Tout remonte à Noé et ses fils, à l’aube du monde post-Déluge. Au cœur de cette gigantesque ingénierie du chaos, une lignée a laissé une empreinte + profonde que toutes les autres, celle des Khazars
Au départ, il ressemblait à un gamin ambitieux, un jeune énarque sorti des coulisses de la finance, propulsé sur le devant de la scène. Mais derrière l’image de modernité et progressisme, le diable ?
Chers lecteurs, avant de vous entraîner dans les méandres de cette nouvelle lettre, laissez-moi m’arrêter un instant, le temps d’un murmure mélancolique, d’un cri du cœur qui me revient parfois, lancinant, quand je mesure ce que je donne et ce qui me revient en écho. Ce n’est pas un reproche tranchant, mais une pensée qui s’attarde, comme une vieille chanson qu’on fredonne malgré soi.
Je vous invite, avec toute la fougue qui m’habite encore, à ne plus seulement lire mes mots, mes idées, mes combats, comme on cueille des fruits sans jamais tendre la main en retour. Cette lettre, je la veux gratuite – elle le restera toujours ! – car l’idée de priver ceux qui n’ont rien me soulève le cœur. La barrière de l’argent, cette injustice froide, je la refuse en bloc. Mais que faire face à ces « braconniers » du savoir, ceux qui prennent sans fin, sans un regard, sans un geste ?
Certains d’entre vous me suivent depuis des années, avalent chaque ligne, m’interpellent avec curiosité – et j’aime ça, sincèrement, ça me porte ! Pourtant, parmi eux, il y a ceux dont les moyens ne manquent pas, et qui jamais ne songent à dire : « Ton travail, ton acharnement de journaliste citoyen, ça vaut bien un petit signe, un soutien. » Un abonnement, un don PayPal, une envie de goûter mon miel pour donner un souffle à mes projets ? Rien. Silence. Ma cagnotte GoFundMe, annulée (en octobre 2024) sans crier gare, a vu les dons s’évaporer – sauf deux âmes rares qui ont pris la peine de me les renvoyer. Un éclat dans la grisaille.
Ces dernières semaines, des milliers d’entre vous ont rejoint cette lettre, une marée qui pourrait m’éblouir… si elle n’était pas si muette. Un « merci » ? Presque rien. Mon déplacement à Strasbourg, pour honorer Stéphane Gayet, m’arrache temps, énergie, argent. Pas un geste de votre part pour en porter une once. Stéphane, lui, méritait tout. De tous les combats de l’ère Covid, il a brandi la vérité comme une torche, au prix de sa vocation, de sa vie même – interdit d’exercer la médecine, sa passion, son essence. Il a été un roc, un soutien indéfectible pour tant d’entre nous. Mais dès que l’actualité l’a lâché, la trahison a suivi. Abandonné par presque tous, sauf une poignée de fidèles qui tenaient encore sa main dans l’ombre. Sa mort a secoué les consciences, oui, une vague d’amitié tardive a déferlé – mais combien de ces larmes sentent le marketing, l’hypocrisie bien rodée ? Moi, je serai à ses obsèques, pour sa famille, pour témoigner. Nous étions légions à l’écouter, à l’entendre, à le pleurer – même si trop peu l’ont montré quand il respirait encore. Après ma garde à vue, même refrain : politesses creuses, silences gênés, et pour la cagnotte des avocats, un néant qui cogne. Savez-vous ce qu’il en coûte de tenir tête à l’État, de défendre sa voix et la liberté d’expression, seul, simple citoyen face aux machinations des puissants ? Ce n’est pas de la pitié que j’attends – je n’en veux pas –, mais un signe, un seul, que cela vous importe autant qu’à moi. Peu importe : je me débrouillerai, comme toujours, sans plier dans ce pèlerinage.
Mais ce n’est que le début. Le silence qui m’enserre n’a rien de fortuit : c’est une mécanique précise, un complot tissé dans l’ombre, un filet qui s’est refermé dès que j’ai nommé l’inavouable – l’eschatologie, le génocide à Gaza, le portrait officiel de Macron –, des vérités si tranchantes qu’elles déchiquettent les masques. Je connais les marionnettistes, ceux qui trament ce guet-apens loin des regards. Pourtant, j’entrevois la fin de ce règne – je le pressens, je l’appelle de mes vœux. Peu importe, en vérité ; je tiens bon. À cela s’ajoute la clique de la pseudo-révolte, ces charlatans qui lavent les esprits, dépouillent les poches et drainent les épargnes sous un vernis de subversion. Et le harcèlement ? Une chasse en meute : les puissants me scrutent de haut, les rancuniers me vomissent, les envieux me guettent, les escrocs et ces faux rebelles me redoutent. Ils m’enserrent, me traquent sans répit, comme des morpions ou des puces de lit. J’espère que vous y échappez, car ils s’agrippent à moi comme des parasites tenaces, et je ne souhaite ça à personne.
Vous ne percevez qu’une vague silhouette du tableau. Ces marchands du temple, ces médias qui se parent d’une dissidence de façade, ne sont qu’un décor trompeur. Et les morpions dont je parle, ces âmes fragiles et désœuvrées, deviennent sans le savoir les pions de ceux qui tirent profit de leurs réflexes conditionnés, les manipulant sans cesse. Ils en viennent à trahir leurs propres intérêts, complices malgré eux – tels des idiots utiles pris dans des guerres ou des vendettas qui les dépassent, où ils prêtent main-forte aux forces qu’ils devraient combattre. À peine commencez-vous à entrevoir la vérité et à reprendre espoir que les voilà qui surgissent, prêts à briser vos illusions ou à nuire à ceux qui osent enfin dire les choses telles qu’elles sont ! Toujours les mêmes tactiques minables et méprisables, et pourtant, à chaque fois, ça marche. En somme, ces infiltrés qui s’activent dans l’ombre méritent bien les récompenses de leurs mécènes occultes. Un petit coucou aux fact-checkers et autres bandits des médias, tiens !
Et je m’interroge, parfois jusqu’à l’épuisement. Ai-je mal jugé l’éclat de mes lettres ? Sont-elles des flammes dans mes yeux, mais des cendres dans les vôtres ? Dois-je encore me perdre dans ces questions, scruter mon reflet dans ce miroir trouble, ou admettre, avec une pointe d’amertume, que mon sort vous indiffère ? Je ne sais plus. Alors je le pose ici, simplement, avec cette franchise qui ne me quitte pas : ces lignes, mes tweets, mes vidéos, mes conférences, je les façonne pour vous, pour nous, pour une vérité qui m’obsède. Mais vous, qu’en faites-vous, au fond ?
Pourtant, il y a vous – vous, les fidèles, les généreux, ceux qui m’offrez un mot, un geste, une lueur dans la brume. À vous, je dis MERCI, d’une voix qui tremble d’émotion et de gratitude. Ce que je fais, ce n’est ni pour l’argent ni pour la gloire – c’est un pèlerinage, une marche solitaire vers quelque chose de vrai, d’authentique, qui me dépasse parfois. Alors, à tous les autres, je tends une main, douce mais ferme : rejoignez-moi dans ce voyage, pas seulement en lisant, mais en vivant cela avec moi, en disant oui à ce que nous portons ensemble.
Et maintenant, laissons cette ombre s’effacer. Plongeons dans cette lettre qui, je l’espère avec un feu qui vacille mais ne s’éteint pas, saura encore vous saisir. Car face au chaos qui gronde, des figures se dressent, des âmes résistent, et je suis là pour vous les raconter, avec tout ce que j’ai encore à offrir. Allons-y.
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Chère humanité désabusée,
Ce que nous observons aujourd’hui en Ukraine n’est qu’un fragment d’un plan bien plus vaste, une guerre qui dépasse largement les frontières de l’Europe de l’Est. Cette même logique de chaos, de domination et de destruction se manifeste également au Proche-Orient, où le régime de Tel Aviv poursuit inexorablement son rêve prophétique et malthusien du Grand Israël.
L’Ukraine est devenue un champ de bataille stratégique, mais Israël en est un autre. Là aussi, nous assistons à une guerre qui ne dit pas son nom, une guerre de conquête déguisée en légitime défense, où la doctrine du “choc des civilisations” sert de prétexte à une expansion sans fin.
Le rêve messianique du Grand Israël ne date pas d’hier. Il s’enracine dans des prophéties et des ambitions impériales, qui, sous couvert de promesses bibliques, justifient une politique d’expansion sans limite. Derrière cette façade spirituelle, nous retrouvons les mêmes mécanismes de domination: guerres fomentées, populations déplacées, territoires annexés, nations affaiblies et chaos soigneusement entretenu.
En élargissant notre regard, on voit bien que la destruction des nations et des cultures traditionnelles ne se limite pas à l’Ukraine ou à la Palestine. Partout en Occident, les fondations mêmes de nos sociétés sont rongées : les valeurs ancestrales sont systématiquement piétinées, la souveraineté nationale s’évapore dans le brouillard des institutions supranationales, les peuples sont fracturés par des conflits artificiels savamment orchestrés, et la démographie est triturée par des politiques malthusiennes qui ne disent pas leur nom. Coucou l’IVG gravée dans le marbre de la Constitution française, comme un totem intouchable… Et que dire des transitions de genre, gracieusement financées dès le premier caprice d’un préado paumé dans son corps ou sa sexualité ? On lui offre un passeport express pour le bistouri, et gare aux parents qui osent s’y opposer : un petit tour en garde à vue, histoire de leur rappeler qui commande. À l’école, on lui a bien appris à brandir ses "droits" comme une arme, après tout.
Mais ça ne s’arrête pas là. Cette folie LGBTQ+ – avec sa prolifération délirante de genres, du non-binaire au fluide en passant par des identités qui changent au gré des saisons – s’attaque à la cellule même de la société : la famille. On déconstruit le père, la mère, les rôles qui structurent depuis des millénaires, pour les remplacer par un chaos individualiste où chacun se rêve en créateur de sa propre réalité. Les gamins grandissent dans un monde où l’idée même de stabilité familiale est ringardisée, où le moindre questionnement existentiel est transformé en croisade identitaire, et où les parents, désarmés, sont réduits à des figurants dans une pièce qu’ils ne comprennent plus. Pendant ce temps, les militants en arc-en-ciel, perchés sur leurs subventions, célèbrent la "liberté" tout en semant une confusion qui broie les liens, les repères, et au final, les générations futures. C’est ça, le progrès ? Un grand bazar sponsorisé par des idéologues qui méprisent tout ce qui ne rentre pas dans leur grille de lecture.
Et pendant qu’on divertit les foules avec ces querelles de chapelles, les vrais leviers du pouvoir – économiques, culturels, démographiques – passent tranquillement dans les mains de ceux qui tirent les ficelles, loin des projecteurs. Diviser pour mieux régner, ça n’a jamais été aussi bien huilé.
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Les lignées humaines : la racine d’un affrontement éternel
Tout remonte à Noé et ses fils, à l’aube du monde post-Déluge. De Sem est issue la lignée des peuples hébreux et sémitiques, porteurs d’une promesse divine. De Japhet sont nées les nations européennes, appelées à s’étendre et à bâtir. Et de Cham est issue une descendance marquée par une malédiction biblique, une lignée qui, selon les anciens textes, porterait en elle la graine de la rébellion contre Dieu.
Au sein même de ces lignées, un autre schisme se dessine : celui entre les serviteurs du divin et les adorateurs du chaos, ceux qui ont choisi de rejeter l’ordre établi pour instaurer leur propre règne terrestre. Déjà dans les récits anciens, cette lignée du mal prend forme sous différents noms : les Cananéens, les adorateurs de Baal, les Amalécites, les adorateurs du Serpent. Ils sont les porteurs d’une idéologie de domination, de mensonge et de destruction.
Cette lignée rebelle ne disparaît pas avec les siècles ; elle mute, change de nom, s’adapte aux époques. Elle passe par Babylone, où elle perfectionne l’art du contrôle par l’usure et la corruption. Elle s’enracine dans Carthage, où elle perpétue des rituels de sacrifices humains. Elle réapparaît sous l’Empire romain, infiltrant les sphères du pouvoir et les structures marchandes. Puis elle se disperse, infiltre les royaumes, s’insinue dans les cours royales, les banques, les institutions secrètes et les réseaux d’influence.
La marque des Khazars : l’empreinte d’un empire oublié, dont je vous parle depuis des années …
Au cœur de cette gigantesque ingénierie du chaos, une lignée a laissé une empreinte plus profonde que toutes les autres : celle des Khazars.
Peu connue du grand public, la Khazarie médiévale était un empire qui s’étendait sur ce qui est aujourd’hui l’Ukraine et le sud de la Russie. Ce royaume a bâti sa puissance sur le commerce, le tribut et l’usure, développant des réseaux qui allaient bien au-delà de ses frontières. Et surtout, il s’est converti au judaïsme, non par foi, mais par opportunisme politique, afin d’échapper à l’influence des empires chrétiens et musulmans.
Avec la destruction de leur royaume au Xe siècle, les Khazars ne disparaissent pas. Ils se dispersent, infiltrent d’autres nations, et conservent leurs pratiques et leur culture souterraine. Au fil des siècles, ils deviennent des marchands d’influence, des banquiers, des conseillers royaux, des financiers d’armées, et, à terme, des architectes du monde moderne.
Cependant, l’Histoire a soigneusement effacé leur trace, car les héritiers de cette lignée ont tout fait pour que leur origine se fonde dans un récit plus vaste. Aujourd’hui, on ne parle plus des Khazars, comme si ce peuple s’était évaporé. Pourtant, leur influence est partout, dans les réseaux bancaires, les centres de pouvoir, les groupes de pression, et les cercles d’influence qui façonnent les grandes décisions du monde contemporain.
L’Ukraine : un bastion de leur guerre contre l’ordre divin
L’Ukraine est aujourd’hui l’un des épicentres de leur combat. Depuis Maïdan, ce territoire a été transformé en laboratoire du chaos, une plaque tournante de tous les trafics : armes, drogue, prostitution, GPA, trafic d’organes et d’êtres humains.
Mais le plus troublant, ce sont les biolabs financés par les mêmes élites. Faut-il croire sur parole ceux qui les présentent comme de simples installations médicales inoffensives, ou faut-il se poser la question de leur rôle dans la propagation de la Covid-19 et d’autres projets encore plus sinistres ? Des armes biologiques, ciblées selon des groupes ethniques et des profils ADN, dignes des pires scénarios de science-fiction… mais n’est-ce pas précisément ce que nous montrait le dernier James Bond ?
Qui se cache derrière tout cela ? Qui profite de cette guerre qui saigne l’Europe et la Russie, pendant que d’autres s’enrichissent et renforcent leur pouvoir ? Ceux qui, depuis des siècles, n’ont cessé de manipuler les royaumes et de provoquer les conflits pour asseoir leur suprématie.
L’Histoire est un cycle : vers l’affrontement final
Ce que nous voyons aujourd’hui en Ukraine et au Proche-Orient n’est que l’aboutissement de ce projet pluriséculaire. Une lutte pour le contrôle du monde, où les nations enracinées, qu’elles soient slaves, arabes ou européennes, sont considérées comme des obstacles à abattre.
Mais comme toujours, l’Histoire suit un cycle, et les empires bâtis sur le mensonge et la corruption finissent par s’effondrer. La question est de savoir combien de peuples et de civilisations devront tomber avant que ce cycle ne s’achève.
Un chaos organisé : de l’Ukraine à la Palestine, un même dessein
Ce que nous voyons aujourd’hui en Ukraine n’est qu’un fragment d’un plan bien plus vaste, une guerre qui dépasse largement les frontières de l’Europe de l’Est. La même logique de chaos, de domination et de destruction s’applique ailleurs, notamment au Proche-Orient, où le régime de Tel-Aviv poursuit méthodiquement son projet messianique et expansionniste du Grand Israël.
Le Proche-Orient : une autre pièce du puzzle
L’Ukraine est un champ de bataille stratégique, mais Israël en est un autre. Ici aussi, nous assistons à une guerre qui ne dit pas son nom, une guerre de conquête masquée en légitime défense. La doctrine du “choc des civilisations” sert de paravent à une expansion qui ne s’arrêtera que lorsqu’il n’y aura plus d’obstacles.
Le rêve messianique du Grand Israël ne date pas d’hier. Il s’ancre dans des prophéties millénaires et des ambitions impériales drapées de justifications bibliques. Une fable commode pour masquer une politique d’expansion qui ne connaît ni scrupules ni frontières. Derrière cette façade spirituelle se cachent des mécanismes bien rodés : guerres fomentées, populations chassées, territoires grignotés, nations voisines affaiblies et un chaos savamment entretenu.
Et les Palestiniens ? Ils étaient là bien avant que les cartes ne soient redessinées par des mains étrangères, avant que les fusils ne remplacent les oliviers. Mais leur existence a toujours été une gêne pour les architectes de ce projet. Dès avant 1948, des groupes sionistes comme l’Irgoun et le Lehi usaient du terrorisme pour semer la peur et vider les villages. Deir Yassin en 1948 n’était pas un accident, mais un message. Puis vint la Nakba : 700 000 Palestiniens chassés, leurs maisons rasées, leur histoire effacée.
Les décennies suivantes n’ont fait que perfectionner cet art de l’effacement : en 1967, la guerre des Six Jours permit d’annexer et de coloniser ; en Cisjordanie, les implantations illégales se multiplient sous protection militaire ; Gaza, elle, est devenue une prison à ciel ouvert, bombardée à intervalles réguliers.
Puis, tout s’est accéléré le 7 octobre 2023. Était-ce une simple aubaine pour Israël ? Allons, soyons sérieux. Ce n’était pas qu’un événement subi, mais une opportunité anticipée, exploitée jusqu’à la dernière pierre. Gaza est aujourd’hui un champ de ruines fumantes, le Liban subit des assassinats ciblés, la Syrie est écrasée sous les bombes. L’objectif est clair : raser tout ce qui pourrait gêner le grand dessein.
Et Tel-Aviv n’agit pas seul. Emmanuel Macron, en apparence un simple président lisse, y joue un rôle bien plus central qu’il n’y paraît.
Macron : d’un technocrate insipide à un incendiaire mondial
Au départ, il ressemblait à un gamin ambitieux, un jeune énarque sorti des coulisses de la finance, propulsé sur le devant de la scène. Mais derrière l’image de modernité et de progressisme, le masque est tombé.
D’abord, la répression sanglante des Gilets Jaunes, où des Français ordinaires ont été éborgnés et matraqués pour avoir osé réclamer leur dignité. Puis l’incendie de Notre-Dame, ce symbole millénaire parti en fumée sous son règne, comme une sinistre métaphore. Mais Macron ne se contente pas de détruire la France : il a des ambitions bien plus vastes.
Depuis son coup d’éclat à Versailles en 2022, où Macron s’était drapé dans le costume d’un souverain d’Europe – voire du monde –, il n’a cessé de projeter une image de puissance et d’autorité. Mais cette mise en scène n’était qu’un écran de fumée. Derrière les ors et les discours grandiloquents, il s’est effacé en tant que leader apparent pour mieux s’imposer en éminence grise, en chef d’orchestre discret mais omniprésent du chaos mondial. Un soutien zélé de Zelensky, un garant de toutes les guerres qui doivent embraser le monde. (Sans oublier Modi, Lula … et d’autres qu’il étreint de son « fluide glacial » qui les envoûte.)
Dès le 8 octobre 2023, il fut le premier à apposer sa signature, aux côtés de Biden, Meloni, Scholz et Sunak, sur une lettre offrant une caution morale aux représailles israéliennes. Un feu vert diplomatique et symbolique : rasez Gaza, anéantissez la résistance palestinienne, avancez vos pions sans retenue. Une déclaration d’intention qui dépasse le simple cadre géopolitique : en signant ce document, la France s’est une fois de plus soumise à un ordre qui n’est pas le sien, asservie à une dynamique qui la dépasse, enchaînée à un agenda mondialiste qui avance sous couvert de pragmatisme, de laïcité et d’humanisme dévoyé. Derrière les principes affichés, c’est une autre logique qui s’impose, celle d’un monde où les nations ne sont plus que des pions, où la souveraineté devient un mirage, où tout doit se soumettre à une vision qui ne dit pas son nom mais dont les effets sont bien réels.
Et au cœur de ce programme, une cible privilégiée : l’enfance. Car dans cette dynamique de dissolution des peuples et des identités, c’est d’abord sur les plus vulnérables que se concentre l’assaut. L’école, autrefois sanctuaire du savoir et de l’élévation, devient un laboratoire où l’on inculque non plus la culture et l’histoire, mais la confusion et la soumission. L’éducation nationale ne transmet plus, elle déconstruit. Sous prétexte de modernité et d’inclusivité, la pornographie s’y insinue, banalisée, voire promue, préparant les esprits à une acceptation progressive de l’inacceptable.
Parallèlement, les scandales de pédopornographie se multiplient. Et si ces affaires ne sont pas ouvertement encouragées, elles ne sont jamais sévèrement sanctionnées. Un laxisme qui ne doit rien au hasard : il est la porte ouverte à une transgression encore plus abjecte, la damnation suprême, celle de l’inceste pédophile. Ce n’est pas un accident, mais une trajectoire, une pente savamment aménagée pour mener l’humanité vers un point de non-retour. Car un peuple qui ne protège plus ses enfants, qui tolère qu’ils soient pervertis, abusés, sacrifiés sur l’autel du progressisme ou d’un prétendu éveil des consciences, est un peuple qui a déjà renoncé à lui-même.
Ainsi, la France paie déjà le prix fort de cet abandon. Son effacement sur la scène internationale ne fait que refléter son effacement intérieur. Et ceux qui tiennent les rênes, qui avancent masqués mais laissent des traces, savent parfaitement où ils mènent ce pays : vers un monde où plus rien ne lui appartient, ni sa souveraineté, ni son identité, ni même l’innocence de ses enfants.
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Le pays est entraîné dans un abandon au profit d’un agenda mondialiste sataniste ou khazarien (c’est pareil) dont il paie déjà le prix fort. Nous ne sommes plus grand chose … mais lui, Macron en binôme, rêve d’être TOUT pour nous tous.
Aparté
L’Allemagne, sous la férule d’Olaf Scholz, semble avoir été bien mal dirigée, précipitée dans une chute aussi brutale qu’inexorable. Scholz, loin d’incarner la stature d’un leader visionnaire, s’est laissé emporter dans une posture de suiveur, presque docile, vis-à-vis de Macron. Ce dernier, avec son volontarisme affiché et ses ambitions (en apparence) européennes, a su imposer son tempo, et Scholz, au lieu de défendre les intérêts de son pays, s’est contenté de marcher dans son sillage. Cette faiblesse s’est illustrée de manière criante après l’attentat contre Nord Stream, un sabotage qui a frappé au cœur l’économie allemande et son approvisionnement énergétique. Là où un dirigeant résolu aurait exigé des réponses, aurait cherché la vérité pour protéger son peuple et son industrie, Scholz a choisi le silence, ou pire, l’inaction. Plutôt que de confronter les responsables – ou du moins d’éclaircir les zones d’ombre – il a persisté dans une politique antirusse, misant contre Moscou et, par ricochet, contre les intérêts vitaux de son propre peuple. Ce choix, dicté par un alignement aveugle sur Macron et les injonctions de l’Occident, a aggravé la vulnérabilité d’une Allemagne déjà fragilisée.
Scholz n’aura été un gage de succès ni pour lui-même, dont le bilan s’annonce comme un échec retentissant, ni pour l’Allemagne, qui voit son étoile pâlir à une vitesse alarmante. Hier encore, ce pays était une puissance fière, un colosse industriel dont les prouesses techniques faisaient l’admiration du monde entier, y compris de la Chine, cette géante économique qui regardait avec envie les usines allemandes et leur savoir-faire inégalé. L’automobile, la chimie, la mécanique de précision : autant de fleurons qui portaient haut le drapeau noir-rouge-or. Aujourd’hui, cet héritage s’effrite, miné par des choix politiques désastreux, une dépendance énergétique mal gérée et une soumission à des agendas étrangers. L’Allemagne n’est plus qu’un clochard en devenir, un titan déchu dont les rues, jadis prospères, résonnent désormais des échos d’une crise économique et sociale. Et son peuple ? Incapable, semble-t-il, de se dresser contre cette dérive. Les élections de la veille, tenues le 23 février 2025, ont révélé une apathie électorale sidérante, comme si les Allemands, autrefois prompts à défendre leur modèle, avaient abdiqué face à un destin qu’ils ne maîtrisent plus.
Et que dire des attentats qui, ces derniers jours et semaines, secouent l’Europe, notamment la France et l’Allemagne ? Ces actes, loin d’être des éclairs dans un ciel clair, s’accumulent comme des signaux faibles, des murmures inquiétants d’une tempête à venir. En France, les mois récents ont été marqués par une série d’attaques qui rappellent la fragilité d’une nation déjà éprouvée ou des faux drapeaux pour attiser la haine. En Allemagne, la situation n’est pas moins alarmante : l’attaque au couteau sur un marché de Noël à Magdebourg en décembre 2024, qui a fait plusieurs victimes, a ravivé les fantômes du terrorisme islamiste, tandis qu’un attentat à la voiture-bélier à Berlin, quelques semaines plus tôt, a souligné la vulnérabilité d’une société en perte de repères. Ces actes ne sont pas de simples coïncidences, mais les symptômes d’une montée en tension orchestrée, un échiquier où les pions sont déplacés par des mains invisibles. Ils trahissent une préparation insidieuse des peuples à bien pire, sous la coupe des états profonds des « grandes démocraties ». Avec leurs médias complices, qui minimisent ou détournent, (ou l’écart inverse !) et leurs partis politiques alignés, ces forces obscures tissent une toile où l’Allemagne, fragilisée par un Scholz hésitant et suiveur, devient un pion sacrifiable. Nord Stream, ce sabotage énigmatique de 2022, n’était qu’un prélude, un avertissement brutal que l’Allemagne, jadis maître de son destin industriel et énergétique, est désormais livrée à des dynamiques qu’elle ne contrôle plus. Je ne sous estime pas l’effet délétère sur ce pays des politiques environnementales qui ont peut être les empreintes d’acteurs comme les ONG Soros et USAID, pour promouvoir les leviers politiques et médiatiques de cette dégénérante, y compris le wokisme et la lâcheté.
Pendant ce temps, un autre scandale secoue les coulisses du pouvoir en France : l’affaire « Becoming Brigitte ». Relancée en janvier 2025 par la commentatrice américaine d’extrême droite Candace Owens, elle ravive une vieille rumeur conspirationniste selon laquelle Brigitte Macron serait née homme sous le nom de Jean-Michel Trogneux. Dans des vidéos visionnées des millions de fois, Owens s’appuie sur des théories qui, loin de paraître de plus en plus absurdes, s’inscrivent dans une trame plus large, suggérant que les Macron seraient au cœur d’une machination d’ampleur diabolique.
En France, cette (fausse) « fake news » s’est propagée dès 2021 sous l’impulsion de Natacha Rey et Amandine Roy, avant d’être reprise et approfondie par l’immense journaliste d’investigation Xavier Poussard. Grâce à son travail, la lettre Faits & Documents est passée de l’anonymat à la notoriété, malgré son exil en Italie. Mais c’est surtout outre-Atlantique que cette rumeur a connu une résurgence spectaculaire, amplifiée et orchestrée avec une précision troublante.
Loin d’être un simple phénomène conspirationniste, cette offensive médiatique semble répondre à une nécessité stratégique : freiner une ascension jugée trop rapide, trop dangereuse. Macron n’est pas un président affaibli qu’on voudrait abattre, mais un homme devenu si puissant qu’il inquiète jusque dans les cercles les plus influents du pouvoir mondial. Il ne s’agit plus seulement de l’attaquer, mais de créer des fissures dans l’édifice du pouvoir français, d’y introduire des failles capables d’entraver sa montée en puissance.
Car pour la première fois dans l’histoire moderne, un homme détient entre ses mains une puissance nucléaire absolue, sans opposition politique, syndicale ou médiatique véritable. Il est un chef sans partage, pouvant déchaîner des forces que nul avant lui n’a contrôlées avec une telle liberté. Face à cette concentration inédite de pouvoir, certains estiment qu’il faut agir avant qu’il ne soit trop tard.
Becoming Brigitte (de Candace Owens) n’est alors qu’un prétexte, un écran de fumée pour détourner l’attention du véritable enjeu : la bataille pour le contrôle ultime d’un pouvoir qui, s’il venait à s’affranchir de toute contrainte, pourrait réveiller des forces infernales. Ce qui se joue ici dépasse la simple polémique. C’est une lutte pour l’équilibre du monde. La danse finale du bal des Vampires ou la porte ouverte vers leur règne insoluble, dans un bain de sang et d’âmes consumées, pour l’éternité ! (N’ayez pas peur le bien gagne … les 5 fantastiques sont placées par Dieu pour cela, et nous sommes nom feux à les soutenir)
En outre, au sommet d’une Europe vacillante, Macron semble avoir tout anticipé, ou du moins s’en accommoder avec une froideur calculée. Il n’est pas un pantin, mais l’élu de certains, ceux qui ont préparé son ascension avant de perdre le contrôle de leur « bête de l’événement » et de son binôme. Et lui, stratège implacable, règne plus que jamais sur les ruines d’une vieille Europe et d’un monde plus volcanique que jamais, au sein duquel tout le monde doute de tout le monde. Les scandales personnels – qu’il s’agisse des rumeurs sur sa femme ou des affaires de son entourage – glissent sur lui comme des ombres sans substance. Les déboires de son énième Premier ministre, empêtré dans des affaires de favoritisme ou de corruption, ainsi que ses silences sur Betharram, ne font que renforcer sa mainmise.
Face à cette crise, Macron s’apprête à dégainer l’article 16 de la Constitution française, un outil d’exception qui lui conférerait des pouvoirs quasi absolus en cas de « péril grave et imminent ». Il peut compter sur Richard Ferrand, désormais président du Conseil constitutionnel, promu grâce à une alliance tacite avec le Rassemblement National – ironie pour un homme qui se voulait rempart contre l’extrême droite. À cela s’ajoute la loi de programmation militaire votée à l’été 2023, qui renforce les capacités de surveillance et d’intervention de l’État, un arsenal prêt à être déployé pour museler toute dissidence.
Macron poursuit ainsi son ascension, noire, méthodique, implacable. Il n’est plus seulement cet Antéchrist esquissé sur le papier glacé de son portrait officiel, sourire énigmatique aux lèvres ; il devient un diable en puissance, un dictateur en devenir à la tête d’une nation nucléaire vieillissante, mais encore capable de semer le chaos à l’échelle mondiale.
Cette trajectoire n’a rien d’un hasard : elle est entièrement eschatologique, depuis la date et le lieu de naissance d’Emmanuel Macron jusqu’au nom de ses chiens et à l’identité de celle qui semble être « sa femme ». De son enfance à sa scolarité, en passant par son passage au sein de la Maison Rothschild, son entrée en politique et son ascension fulgurante jusqu’à son élection en 2017, tout semble suivre un fil inéluctable. Il n’a pas simplement marché vers le pouvoir, il a volé, tel une météore incandescente, propulsé par un mouvement créé de toutes pièces et par la destruction méthodique de celui qui, en temps normal, aurait dû l’emporter : François Fillon.
Depuis, sa gestion autoritaire des crises – des Gilets jaunes au Covid, en passant par la guerre en Ukraine, les tensions au Proche-Orient et contre l’Iran – confirme qu’il dépasse largement la simple figure politique. Il incarne un pouvoir qui transcende les institutions classiques, un homme qui a su utiliser à son profit les rouages d’un système pourtant censé l’écraser. Banquier devenu roi, il dissimule derrière ses discours sur l’Europe et la démocratie une ambition dévorante.
L’affaiblissement de l’Allemagne, la désunion de l’Europe, la multiplication des attentats – autant de prétextes servant une dynamique qui semble toujours jouer en sa faveur. Comme si chaque chaos, loin d’être un obstacle, devenait une marche supplémentaire vers son apogée. Mais jusqu’où cette ascension peut-elle le mener ? Et surtout, à quel prix pour une humanité déjà à bout de souffle ?
Mais son rôle ne s’arrête pas là. En Syrie, la France a toujours œuvré pour renverser Assad, finançant en sous-main des groupes terroristes qui, hier encore, égorgeaient des innocents. Aujourd’hui, ces mêmes individus, jadis traqués, sont accueillis en grandes pompes dans les chancelleries occidentales.
Macron avance masqué, mais jamais sans laisser des traces. Chaque image, chaque phrase, chaque geste qu’il consent à inscrire dans l’histoire le sont avec une minutie calculée, non pour se livrer, mais pour s’assurer que le pacte qu’il impose à l’humanité est accepté en connaissance de cause. Car c’est bien ainsi que procèdent ceux qui se considèrent au-dessus du commun : ils agissent dans l’ombre mais laissent derrière eux les indices nécessaires pour que, plus tard, lorsque l’irréversible sera accompli, nul ne puisse dire qu’il n’avait pas été prévenu. Un consentement arraché non par la clarté, mais par la ruse et l’ambiguïté.
En février 2022, la guerre en Ukraine éclate, mais dès le début de 2021, Macron s’affairait déjà à Moscou, multipliant les visites sous prétexte de diplomatie. Pour ceux qui se contentent des apparences, il voulait la paix, il tentait de raisonner Poutine, il plaidait pour la désescalade. Mais l’histoire récente prouve que ce n’était qu’un simulacre. Car derrière le masque de la conciliation se cachait une obsession : celle d’un affrontement inéluctable avec la Russie, perçue non comme un simple adversaire, mais comme un ennemi juré. Poutine ne s’y est pas trompé : il savait qu’en face de lui ne se tenait pas un naïf, mais un stratège du chaos, un de ces hommes qui ne se salissent jamais les mains directement, mais dont les décisions sèment la guerre sous couvert d’humanisme et de principes creux.
Attablé derrière une table de dix mètres, entouré de mages yakoutes pour le protéger, le président russe l’a senti dans sa chair : face à lui, ce n’était pas un simple exécutant, mais un véritable architecte. Ukraine, Syrie, Liban, Palestine : partout où les flammes s’élèvent, l’ombre de Macron se dessine, discrète, insoupçonnable pour le commun des mortels, mais bien tangible pour ceux qui savent regarder. ils disposent des codes, du sens des chiffres, des dates et des images truquées ou non, l’inversion et le travestissement sont sa religion. Ce n’est pas un hasard si la France, sous son règne, se tient toujours près de l’incendie, jamais du seau d’eau. Les forces invisibles qu’il incarne ont allumé bien des brasiers avant lui, et il ne fait que prolonger leur œuvre, veillant à ce que le pacte soit scellé – non dans l’aveuglement, mais dans une complicité résignée.
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Parce que cette fois, la tempête ne sera pas que médiatique, voilà ce qui se passe, cette fois ça pourrait changer, alors que jusqu’à la les adorateurs du diable gardaient le contrôle :
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