Ce gouvernement Bayrou, c'est le festin de l'Apocalypse, une eucharistie de la fin des temps. On y sert des plats réchauffés, des ingrédients corrompus, et des recettes de la damnation … à suivre ?

La vraie puissance derrière le trône, c'est elle, Brigitte, qui a le pouvoir de vous faire passer une nuit en cellule juste pour avoir dit un mot de travers sur X, et on est juste en 2024. Le pire …

Je ne voulais pas en parler, mais finalement comment résister ?

Le nouveau gouvernement Bayrou : un carnaval politique ou un mauvais remake des « 12 salopards » ou des « morfalous » à moins que ce soit «délivrance » ou « Emmanuelle » ?

Ah, le gouvernement Bayrou ! Rien que son annonce a suffi à faire frémir les plus endurcis des observateurs politiques. Au début, j’ai voulu rester loin du brouhaha et observer, même si certains noms m’ont fait frémir, sans doute moins que lorsqu’ils rentreront en action.

Finalement, ne manque que Dupont-Moretti et feu Frédéric Mitterrand ou l’inénarrable Marlène Schiappa; mais ce n’est peut-être que partie remise.

Ce casting digne du Loft ou de Secret Story n'est pas une équipe gouvernementale, c'est un tableau de chasse aux pachydermes et autres mutants de la vie politique française, qu’on ne regrettait pas. Une collection de figures déchues, de vétérans désavoués, et de “héros” démodés rappelés pour un dernier tour de piste. Car après eux, Macron jubilera des pleins pouvoirs et pourra se dire avec son binôme que décidément, il est temps d’en finir avec les « humains crétins »... C’est comme si la politique française avait décidé de jouer au bingo des revenants politiques... et qu’elle avait gagné le jackpot des pires combinaisons possibles. Mais ici, ce sera à qui croit gagner perd... et qui croit perdre à raison.

Regardons cette distribution avec attention :

Élisabeth Borne, rescapée d’une épopée gouvernementale marquée par une rigidité légendaire et des réformes qui ont laissé le pays aussi secoué qu’après une nuit en pleine tempête. Une technocrate dans l’âme, capable de défendre l'indéfendable avec un calme glaçant. Si Borne est à l’écoute, c’est probablement pour entendre l’écho de ses propres décisions. Que dire d’autre ? Certains évoquent qu’elle va enfiler un costume de maîtresse, en cuir moulant, et pour le moment n’a pas sorti le fouet, pour apprendre aux enfants les bienfaits du sexe dans un monde woke lgbtq+; et quid de la poudre de synthèse et des injections à l’école ? C'est l’apocalypse pédagogique, où l'éducation devient un prétexte à l’endoctrinement des pires théories possibles, bien loin des repères de nos ancêtres, qui doivent amèrement regretter d’avoir fait certaines guerres ?

Manuel Valls, le retour du messie auto-proclamé. L’homme qui a passé plus de temps à changer de postes (et d’opinions) qu’à résoudre les problèmes des Français. Le symbole vivant de la phrase : “La fin justifie les moyens.” Valls, c’est la fusion improbable entre un boomerang et une anguille : il revient toujours, mais on ne sait jamais comment. Ce sera douloureux de voir son visage sur les photos officielles pour tous ceux qui rêvaient d’un Poste de Ministre d'État. Car finalement, il était devenu, pour beaucoup, le symbole du pire et du plus risible de tous ceux qui ont œuvré et manœuvré depuis 50 ans au destin de notre pays ? Bref, il est vraiment le super épouvantail du poulailler ! Comme les Espagnols qui ne l’ont pas encore oublié (peu certainement) doivent se marrer !!! Décidément la France ne sait recycler que … je vous laisse compléter car seuls de mots terribles me viennent à l’esprit et j’ai déjà assez de 35h de garde à vue !

Gérald Darmanin, l’homme aux casseroles si nombreuses qu’il pourrait ouvrir un magasin d’ustensiles de cuisine. Avec lui, chaque conférence de presse ressemble à un épisode de Affaires non classées. Mais attention, il a la peau dure et un sourire en coin capable de faire passer un nuage de scandales pour une légère brume matinale. Maintenant qu’il est gardé des sceaux, il est improbable que les affaires le chatouillent, les parquets en feront leur affaire ? C'est un signe annonciateur de la fin des temps, où les lois se plient aux intérêts des damnés. Il est certainement là pour faire la peau à Bardella, qui lui ressemble (?). Marine le Pen regrettera peut être Xavier Bertrand … qui a pleuré depuis sa désillusion des litres de larmes. Il est à Valls ce que Poulidor était à Anquetil ! (J’essaye d’être drôle pour ne pas pleurer … qu’elle bouffonnerie ! Et certains lisent encore les bonnes pages du Monde, qui ne sont là que pour magnifier encore plus le Tyran de la Lanterne)

Je n’ose rien écrire sur Retailleau, chat échaudé craint les menottes ! Et encore moins écrire au sujet des autres, qui ne sont que des variables d’ajustement avant la guerre civile, en France, qui verra briller le Cornu de ses yeux de feu. Je note que Dati a conservé sa place, il reste certainement encore des monuments à consacrer à Lucifer, comme si Notre-Dame et ses vitraux remplacés et son lustre maquillé ne suffisaient pas ?

De toutes façons, tous les noms choisis ne servent qu’à créer la zizanie et à diviser dans leurs propres partis et à marginaliser le RN et LFI au rang de paillasson de la République, alors qu’ils ont recueilli la plupart des votes...

Mais, finalement ci … dans un esprit loin de celui de Noël (sauf si on considère qu’il s’agit de boules de neige), voilà avec cynisme et humour noir ou espièglerie un peu de la suite de ce portrait « vérité» :

Retailleau, le Gardien chiourme des Portes de l'Enfer

Ah, Retailleau ! Ministre de l'Intérieur, le grand maréchal des fers et des menottes, celui qui a la clef de votre avenir en garde à vue. On dit que sous sa direction, la France est devenue une prison à ciel ouvert pour tous ceux qui osent penser différemment. Mais chut, je n’en dirai pas plus, car les murs ont des oreilles et les menottes, elles, ont une mémoire d'éléphant.

Et un clin d’œil à Brigitte Macron, la Gardienne des Secrets

La vraie puissance derrière le trône, c'est elle, Brigitte, qui a le pouvoir de vous faire passer une nuit en cellule juste pour avoir dit un mot de travers sur X. On pourrait dire qu'elle est la gardienne des secrets, mais aussi des vengeances personnelles. Une plainte déposée par elle, et hop, vous voilà en train de goûter à la cuisine de la PJ de Paris et pas juste quelques heures, ce qui serait déjà trop, mais 35h, donc une nuit entière … et pas seul sur la paillasse crasseuse la tête en bordure de «chiottes » turques !

Le Cornu, Émissaire de l'Apocalypse

Et que dire de ce Cornu, ce ministre de la Défense, qui semble être un peu moins que ce nom, mais certainement un peu trop aussi, je vois des Cornus partout, dans la poudrière mondiale actuelle. Mais est il plus qu’une marionnette de plus dans ce gouvernement ? Avec lui, on ne défend pas, on prépare la guerre civile. Chaque action de ce gouvernement semble être une allumette jetée sur un tas de poudre, attendant l'explosion qui fera de la France un nouveau champ de bataille.

Dati, est elle devenue la Prêtresse des Ténèbres ?

Rachida Dati, toujours là, éternelle, comme la maîtresse des cérémonies pour rebâtir et réinventer des monuments à la gloire de Macron Lucifer. Elle a survécu à tous les changements de gouvernement, peut-être parce que c'est elle qui prépare la plume de celui qui signe les contrats avec les forces infernales. On la voit toujours avec son sourire énigmatique, comme si elle savait exactement quand et comment la fin du monde va se produire. Qu’en pensent les vitraux et la couronne d’épines ?

Finalement, on dirait presque qu'ils sont tous là pour préparer le terrain à une guerre civile, où chaque citoyen sera contraint de choisir son camp.

Et ce n’est que le début. Le gouvernement Bayrou semble être un hommage non pas à la compétence, mais à la nostalgie. C’est comme si François Bayrou, ce centrisme personnifié, avait ouvert son carnet d’adresses et pioché au hasard dans les noms barrés depuis une décennie.

Alors, oui, en 2024, ce gouvernement n'est qu'un prélude à l'apocalypse, un feu d'artifice de politiciens corrompus, de décisions absurdes, et d'un cynisme si profond qu'il pourrait faire sourire les anges déchus.

Mais n'oubliez pas, cher lecteur, que dans ce monde où les puissants jouent avec nos destins, le silence est parfois d'or... surtout quand les menottes ne sont jamais loin.

Mais j’ai décidé de parler et je compte sur votre soutien, n’hésitez donc pas à prendre une formule d’abonnement payant ou tout autre moyen de m’aider à rester, avec vous, humain et libre.

Un gouvernement de trop

Mais ce n’est pas seulement une question de casting. Parlons de la taille de cette machine. C’est un mammouth administratif, une arche de Noé des politiques de tous horizons, sauf qu’ici, on ne sauve personne. À quoi bon un tel étalage ? À part pour remplir les fauteuils et les poches, bien sûr. Tout le monde a compris que sous Macron, ces gens ne servent à rien, même à moins que rien, à part coûter un argent que la France n’a plus.

En effet, avec un coût astronomique pour les contribuables, ce gouvernement est une insulte directe à tous ceux qui comptent leurs centimes pour boucler leur mois. J’en connais, car j’échange avec beaucoup d’entre vous, c’est pour cela que mes lettres et mes contenus sont gratuits. Je ne compte que sur ceux qui ont un peu de liberté financière pour m’accompagner dans mon métier de Journaliste Citoyen, mais j’aime échanger avec tous, sauf les vulgaires et les malfaisants. Mais revenons à cette mascarade; ce gouvernement pléthorique, c’est comme si, au sommet de la pyramide de Ponzi qu’est devenue la politique française, ces braves gens s’amusaient à ajouter des étages en or massif pour voir jusqu’où ils peuvent nous écraser.

Bayrou, chef d’orchestre ou figurant ?

Et que dire de Bayrou lui-même ? François “l’éternel candidat” est enfin sorti de sa grotte politique pour devenir le capitaine d’un navire qui prend l’eau avant même d’avoir quitté le port. Il en a rêvé, Macron a cru bon d’en faire le dernier chef d’un gouvernement Français, avant la dictature du Prince d’Andorre (couronné il y a peu à Notre-Dame de Paris et qui s’est assuré de tout nous annoncer dans son portrait officiel et lors des cérémonies des JO de Paris). « Dernier Premier Ministre avant la dictature » c’est un titre que personne ne lui enviera. La vision de Bayrou d’un gouvernement “au service du peuple” ressemble davantage à un mauvais sketch qu’à une déclaration sincère, mais il se sait tellement sur la sellette, qu’il ne veut pas lâcher sa mairie de Pau (l’autre rêve de cet éleveur de purs sangs), obtiendra t’il le cumul des mandats (?).

Il a choisi ceux qui préféreront mourir que de céder encore une fois la place, bref une vraie équipe de gladiateurs qui n’ont pas peur du sang, ni de tuer sous les applaudissements du public, ou plutôt de leur Grand Maitre.

Quand on est dans les ors de la République, en sortir, c’est comme retourner en prison, sans les barreaux, idem pour les gladiateurs, c’est victorieux pour rester dans l’arène, sinon en sortir, mais les pieds devant ? Peut-être pense-t-il que son rôle est d’offrir un comique de situation aux Français lassés par les drames. Mais dès que la trêve des confiseurs sera terminée, ces durs à cuire, immortels de la politique, vont nous montrer qu’ils ont été choisis pour faire péter la cocotte minute et créer une guerre civile qui fera passer Maidam (la fameuse révolution Ukrainienne) pour un récit de la bibliothèque rose.

Bref … après eux le chaos et un Macron, assumant en binôme, le pouvoir suprême ?

Quant à Macron, l’Ante Christ de la politique

Macron, l’ombre derrière ce tableau, semble avoir atteint le sommet de l’ironie. Jouant les Machiavel modernes, il tire les ficelles, mais pour quel résultat ? Ce gouvernement ressemble à une expérience sociologique grandeur nature : “Que se passe-t-il si on met ensemble toutes les personnalités politiques qui ont déçu les Français ?”.

Avec ce gouvernement, Macron prépare la piste pour son grand numéro final, une sorte de cirque macabre avant que tout ne parte en fumée, urbi et orbi. Entre-temps, se servira-t-il de l'article 16 de la Constitution comme d'un joker ou juste des petites friandises de la loi de programmation militaire de l'été 2023, qui regorge de tours de passe-passe sémantiques ? Avec ce texte, il pourrait se donner plus que les pleins pouvoirs, car il aura légalement le droit de nous manipuler, nous et nos biens, sans même avoir besoin d'aller taper à la porte de son vieux pote Fabius, au Conseil Constitutionnel.

Conclusion : un spectacle apocalyptique

Ce gouvernement Bayrou, c'est le festin de l'Apocalypse, une eucharistie de la fin des temps. On y sert des plats réchauffés, des ingrédients corrompus, et des recettes de la damnation qui n'ont jamais réussi à sauver un seul pécheur. C'est l'annonce d'une chute, un reflet des ténèbres qui s'emparent d'une classe politique déconnectée de l'âme de la France.

Oui, ce spectacle lugubre est captivant comme un sermon sur la fin du monde. C'est comme observer une cocotte minute prête à exploser, la France elle-même, sous la pression d'un gouvernement dont le seul but semble être de précipiter la nation dans une guerre civile, un cataclysme social orchestré par ceux qui devraient nous guider vers la lumière. Chaque ministre, chaque décision, est une pièce de l'horloge apocalyptique qui compte les secondes avant l'inévitable déflagration. On sait que ça va mal finir, mais on ne peut détourner le regard, hypnotisés par la danse macabre de ces politiciens. À quelle heure sonnera le glas ?

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Un conte de Noël : L'Armoire des Rêves

Il était une fois, sous un ciel étoilé de décembre, une famille remplie d'espoir et d'amour. Ils avaient décidé de vivre à la lumière de leurs rêves, entourés par la nature, et nourris par la bonté humaine. Leur maison était un havre de paix, où l'odeur des gâteaux de Noël se mêlait à celle des épices.

Ils avaient une armoire, simple mais chaleureuse, placée sous un toit couvert de neige, où ils déposaient le fruit de leur travail : des confitures aux couleurs de l'arc-en-ciel, des légumes frais comme une promesse de printemps, et des œuvres d'art faites de cœur par leurs enfants. C'était leur cadeau au monde, une invitation à partager un peu de magie de Noël, en demandant seulement une contribution symbolique, un geste de reconnaissance.

Mais un matin, après une nuit où le vent avait chanté des chansons de givre, ils trouvèrent l'armoire vidée de ses trésors. Rien n'avait été laissé en retour, pas même un mot de remerciement. Le cœur de la famille se serra, comme si le froid de l'hiver avait touché leur âme.

Pourtant, dans ce moment de déception, ils décidèrent de ne pas laisser la tristesse éteindre leur lumière. Ils se rassemblèrent autour du feu, priant pour la force de pardonner, et priant pour que le monde retrouve son chemin vers la générosité.

Le jour de Noël, ils remplirent à nouveau l'armoire. Ils y placèrent des pots de miel doré comme l'étoile du Berger, des biscuits en forme de bonhommes de neige, et une nouvelle aquarelle, cette fois ornée de flocons de neige scintillants. Ils laissèrent une note, écrite avec une encre qui brillait à la lumière des étoiles : "Joyeux Noël à tous. Prenez ce que vous voulez, donnez ce que vous pouvez. Ensemble, nous pouvons faire de ce monde un lieu où l'espoir vit éternellement."

Ce conte est un reflet de la vie, une leçon apprise à travers les désillusions et les joies. Il nous enseigne que même dans les moments les plus sombres, il y a une lumière à allumer, un espoir à partager. Comme cette famille, nous pouvons choisir de croire en l'humanité, de continuer à donner même quand nous avons été blessés.

Ainsi, au cœur de cette nuit de Noël, leur choix de continuer à faire confiance rappelle à chacun de nous que le véritable cadeau de Noël n'est pas ce que nous recevons, mais ce que nous donnons avec amour et espoir. Alors, que choisirez-vous ? De laisser votre lumière briller un peu plus fort, même dans l'obscurité de la déception ? Car c'est dans ce choix que réside la magie de Noël, l'espoir éternel de jours meilleurs.

C’est aussi avec cet espoir qu’ inlassablement je travaille comme journaliste citoyen LIBRE ET HUMAIN.

Ma production est comme cette armoire, quand vous vous servez, n’hésitez pas à laisser un mot ou une pièce, et même un billet ou un abonnement si vous pouvez vous le permettre. Après tout, c’est aussi Noël pour moi ;-)

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Pensez miel, partagez cette lettre avec votre famille et vos amis, les plus proches mais aussi parfois éloignés

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Netanyahu, Macron et Poutine : les maîtres de l’année 2024, dans le désordre

Alors que 2024 tire sa révérence, trois figures émergent en tant que gagnants incontestables : Benjamin Netanyahu, Emmanuel Macron, et Vladimir Poutine. Ce podium atypique est presque digne des Jeux Olympiques de la realpolitik. Chacun a excellé dans son domaine, que ce soit par des victoires militaires, des manœuvres politiques ou un usage magistral du « tout est sous contrôle ».

J’élargirai ce podium avec 7 autres, pour proposer la liste de mes 10 personnalités de l’année. Ainsi il y aura également, Xi Jiping, R Erdogan, Ben Salman, D Trump, E Musk, V Zelenski et Kim Jong

Mais ne crions pas au scandale pour ceux qui ont manqué la médaille et le top 10. Ursula von der Leyen, V Orban, Milei, Bill Gates, le Pape François, ou même les faiseurs de buzz comme Tucker Carlson et Joe Rogan, n’ont pas démérité. Leur tour viendra peut-être. 2025 est une autre année. En attendant, concentrons-nous sur notre podium d’exception.

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Voici le programme revu :

Humour noir et cynisme pour finir l’année ?

Mardi 24 décembre le n3 Netanyahu

Puis pour Noël le 25 décembre, « le gouverne ment … de la fin de la 5e avant la dictature … »

Le 26 les n4 et n5 / Le 27 les n6 et 7 / Le 28 les n8, 9 et 10

Le 29 pas de lettre / Le 30 le n2 / Le 31 le n1

Attachez vos ceintures et rejoignez mon SUBSTACK - ne m’en voulez pas si je ne tiens pas le rythme au milieu du reste ;-)

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En 2024, ces joyeux drilles ont transformé le monde en un cirque où les clowns sont au pouvoir et les acrobates se font bombarder. Bravo, messieurs, vous avez fait de la géopolitique un sport de combat.

1. Poutine : Réélu, car apparemment, la démocratie russe est aussi prévisible que le retour de l'hiver sibérien et qu’on ne change pas une équipe qui fait le job que le peuple attend. Il a réussi à garder son calme, face à toutes les provocations de l’Occident, y compris des attentats et assassinats à Moscou et plus récemment la perte de son allié syrien. Il est véritablement le seul et l’unique Tsar capable de sauver le Monde des hordes de vampires cannibales qui ont colonisé une grande partie de la planète bleue, qu’ils espéraient « transhumaniser » pépère, comme des pervers qu’ils sont !

2. Macron : Dissolution de l'Assemblée, changement de PM comme on change de chemise – et encore, avec moins de style, même s'il est de plus en plus souvent en chemise-cravate. Il a été la plus grande star du Monde plusieurs fois cette année en ouvrant et fermant les JO de Paris, et en transformant Notre-Dame de Paris en on ne sait quoi encore, mais il y est entré comme un roi avec son binôme entouré d’évêques déguisés en guignols. Il est toujours en binôme avec Brigitte, ensemble ils font couler beaucoup d’encre sur leurs histoires méconnues.

3. Trump : Réélu grâce à des tweets, prouvant que le monde est une farce et qu'Elon Musk est le clown qui tient les ficelles. Ou plus sérieusement, comment la démocratie américaine a pu tomber aussi bas qu’elle a été dirigée par une momie dont le fils est un drogué prête-nom qui a fait des milliards en Ukraine pour Papa, mais il est pardonné alors tout va bien. Il devra garder Elon Musk à ses côtés, s'il veut réussir, seul il retombera dans ses excès.

4. Netanyahu : Continue de bombarder Gaza, prouvant que la diplomatie, c'est juste un mot qu'on prononce entre deux attaques. Il mérite un titre de prince des ténèbres, même si personne ne l’a encore vu sucer le sang de ses nombreuses victimes vierges et innocentes les soirs de pleine lune. Est-il Khazars … ? Il a des ennemis bien plus puissants qu’il l’imagine, lui qui se pense tout-puissant avec son « droit de se défendre » et le joker de l’antisémitisme.

5. Musk : Finance Trump comme un super-vilain avec trop d'argent et pas assez de sens moral, ou l’inverse ?!?! Selon moi, il est un chef d’entreprise exceptionnel qui bouleverse la donne sur Terre, il apprend vite et bien, il va surprendre avec Ron Paul et Kennedy, de belles choses peuvent arriver des USA. Cependant, le marécage est profond et il a métastasé tous les USA de Washington à Los Angeles en passant par Seattle, Atlanta, Philadelphie, Chicago et New York. Il devra se méfier de ceux qui le jalousent.

6. Erdogan : Se réconcilie avec Sissi, parce que pourquoi se battre quand on peut s'unir pour faire chier l'Europe ? Se réconcilie avec Assad pour mieux le poignarder dans le dos (sans y parvenir physiquement) et envahir le Nord de la Syrie et jouer un double jeu avec tout le Monde, y compris avec lui-même. La Turquie continue à avoir des rêves Ottomans.

7. Zelensky : Supplie l'Occident pour de l'aide, mais avec Trump de retour, il se retrouve avec un soutien aussi solide que du flan. En même temps, le comique ukrainien est un adepte de la poudre, il se préoccupe surtout de sa retraite loin des t-shirts verts moulants et au milieu de gazelles blondes, aux jambes longues et à forte poitrine ; qu’il pourra amuser de sa vulgarité légendaire. Il a en tout cas réussi à maintenir l’activité lucrative de location de mères porteuses et de trafics d’organes et de cellules souches, pour le plus grand plaisir des lgbtq+ et des wokes du show-biz et du big business...

8. Ben Salman : Absent au sommet des BRICS, laissant Poutine et Xi Jinping faire la fête sans lui, ne sait plus bien pourquoi son père l'a secrètement préparé. Alors je lui rappelle, il est un des 5 fantastiques et doit participer à la chute des adorateurs du diable, dont le régime actuel de Tel Aviv, et Macron, qu’il devrait éviter de serrer dans ses bras comme un copain de rugby. Il ne doit surtout pas lâcher l’Iran et faire un pari stupide, qui provoquera sa perte s'il pactisait avec le malin et ses sbires.

9. Xi Jinping : Proclame que la Chine et la Russie sont amis pour la vie, et il ferait bien de le montrer. Quand un pote est dans le besoin, on ne le laisse pas si longtemps seul. Heureusement que le cousin Kim est plus généreux. Mais Xi... regarde du côté de l’Iran avant que ce soit trop tard, tu n’imagines combien tu t’en mordras les doigts si ce pays est dépecé par les "usual suspects".

10. USA : Le shutdown menace, mais Trump s'en fout, il a déjà son bunker doré. Plus sérieusement, il faut reconnaître qu’à un moment 34.000.000.000.000 de dettes en $ ça fait beaucoup, ça sent un peu la pyramide de Ponzi et on comprend pourquoi les Américains ont peur des Brics, ont détruit Nord Stream et rêvent de s’accaparer l’Iran, au moins son pétrole et le contrôle du détroit d’Ormuz.

11. Gaza : Une trêve aussi durable que la paix dans un film de Tarantino. Lire la lettre SUBSTACK en lien ci-après.

12. Géorgie : Le pays, pas l'état, se retrouve à jongler entre l'influence russe et occidentale, un peu comme un funambule sans filet. Comme pour la Syrie, l’UE vient avec des promesses ou des sanctions, et les USA avec des canons et de la fausse monnaie. La Géorgie n’est qu’un proxy pour pourrir la vie aux Russes ; ne pas l’oublier, comme bientôt l'Arménie et toute l’Asie Centrale.

13. Ukraine : La guerre continue, mais c’est comme regarder une série où chaque saison est plus déprimante que la précédente. Sauf que cette fois, le général Costler s’est pris une raclée à Koursk, et les Russes ne sont pas des Comanches, ce sont des Cosaques, et ça change tout. Il n’y aura pas de calumet de la paix ni de hache de guerre enterrée, sauf reddition en bonne et due forme.

14. Sahel : Instabilité comme si c'était un plat traditionnel, servi avec une garniture de coups d'État. La France est dans la peau du salopard qui finance en cachette les terroristes, pour faire semblant ensuite de les chasser, afin de continuer à s’approprier les ressources à bas prix et éviter que les pays sortent de cette colonisation 2.0. Mais tout a une fin… et le départ est sonné par des ex-Wagner !

15. Brics et Covid : Les BRICS se réunissent pour parler de tout sauf du Covid, parce que qui a le temps quand on peut discuter de comment foutre en l'air l'hégémonie occidentale ? Mais le Covid et les Biolabs c’est plus grave qu'on ne le pense. Alors… ouvrez les yeux !!! (Le général Russe tué avait des choses à dire)

16. Migrants : Utilisés comme des pions politiques, ils traversent des mers pour trouver des portes fermées et des promesses brisées. Ils sont sans cesse plus nombreux et plus instrumentalisés, comme des soldats en devenir d’une guerre de l’intérieur, voulue par les stratèges Khazars.

17. Catastrophes climatiques : Des inondations ici, des incendies là, la Terre nous rappelle que la nature se fout des politiques. En retour, les politiques en font un argument de campagne, selon la bonne recette du « qui perd gagne » ou un truc du genre. Macron à Mayotte… c’était ça ?

18. Bombes hypersoniques russes : Poutine a montré ses nouvelles joujoux, faisant trembler l'Occident d'une crainte respectueuse. Mais eux ont répondu avec d’autres sanctions et des attentats terroristes, mais aussi des coups d’état de couleur…

19. Syrie d'Assad : Tombée comme un château de cartes, laissant un vide que personne ne sait vraiment comment remplir, sauf peut-être Netanyahu et Erdogan, l’Iran s’en remettra-t-elle ?

20. Iran des mollahs : Entre tensions avec Israël, sanctions et ambitions nucléaires, le pays joue à un jeu dangereux où chaque coup peut être le dernier. Ils n’ont plus vraiment le temps de tergiverser, ils ne sont plus entourés que d’ennemis et de convoitises, sans parler de l’intérieur qui flageole.

21. Les justes du Covid : Les scientifiques qui ont alerté sur les variants et les origines du virus sont traités de fous ou de complotistes, mais en 2024, leur vérité commence à poindre, trop tard pour certains.

Alors, en 2024, le monde n'a pas changé, il s'est juste enfoncé un peu plus dans l'absurde, le tragique et le grotesque, avec ces acteurs sur la scène mondiale qui dansent sur le fil du rasoir. Tout ça ne se comprend que par une lecture eschatologique !!!

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Le piège du 7 octobre

En 2024, le 7 octobre a marqué un tournant crucial avec un piège d'une complexité rare orchestré par Netanyahu. Ce jour-là, sous couvert de l'horreur, un plan mûrement réfléchi a commencé à redessiner les équilibres au Moyen-Orient. Ni l’Iran, ni ses alliés, ni même les puissances occidentales n'ont pris la mesure des conséquences de cette journée. Seul Macron a savouré le talent de son sbire préféré.

Cette date a été un moment de bascule, piégeant non seulement l’Iran, mais tous ceux qui pensaient pouvoir jouer la partie sans se brûler.

Netanyahu, maître stratège, a exploité la situation pour renforcer son pouvoir, utilisant chaque crise comme une opportunité sous l'œil bienveillant des États-Unis et la passivité de la communauté internationale. De l'autre côté, l’Iran, affaibli et en perte de contrôle, a sous-estimé le piège du 7 octobre, un jour où la région a été aspirée dans un engrenage complexe.

Cette année restera marquée par un désordre dont seule la stratégie de Netanyahu semble tirer profit, dans une partie d’échecs où les règles changent constamment.

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