«Tirez sur ce fil» sans craindre que «tout s’effondre», pas même sur votre tête, au contraire … ce sera troublant ! Mais, c’est le seul chemin, je pense ! La vérité NUE ?
Ensemble, ils prouvent que le changement véritable provient de la sincérité, de l'intelligence et de la force morale.
Ce que j'entreprends n'est pas motivé par l'argent ou la gloire. C'est un pèlerinage de vérité, un voyage vers l'authenticité.
"Tirez sur ce fil," a murmuré un bureaucrate, les yeux écarquillés devant l'algorithme en train de dévorer la corruption avec la même avidité qu'un gamin devant un paquet de bonbons, "et tout s'effondre."
Ouais, il avait raison, mais le pauvre n'avait pas compris le plan : c'était le but depuis le début, mon « pote ».
Avec Trump et Musk en mode bulldozer, le système, vieux comme le péché originel de l’humanité, mais à peine 3 fois centenaire aux USA, cette contrée devenue la nouvelle Sion des adorateurs du diable, commence à s'effondrer, la fin du fameux marécage prend forme. Mais attention, ça se fait en douceur pour le peuple américain, comme si on leur servait un café au lait (mais pas Starbuck … go woke go broke) pendant que le monde tremble mais échappe à l’apocalypse (un temps ?). Et tout ça, en bonne entente avec Poutine, Xi, Ben Salman, et d'autres puissants qui, pour une fois, ne jouent pas aux vautours sur la carcasse.
C'était comme si ce fil que DOGE (département de l’efficacité gouvernementale) tirait n'était pas juste un fil de la corruption, mais le fil d'Ariane pour s'extraire de ce foutoir. Chaque découverte, chaque secret dévoilé, c'était une brique de plus arrachée à cette toile de mensonges et de pouvoir. Les cabinets de conseil, les grands médias woke, les industriels sous perfusion de subventions indus... tous sont en sueur, comme des voleurs pris la main dans le sac.
Ce n'était pas une démolition à la hache, mais une opération chirurgicale. L'algorithme de DOGE, avec la vision de Musk et la ténacité de Trump, opère comme un chirurgien avec son scalpel, enlevant la gangrène sans dépecer le patient.
Les puissants, en particulier Poutine et Xi, qui ont saisi l'affaire, savourent le spectacle.
Pour eux, ce n'est pas une bataille entre nations ou idéologies, mais un combat contre un système pourri qui gangrène tout le monde. Ils prennent un plaisir presque gourmand à regarder cette purge, commençant à espérer qu'un jour, peut-être, l'Amérique deviendra fiable. Mais il faudra en finir, non seulement à l'intérieur de ses frontières, mais aussi dans sa sphère d'influence, avec le cœur du problème, ce monstre absolu que sont les héritiers Khazars. Ils se délectent de chaque révélation, chaque chute, comme si c'était le meilleur des divertissements, sachant que chaque coup porté ici pourrait affaiblir ce qu'ils considèrent comme l'ennemi commun.
Donc, ce travail de DOGE, inattendu (pour les sourds … car Trump et Musk l’annoncent depuis des mois) et pourtant si nécessaire, montre que le changement peut venir de l'intérieur, mais aussi de la collaboration entre des leaders qui, chacun à leur manière, veulent nettoyer la merde dans laquelle leurs pays se sont enfoncés. Le peuple américain, loin d'être juste des spectateurs, devient acteur de ce merdier, informé et engagé dans une ère où peut-être, juste peut-être, la transparence et la responsabilité ne seront plus des gros mots.
Ainsi, ce qui aurait pu être une apocalypse s'est transformé en une révolution en sourdine, où le pouvoir reviendra aux citoyens, dans un monde où même les ennemis d'hier peuvent s'allier pour un avenir moins merdique. Je sais que vous en doutez, mais alors si vous doutez de tout … de quel espoir disposez vous ? Je ne comprends plus ? Que feriez vous ? Svp dites moi …
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Ils se sont TOUS (ou presque) trompés. Ces esprits étroits n’ont pas compris la portée de Trump, Musk et Vance. Mais également de Poutine, Xi et Ben Salman; sans parler de sous estimer ne le pouvoir maléfique du binôme Macron, de Netanyahu eh de trop de Monde au Vatican.
Trump, ce leader visionnaire, ce bâtisseur audacieux qui a redessiné la carte politique. Pas un simple amuseur public, mais un homme avec une vision claire pour sauver l’Amérique et, d’une certaine manière, une grande partie de l’humanité.
Musk, le génie de l’innovation, bien plus qu’un rêveur de fusées. Un architecte du futur, convaincu que son argent doit servir un but précis : faire avancer l’intelligence artificielle, les réseaux sociaux et la technologie au service de l’homme.
Et Vance, cet homme de convictions, dont la droiture est le socle sur lequel se bâtit la confiance en cette administration. Son intégrité ne saute pas aux yeux immédiatement, elle se révèle avec le temps, comme un trésor caché. Il est le gardien de la morale, conscient des enjeux, prêt à mener le combat avec une détermination sans faille.
Ceux qui ont sous-estimé cette alliance – plus vaste encore que ces trois figures de proue – vont bientôt réaliser leur erreur. Ils commencent à comprendre que ces hommes ne sont pas là pour le spectacle, mais pour construire, innover et transformer.
Ce trio, avec d'autres dans l'ombre, montre que ce n'est pas pour le spectacle qu'ils se sont réunis, mais pour construire, innover, et transformer. Trump, avec son énergie inébranlable, motive ses troupes vers une vision audacieuse; Musk, avec son talent pour recruter des génies, pousse les limites de l'innovation; Vance, avec sa moralité profonde, consolide cette équipe, devenant le pilier de confiance sur lequel cette administration se bâtit.
Les peuples commencent à comprendre que de vrais leaders sont là pour bâtir, non pour divertir, prouvant que le véritable changement vient de la sincérité, de l'intelligence, et de la force morale. Les sceptiques sentiront bientôt le vent puissant de changement qu'ils apportent.
Ensemble, ils prouvent que le changement véritable provient de la sincérité, de l'intelligence et de la force morale.
Ceux qui ont douté sentiront bientôt le vent du changement. Poutine, Xi et Ben Salmane ont chacun ouvert cette voie, face à leurs propres défis. C’était plus qu’urgent aux USA, doit on désespérer pour l’Europe ?
Je vais vous expliquer pourquoi il ne faut ni douter ni être trompé par ceux qui ne comprennent pas les tactiques de Trump, Musk, Poutine, Xi ou Ben Salman. Mais il est aussi crucial de ne pas se laisser aveugler par les manœuvres de Macron, Netanyahu, le Pape François et leurs soutiens.
Les sous-estimer serait une erreur monumentale.
LA TEMPÊTE INARRÊTABLE
Pendant que la bureaucratie s’endormait sur ses lauriers, elle avait anticipé sa résistance (…), pourtant, pendant la nuit après l’investiture, une équipe discrète, DOGE, a commencé à nettoyer.
En quelques lignes de code, ils ont révélé un gaspillage de 17 milliards de dollars. Et ce n’était que le début.
Ce n’était ni un hack, ni un coup de chance. C’était une directive présidentielle. Et les « traîtres » étaient déjà KO debout.
Fini les lenteurs administratives, fini le sabotage interne. Juste des algorithmes fouillant les méandres du Trésor (et autres institutions gavées de dollars, d’employés pléthoriques et de systèmes labyrinthiques, dont personne ne connaissait les véritables objectifs), déterrant enfin la vérité.
Ils ont mis au jour des contrats gonflés, des paiements répétés pour des services jamais rendus, des subventions qui se perdaient dans des paradis fiscaux, et des pots-de-vin déguisés sous l'appellation de "consultants". Chaque dollar mal dépensé était une preuve de plus de la corruption profondément enracinée dans les institutions américaines.
Musk, en voyant l'ampleur de cette corruption, a décidé d'investir personnellement dans la transparence. Il a dépensé 40 millions de dollars de sa propre poche pour une série de publicités télévisées diffusées pendant le Super Bowl, un événement regardé par des millions. Ces publicités n'étaient pas pour promouvoir ses entreprises mais pour exposer les résultats des investigations de DOGE. On y voyait des images de documents officiels, des graphiques des milliards détournés, et des appels à la vigilance citoyenne sur le gaspillage des fonds publics.
Le message était clair : "Votre argent finance des vices, pas des vertus."
Cette campagne visait à réveiller l'opinion publique, à révéler la réalité de la gestion gouvernementale, et à insister sur l'urgence de réformes profondes.
Le Super Bowl n'était pas juste un match de football ce jour-là; c'était le théâtre d'une révélation, où Musk, en tant qu'allié de Trump, a utilisé sa plateforme et son argent pour éclairer les zones d'ombre du Trésor américain, promettant que DOGE continuerait à fouiller jusqu'à ce que chaque dollar soit rendu au peuple ou utilisé de manière responsable. Cette publicité a été un coup de tonnerre, mettant fin à l'illusion d'une gestion saine et ouvrant les yeux sur la réalité d'une bureaucratie corrompue et inefficace.
Le Super Bowl est devenu un tribunal populaire. DOGE, soutenu par Trump et Musk, s’est imposé comme le cauchemar de la corruption.
Et les têtes ont commencé à tomber.
Les révélations pleuvent. Et avec elles, les licenciements, les arrestations.
• Budgets indépendants ? Des caisses noires bien dissimulées.
• Subventions humanitaires ? Des milliards siphonnés vers des comptes offshore.
• Projets classés secrets ? Des opérations si sombres qu’elles font frémir même les conspirateurs les plus aguerris.
Le lendemain de l’investiture de Trump, c’est la panique. Ce système, censé être une forteresse impénétrable, se fissure sous le regard du public.
L’État profond est exposé.
Leurs coffres-forts sont ouverts, leurs portefeuilles crypto déverrouillés, leurs contrats de villas luxueuses révélés (idem pour les œuvres d’art achetées à des prix fous par des prêtes noms !). Ces élites autoproclamées, qui se croyaient intouchables, voient maintenant leurs secrets mis à nu. Jadis aristocrates du monde moderne, ils deviennent aujourd’hui ses pires parias, destinés à moisir en prison—pas forcément aux États-Unis, mais peut-être à Guantanamo.
Et au-delà de leur corruption financière, leur véritable crime est l’esclavagisme moderne : profitant des flux de migrants illégaux, ils ont bâti leur confort sur l’exploitation des plus vulnérables. Que dire du show biz et de l’industrie du luxe ? (Ça viendra … j’y reviendrai)
Leur monde s’effondre, et ils le savent.
Ils cherchent désespérément un contre-feu :
• Un scandale fabriqué,
• Une guerre déclenchée de toutes pièces,
• Un nouveau virus,
• Une révolution sous contrôle,
• Ou même des assassinats ciblés.
Mais rien ne vient. DOGE avance trop vite. La réalité les rattrape, et leur empire s’effondre sous le poids de leur propre cupidité.
Une ironie parfois cruelle, mais qui d’autre vous a sans cesse démontré la fiabilité de son analyse et la droiture de ses actes ?
Vous me connaissez : je ne mâche pas mes mots. J’écris comme je parle. Cynique, amer, mais lucide, optimiste et animé par une foi inébranlable !
Maintenant j’écris en parlant, ça devient symphonique et je l’espère cela réveille et vous redonne de l’espoir et de la force.
J’insiste sur cette description qui ne fait que souligner l'ironie cruelle de leur chute, orchestrée par les mêmes outils financiers qu'ils ont utilisés pour grimper au sommet.
Ils ont joué avec la spéculation, l’information, la manipulation, et aujourd’hui, ces armes se retournent contre eux.
Mais qui s’étonne encore ? L’histoire se répète. La montée et la chute des empires suivent toujours le même cycle. Et cette fois, ce n’est pas une révolution menée par les masses… c’est une révolution accélérée par l’intelligence artificielle et l’implacable transparence de la technologie. Ils tombent des armes qu’ils rêvaient d’utiliser contre nous … ce qui devaient être leur force est devenue leur talon d’Achille, ils ont laissé des traces.
Cela se passe en épargnant les peuples de la violence feutré de cette première bataille. Sans les pubs de Musk au Superbowl, ils n’en auraient pas forcément conscience, et donc ils restent l’enjeu de la guerre pour le contrôle de leurs âmes … ce n’est pas terminé !
Leur jeu est terminé.
Ce qui est gratuit a-t-il encore de la valeur à vos yeux ?
Encore une fois, cette lettre est gratuite. Mais posez-vous une question simple : si elle était payante, auriez-vous hésité à lui accorder de l’importance ?
La gratuité a un sens. Mais seulement tant qu’elle ne rime pas avec indifférence. Il y a ceux qui prennent, et ceux qui comprennent. Ceux qui consomment, et ceux qui soutiennent.
À vous de voir où vous vous situez.
Les révélations n'ont pas tardé à pleuvoir, entraînant licenciements et bientôt emprisonnements :
- Des budgets soi-disant "indépendants" mais reliés par des fils financiers invisibles, où chaque centime était détourné pour enrichir des poches privées.
- Des subventions humanitaires, censées aider les nécessiteux, qui alimentaient des comptes offshore, transformant l'aide en profits pour des intermédiaires.
- Des programmes secrets, si sombres qu'ils semblaient sortis d'un roman d'espionnage, révélant des opérations si obscures qu'elles dépassaient l'entendement.
À l'aube du lendemain de l'investiture de Donald Trump, les bureaucrates ont dû affronter leur pire cauchemar. Les manigances de l’ombre sont exposées au grand jour. La vérité n’est plus une menace pour eux—elle est leur sentence.
Leur système, qu'ils croyaient impénétrable, était désormais exposé au grand jour. Leurs réseaux, autrefois des secrets bien gardés, étaient maintenant visibles par tous. C'est véritablement la fin pour une partie cruciale du "bal des vampires", et la suite promettait d'être encore plus révélatrice. Beaucoup tremblent à cette idée, conscients que leur temps est compté. Ils espèrent un faux drapeau ou une diversion, mais rien ne se produit. La rapidité et la précision de DOGE ne leur laissent aucune échappatoire.
Les vieilles stratégies des escrocs et des corrompus – obstruction, fuites, paperasse – se sont avérées inutiles face à l'efficacité brutale de DOGE.
Cette équipe, opérant sous l'autorité directe de Trump et avec le soutien financier et technologique de Musk, a utilisé des algorithmes sophistiqués pour déterrer la vérité, rendant les anciennes méthodes de dissimulation obsolètes. Les bureaucrates, autrefois maîtres du jeu, se retrouvent désormais en position de défense, incapables de cacher leurs manigances.
Leurs secrets ne leur appartiennent plus.
Bientôt, ce sera l'heure des marionnettistes, ceux qui ont orchestré cette vaste toile de fraude et de détournement de fonds publics. Ces révélations initiales, comparables au choc de Pearl Harbor, réveillent les consciences, poussant les citoyens à se lancer dans une guerre non pas contre un ennemi extérieur, mais contre l'État profond, contre une corruption ancrée dans les institutions mêmes censées les servir.
Ce n’est plus une guerre politique. C’est un changement d’ère.
UNE RÉSISTANCE DÉSESPÉRÉE
Il y a eu trop d'argent et de contrats indus, d'argent détourné, de compromission, de corruption, de fausses facturations et, en fin de compte, de vol pur et simple.
Les médias, les ONG, les lobbys, les cabinets de conseil qui prospéraient grâce au détournement de l'argent public... Tous suent maintenant à grosses gouttes. Mais pas seulement eux. Les sénateurs, les parlementaires, les grandes entreprises maintenues en vie par des contrats inimaginables... tous risquent de voir leur monde s'effondrer. Nationalisation ou ruine, c'est la question qui plane au-dessus de leurs têtes. Et leurs patrons, autrefois intouchables, pourraient bien se retrouver déchus.
Est-ce un rêve ou un cauchemar qui se réalise ? Peut-être les deux à la fois. Pour ceux qui ont lutté pour la justice et la transparence, c'est un rêve devenu réalité, la promesse d'un système plus équitable. Mais pour ceux qui ont bâti leur empire sur la corruption, c'est un cauchemar éveillé où chaque contrat, chaque transaction frauduleuse est disséquée sous le feu des projecteurs.
Ce bouleversement ne se contente pas de chambouler des carrières ou de ruiner des fortunes ; il remet en question le fonctionnement même de notre société. Les écrans de fumée se dissipent, révélant un besoin urgent de réforme et d'intégrité. La question n'est plus de savoir si ce changement est possible, mais comment il sera géré, et à quel prix pour ceux qui ont longtemps tiré les ficelles dans l'ombre.
Ce n’est pas juste une réforme. C’est un renversement total du système.
Ils avaient des stratégies pour ralentir le changement, pas pour affronter une révolution cybernétique menée par des génies de l'informatique.
Les médias, ces clowns de la « gauche caviar », font tout un spectacle pour peindre Trump et Musk comme les nouveaux Satan et Lucifer, prêts à transformer les USA en enfer. Ils crachent des titres alarmistes comme "L'alliance infernale" ou "Le nouveau Reich technologique", suggérant que chaque décision fait un pas de plus vers l'apocalypse.
Les lobbyistes et certains membres du Congrès, surtout les démocrates, ces marionnettes, montent des contre-feux avec des termes abracadabrants comme "la grande menace technocratique" ou "l'ère des ténèbres numériques". Ils jouent sur la peur du changement et la désinformation, enlevant toute déclaration de son contexte pour créer une hystérie de masse. Les médias, leurs complices, amplifient ces conneries jusqu'à ce que ça devienne une vérité médiatique, divisant le public avec une polarisation qui rend tout dialogue impossible.
Mais cette fois, ça ne prend plus, je l’espère ?
L’opinion publique est en train de basculer ?
En France, aucun média n’en parle, tout est réduit à des polémiques. (C’est pourquoi cette lettre est essentielle et j’y ai mis tellement d’énergie et d’âme.) En réalité, c’est le silence des marchands du Temple, ils paniquent encore plus que leurs collègues américains. Car eux, ils n’ont pas simplement soutenu le Dieu $ comme instrument de pouvoirs et de plaisirs indus et souvent morbides et malsains , ils ont protégé le représentant du Diable sur Terre.
En Europe, les vidéos les plus virales présentent Trump et Musk comme une menace contre leur utopie bureaucratique ou les décrivent en monstres diaboliques déguisés en personnes bien, bref que d’erreurs parmi nous.
Qui finance et propage de telles stupidités et pourquoi ?
En tant que Français, je ressens une honte profonde face à l'attitude de mon gouvernement et de nos médias, mais ce sentiment s'étend à l'ensemble de l'UE. Nous aurions pu choisir de véritables réformes, de redonner du pouvoir au peuple, mais au lieu de cela, l'Europe se transforme en une Union Soviétique moderne – une bureaucratie étouffante où la transparence est une chimère et où les libertés sont rognées sous couvert de régulation et de bien-pensance.
La France en tête, avec ses médias serviles et son gouvernement complice.
Vous imaginez que des gens comme Xavier Niel (le patron de Free et gendre de Bernard Arnault), mais pas que lui, insultent Musk en direct à la TV. Ils utilisent des termes comme "clown", "charlatan" ou "danger pour la démocratie" pour discréditer Musk, le qualifiant de "menace américaine" avec une condescendance qui ferait honte à un aristocrate du 18ème siècle. Ils critiquent le protectionnisme américain tout en ayant fait de l'Europe un bastion de protectionnisme réglementaire (y compris pour la censure). En parallèle, ils se drapent dans des discours de moralité et de supériorité culturelle, mais en réalité, ils se barricadent derrière une muraille de régulations et de conformisme politique (leurs innovations sont … diaboliques), où l’engagement sincère et altruiste est vu avec suspicion et où toute critique est taxée de populisme, de harcèlement, de diffamation ou de désinformation, voir de sédition. J’en sais quelque chose !
MACRON ET SON BINÔME : UNE DÉRIVE INQUIÉTANTE SUR LA SCÈNE INTERNATIONALE
Après les Jeux Olympiques, l'incendie de Notre-Dame et ses déclarations belliqueuses contre la Russie, Macron semble incarner le chaos. Ses politiques climatiques précipitent l'UE vers l'effondrement, pendant qu'il contribue activement à déstabiliser le Moyen-Orient et l'Afrique. Qu’en pensez vous ?
Outre cela, son zèle pour le wokisme et l'agenda LGBTQ+ dépasse la défense des droits pour ressembler à une doctrine d'endoctrinement. L'accumulation de scandales et de menaces ternit non seulement l'image de la France mais aussi celle de l'Europe.
Sa position paradoxale sur la foi est particulièrement troublante : d'un côté, il multiplie les blasphèmes et provocations, allant jusqu'à inscrire l'IVG dans la Constitution française; de l'autre, il entretient une relation ambigüe avec le pape François, lui-même sujet de controverses. Cette dualité soulève la question : s'agit-il d'une stratégie politique ou d'une véritable ingénierie sociale ?
Et derrière tout cela, une ambition cachée : contrôler l’intelligence artificielle et conquérir nos âmes dans un pacte en connaissance de cause !
Aparté
MACRON ET L’IA : UN DANGER ABSOLU
Je suis très inquiet du rôle que rêve de jouer Emmanuel Macron dans le domaine de l'intelligence artificielle. Un outil aussi puissant, entre de mauvaises mains, peut être pire que la bombe atomique ou la biologie de synthèse de virus avec gains de fonctions. C'est ce qui pourrait arriver si Macron n'est pas rapidement éloigné du pouvoir, car son charisme semble convaincre des dirigeants comme Modi d'agir à ses côtés sur de tels dossiers.
Le sommet sur l'IA à Paris, qui se déroule les 10 et 11 février 2025, est crucial. Macron y a annoncé un investissement colossal de 109 milliards d'euros pour positionner la France comme leader mondial de l'IA. Cependant, cette ambition m'inquiète. Sans une régulation adéquate, l'IA pourrait être utilisée de manière néfaste pour la surveillance, la manipulation des informations ou encore pour introduire des biais algorithmiques.
L'appel de Macron à une "stratégie Notre-Dame" pour l'IA vise à accélérer et simplifier les processus européens pour rester compétitif, mais cela pourrait se faire avec une régulation sournoise, que ce ne soit pas de l’intelligence mais de la surveillance et de la propagande (il ne faut pas réguler trop l’outil, mais les sombres intentions de ceux qui sont derrière !), laissant la porte ouverte à des utilisations abusives de la technologie. Le nom choisi est particulièrement préoccupant et meme blasphématoire, car c’est assez pervers de souiller plus encore la cathédrale de Paris.
Sur le plan géopolitique, la France cherche à s’imposer comme un acteur majeur de l’intelligence artificielle, soulevant ainsi des questions cruciales sur la gestion des données, la protection de la vie privée et la souveraineté numérique.
Le sommet sur l’IA à Paris, avec l’Inde comme invitée d’honneur, illustre parfaitement la stratégie de Macron. Il ne s’agit pas seulement de renforcer la coopération technologique, mais aussi de tisser un réseau d’influence qui placerait la France en position de leader.
Mais cette ambition soulève des inquiétudes, notamment sur la manière dont seront façonnés les outils de demain. Quand on observe les cérémonies des JO de Paris et la réouverture de Notre-Dame, empreintes d’idéologie “woke” et de provocations blasphématoires, on peut craindre que l’intelligence artificielle et les nouvelles technologies ne deviennent des armes de guerre culturelle et idéologique.
Ce projet dépasse la simple innovation : derrière les discours sur la coopération et le progrès, c’est une bataille pour le contrôle des narratives et des esprits qui se joue. Et si cette guerre technologique venait à se concrétiser, les conséquences pourraient être bien plus profondes qu’on ne l’imagine.
Face à ces défis, je ressens de plus en plus le besoin de retrouver et renforcer le chemin de la foi chez moi et je l’espère parmi mes proches. Dans un monde où l'IA pourrait remodeler notre existence quotidienne, la foi offre un cadre moral et éthique pour guider l'usage responsable de cette technologie. Elle insiste sur des valeurs comme l'altruisme, la modestie, la justice et la vérité, qui doivent être au cœur du développement et de la gouvernance de l'IA.
L'IA "made in" Macron est à suivre comme du lait sur le feu. Tout entre ses mains me paraît apocalyptique, et ce sentiment est de plus en plus fort. Heureusement, j'ai la foi.
La France, autrefois symbole de liberté et de révolution, mène la charge vers cette régression. Nos médias, loin d'être des gardiens de la vérité, deviennent les pions d'une propagande qui protège le système, ignorant ou minimisant les scandales de corruption, les libertés bafouées, et les voix dissidentes réduites au silence.
L’un des scandales les plus troublants de ces dernières années est l’affaire des SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, dans lesquels ils auraient discuté de milliards d’achats de vaccins. Ces messages, pourtant cruciaux pour comprendre les négociations entre l’UE et l’industrie pharmaceutique, ont mystérieusement disparu. Un simple accident ? Difficile à croire. Car si ces échanges ont été effacés, c’est peut-être parce qu’ils impliquaient d’autres figures de premier plan, dont Emmanuel Macron lui-même.
Macron n’a jamais caché son implication profonde dans les affaires européennes et sanitaires. Il a soutenu Ursula von der Leyen de manière excessive, la mettant constamment en avant, presque comme un paratonnerre, détournant ainsi l’attention des véritables instigateurs de ces tractations opaques. Une stratégie redoutable : pendant que les critiques se focalisaient sur elle, lui consolidait son influence en toute discrétion.
Et cela a fonctionné. Macron est souvent sous-estimé par ses adversaires, qui le voient comme un technocrate habile mais incapable de manœuvres politiques de grande envergure. Grave erreur : il a prouvé à maintes reprises son talent pour étendre son pouvoir sans bruit, en plaçant ses pions aux bons endroits, en manipulant les rapports de force, et en verrouillant les structures de décision.
Son nouveau gouvernement illustre bien cette stratégie. Il a réussi à morceler le Parlement en une multitude d’îlots d’opposition incapables de s’unir. Résultat ? Pas de front commun, pas de véritable résistance, et un exécutif toujours plus puissant. Macron renforce son emprise, non seulement sur la France, mais aussi sur l’Europe, où il tire désormais les ficelles dans l’ombre.
Ce tableau est d’autant plus douloureux que l’Europe avait le potentiel d’être un modèle de liberté, d’innovation et de justice sociale. Mais au lieu de cela, nous sombrons dans une bureaucratie corrompue, qui rappelle les heures les plus sombres de l’histoire : une Europe où la liberté d’expression se rétrécit, où les décisions majeures se prennent dans l’opacité, et où le citoyen n’est plus qu’un simple spectateur d’une élite autoproclamée qui ne rend de comptes à personne.
Tandis que les États-Unis, sous l'impulsion de Trump et de Musk, choisissent de combattre les abus du pouvoir, ici en Europe, nous semblons choisir la voie de la stagnation, de la censure, et de la bureaucratie oppressive. Ça fait mal parce que nous savons que nous pourrions faire mieux, bien mieux.
L'accueil de JD Vance à l'Élysée a été un crachat diplomatique, un coup de pied en plein visage. Macron, ce petit tyran en costard, a clairement montré son mépris pour la nouvelle Amérique et, par extension, pour les initiatives de Musk et Trump qui font un bien fou aux USA et au monde. C'était une déclaration de guerre non seulement à Vance mais à toute une administration qui bouscule le statu quo.
Les médias sont des hypocrites. Fox News, au moins, a le courage de montrer Musk et Trump comme des salvateurs, tandis que CNBC devrait s'intéresser à comment ces changements apportent stabilité et prospérité, plutôt que de se lamenter. Les conservateurs voient clair, mais les libéraux sont dans le déni.
Sur les réseaux sociaux, c'est le chaos, mais grâce à Musk, c'est un chaos ou tous peuvent se faire entendre. On voit des hashtags (devenus inutiles) courageux, des mèmes qui disent la vérité, et des commentaires qui montrent que beaucoup d'Américains sont derrière ce changement.
AIPAC et l'ADL sont des marionnettes terrifiées à l'idée que leur vrai jeu soit dévoilé. Ils jouent sur tous les tableaux, essayant de ne pas se brûler les ailes dans cette blitzkrieg de réformes, mais ils savent que leur masque pourrait tomber, révélant leur manipulation et leur influence secrète.
Quant aux médias, ces "menteurs" selon Trump, ils sont complètement perdus. Leurs journalistes deviennent débridés, caricaturaux dans leurs excès, et même ceux qui dormaient se réveillent. Les manipulations, les erreurs, les mensonges sont exposés.
L'État profond, ce réseau de pouvoir et d'influence, n'est pas juste en train de vaciller; il est au bord de l'effondrement, sans retour possible. Cela les rend plus dangereux que jamais, car ils se battent pour leur survie. Mais la vérité est en train d'émerger, apportant l'espoir de nettoyer, de réformer, voire de détruire ce qui était corrompu.
Musk et Trump, avec leur approche directe et disruptive, changent le jeu, révélant les failles du système. C'est un moment décisif : soit l'État profond se réinvente avec une férocité inédite, soit il est écrasé par sa propre corruption exposée.
Et si pendant une courte pause de lecture vous en profitiez pour me dire merci en passant à un abonnement payant. Si pour valider, votre banque vous demande de confirmer la somme de 0€, ce n’est pas un bug, elle vérifie juste que c’est bien vous…
(j’ai vraiment besoin de votre soutien)
LES RÉVÉLATIONS CHOC DE CANDACE OWENS
Les enquêtes de Candace Owens forcent à reconsidérer la chute de François Fillon et l'ascension rapide de Macron. Des preuves nouvelles et cohérentes alimentent l'hypothèse d'une manipulation orchestrée par des forces bien au-delà de la politique française.
Ces révélations ne se limitent pas à exposer les manipulations ayant permis à Macron d'accéder au pouvoir; elles posent une question plus vaste : jusqu'où les nouvelles technologies, la chirurgie, autant que la corruption et la compromission (Epstein ? Drogue ? Pédophilie ? Etc.) ont-elles servi à falsifier l'Histoire ?
Dans un monde où la transparence est sacrifiée sur l'autel du pouvoir, ces révélations menacent ceux qui dirigent non seulement la France, mais l'Europe entière.
L'étau se resserre.
LE DÉCLIN DE L’EUROPE (je ne parle même pas de l’économie)
La France, autrefois berceau des révolutions, se transforme en laboratoire du totalitarisme technocratique.
Ces acteurs, véritables « marchands du temple » de notre époque, usent de séduction pour vider les poches et lessiver les âmes. Leur objectif n'est pas d'engendrer le bonheur, la confiance ou la clairvoyance, mais d'affaiblir, voire d'éradiquer, la capacité des individus à se révolter. En contrôlant l'information, ils empêchent les citoyens de retrouver la capacité de décider par et pour eux-mêmes, les rendant dépendants et manipulables.
Ils sont les plus grands alliés des malfaisants et des tyrans, car ils préparent le terrain pour que ces derniers prospèrent. En étouffant la dissidence et en promouvant une docilité confortable, ils maintiennent un ordre qui sert leurs intérêts et ceux de leurs puissants protecteurs.
Nos médias, qu'ils soient mainstream ou alternatifs, se contentent souvent de couvrir les scandales gouvernementaux et les turpitudes de ceux qui sont au pouvoir. Cette couverture est sélective, manipulée par une véritable mafia où les ascenseurs de l'information montent et descendent selon les intérêts du moment. Cette mafia médiatique fonctionne de concert avec les élites pour créer un écran de fumée, distrayant de véritables problèmes et manipulations.
Nos institutions, quant à elles, trahissent leurs citoyens en devenant les complices passifs ou actifs de ce système corrompu. Elles devraient être les gardiennes de la démocratie, mais elles sont devenues les gardiennes de l'ordre établi, un ordre qui ne profite qu'à une minorité.
Ce sont donc des marchands du temple qui, au lieu de purifier, corrompent; au lieu d'élever, abaissent; au lieu de libérer, asservissent. Leur entreprise n'est pas celle du progrès ou de l'épanouissement humain, mais de la domination par la confusion, la peur et la dépendance. Ils sont les architectes d'un monde où la révolte est criminalisée, la critique marginalisée, et la pensée libre anesthésiée.
Nous glissons vers une dictature douce où la liberté d'expression s'étiole sous le poids des lois de censure et de la bien-pensance.
Mais l'éveil approche.
DOGE a montré que même un système corrompu peut être démantelé. Ce n'est qu'un début.
Ce qui se fait aux États-Unis, nous pouvons le faire ici aussi.
Mais cela demande du courage.
L'Europe doit faire un choix. Certains pays semblent plus mûrs que d’autres, mais sans les gangsters ont encore des milliards dans la manche pour gagner la parties et cette fois en finir avec la société libre et humaine !
Liberté ou servitude ? Éveil ou soumission ?
Le combat ne fait que commencer.
La fin du bal des vampires ?
Aparté
X n’a laissé que quelques jours à Kanye West pour transformer l’espace médiatique en champ de bataille. Comme à chaque fois, ceux qui savent lire entre les lignes voient bien que rien n’est laissé au hasard. Musk, en lâchant le fauve “Ye” au moment précis des Grammy Awards et du lynchage organisé contre lui et Trump, sait exactement ce qu’il fait.
Surtout quand les accusations pleuvent sur leurs supposées affections pro-sionistes. Une manœuvre classique : réduire toute dissidence à une case idéologique pour mieux l’attaquer. Un jour Musk est anti sémite, le lendemain l’inverse, mais ceux qui suivent savent que le cœur de musk est sincère avec ses amis comme Ye, Ron Pail, Tucker Carlson et d’autres, qui ne laissent planer aucun doute sur la question du rôle de l’Aipac et du régime Netanyahu, idem bientôt pour les affaires traitées par Candace Owens. Cependant, et j’insiste sur ce point, car à mon échelle je suis comme eux, en réalité, ni Musk ni Trump ne jouent à ce jeu-là. Ils ne sont ni pro-sionistes, ni anti-quoi que ce soit. Ils sont pro-humanité, jusqu’à la dernière cellule de leur corps. Cependant, certaines vérités sont bafouées et caricaturées, ainsi que ceux qui les défendent, quand ils ne sont pas ruinés ou emprisonnés.
Et dans ce combat, Musk, ponctuellement, a trouvé en Kanye West un allié inattendu, mais redoutable.
Parce que Ye n’a peur de rien. Il le prouve en frappant là où ça fait mal. Il attaque l’AIPAC, l’ADL (Ligue américaine contre la diffamation), les véritables censeurs, ceux qui verrouillent les discours sous couvert de moralité. Mais il ne s’arrête pas là. Il démonte l’industrie du showbiz, expose les coulisses sordides de la pornographie, révèle les mécanismes du contrôle culturel. Tout, avec un mélange de provocation et de cynisme.
Musk, naïf ? Certainement pas.
Il le réintègre sur X non pas par hasard, mais parce qu’il croit en une liberté d’expression totale, quitte à flirter avec l’excès. C’est cette audace qui fait de lui un pionnier des réseaux sociaux, défiant les censeurs et les convenances, au risque de déclencher une guerre ouverte.
Attachez vos ceintures.
Parce que cette fois, la tempête ne sera pas que médiatique, voilà ce qui se passe, cette fois ça pourrait changer, alors que jusqu’à la les adorateurs du diable gardaient le contrôle :
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