7 Commentaires

Cher Bertrand, d accord avec toi à la virgule près.

Oui il n y a plus rien à trouver de bon, dans notre empire du mensonge. L espoir se leve à l Est, avec Vladimir Poutine, le camp des rebelles. Mais l espoir se leve aussi à l Ouest avec Donald Trump et son equipe avec le vote de ce peuple americain.

Par contre, les tenebres sont sur l Europe, sur nous, notamment du fait que l antechrist regne chez nous en la personne de Macron et sa clique, une clique qui soit dit en passant nous dirige depuis 55 ans, 55 ans de dilapidation du pays en bande organisee, politique, mediatique, syndicale...

Mais comme il parait que le dernier à être informé est toujours le cocu, tant que nous français n auront pas mesure notre degré de soumission au diable, Europe et Covid sont de parfaits exemples, celui ci a de beaux jours devant lui. Combien il est dur de sortir de la caverne de Platon.

Alors, la branche de la tentation avec Macron ou la branche de la passion avec Poutine? Telle est effectivement notre choix Bertrand

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Aussi diabolique et maléfique soit-il, Macron n’est pas l’Antichrist, par contre il travaille ardemment pour sa venue, car l’Antichrist est bien pire que Macron, Netanyahu et consort réunis, il aura la capacité de charmeur le monde et de se montrer tel un Messie alors que ces ordures sont ouvertement répugnants et un bon ordre les détestent, il ne peut donc pas être l’antichrist car il est facile de le détester et de lire le mensonge dans ses yeux . Ils ne sont eux même que des sbires qui au Jour du Jugement croupiront dans les plus basses sales de l’enfer, et ce pour l’éternité, non pas pour quelques mois quelques années comme certains le pensent, mais bel et bien l’éternité à souffrir de la façon la pls atroce pour avoir servi le Mal. Et j’ajouterai que les fantastiques que vous cites, ne sont que des objets couverts de feuilles d’or, brillants à l’extérieur mais l’intérieur n’est qu’une vieille ferraille. Tous ces gouverneurs sont adorateurs du diable et roule pour la même maison. Ne soyons pas dupe, car c’est ce qu’espère l’antichrist, nous faire croire à un messie avant même qu’il ne vienne, pour nous tromper!

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Nous ne sommes pas encore assez nombreux à prendre la mesure de ce qui se joue en France, même si les consciences s'éveillent en partie ; mais la qualification du binôme tourne encore trop souvent autour du ridicule et du narcissique. Le travail qui reste à faire est important, mais chaque lettre opère et fait tranquillement son oeuvre salvatrice... Merci Bertrand !

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Cher Bertrand, encore un bel essai. qu'ajouter... J'ai eu la même intuition que vous il y a quelques années : c'est une guerre entre Dieu et Satan. Cette intuition, je l'ai eu en lisant un texte de Jean de Chrysostome sur Satan. Macron n'est pas l'Antéchrist. Macron fait partie de l'Antéchrist. L'Antéchrist est un système...

Bien à vous et prenez soin de vous.

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Pyramide avec l’œil rouge au dessus ; intervention avec un t-shirt logo du hiboux bohémien club , retiré des mon tweet …

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N'oublions pas que la pensée est créatrice et que nous ne sommes affectés que par nos pensées." Donc changer et échanger chaque pensée de peur contre une pensée heureuse d'amour; Le plan de Dieu est que Son Fils bien aimé sera rédimé "(UCEM)

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7dModifié

Ces lignes visent à commenter la « courte vidéo qui aide à comprendre ce qui se passe autour de Macron », appuyée sur la chanson « Lügen ».

La chanson du groupe Rammstein « Lügen » est scindée en deux types de séquences qui alternent : une partie « récitatif » qui évolue vers une frénésie inquiète ; une partie « cri » répétée en refrain avec des variations. Une structure souple courante dans la chanson, mais qu’on trouve déjà chez Schubert.

Ce qui est extraordinaire dans cette vidéo, c’est d’avoir collé minutieusement — vers par vers — au message transmis par les paroles et la musique, image par image à chaque instant différente ; message lui-même à la fois caustique et distancié ; tandis que les images persiflent la cible (EM) par une série de photos et de dessins qui renvoient tous au titre : Lügen / mensonges.

Noter qu’en allemand « L/lügen », c’est à la fois le pluriel de mensonge (die Lüge, pluriel die Lügen) et le verbe mentir à l’infinitif : lügen ; les paroles jouent constamment sur cette identité sémantique.

Une musique douce, en prélude, résonne en notes claires, ascendantes avec de grands écarts variés. Cette séquence demeurera sous-jacente durant toute la chanson, comme étant la tromperie originelle.

Sur les premières images de la vidéo apparaît le portrait officiel de Macron : une figure à l’expression inquiétante, en dépit du fond de jardins verdoyants, contredit l’onctuosité de la musique. L’étrangeté saute aux yeux : la dissymétrie du visage, l’image renversée en forme de chauve-souris, animal nocturne. On est d’emblée dans l’inversion, le maléfice. Sur chaque note, des fragments de portraits parcourent l’écran comme si cet être était insaisissable.

Les paroles de la première séquence évoquent d’abord la vie de couple : le romantisme du début, puis le quotidien rangé, tranquille d’un homme fidèle.

Une voix doucereuse, monocorde, en un récitatif parlando crée le recul vis-à-vis de la vision idéale formulée. Sorte de neutralité apparente exprimée par la présence de verbes à l’infinitif. Comme si l’homme décrit n’était pas vraiment concerné. Vision distanciée de cette vie parfaite de couple uni. Cette voix est trop envoûtante pour être sincère. Comme une contrefaçon : le moi est absent, sauf une fois à la forme négative (« je ne jure jamais »).

Le texte est au premier degré. Le chant est au second degré. Les images, elles, sont au troisième degré : la dérision y est omniprésente.

Sur les premières photos, on voit un couple factice, masquant une mystification jamais avouée ; un couple postiche : iel et un mineur. Avec de la mise en scène constante : la plage, la prairie, les enfants ; détournement même du romantisme allégué dans les paroles. Puis la comédie du pouvoir, la maîtrise du monde par la destruction (le « projet »), démentie à la fin par la domination par plus puissant que lui (Trump).

Plus précisément : le simulacre d’un état de nature avec des corps dépouillés, un vernis vendu dans les revues glamour au papier glacé (la plage) ; en guise de contemplation d’étoiles : des présidents débraillés, les yeux exorbités, les corps complices, collés l’un à l’autre ; en guise de prairie, la mascarade dans les jardins de l’Elysée avec de minables amuseurs ; en guise de promenade sous la pluie, l’effigie d’un corps raide, immobile, sous un déluge pour une revue de troupes.

Vient, dans la chanson, avec cette voix toujours charmeuse, la vie quotidienne de bien-pensants écolos (on ne mange pas gras), tandis que l’image démentit et appelle la consommation de substances. La voix continue de se vouloir rassurante, tout est gentillet, pourtant les images dénoncent : un peu de fun (le foin) décèle un discours de corruption, écouter — par convention — de la musique classique renvoie, dans les images, à la fête de la « musique » avec un groupe rock déjanté de trans. L’amour-toujours, mais les mariés sont flous. Les enfants exposés lors d’une célébration sont les enfants de qui ? Le doute s’introduit.

On fait de la poésie et on pense beaucoup dit la voix. « Viel Dichten und Denken » en allusion railleuse à cette formule qui prétend caractériser l’Allemagne : « Das Land der Dichter und Denker / Le pays des poètes et des penseurs. » Tandis que, comble de l’ironie, l’image montre un corps aux biceps gonflés par photoshop, s’entraînant à la boxe contre un sac de frappe. La personne de valeur : c’est Schwab, et la grand-mère n’est autre que Jacques Attali ! Apogée du sarcasme.

A vrai dire, dans la chanson, malgré le fard du bonheur et de la perfection, entre les strophes de la première partie, la musique grince. Parallèlement, l’image du couple équivoque tressaille, tressaute.

Puis c’est le cri, le voile qui se déchire. Car tout cela n’est qu’apparence : « mensonge ». Duperie générale d’abord, puis avouée par le « moi » qui parle et se détruit dans la haine de soi car nul n’a plus confiance. Le rythme musical se fait plus ample (6/8 ?), comme pour étaler la vérité.

De plus, au moment où il s’agit de confesser, la voix est distordue par l’autotune, les mots grésillent, presque incompréhensibles ; comme si la personnalité se dédoublait et que l’autotune déformant était un masque utile quand il s’agit de cesser de mentir. Une voix synthétique — en une expérimentation créatrice — tout en étant par elle-même mensonge, révèle paradoxalement la vérité. Cette voix dénaturée figure aussi, en forme de métaphore, les doutes, les frustrations, le sentiment de défiance de tous, y compris de lui-même.

Les images, elles, se succèdent, rapides, dévoilant la réalité : le maléfice des destructions (bombardements, incendie de Notre-Dame) ; le projet fallacieux engendrant la dette et l’esclavage du peuple ; le narcissisme du psychopathe qui se hait dans un miroir ; l’escroquerie du vaccin, le saccage de l’agriculture. Tout débouchant sur la figure du diable rendue instable, chancelante (la grande table) au rythme d’une batterie à un temps. L’image est ébranlée, saisie dans la musique par des vibrations troublantes.

Quand revient le parlando invoquant, en transe, une fin dramatique car l’artifice est démasqué, ce sont des portraits mythiques qui surgissent : Saint Georges tuant le dragon dans la lutte du Bien contre le Mal ; Faust signant auprès de Méphisto le pacte de jouissance éternelle avec son sang : l’abandon des valeurs spirituelles et morales en échange du sang ! La vieille invitation (fable de La Fontaine) à ne pas se laisser leurrer. Et finalement malgré les impostures, la confrontation à un puissant condescendant (Trump !).

Mais la sniffe constante tourmente encore le nez, et ronge le corps et l’âme quand les paroles ressassent en boucle l’enfermement dans la défiance destructrice du moi et que la musique devient répétitive. La vérité sortira-t-elle ? La chanson s’achève sur une note aiguë, sans résolution, pareille à une interrogation ; tandis qu’en image consolatrice apparaît la figure du Christ rédempteur.

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