L ecume des jours où comment mettre toute une generation sous tranxene. A l epoque, ce livre me deprimait moi aussi sur les bancs du Lycée.
Subtile metaphore Bertrand, je vous rejoins dans votre analyse de la situation d aujjourd hui.
Et comment les eradiquer? A la main c est trop long meme s il faut s y employer pour ralentir leur croissance exponentielle.
Par contre le moyen radical, c est le changement de la qualite de l eau, et son ph. Et l eau c est nous. Et j en reviens à son nsuffisante diffusion autour de nous. Oui mon cher Bertrand, à mon modeste niveau je vais m y employer.
Cette histoire de Nénuphar me rappelle L’Écume des jours de Boris Vian, un auteur que je n'aime guère mais qu'il était obligatoire de lire quand j'étais au lycée ; un nénuphar se met à pousser dans le poumon droit de Chloé, puis dans son poumon gauche... jusqu'à ce qu'elle rende l'âme abandonnant Colin à sa tristesse et à sa ruine. J'ai oublié le reste...
cher Bertrand, nous sommes en pleine confusion : c'est la marque du Diable pour mieux nous contrôler, pour mieux nous posséder. Seules remèdes, le retour aux sources : la Vérité, c'est à dire Dieu, la Bible et sa lecture, la prière, la famille, la nature, l'amour des Autres, la lecture des grands textes et des grands romans, retour à la vie ordinaire, cultiver son jardin et son jardin intérieur. Pour sécréter les anticorps nécessaires afin de lutter efficacement face à tous ces nouveaux virus. Et semer tous les jours des petites graines...Et éviter de se disperser...
il faut relire les textes écrits par les dissidents pendant l'ère communiste pour apprendre à résister.
L ecume des jours où comment mettre toute une generation sous tranxene. A l epoque, ce livre me deprimait moi aussi sur les bancs du Lycée.
Subtile metaphore Bertrand, je vous rejoins dans votre analyse de la situation d aujjourd hui.
Et comment les eradiquer? A la main c est trop long meme s il faut s y employer pour ralentir leur croissance exponentielle.
Par contre le moyen radical, c est le changement de la qualite de l eau, et son ph. Et l eau c est nous. Et j en reviens à son nsuffisante diffusion autour de nous. Oui mon cher Bertrand, à mon modeste niveau je vais m y employer.
Oups, manque des termes: l insuffisante diffusion de ta lettre Bertrand
Cette histoire de Nénuphar me rappelle L’Écume des jours de Boris Vian, un auteur que je n'aime guère mais qu'il était obligatoire de lire quand j'étais au lycée ; un nénuphar se met à pousser dans le poumon droit de Chloé, puis dans son poumon gauche... jusqu'à ce qu'elle rende l'âme abandonnant Colin à sa tristesse et à sa ruine. J'ai oublié le reste...
C’est en effet la même histoire
Et on est pas loin de la moitié du lac …
C'est donc pour demain...
cher Bertrand, nous sommes en pleine confusion : c'est la marque du Diable pour mieux nous contrôler, pour mieux nous posséder. Seules remèdes, le retour aux sources : la Vérité, c'est à dire Dieu, la Bible et sa lecture, la prière, la famille, la nature, l'amour des Autres, la lecture des grands textes et des grands romans, retour à la vie ordinaire, cultiver son jardin et son jardin intérieur. Pour sécréter les anticorps nécessaires afin de lutter efficacement face à tous ces nouveaux virus. Et semer tous les jours des petites graines...Et éviter de se disperser...
il faut relire les textes écrits par les dissidents pendant l'ère communiste pour apprendre à résister.
Et garder l'Espérance...