il faut aussi noter les efforts considérables de certains membres des BRICS, dont la Chine et la Russie, pour créer des outils non corrompus ni vérolés, pour redonner des rêves, non artificiels, à l’humanité. Là également, on ne peut qu’admirer leur capacité à ne pas se laisser imposer un agenda intenable qui serait influencé par la situation mondiale, car ce serait le meilleur moyen de reproduire des erreurs, ou d’agir seul sans créer les conditions de la confiance et de la sérénité.
Bref, il se passera encore du temps avant que le dollar ne souffre significativement des erreurs de ceux qui en ont fait une monnaie de singe, sans réelle valeur, ni pour le moment pouvoir disposer d’une alternative rassurante.
Pour ce qui est du journalisme citoyen, tout cela ne peut se passer qu’avec un engagement concret, souriant, mais aussi financier ou industriel autant qu’altruiste, de donateurs, pour aider et accompagner au front de l’information ceux qui acceptent de s’y positionner en première ligne.
Cette introduction passée, maintenant regardons les eschatologies de façon très aérienne.
déclaration officielle :
Pour avoir indiqué dans quelques-uns de mes posts sur X, entre le 19 août et le 10 septembre 2024 qu’il existait en France comme aux États-Unis un débat tenace sur le thème central de l’ouvrage de la journaliste Emmanuelle ANIZON intitulé « l’Affaire Madame », j’ai été interpellé par la police à mon domicile le 10 décembre vers 6 heures du matin en suite d’une plainte de Madame Brigitte MACRON. J’ai ensuite été placé en garde à vue dans les locaux de la Brigade de la Répression Contre la Personne à Paris avant d’être longuement interrogé. Je n’ai été relâché que le 11 décembre vers 16 heures, après une nuit en cellule en bonne compagnie.
Nonobstant la cordialité des policiers au cours de cet épisode, je dois indiquer que n’ayant jamais refusé de me présenter à une convocation émanant d’une autorité françai
se et n’ayant par ailleurs pas de casier judiciaire, j’ai été surpris de l’ensemble des moyens mis en œuvre pour m’arrêter au petit matin, me mettre en cellule et m’interroger en me privant de ma liberté durant ces quelques 35 heures. Ma surprise est d’autant plus grande que je n’ai jamais pris part au débat en cause, me contentant de rapporter son existence comme tant de journalistes avant ou après moi tout en m’interrogeant sur les causes de sa permanence.
Au sortir de ma garde à vue, j’ai rencontré une autre personne, arrêtée elle aussi, interrogée elle aussi pour les mêmes motifs. Il semblerait qu’il y ait eu ces dernières semaines une vague d’interpellations touchant celles et ceux qui se sont interrogés sur ce débat. Une trentaine de personnes seraient concernées.
Je ne sais pas si ce nombre est exact ni quelle est la situation de ces personnes aujourd’hui, ce que je sais en revanche est que je dois comparaître devant la 10ème Chambre du Tribunal judiciaire de Paris les 10 juillet, 27 et 28 octobre 2025 pour y répondre des faits de harcèlement sur Madame MACRON. J’y serai et je répondrai. Il y va de notre droit à nous exprimer.
Lors de mon interrogatoire du mardi, les policiers m’ont demandé si je pensais qu’il existait en France « un Ministère de la Vérité comme dans 1984 ». Le livre est le bon mais là n’est pas la question. Ce qu’il faut se demander est s’il existe en France une Police de la Pensée.
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En ce qui concerne le Mahdi, figure centrale de l’eschatologie islamique, son émergence sera conditionnée par la conclusion d’une grande guerre. Cette guerre conduira à l’établissement de la Pax Judaïca, un ordre mondial que le judaïsme talmudique aspire à imposer, mais qui n’est en réalité qu’une usurpation trompeuse de la Pax Christi, promise à l’humanité à travers le christianisme et l’islam.
Au cœur de cette supercherie se trouve le faux messie, ou Dajjal, que l’on peut également qualifier d’Antéchrist. Ce « faux messie » joue un rôle clé dans le trompe-l’œil spirituel qui aspire à remplacer le véritable Messie promis. Il est possible que ce ne soit pas Macron, mais un de ses alliés / rouages les plus proches. Peut-être Netanyahu ? La Pax Judaïca ne pourra être imposée qu’à la suite d’une défaite dévastatrice infligée au monde musulman. C’est cette condition qui permettra au Mahdi de réformer et d’unir un monde musulman aujourd’hui divisé, affaibli, et souvent éloigné des enseignements authentiques de l’islam. Cette unification marquera le début d’un nouvel équilibre dans la résistance spirituelle et politique face aux forces de domination et d’écrasement.
Je ne sais pas du tout qui pourra être le Mahdi. Et c’est mieux. Si j’en avais l’intuition je ne dirais rien pour le protéger… Je croirai quand je verrai.
Le sujet de Gog (et Magog) mérite une réflexion approfondie. C’est le sujet qui a été pour moi le plus difficile et que je vais essayer de synthétiser au mieux. En effet, ce qu’on m’en disait ne correspondait pas à mon analyse des choses, en particulier que la Russie serait Gog, ce qui me semblait absurde.
J’ai donc creusé pour essayer de revenir à des sources non trafiquées. Je pense que toutes les prophéties ont été amendées, surtout Gog et Magog, pour diviser ceux qui devraient s’allier et permettre au véritable Gog d’agir par traîtrise. Voilà ce que je pense pouvoir partager dans cette lettre et qui fait parfaitement sens (comme le veau d’or qui en réalité était un taureau d’or) avec ma lecture eschatologique du temps qui vient.
Bien que ces entités (Gog et Magog) aient été associées historiquement à certaines terres, notamment celles situées au nord des montagnes du Caucase dans l’actuelle Russie, elles ne correspondent pas exactement à ce que les eschatologies abrahamiques nous enseignent.
Ainsi, cela ne désigne pas un peuple ou un territoire précis, mais une force spirituelle et politique, une coalition d’individus et de systèmes aspirants à opprimer et dominer l’humanité. C’est l’essentiel et comme souvent, la faute d’interprétation est un problème de traduction…
Cette force trouve son expression contemporaine dans le projet sioniste qui a orchestré le retour des Juifs en Terre Sainte, en contradiction flagrante avec la volonté divine, qui avait banni les Israélites de cette terre à deux reprises.
Le groupe que l’on peut désigner comme Gog comprend le judaïsme talmudique, (en réalité, Gog ce serait donc les Khazars…) mais aussi de nombreux acteurs, conscients ou inconscients qui, à travers leurs actions quotidiennes, contribuent à la réalisation de ce projet. Parmi eux, on trouve l’alliance « impie » du sionisme chrétien (ce sont largement les « évangélistes messianiques » et les « évangélistes sionistes », si nombreux et puissants aux Etats-Unis, qui sont très interventionnistes et le plus souvent proche d’Israël, avec comme toujours des exceptions) et du sionisme juif, qui forment ensemble ce que l’on appelle l’« alliance judéo-chrétienne ».
Vous comprenez le côté exagéré et dangereux de ceux qui disent que la France est judéo-chrétienne ?
Dans ce tableau complexe, le rôle de la Russie et en particulier celui de la Russie chrétienne orthodoxe, est d’une importance capitale, essentiellement depuis Poutine ou auparavant, à l’époque des Romanov et de leurs ancêtres, qui a une époque on failli terrasser les Khazars (failli… car trop tard… bien trop tard). Quand on observe les destins des familles royales en Europe, au fil des siècles, on constate à quel point elles ont été ciblées par des adorateurs du diable.
Aparté : Entre les deux époques Romanov / Poutine, la Russie a été une branche importante du projet sioniste international (qui dépasse largement le grand Israël) pendant plusieurs décennies. Aussi peu intuitif que cela puisse être, puisque les américains ont justifié les bombes d’Hiroshima et Nagazaki, les destructions du Vietnam et de la Corée, mais également en Irak et en Yougoslavie, peut-on, comme certains l’osent, réhabiliter Staline. Le voir comme un libérateur du bolchevisme et des ses métastases morbides (les Russes se posent cette question ?), et considérer qu’il aurait finalement permis de sortir la Russie d’un destin funeste. Personnellement, je n’ai pas une connaissance claire des pages de son histoire pour m’exprimer, mais ca interpelle. En effet, le pays était devenu un incubateur immense d’un monde déshumanisé, complètement affaibli par la guerre gagnée contre les Nazis, mais qui avait coûté environ 30.000.000 de vies, comment y survivre avec autant d’ennemis intérieurs et extérieurs.
Ce n’est que grâce et après lui que les choses ont « pas à pas » changé, y compris lors de l’épisode fascinant des années Gorbatchev puis Eltsine.
En face, rien n’a été fait pour remédier à cette situation, née de la révolution bolchevique puis matérialisée dansl’Union Soviétique, au contraire ; c’était voulu et ça devait durer jusqu’à effacer toute traces de la Sainte Russie, de sa religion et de ses artistes de génies, dont les compositeurs, les écrivains et les peintres. Ce modèle, promu par Karl Marx, n’a finalement été qu’un extraordinaire repoussoir psychologique pour créer une adoration sans borne du système capitaliste et de ses pendants, l’usure et le système monétaire de Bretton Woods. On peut observer le succès de cette entreprisequasi partout sur la planète. Ainsi, le capitalisme est devenu la version 2.0 du communisme, sans des chants comme « l’Internationale » mais avec les musiques distillées par Hollywood et les « stars » du show-biz anglo-saxon, mais aussi avec les mensonges de la Nasa, du Pentagone et du FBI, des grandes universités (sur le wokisme et l’inclusion) et de Big pharma… Aux USA, c’est le règne des télévangélistes.
Revenons à la Russie… Eltsine à la fin du cycle du pire a été un véritable héros, car à ce moment-là, tout était perdu ou presque ; la Russie allait être définitivement dépecée et démembrée par les vampires Khazars et leurs sbires. Eltsine, avec une poignée de patriotes, asecrètement préparé l’ascension de Poutine. Il a utilisé un détail oublié de la constitution Russe. Il a ainsi pu démissionner et choisir comme successeur Poutine à la mi 1999, lequel s’est fait élire quelques mois plus tard, au nez et à la barbe des américains et des mafias Khazars ou ex-soviétiques.
La Russie a pu, de façon quasi miraculeuse, reprendre des forces et retrouver sa place de puissance d’équilibre dans un monde devenu trop dangereusement hégémonique, y compris en Chine. Mais je ne peux détailler tout cela dans une simple lettre.
Voilà pourquoi Poutine suscite une telle haine chez Macron, qui ne s’en est JAMAIS caché, et dont tous les actes ne visent qu’à l’objectif de détruire une fois pour toute la Sainte Russie.
Dans mon analyse géopolitique et eschatologique du monde, j’évoque souvent les 5 fantastiques. Ces cinq personnalités sont : Vladimir Poutine, Xi Jinping, Donald Trump, Mohammed ben Salmane et Elon Musk. Une grille de lecture qui positionne de façon intangible ces 5 personnes comme appartenant au « camp du bien »m’aide et structure efficacement mes analyses lors des moments où le temps s’est accéléré de façon la plus chaotique au cours des derniers mois.
Aparté
J’ai introduit le concept des « 5 fantastiques », fruit d’une analyse qui recoupe mon intuition et mon observation sur le long terme des actes et des mots de très nombreux personnages influents de notre époque contemporaine. C’est un groupe de 5 figures influentes que je considère comme majeures et même essentielles dans la géopolitique contemporaine, d’autant qu’elles ont la foi. Elon Musk est un cas particulier dans ce groupe, dont j ai parlé à maintes reprises dans mes Substacks. Ils représentent des pôles de pouvoir transformant l’ordre mondial traditionnel par des décisions stratégiques, des réformes ou des innovations significatives qui visent à sauvegarder l’humanité dans cette bataille eschatologique qu’ils savent inévitable. Mon approche vise à démontrer comment ces acteurs façonnent un monde multipolaire et fragmenté dans lequel personne ne pourra détenir un pouvoir total sur les autres… Macron devrait être leur principal ennemi, mais ils n’en ont pas encore collectivement la pleine conscience, ou bien il ne peuvent pas le laisser paraître, car ils se savent épiés au-delà de l’imaginable. Et ceux qui les surveillent peuvent tout sur tous, même s’ils perdent le contrôle de la Russie et de la Chine qui en ont presque terminé en interne avec ce cancer qui a failli les emporter. Pour la Chine… Xi Kiping est en train d’y faire un travail aussi titanesque que celui de Poutine. La Chine mériterait un Substack particulier , car elle représente des enjeux bien plus complexes à appréhender et évaluer… Alors qu’elle était en pleine démence capitalistique et donc corruption et ébrasement avec son prédécesseur Hu Jintao… le Covid a permis un ménage. Impossible autrement. Bref, les Chinois ont changé en force et opportunité l’arme qui devait les mettre à genoux et sous le joug définitif des USA. Ils ne l’oublieront jamais,même s’ils ne peuvent pas dire ouvertement que le Covid était la première guerre biologique mondiale. Les injections et PCR sont également des armes plus ou moins fatales et dont on ne mesure pas encore ni la nature réelle ni les impacts. Même si j’en ai souvent parlé, j’en reparlerai. Nous ne sommes pas au bout de nos surprises.
Je ferai une analyse précise de la séquence des couvertures de « The Economist » depuis 2017, pour étayer mon analyse ci-dessus.
Dans le domaine de l’information, il nous appartient d’être toujours plus nombreux à semer les graines de cette vérité trop longtemps travestie et qui dérange, surtout dans nos contrées dite démocratiques.
On constate, maintenant que le sort des familles royales a été définitivement réglé depuis longtemps, que c’est celui de la démocratie qui l’a été, a l’insu de notre plein gré.
Ainsi, comme l’affirme souvent Schwab, le patron du World Economic Forum, la plupart des dirigeants ont été choisis par des cénacles contrôlés par les mêmes Khazars. Il n’y a qu’à observer ce qui vient de se passer en Moldavie, en Géorgie et maintenant en Roumanie, pour comprendre que les bulletins de votes ne représentent plus rien. On ne doit pas oublier les élections aux USA, en France ou au Mexique.
Les leaders de pays arabes et du Maghreb sont souvent corrompus, esseulés ou grabataires, mais surtout impuissants, car isolés et sans conscience de la nécessaire union pour peser sur leur destin, autrement que d’essayer de reculer des échanges par des pactes à la petite semaine et contre nature. D’ailleurs, il suffit de penser au pétro-dollar, mais aussi aux assassins économiques du FMI, du WHO et à tous ces machins mondiaux ou régionaux qui rendent les dirigeants et donc les peuples esclaves de superstructures, pour lesquelles ils n’ont jamais eu rien à dire, pour comprendre le défi auquel nous faisons face.
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Comment arrêter une telle machinerie, qui a eu tout son temps et pense que rien ne lui résistera, car tout aurait été prévu depuis des centaines d’années pour qu’aucune poussière ne puisse enrayer son mouvement vers la fin de l’humanité (transhumanisme, comme étape ultime du darwinisme… une planète uniquement peuplée par des machines).
Ainsi, je vois Poutine comme un héros imprévu…invraisemblable, tant la Russie n’était plus rien et allait disparaître au début des années 2000. Il a, seul, changé les choses, et d’autres chefs d’Etats, ailleurs, peuvent suivre ses pas, surtout avec l’émergence des BRICS.
Bref… Poutine ne pouvait qu’exister car il a un rôle eschatologique qui le dépasse, comme les autres fantastiques. C’est devenu pour moi plus qu’une intuition.
Et ce fait permet de comprendre ce qui suit : selon les eschatologies abrahamiques combinées, la Russie a une mission spirituelle immense. En alliance avec un monde musulman réformé, la Russie orthodoxe est appelée à contenir et à neutraliser Gog à l’intérieur de son Grand Israël, avec Jérusalem comme siège de la Pax Judaïca. C’est pourquoi la chute de la Syrie est une étape dans ce projet eschatologique auquel on assiste en direct.
Cette mission prend racine dans l’histoire spirituelle de la Russie. Issue des traditions israélites originelles, la Russie orthodoxe est le groupe qui a montré la plus grande fidélité aux conditions divines enseignées au peuple israélite, les « peuples élus ». C’est pourquoi, en fin de compte, la promesse divine conditionnelle de la Terre Sainte pourrait être réalisée à travers la Russie chrétienne orthodoxe, en tant que SEULE gardienne fidèle de la volonté divine.
Cette vision complète de la géopolitique contemporaine, unifiée par les eschatologies abrahamiques, explicite parfaitement le rôle spirituel de chaque acteur sur la scène mondiale.
Comme je l’ai mentionné précédemment, une compréhension approfondie de l’eschatologie ne peut être atteinte qu’en combinant les visions des trois grandes traditions abrahamiques.
Dans ce contexte, le rôle des acteurs contemporains prend une importance cruciale.
1. Les acteurs principaux et leur rôle dans la dynamique eschatologique mondiale
Aujourd’hui, plusieurs forces majeures agissent de manière visible et souterraine pour façonner l’ordre mondial :
- Israël et le gouvernement de Benjamin Netanyahu :Israël, sous Netanyahu, est à l’avant-garde de ce que certains appellent le projet sioniste messianique. Ce projet vise à établir un contrôle total sur la région du Levant, en intégrant non seulement la Palestine historique mais aussi des parties importantes de la Syrie et des pays voisins, conformément à l’idée du « Grand Israël ».
Cela se manifeste par : • La colonisation incessante de la Cisjordanie, rendue possible grâce au soutien inconditionnel des États-Unis et de certains pays européens comme la France. • Les bombardements réguliers en Syrie, ciblant les infrastructures militaires, notamment celles soutenues par l’Iran et le Hezbollah, pour affaiblir leurs capacités. • Une stratégie de division des nations arabes et musulmanes, exploitant leurs fragilités internes pour neutraliser toute opposition organisée à ce projet.
- Les États-Unis : ils jouent un rôle central en tant que pilier du soutien à Israël. L’administration américaine, quelle que soit son affiliation politique (républicaine ou démocrate), agit en fonction des intérêts israéliens dans la région. Sous des figures comme Obama, dans une certaine mesure Donald Trump et maintenant Joe Biden qui avec Blinken est le plus prosélyte (peut-être aussi car il a le plus de casseroles à couvrir et pas besoin d’un ennemi ultra-puissant et qui ne pardonne pas d’incartade… les Khazars). Ce soutien de Trump, obligé par des soutiens riches et influents, s’était traduit par : la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël et l’assassinat de Soleimani (chef des Gardiens de la Révolution Islamiste Iranienne). Avec Biden et Blinken, ça c’est accéléré, avec une aide militaire et financière massive, destinée à maintenir l’hégémonie israélienne. Des interventions directes en Syrie, notamment dans le contrôle des ressources pétrolières et agricoles du nord-est du pays, pour affaiblir le gouvernement de Bachar al-Assad et financer indirectement les forces d’opposition armées. Et maintenant la destruction de toute l’infrastructure syrienne, et l’assassinat des pions qui ont servis à renverser Assad.
Aux USA, il pourrait y avoir des changements majeurs avec Trump v2 et son équipe, en particulier Elon Musk, R.F Kennedy et Ron et Rand Paul… Mais encore une fois, face à l’hyper-puissance Khazar aux USA, ce ne sera pas simple… Le marécage est plus que dangereux…
Les apparences sont trompeuses, à un point invraisemblable, mais je pense que les USA sont dans une situation similaire à la Russie avant Poutine, peut être pire en terme de foi et de probabilité de retournement de situation.
Trump ne pourra pas réussir sans vrais amis à l’extérieur des USA et surtout, sans une identification précise et courageuse de ses ennemis proches et très proches !
La simple présence de Trump au front, par exemple pour la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris, indique qu’il ne néglige rien.
- La France : bien que jouant un rôle en apparence secondaire par rapport aux États-Unis, est bien plus importante qu’elle ne le croit elle-même. Nous sommes un pays central et essentiel dans l’ordre et le désordre du monde, plus que jamais en ce moment. Paris est au cœur de bien plus d’enjeux que Jérusalem, y compris le 3e Temple, qui pourrait être Notre-Dame de Paris (« réinventée » par Macron).
Des générations de Khazars et leurs pions francs-maçons y ont œuvré, dont Mitterrand et ses grands travaux et maintenant Macron. Ainsi, la France est l’antre du diable… ou plutôt de l’Antéchrist global de la chrétienté… celui de Saint-Jean. Par ailleurs, la France est un soutien clé d’Israël, qui est d’une certaine manière le cœur de Gog avec l’Ukraine et WASHINGTON. C’est là également que les pays de l’ex-Yougoslavie, la Moldavie, l’Albanie, la Géorgie, l'Arménie, et bien sûr l’Ukraine jouent parfaitement la partition. Il semble net qu’Emmanuel Macron dicte sa vision des choses et les actes qu’elle implique, dans le cadre de son rôle de leader de l’Union Européenne, maintenant que l’Allemagne n’est plus que la loque de ce qu’elle était encore il a y 4 ans.
Toujours se rappeler de la réunion a Versailles en mars 2022, qui scelle définitivement le destin tragique de l’Europe.
En parallèle, tout est fait pour diaboliser la Russie de Poutine, tous ses alliés, et affubler les rebelles de l’étiquette pro-russe, pour en organiser la chute. Par ailleurs, Macron et ses larrons maintiennent des liens étroits avec les milieux pro-israéliens partout en Europe.
La France a participé également à l’affaiblissement du régime d’Assad en Syrie, en adoptant une posture interventionniste dès le début du conflit, en 2011, en soutenant des groupes d’opposition au gouvernement syrien et en condamnant systématiquement les actions de Bachar al-Assad.
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2. La chute de la Syrie est une étape essentielle dans le projet messianique talmudique
La Syrie, sous le régime de Bachar al-Assad, représentait l’un des derniers bastions de résistance au projet sioniste (et un pays assez, magique avant de refuser en 2010 de choisir le gazoduc qatari et de privilégier l’iranien … qui scelle le début de son printemps arabe … qui durera 13 ans). La Syrie était soutenue par des alliés comme la Russie, l’Iran, et le Hezbollah, elle faisait face à une guerre multiforme, qui s’était accentuée depuis 2011, dans la foulée de multiples révolutions de couleur dans de nombreux pays, pas seulement dans les pays du Maghreb et en Égypte ou Libye, mais également en Géorgie et Arménie et ailleurs.
Maintenant, la Syrie est militairement revenue à l’âge des cavernes ; en effet, Israël, avec le soutien des États-Unis et des pays occidentaux, a mené des frappes aériennes systématiques sur les infrastructures syriennes et sur les forces iraniennes présentes dans le pays. Ces attaques, combinées à des actions terroristes de groupes comme Hayat Tahrir al-Cham (HTS), ont considérablement affaibli l’armée syrienne (SAA), dont seules des poches résistent encore sur la côte méditerranéenne, malgré le ciblage aérien dont elles font l’objet.
Sur le plan économique, la Syrie a subi une guerre économique dévastatrice : le contrôle par les forces américaines des champs pétroliers et agricoles du nord-est de la Syrie a privé le gouvernement d’Assad de ressources essentielles, exacerbant la crise humanitaire et économique dans le pays. Mais aussi, des millions de personnes ayant quitté le pays quasi invivable à cause des sanctions et des terroristes (cellules dormantes partout) qui ne laissaient aucun repos à la police et à l’armée syrienne. Assad n’avait quasi plus les moyens de payer son armée et ses policiers, face à des terroristes richement dotés.
Pour comprendre la vitesse de la chute du régime Assad et le démembrement en cours de la Syrie, il faut imaginer que des coupeurs de têtes étaient infiltrés quasi partout, que l’armée était démotivée par des années de guerre et une absence de perspectives face à un régime Netanyahu conquérant et qui allait inévitablement tout détruire (renversement de régime ou pas).
En ce qui concerne la diaspora et le soutien international, la guerre politique et médiatique subie par Assad a été sans mesure. Ce dernier a été diabolisé sur la scène internationale, empêchant tout dialogue constructif, y compris au sein de la Ligue arabe dont il a été exclu de nombreuses années. La France et les États-Unis ont joué un rôle clé dans cette campagne, renforçant l’isolement diplomatique de la Syrie.
Seuls le Hezbollah de Nasrallah, l’Irak et l’Iran, avec la Russie, étaient des alliés puissants et capables, mais avec des moyens incomparables avec ceux des années 2016 et 2017. Pourquoi la Syrie et la Russie ont accepté de signer les accords d’Astana, qui expliquent en grande partie l’effondrement récent ? C’est une énigme que les historiens devront traiter. Car finalement, chaque paix signée avec l’Occident implique une fin tragique pour le naïf qui y a cru.
Par ailleurs, il ne faut pas négliger que le Hezbollah a été décapité au Liban et que la Russie, préoccupée par une situation instable à toutes ses frontières, ne peut tout gérer.
Par ailleurs, d’un point de vue diplomatique, la Russie peut aussi participer à stabiliser la Syrie, qui est au bord du précipice. Ainsi, les Russes n’ont pas coupé les ponts avec les terroristes et n’abandonnent pas le pays aux Israéliens, Américains et Turcs.
Idem pour l’Iran, même si ce sera plus délicat en raison de tensions artificiellement alimentées entre chiites et sunnites.
Russes et Iraniens ont dû vite réaliser qu’ils allaient se battre quasi seuls, face à un mouvement immense et d’apparence populaire, bénéficiant d’une préparation de 7 ans, rondement menée et impliquant de nombreuses trahisons et subversions, mais aussi de l’incompétence au sein du régime Assad.
Aparté
Les terroristes fonctionnaient à bien des égards comme une armée d’élite (cf. utilisation de drones, de véhicules civils pour éviter des bombardements, et de véhicules sortis de Mad Max… avec des uniformes ultramoderneset coûteux). Le régime de Bashar n’y était pas préparé et la diaspora a dû jouer un rôle délétère pour créer un sentiment de défaite sur le territoire et faciliter la cavalcade jusqu’à Damas. La chute récente de la Syrie, marquée par le départ de Bachar al-Assad en Russie et l’effondrement des institutions centrales, est une étape cruciale pour ceux qui aspirent à établir un nouvel ordre mondial centré sur le projet messianique talmudique.
Avec un Hezbollah affaibli par des assassinats ciblés et des bombardements israéliens, et un Iran limité par des contraintes géopolitiques, la résistance à ce projet est actuellement en recul.
Ainsi, le projet sioniste envahit tranquillement le sud de la Syrie et bombarde partout ailleurs, avec l’armée d’Israël et des USA, et l’appui médiatique de tous ses rouages habituels.
3. Le rôle de la Russie : entre pragmatisme et mission spirituelle
La Russie, sous Vladimir Poutine, a tenté de jouer un rôle stabilisateur en Syrie, soutenant Assad pour préserver son influence dans la région. La Syrie est un des plus vieux alliés de la Russie, y compris pendant l’ère soviétique ; les bases russes dans ce pays ont euune importance considérable.
À l’époque des missiles hypersoniques, c’est moins le cas. Néanmoins… les bateaux permettent une projection de troupe et de logistique comme aucun autre moyen de transport et ainsi, les bases pourraient manquer à la marine russe mais aussi à son aviation, dans le cadre de guerres conventionnelles.
Cette chute de la Syrie n’est pas bonne non plus en termes de crédibilité pour la Russie, loin de ses frontières. Ainsi, en Afrique et ailleurs, cela montre que la Russie de Poutine n’est pas omnipotente et que le petit Israël fait absolument ce qu’il veut, quand il veut. Même un génocide, une colonisation et des attentats terroristes d’une ampleur jamais vue, sans compter tout ce que le Mossad fait sans laisser de trace.
Bref, face à l’intensité des pressions internationales et aux accords diplomatiques impliquant des acteurs comme les Émirats arabes unis, Moscou a adopté une approche pragmatique, en facilitant une transition de pouvoir en Syrie. L’avenir en montrera les avantages et le reste !
Néanmoins, sur le plan spirituel, la Russie reste un acteur clé. En tant que gardienne du christianisme orthodoxe oriental, elle porte en elle une mission prophétique.
Rappelez-vous les phrases de Poutine et du patriarche Kyril mais aussi les déclarations de toute la hiérarchie russe dont Lavrov et d’autres, au sujet de la dernière guerre du bien contre le mal.
4. La place des eschatologies abrahamiques dans cette lutte
L’eschatologie talmudique, qui guide le projet sioniste, cherche à remplacer la Pax Christi et la Pax Islamica par une Pax Judaïca dominée par un « faux messie ». Cependant, les eschatologies chrétienne et islamique s’accordent pour annoncer la défaite finale de ce projet trompeur. La réapparition du Mahdi et le retour du Christ sont des éléments centraux de cette promesse divine.
Dans ce contexte, il est impératif que les forces spirituelles authentiques – qu’elles soient chrétiennes, musulmanes ou juives torahiques – s’unissent pour résister à ce projet d’usurpation.
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Conclusion
La chute de la Syrie et les dynamiques qui s’en suivent révèlent une accélération des prophéties eschatologiques (le Grand-Israël ? la bataille de Meggido ?).
Les acteurs contemporains, qu’ils soient politiques ou spirituels, façonnent un monde qui approche de moments décisifs. Les peuples doivent s’y préparer.
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ENGAGEZ-VOUS
L’impact du “laisser aller” sur l’Humain peut-être immense, surtout si ce dont on alerte prospère sans vigilance et opposition ferme.
Et bien Bertrand
Le contraste entre la vitesse à laquelle on est venu toi et combien d autres vous chercher comme des malfaiteurs et la vitesse à laquelle l enquete avance pour Notre Dame est saisissant.
Dans ce sinistre pays dire la vérité est passible au bas mot des pires ennuis, tandis que l hypocrisie et le mensonge sont eux synonymes de confort et réussite, un peu comme pour l election de miss france ou manifestement le jury avait oublie ses lunettes, sans parler des questions à la con posées aux candidates, comme miss Corse par exemple.
Triste pays où si peu de voix, comme la tienne, s élèvent pour dénoncer ce qui s y passe, destruction de nos valeurs françaises et racines, je ne sais pas d ailleurs si il y a un autre pays au monde où existe autant de politiques. La politique superieure à l intérêt de notre Nation, voila le triste constat du peu de France et de démocratie qui nous reste, les français n ont toujours rien compris.
Ce n est pas la police de la verite, c est la police de la pensée qui sevit.
Je suis vraiment consterné de ce qui t arrive
Vous êtes l'un des seuls à traiter cette partie eschatologique et si importante ( sauf Kamel de parlons peu parlons bien) pour comprendre cette apocalypse. Merci Bertrand pour votre intégrité votre temps passé à nous informer par votre pédagogie si importante pour comprendre que ce bazar n'a rien de Hazard mais au contraire très organisé et temporisé par un maître du temps...