Comme il se doit, pour son pacte, il dit et montre tout, mais il sait aussi instiller le doute en nous, détourner nos attentions par des diversions subtiles ou vicieuses. il ne faut rien négliger SVP
Le sport m'intéresse peu, mais je regarde tout de même généralement les épreuves de gymnastique artistique, le basket, la natation parfois... Cette fois, je n'ai rien voulu voir. Ces JO ont été d'emblée placés sous de si sombres voire lugubres auspices que j'ai préféré les ignorer. La confusion des genres (à tous les sens du terme), l'offense inaugurale au croyants, la vulgarité érigée en art de foire, les enfants entraînés en barque aux enfers, la violence faite aux femmes, l'eau fétide où l'on a précipité les athlètes, le sourire satanique de l'ordonnateur dispendieux, les mensonges d’État, la déliquescence de tout, m’ont complètement détournée de ce simulacre olympique. Quant à la "trêve", vous l'avez dit, elle ne fut que l'occasion de terrorisme otanien et de massacres incessants à Gaza. Je ne veux rien savoir non plus de la clôture qui ne sautait démériter du reste. Tout cela m'évoque un film américain des années 30, "Freaks" de Tod Browning (1932): un cirque, des êtres d'apparence monstrueuse mais au grand cœur, et d'autres apparemment beaux mais sans cœur, et dont l'âme, profondément monstrueuse, est damnée. Ce chef-d’œuvre a été diffusé en France sous le titre "La monstrueuse parade". C'est ainsi que je vois ces JO: une très monstrueuse parade.
Bonsoir Bertrand.
Le sport m'intéresse peu, mais je regarde tout de même généralement les épreuves de gymnastique artistique, le basket, la natation parfois... Cette fois, je n'ai rien voulu voir. Ces JO ont été d'emblée placés sous de si sombres voire lugubres auspices que j'ai préféré les ignorer. La confusion des genres (à tous les sens du terme), l'offense inaugurale au croyants, la vulgarité érigée en art de foire, les enfants entraînés en barque aux enfers, la violence faite aux femmes, l'eau fétide où l'on a précipité les athlètes, le sourire satanique de l'ordonnateur dispendieux, les mensonges d’État, la déliquescence de tout, m’ont complètement détournée de ce simulacre olympique. Quant à la "trêve", vous l'avez dit, elle ne fut que l'occasion de terrorisme otanien et de massacres incessants à Gaza. Je ne veux rien savoir non plus de la clôture qui ne sautait démériter du reste. Tout cela m'évoque un film américain des années 30, "Freaks" de Tod Browning (1932): un cirque, des êtres d'apparence monstrueuse mais au grand cœur, et d'autres apparemment beaux mais sans cœur, et dont l'âme, profondément monstrueuse, est damnée. Ce chef-d’œuvre a été diffusé en France sous le titre "La monstrueuse parade". C'est ainsi que je vois ces JO: une très monstrueuse parade.
Marie-Hélène