De l’art d’être génocidaire ou marchand du Temple à la veille de l’apocalypse // mais aussi et surtout, de retrouver la foi et de garder l’espoir // le bien l’emportera TOUJOURS !
dans ce monde de mensonges et de manipulations, le conspirationniste est celui qui pose les questions que les autres n'osent pas poser, … et vous qu’elles sont vos questions ?
Voilà comment les lettres naissent…
Ce matin, je vois une photo d'un camp de tentes de réfugiés palestiniens, inondé jusqu'aux genoux avec une eau qui doit être glaciale.
Depuis quelques jours, j'apprends que des bébés commencent à mourir de froid, car l'hiver est humide et frigorifiant, et ces tentes, précaires et inutiles contre les éléments, offrent à peine un peu d'intimité et l'illusion d'un chez-soi. Depuis des jours, je bouillonne comme une cocotte-minute, ressentant la souffrance de mes frères et sœurs en humanité en Palestine, sous les bottes d'un régime génocidaire obscène, dont les images sont diffusées urbi et orbi, par de rares braves. L'armée de ce régime n'a pas encore réussi à assassiner tous les journalistes de terrain (plus de 200, un record olympique de la barbarie, qui entrera dans les annales de l'enfer pour avoir osé s'en prendre même à cette corporation d'habitude si loyale, mais si silencieuse face à ce régime, dont le chef est pourtant poursuivi pour crimes contre l'humanité par la CPI, et Israël doit répondre d'accusations de génocide devant la CIJ), ni à couper totalement Internet et l'électricité, encore moins à censurer les braves journalistes citoyens qui inlassablement parle de ce sujet, et essayent au travers de ce génocide de réveiller les humains ou ceux qui ont encore ce qu’on appelle de la compassion. C’est un sentiment désuet qui a été mis à mal par la laïcité ? Aujourd’hui, il est plus facile d’exprimer sa peine pour un chat battu que pour un bébé palestinien décapité ou un enfant de Gaza éborgné et amputé … sans anesthésie, alors qu’il se croyait en sécurité dans un refuge de l’ONU (exprimer sa peine pour un acte antisémite, c’est normal, ce qui l’est moins, c’est que selon certains, c’est la voie royale pour une carrière sur certaines chaînes de TV ? Est ce vrai ? Je n’ai pas le temps de creuser ou de vérifier), bref le monde est malade de ses doubles standards et doubles langages, mais aussi du sentiment de toute puissance (parfois temporairement bien réelle) de certains.
Je regarde aussi les horreurs quotidiennes en Syrie, depuis la chute d'Assad (je m’étonne que dans la fameuse prison de Saydnaya dont tout le monde parlait, aucune trace de la moindre machine de torture, pas de témoignages probants de personnes maltraitées (à part un comédien trouvé par CNN), mais surtout les prisonniers libérés sont immédiatement devenus des sAigneurs de la guerre (ou plutôt, des raffles, de viols et de cambriolages), ils ont été pardonnés de tous leurs crimes (bien réels) avant le début du mandat de leurs libérateurs (aux USA, c’est avant la fin du mandat de Biden que les pires, dont son fils, sont pardonnés…). Quelle folie dont l’effet boomerang ne se fera pas attendre dans de nombreux pays.
Comme ceci n’est pas la manière de faire de la Russie ou de la Chine, mais celle des régimes actuels d'Israël, des USA, de l'Angleterre et de la France (y compris en Afrique sahélienne), on peut craindre le pire dans les ex-républiques soviétiques, dans lesquels les projets les plus retords doivent couver, pour être allumer selon l’actualité. Il n’y a qu’à regarder ce qui s’est passé où se passe en Roumanie, Géorgie, Arménie, Moldavie depuis des mois pour comprendre. L’Empire du Mal, veut détruire la Sainte Russie et tous ses alliés potentiels, mais aussi faire le Grand Israël et déclencher l’apocalypse militaire. Qu’y a t’il a Meggido ? Une intelligence artificielle ? Une laboratoire biologique militarisé ? Un artefact aux pouvoirs extraordinaires ? (Ce sera à découvrir dans mon roman « le Lien »)
insi, je suis devenu méfiant ; je m'interroge presque sur le fait que si ces exactions, ces têtes coupées et ces meurtres sommaires, ces humiliations et ces tortures en Syrie sont télévisées, c'est peut-être parce que le régime de Netanyahu et son Mossad s'en assurent ? Qui sont ces guerriers cagoulés qui donnent des ordres mais restent invisibles ? Et pourquoi, alors que les chefs historiques de ces mouvements terroristes (ISIS, Daesh, Al-Qaïda) cherchent à se rendre fréquentables, en costumes et cravates, plus souliers vernis et sans leurs têtes mises à prix, les images sont-elles toujours aussi nombreuses et choquantes, si ce n'est pour semer la confusion ? (Les chefs officiels ont dit stop aux images, mais les vrais chefs en redemandent ?) Est-ce que d'autres donnent des ordres à des brigades de la barbarie, dont le rôle n'est que celui de rendre sympathique le génocide de Gaza ? Bref, si le mal était plus profond que l'enfer, dans les têtes des personnes maléfiques qui ont piloté cette page noire de l'histoire du monde qui s'accélère depuis 2019, avec l'incendie, certainement criminel, de Notre-Dame de Paris, à un rythme démoniaque ?
Dire, d'une certaine manière, que les Palestiniens, du Hamas et autres mouvements, sont tous pareils, vous comprenez pourquoi on les tue sans pitié.
Cela annonce également des lendemains sombres pour tous les Syriens, car le régime Netanyahu avance en Syrie, mais aussi au Sud-Liban, Gaza il n’en reste pas grand choses en terme de bâtiments debout et d’autonomie, mais la vie et la beauté des pales tiens, leur résilience doit être une souffrance pour les vampires qui ne réussissent pas à les transformer en sauvages. Cependant, l'appétit de ce Prince des ténèbres qu’est Netanyahu et de ses hordes de disciples semble insatiable. Jusqu'où iront-ils ? Quel est le rôle de Macron dans cette affaire ? Les deux semblent plus que se comprendre et s’entendre.
D'ailleurs, comme l'a récemment noté Poutine lors d'une conférence répondant aux questions des citoyens russes, les plus grands bénéficiaires, peut-être même les seuls, de la chute d'Assad en Syrie sont les stratèges israéliens. Je pense qu'il a raison.
Et finalement, en quelques minutes, mon tweet devient long, mélancolique ou exaspéré, mais également riche. Je me dis... pourquoi pas en faire un Substack ? Alors, c'est parti, je m'enferme dans ma bulle, j'écris, je complète, je reformule pendant des heures. Et voilà... ci-dessous, ce que j'ai failli poster sur X, puis plus loin, la lettre n-1 de 2024.
Voici le Tweet (brouillon corrigé)
« Personne ne peut imaginer ce que vivent les Palestiniens, que ce soit à Gaza ou en Cisjordanie.
C’est un génocide qui dépasse toute la cruauté de l’histoire de l’humanité.
Le génocidaire fait en sorte de ne pas trop en avoir l’air.
Il explique qu’il a été attaqué en premier,
qu’il a le droit de se défendre,
que c’était le plus grave pogrom depuis les nazis.
Il affirme qu’il prévient avant de bombarder des cibles “justifiées”,
qu’il laisse passer “ce qu’il faut” pour que les civils survivent mais pas les terroristes,
que les terroristes se cachent parmi les civils et volent nourriture et médicaments.
Il ajoute que si des civils meurent de faim, de froid ou dans des décombres,
c’est parce qu’ils sont “volontaires” au service des terroristes pour être leurs boucliers humains.
Que si des images contredisent ce narratif,
c’est qu’elles ont été fabriquées par des antisémites.
Que ses otages détenus par les ennemis du génocidaire (qui lui a dans ses geôles des dizaines de milliers de prisonniers, souvent torturés de façon industrielle) souffrent et que, s'ils meurent, c’est parce que les preneurs d'otages les violent et n’en prennent pas soin. Cependant, le génocidaire refuse toute enquête sérieuse au sujet du 7 octobre. Alors que les preuves et témoignages s'accumulent, cette attaque ressemble de plus en plus à un ébouriffant inside job, comme rarement dans l’histoire de l’Humanité on en a connu. Certains des plus fins analystes pensent que c’est un coup magistral du Hamas, mais selon moi, ils sont tombés dans un piège énorme. Les chefs, Sinwar et Haniyeh, et tous leurs états majors sont morts (et les successeurs aussi) et ne pourront jamais en parler, et auraient-ils été audibles ? Idem pour le Hezbollah de Nasrallah qui n’a échappé à aucun piège depuis 15 mois, au point que le mouvement est en état de mort clinique, et que son chef charismatiques, qui avait survécu à de nombreux attentats, dont celui des pagers, a été réduit en bouilli comme tout son quartier de Beyrouth et des centaines d’autres victimes. Ce qui est certain, c’est qu’en temps utile pour le régime Netanyahu, il y aura une pluie de roquettes, ou un d’autre otages qui justifieront bien d’autres choses.
Que ceux qui condamnent ou critiquent les actes du régime génocidaire
sont soit des ignorants, soit des adorateurs du terrorisme, soit les deux.
Il prétend que la population de Gaza n’était pas de 2 500 000 personnes avant octobre,
mais de 2 000 000 au plus, peut-être 1 500 000,
cela dépendra du succès de ce massacre génocidaire.
De toute façon, il n’y aura aucun archive ni aucun média pour contredire cela.
Il affirme que la CIJ et la CPI concluront bien trop tard leurs procès, et qu’ils sont notoirement antisemites, et il s’assura de détruire (avec ses rouages dans les médias) la vie sociale des plus diligents et finalement suicidaires, parmi les juges et procureurs, dont le passé et les frasques, seront fouillées, et deviendront « d’élégants » moyens de coercition et de compromission, qui peut sacrifier sa vie et sa réputation pour combattre un génocidaire aussi puissant, pour permettre un procès, aléatoire
si tant est qu’ils aient lieu,
car les recours sont déjà prêts.
Que les chiens et les chats qui mangent des cadavres humains
sont à l’image des habitants du ghetto de Gaza.
Que les bébés et les femmes qui meurent
sont autant de “terroristes” dont le monde est préservé.
Il assure que le silence des médias, des grands groupes et des gouvernements occidentaux,
complices ou solidaires des actes du régime de Tel Aviv,
ne prouve en rien qu’une mafia d’héritiers d’adorateurs du diable
se serait infiltrée pour poursuivre des objectifs apocalyptiques et transhumanistes.
Que dire d’autre ?
Si ce n’est que tous les salauds aux gros comptes sur les réseaux sociaux,
qui se disent dissidents mais se gardent bien de parler des Palestiniens,
sont des monstres pire que les perpétrateurs eux-mêmes.
Car ils espèrent pouvoir prospérer sans être pris en défaut
et continuer à profiter de tous les râteliers.
Cela me dégoûte infiniment. »
—————
Bonne fin d’année.
Et soyez sûrs que le pire est à venir.
Mais ensuite, qui vivra appréciera.
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Personne ne peut imaginer ce que vivent les Palestiniens - et je dis bien personne, sauf peut-être ceux qui ont un abonnement VIP à la chaîne "Souffrance en Direct". À Gaza ou en Cisjordanie, c'est comme si l'horreur avait décidé de prendre des vacances permanentes, mais sans les cocktails et la plage. C'est un véritable "snuff movie" avec une inversion des rôles où ceux qui sont censés être les méchants sont, depuis le premier épisode, les cibles d'un plan machiavélique, avec les vrais méchants qui les ont plongés dans un génocide à ciel ouvert, obscène d’être proposé en mondio-vision, histoire de tuer les palestiniens (surtout les femmes, les enfants et les journalistes), mais en s’assurant de tuer les âmes de l’humanité par la même occasion. C’est toujours mieux, pour eux, de faire d’un crime un double assassinat, celui, physique, du plus beau peuple de la Terre et celui, moral, de tous les humains qui y consentent ? Tous les observateurs avisés le savent, mais ils gardent un silence de plomb ou murmurent dans leur coin. Ils espèrent que quelqu'un d'autre prendra le relais ou que ça passera une fois le génocide terminé, qu’ils se rattraperont aux branches si la relation de force s’inversait par un improbable destin, un acte de Dieu. Comme c'est lâche et naïf ! Ce génocide n'est que le premier d'un nouveau cycle qui, si personne n'y met un terme, conduira à celui de l'humanité entière, ou plutôt de ce qu'il en reste. Les complices et les traîtres, les lâches et les hésitants ne seront pas protégés. Tout le monde y passera, si il n’y a pas une vrai résistance qui s’organise, pas forcément publiquement ni en meutes, mais en individus, qui ne se laissent pas faire, ne consentent pas et se tiennent prêts, mais surtout retrouvent le chemin de la foi, de la force par la prière. Tous les autres, les décérébrés ne sont plus vraiment des humains, mais plutôt des marionnettes aux mains de psychopathes ou de princes de ténèbres, plus ou moins envoûtés par le diable en personne. c’est à se demander si les TV n’hypnotisent pas les téléspectateurs ?
Cette partie immense de la population est constituée de morts vivants, si bien décrits dans les saisons de la série the « walking dead ». Ca ne se voit pas vraiment, car, pour beaucoup, ils vivent grand train, voyages luxueusement et disposent, à ne pas savoir quoi en faire, de tout ce qui manque aux multitudes, qu’ils observent pourtant comme des parasites, alors que c’est l’inverse.
Mais pourquoi n’y a t’il pas de révoltes, comment une telle injustice existe et se pérennise ?
Nous verrons avec les mouvements sociaux annoncés en France et ailleurs, et ceux qui exploseront inévitablement, mais seront infiltrés et tués dans l’œuf comme à chaque fois ? Seuls les riches et puissants semblent apprendre des leçons de l’histoire et ainsi renforcer leur maîtrise / contrôle des autres. Ça mériterait une lettre complète et montrerait l’importance des grands cabinets de conseil (dont le fameux McKinsey), des boîtes de lobbying, des fonds d’investissements gigantesques (dont BlackRock), les médias internationaux et leurs plus petites branches ou arbustes, de ceux qui écrivent les livres d’histoire et ceux qui brûlent les traces de la vérité qui dérange, de la pornographie, des réseaux sociaux, des partis politiques et syndicats autorisés (ou faussement ostracisés)… et à chaque fois on trouve aux manettes ou dans l’ombre du pouvoir de ces rouages essentiels, les mêmes adorateurs du diable aux racines liées au Khazars, des fameux vampires dont a parlé Poutine. Ils sont pire que des magiciens ou des hypnotiseurs : ils transforment les êtres humains en ombres sans âme ni cœur.
L'envoûtement, ce n'est pas une fable pour enfants ou un prétexte pour des films de série B. Les exorcistes font un travail indispensable ; ils sont les seuls à voir la vérité derrière cette mascarade de "conflit" - un combat pour libérer les âmes des griffes démoniaques.
Les exorcistes savent que libérer les humains envoûtés par le diable en personne est une tâche herculéenne, presque impossible. Ces âmes sont des terreaux fertiles pour le mal, et le diable s'en amuse avec un délice sadique.
Chaque reportage biaisé, chaque éditorial qui détourne la vérité, chaque silence complice des grands médias, c'est un peu plus de pouvoir pour le Malin.
Les exorcistes, dans leur lutte contre l'obscurité, travaillent dans l'ombre, tentant de rompre le charme, de faire revenir la lumière dans ces esprits captifs. Mais face à une machine médiatique huilée par des intérêts occultes et des agendas apocalyptiques, leur combat est celui de David contre Goliath, où l'issue est incertaine et chaque victoire un miracle.
Le rôle des médias complices et des éditorialistes compromis ou corrompus est donc incontestablement délétère. Ils sont les gardiens de la désinformation, tissant une toile de mensonges qui envoûte les masses. Parfois, c'est la CIA qui tire les ficelles, ou la NSA, mais le plus souvent, c'est le Mossad (ou les organisations sœurs au sein du régime d’Israël) qui orchestre ce ballet de l'obscurantisme, avec des relais partout dans le Monde. Ils manipulent les esprits, font de la propagande une science, menacent et compromettent les rebelles, et maintiennent le voile sur les atrocités commises, assurant ainsi que l'envoûtement se perpétue sans remède.
C’est pourquoi je ne cesse de dénoncer les marchands du temple de la dissidence qui s'infiltrent et grandissent partout.
Alors, je comprends que le journaliste citoyen doit être largement solitaire. En effet, même ceux qui avaient un potentiel d’exorciste du mensonge ou de jardinier de graines de vérité se transforment rapidement en grenouilles qui veulent devenir des bœufs. Pour y parvenir, ils entrent dans le cycle de la compromission et de l'escroquerie, parfois à l'insu de leur plein gré, car même en se regardant dans un miroir, ils restent persuadés d'œuvrer largement avec altruisme. C'est pareil avec toutes les mafias, qu'elles soient à la tête d'États ou à celle de gangs et de trafics. Toujours les mêmes mobiles pour s'auto-féliciter ; ainsi, ils avancent pour le tourment de ceux qu'ils empoisonnent sur leur chemin.
On me demande de citer des exemples ; mais le problème, ce n’est pas d’oser mettre en pâture les exemples (ils le méritent). Ils le sont tous ou quasiment (et donc pourquoi risquer d’en oublier certains). La difficulté c’est de citer des exceptions à cela, et elles sont rares. À chaque fois qu'un média ou un journaliste citoyen me semble intègre, engagé et compétent, je déchante à un moment ou à un autre. Suis-je trop exigeant ? Peut-être, mais que faire d'autre à part refuser le moindre compromis, lesquels ne sont qu'autant de petits pas vers l'irrémédiable pacte complet avec le diable ?
Donnez-moi quelques noms parmi ceux qui échappent à l'étiquette de "marchands du temple" de la dissidence française ? Ceux qui ne se sont pas vendus, même ponctuellement, aux charmes du régime de Tel Aviv, à Big Pharma et ses injections ou tests PCR, aux narratifs du GIEC ou des COP, aux délires du WEF, ni n'ont jamais trempé dans les sociétés secrètes comme la franc-maçonnerie, ou ne se sont pas faits les chantres des actions répétitives de l'OTAN ou de l'UE - vous savez, ces "libérations" de peuples, ces ouvertures de frontières, ce wokisme, ce soutien au mouvement LGBTQ+, cette censure, cette incarcération des dissidents, tous ces tyrans modernes qui s'habillent en sauveurs avec des gants de velours et des masques de gendre idéal. Méfiez vous… ils sont si habiles, leur survie dépend de leur capacité à nous tromper, comme les brouteurs en lignes qui réussissent l’impensable ;qui ne connaît pas quelqu’un qui est tombé dans l’un de leurs pièges ?
Sans la complicité de ces faux médias, véritables propagandistes, qui dansent ensemble dans un bal de vampires de l'information tordue ou compromise, les peuples ne tomberaient pas dans les filets de cette pseudo-démocratie qui corrompt les âmes, les corps et les cœurs ; bref, nous ne danserions pas avec les vampires, selon leurs partitions et orchestrations. Pensez à la musique des orgues à Notre-Dame, qui rend mal à l’aise beaucoup de ceux qui y vont pour des offices depuis la réouverture. Sous l’emprise des médias et de l’éducation nationale, mais aussi des associations et syndicats subventionnés, les citoyens deviennent alors des êtres vils et serviles, tandis que les leaders d'opinion trahissent pour de l'argent, de la poudre blanche, ou des Bitcoins, abandonnant leur prétendue mission de vérité pour se transformer en cloportes qu'aucun déguisement ou maquillage ne pourra rendre humains, malgré leur richesse et leur célébrité.
Leur place est déjà réservée dans les égouts de l'histoire de l'humanité qui, un jour, regrettera leur œuvre diabolique.
Ces médias, autrefois peut-être animés par une lueur de vérité, sont devenus les acolytes du mensonge, des marionnettes parfois inconscientes dans les mains des adorateurs du diable, du régime de Tel Aviv, de l'OTAN et de l'UE, qui jouent à "sauver le monde" tout en le précipitant dans l'abîme avec un sourire angélique. Ils sont les portiers de l'enfer, où la vérité est une monnaie d'échange pour une place à la table des puissants. Mais que fait l’Eglise de Rome pour les victimes de cette partie de go diabolique, qui a quasi éliminée tous les chrétiens d’Orient ?
Les peuples, aveuglés par ces charlatans, se transforment en moutons dociles, bêlant des slogans de liberté tout en marchant vers leur propre servitude.
Que peuvent devenir les anciens Gilets Jaunes, quand leurs rangs ont été forcés ou convaincus de se faire injecter, après avoir été malmenés et vilipendés au point que "Gilet Jaune" est devenu synonyme de "terroriste" ou d'"antisémite" dans les médias et donc parmi les moutons ? À l'inverse, comme pour les « marchands du temple » faussement dissidents, les leaders d'opinion tolérés, ces Judas modernes, réussissent à profiter du système ; ils ne sont JAMAIS inquiétés, au contraire, ils échangent également leur âme contre des pépites numériques (des clics) ou des lignes de coke, croyant que la richesse et la célébrité peuvent blanchir leur trahison, aussi agréablement que leur nez, au détriment de leur cerveau. Mais même couverts de bijoux et de paillettes, ils restent des cafards sous les projecteurs, des créatures de la nuit qui, malgré leurs costumes de lumière, exhalent toujours l'odeur de l'égout de la corruption. Parfois, par une ironie cruelle et maline, ils invitent sur leurs plateaux de vrais résistants, de vrais combattants, mais ils veillent à garder le débat dans un enclos bien sécurisé, où les fact-checkers et les donateurs les plus généreux ne seront pas froissés, rappelant ainsi les limites de ce qui est toléré. Ce qui ne les empêche pas d’essayer de pousser les dissidents les plus zélés à prendre des risques et à se faire emprisonner ; bref, ils sont des pompiers pyromanes. Ils aiment créer des tempêtes dans des bocaux ou des cuvettes de chiottes ; ça leur permet d’avoir aussi un rôle de touche à tout, y compris aux sujets qui salissent. En réalité, ils s’en délectent honteusement, mais comme ça fait mauvais genre, ils arrivent avant ou après la bataille, dont ils se savent immunisés pour services rendus à leurs vrais maîtres.
Ainsi, dans ce théâtre de l'absurde où le cynisme et l'humour noir sont les seuls filtres à travers lesquels on peut encore voir un semblant de vérité, nous sommes tous témoins - et souvent complices - de cette farce tragique où la démocratie est devenue une vulgaire mascarade.
Tous les médias, petits et grands, autrefois peut-être avec des intentions nobles, sont devenus peu à peu des vecteurs de narratifs biaisés, des plateformes où la vérité est ajustée pour servir des intérêts spécifiques. Ils sont les grenouilles qui, en voulant devenir bœufs, ont perdu leur essence, se compromettant avec des agences comme le Mossad, qui n'ont jamais eu besoin de la CIA pour manipuler les esprits et les cœurs (au contraire ?). Chaque article, chaque reportage, chaque silence est un pas de plus vers ce pacte avec le diable, où la vérité est noyée dans un océan de compromis et de trahisons.
Ainsi, dans ce marasme de médias corrompus, le journaliste citoyen reste un phare solitaire, souvent assiégé par les ombres de l'influence et de la compromission, cherchant à éclairer le chemin vers une vérité que beaucoup ont abandonnée pour un siège à la table des puissants.
(Suite)
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(Suite)
Ce "génocide", parce qu'il faut bien l'appeler par son nom même si on essaie de l'habiller en costume de "lutte contre le terrorisme", dépasse en cruauté tout ce que l'humanité a pu inventer. On dirait que le régime de Netanyahu (qui se remet de son opération de la prostate ?) a décidé de faire concurrence à l'histoire avec un remake de "Comment devenir le pire en moins de temps" - sans casting ouvert. Il écrase bien des successeurs et s’approche du sommet du podium ?
Ce chef d'État, qui se savait prédestiné à un rôle de génocidaire, joue l'innocent avec un talent digne d'un acteur de soap-opera qui aurait oublié son texte. Il a eu tout le temps nécessaire, avec ses comparses, pour tout organiser et prévoir, à la manière dont d'autres ont manigancé la crise du Covid. Pour le Covid, c'était absurde, mais ça passait ; pour le génocide de Gaza, c'est inhumain, mais ça passe aussi. Netanyahu nous sert un discours avec une sincérité qui ferait presque concurrence à Zelenski, nous expliquant qu'il a été attaqué en premier, qu'il a besoin d'aide et de soutien, et que les médias ne doivent surtout pas se méprendre sur la cible.
Cette technique est pourtant usée jusqu'à la corde, un vieux truc de magicien exposé maintes fois (mais toujours après coup) ; et pourtant, chaque fois, elle fait mouche. C’est la dialectique du coup bas : le premier coup est toujours celui qui frappe en dernier, avant que le marionnettiste ne pointe du doigt en s'écriant : "Voilà, regardez ce qu'ils nous ont fait !"
Ainsi, la vraie fausse victime s'octroie le droit de se défendre.
Pour Netanyahu, rien n'a été trop grotesque, pas même les mensonges les plus extravagants (comme ces 40 bébés prétendument violés et décapités dans un kibboutz de 200 habitants... déjà, sur le papier, ça ne tenait pas la route, mais qui vérifie vraiment ?). Ce qui compte, c'est l'unanimité des grands médias et le silence de ceux qui doutent, le message étant clair : "C'était le plus grave pogrom depuis les nazis". Et ça a marché, et ça continue de justifier toutes les exactions possibles, car peu osent le dire à haute voix.
Il a trouvé le moyen de transformer un conflit en une croisade, où chaque bombe, chaque balle est une réponse à un crime inimaginable, jamais prouvé mais toujours évoqué. Les médias, comme des chiens bien dressés, reprennent en chœur cette fable, tandis que les voix qui osent questionner sont marginalisées, accusées d'antisémitisme ou d'indifférence face au "terrorisme". Les faits alternatifs deviennent la norme, et les atrocités commises sous couvert de "défense" sont lavées dans le grand bain de la propagande où la vérité est le premier dommage collatéral.
Ainsi, dans ce théâtre de l'absurde, où la fiction devient réalité et la réalité mensonge, Netanyahu continue de jouer son rôle à la perfection, celui du sauveur forcé de se défendre, avec une armée d'avocats, de spin doctors, et de médias complaisants pour lui écrire ses dialogues. Et pendant ce temps, Gaza, ce n'est pas un soap-opera, c'est un cauchemar éveillé, où les morts ne sont pas des effets spéciaux mais des vies réelles, éteintes dans une indifférence mondiale orchestrée par un narratif bien rodé.
Il avertit avant de bombarder des cibles "justifiées" - parce que, qui n'aime pas un peu de fair-play avant de réduire en poussière des immeubles entiers ? Il laisse passer juste assez pour que les civils survivent, mais pas les terroristes - un peu comme donner un chewing-gum à un squelette pour qu'il ne se plaigne pas de la faim. Les terroristes, eux, sont partout ; ils volent même les sandwichs aux funérailles, d'après ce qu'on nous dit.
Si des civils meurent de faim, de froid ou sous les décombres, c'est parce qu'ils ont choisi de devenir des boucliers humains - vous savez, une sorte de service volontaire pour la cause du chaos. Et si des images montrent autre chose, elles ont été fabriquées par des antisémites, parce que dans ce monde, même la réalité est accusée de biais.
Ceux qui critiquent ce régime sont soit ignorants, soit des terroristes fans de Daesh (et attention, ça c’est le risque d’arrestation, de garde à vue et je ne sais quoi, car on est pas loin d’apologie du terrorisme !) - ou les deux ; ça fait toujours plus de points au bingo du dénigrement. La population de Gaza ? Ah, c'était peut-être 2,5 millions, mais chut, après ce nettoyage, il pourrait bien n'en rester que 1,5 million, ou pourquoi pas 1 million, selon l'efficacité du "service de jardinage" de Netanyahou. De toute façon, qui garde les archives de ce genre de ménage ?
Et pas d’archive, pas de chiffre officiel et ainsi le doute profitera à celui qui dispose de médias et d’universitaires pour écrire l’histoire officielle, dont la révision pourrait être prise pour du négationnisme ou de l’antisémitisme (idem … attention danger - spoiler alert !) ?
La CIJ et la CPI ? Ils concluront leurs procès quand on aura tous des voitures volantes, et encore, seulement si les recours en justice ne sont pas déjà prêts à contrer chaque accusation. Les chats et les chiens qui dévorent les cadavres à Gaza sont, selon ce narratif, le miroir de la vie là-bas, où même les animaux ont compris que la survie passe par le recyclage. Ainsi, tel maître, tel animal de compagnie ; si les animaux domestiques des palestiniens mangent des cadavres humains, c’est que leurs maîtres font pire : ils mangent peut être même des bébés « juifs » vivants ou en rêvent. Il faut donc les abattre sans pitié : ils sont incurables comme la rage, sauf que là le vaccin ce sont des bombes ou la famine.
Les bébés et les femmes qui meurent ? C'est l'équivalent de désherber le jardin de la terreur - une économie de munitions pour le futur. Et que dire des médias occidentaux, des grands groupes et des gouvernements ? Tous complices ou silencieux ! Ce qui prouve, bien sûr, qu'ils ne sont pas sous l'emprise d'une mafia apocalyptique... Non, bien sûr que non, c'est juste de la diplomatie à l'occidentale. Même, longtemps,la Russie suivait cette partition, mais depuis peu, quel choc pour ceux qui s’étaient laissés si longtemps bercer par les mensonges de l’empire de la culpabilisation des autres, ou du lessivage de leur esprit critique et de leur capacité à aimer avec altruisme, sans convoitise.
Et que dire des soi-disant dissidents sur les réseaux sociaux, ceux avec des comptes suivis par des dizaines ou centaines de milliers ou des millions de fans ou d’auditeurs, qui évitent soigneusement de parler des Palestiniens ? Ce sont des monstres d'une autre espèce, pire que les bourreaux, car ils profitent de la situation pour garder leur petit confort moral en buvant du café bio.
Cela me dégoûte infiniment, mais bon, bonne fin d'année. Soyez sûr que le pire est à venir - mais ensuite, qui vivra pourra dire "Ah, au moins, ce n'est plus qu'un mauvais souvenir."
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Bertrand, nous ne nous respectons plus nous-mêmes.
Nous n avons plus aucun esprit critique, nous ne demandons même pas des comptes pour savoir qui met le feu à nos eglises, nous nous faisons deposseder de notre propre pays, de nos valeurs chretiennes, immigration, wokisme, lgbtisme. Nous devenons, nous français d avant des etrangers au sein de notre propre pays.
Les medias ne font plus leur travail, les marchands du temple font feu de tout bois, feignant de nous informer. Alors oui, Gaza est mutilé honteusement, Netanyahu le genocideur continue, sous le regard bienveillant de Macron comme de la communaute internationale sa politique expantionniste. Mais même les pays arabes, pourtant les premiers concernés ne bronchent pas.
Je suis persuadé Bertrand que pour que la France parle à nouveau de maniere credible et indépendante sur le plan international elle doit retrouver sa mémoire, etre fiere de son passe, confie son destin a quelqu un qui aime son pays, qui a des enfants.
Il n y a pas si longtemps encore, un Jacques Chirac et surtout le General de Gaule savaient faire respecter le point de vue de notre pays. Eux se seraient opposés verbalement à Netanyahu, en leur nom et surtout au nom de la France.
C'est de tout un chacun d'entre nous qu’on veut se défaire, et ce, dans l'horreur et la pire des souffrances. Aucun doute là-dessus :
https://x.com/ShadowofEzra/status/1872842320133185909
https://winteroak.org.uk/2024/12/30/keeping-it-in-the-deep-state-family/
https://sashalatypova.substack.com/p/my-research-summarized-for-a-book?
https://petermcculloughmd.substack.com/p/bill-gatess-philanthro-capitalism?
https://forbiddennews.substack.com/p/cartels-edge-of-the-wedge-of-the?
https://divadrops.substack.com/p/illumination-weapons-led-lights-are?
https://divadrops.substack.com/p/defuse-drp-and-drones?
https://www.eugyppius.com/p/german-fascism-crisis-escalates-as?