Je voudrais plus souvent écrire et partager, mais mon compte X bloqué par des attaques coordonnées contre mes postes décrivant le caractère abject du régime de Tel Aviv, je me suis un peu recentré
Bonjour Bertrand. J'ai lu vos impressions de pèlerinage et écouté vos dernières vidéos. Cela doit faire un bien fou de marcher comme vous le faites, loin des tumultes et des horreurs du monde, même si le monde se rappelle à vous lorsque vous consultez votre téléphone, de loin en loin, lors des étapes. Il est clair en tout cas que cela vous fait du bien, tant vous semblez radieux ! Vous engagez vos lecteurs à entreprendre à leur tour un pèlerinage ; pour ma part, je ne suis pas certaine d’en être capable, et certainement pas avec des journées à 30-40 km ! Je marche chaque jour certes, mais jamais sur de telles marathoniennes distances ! Pour autant, il existe différentes façons de « pèleriner ». Je vais entreprendre début octobre un voyage, de 3 ou 4 ans je pense, dans la théologie des Pères grecs et syriaques des 5 premiers siècles, pour réaliser un projet littéraire. Ce sera ma façon de marcher vers Compostelle !
Pas même la force ce matin d’évoquer Gaza, Beyrouth, l’UE ukronazi-phile, Macron-Barnier, ni rien d’autre. Je vous souhaite ainsi qu’à vos compagnons de route un beau dimanche ensoleillé. Bien fraternellement en Christ. Amitiés sincères. Marie-Hélène
Dans son ouvrage « Immortelle randonnée. Compostelle malgré moi », Jean-Christophe Rufin note qu’une interrogation bienséante surgit à l’esprit : « Pourquoi ? C’est évidemment la question que se posent les autres, même quand ils ne vous la posent pas ».
Pourquoi, en effet, s’engager sur le Chemin ? Pourquoi aussi à ce moment précis ?
C’est que les réponses sont multiples ; et que ce soit pudeur ou perplexité, les raisons relèvent de l’intime et n’ont pas à être dévoilées — pas totalement.
Par ailleurs, une question plus générale mérite d’être posée : pourquoi cette popularité renaissante du/des chemin(s) de Compostelle ? Quel sens prennent ces chemins (et leurs étapes) quand des centaines de milliers de marcheurs/pèlerins les parcourent chaque année ?
Merci cher Bertrand, en vous lisant j'avais l'impression de marcher à vos côtés, différence mes pieds vont bien et mes chaussures ne s'usent pas. ... gros bisous
la lecture de votre aventure pédestre me fait penser qu'il vous fallait la faire .. On y sent le plaisir , le retour aux sensations physiques pures de l'être près de la terre , de l'âme rapprochée de son essence , de l'esprit près à exploser en feu d'artifice . Bravo
Bertrand,je viens de lire ta lettre un moment je me suis cru en ta compagnie sur les chemins je vais bientôt reprendre le travail hé oui il me reste 2 ans et demie avant de pouvoir enfin être libre. Lorsque je serai enfin libre j'espère pouvoir parcourir tous ces chemins vers la lumière , oui c'est comme cela que je les appelle . Bientôt s'ils ne m'en empêche pas je partirai et aurait le temps de voire les beaux paysage des pirénées et de celà je m'en réjouis. 😉
Bertrand,je viens de lire ta lettre un moment je me suis cru en ta compagnie sur les chemins je vais bientôt reprendre le travail hé oui il me reste 2 ans et demie avant de pouvoir enfin être libre. Lorsque je serai enfin libre j'espère pouvoir parcourir tous ces chemins vers la lumière , oui c'est comme cela que je les appelle . Bientôt s'ils ne m'en empêche pas je partirai et aurait le temps de voire les beaux paysage des pirénées et de celà je m'en réjouis. 😉
Bertrand,je viens de lire ta lettre un moment je me suis cru en ta compagnie sur les chemins je vais bientôt reprendre le travail hé oui il me reste 2 ans et demie avant de pouvoir enfin être libre. Lorsque je serai enfin libre j'espère pouvoir parcourir tous ces chemins vers la lumière , oui c'est comme cela que je les appelle . Bientôt s'ils ne m'en empêche pas je partirai et aurait le temps de voire les beaux paysage des pirénées et de celà je m'en réjouis. 😉
Bertrand,je viens de lire ta lettre un moment je me suis cru en ta compagnie sur les chemins je vais bientôt reprendre le travail hé oui il me reste 2 ans et demie avant de pouvoir enfin être libre. Lorsque je serai enfin libre j'espère pouvoir parcourir tous ces chemins vers la lumière , oui c'est comme cela que je les appelle . Bientôt s'ils ne m'en empêche pas je partirai et aurait le temps de voire les beaux paysage des pirénées et de celà je m'en réjouis. 😉
Bonjour Bertrand. J'ai lu vos impressions de pèlerinage et écouté vos dernières vidéos. Cela doit faire un bien fou de marcher comme vous le faites, loin des tumultes et des horreurs du monde, même si le monde se rappelle à vous lorsque vous consultez votre téléphone, de loin en loin, lors des étapes. Il est clair en tout cas que cela vous fait du bien, tant vous semblez radieux ! Vous engagez vos lecteurs à entreprendre à leur tour un pèlerinage ; pour ma part, je ne suis pas certaine d’en être capable, et certainement pas avec des journées à 30-40 km ! Je marche chaque jour certes, mais jamais sur de telles marathoniennes distances ! Pour autant, il existe différentes façons de « pèleriner ». Je vais entreprendre début octobre un voyage, de 3 ou 4 ans je pense, dans la théologie des Pères grecs et syriaques des 5 premiers siècles, pour réaliser un projet littéraire. Ce sera ma façon de marcher vers Compostelle !
Pas même la force ce matin d’évoquer Gaza, Beyrouth, l’UE ukronazi-phile, Macron-Barnier, ni rien d’autre. Je vous souhaite ainsi qu’à vos compagnons de route un beau dimanche ensoleillé. Bien fraternellement en Christ. Amitiés sincères. Marie-Hélène
Dans son ouvrage « Immortelle randonnée. Compostelle malgré moi », Jean-Christophe Rufin note qu’une interrogation bienséante surgit à l’esprit : « Pourquoi ? C’est évidemment la question que se posent les autres, même quand ils ne vous la posent pas ».
Pourquoi, en effet, s’engager sur le Chemin ? Pourquoi aussi à ce moment précis ?
C’est que les réponses sont multiples ; et que ce soit pudeur ou perplexité, les raisons relèvent de l’intime et n’ont pas à être dévoilées — pas totalement.
Par ailleurs, une question plus générale mérite d’être posée : pourquoi cette popularité renaissante du/des chemin(s) de Compostelle ? Quel sens prennent ces chemins (et leurs étapes) quand des centaines de milliers de marcheurs/pèlerins les parcourent chaque année ?
Qu’en pensez-vous ?
Merci cher Bertrand, en vous lisant j'avais l'impression de marcher à vos côtés, différence mes pieds vont bien et mes chaussures ne s'usent pas. ... gros bisous
la lecture de votre aventure pédestre me fait penser qu'il vous fallait la faire .. On y sent le plaisir , le retour aux sensations physiques pures de l'être près de la terre , de l'âme rapprochée de son essence , de l'esprit près à exploser en feu d'artifice . Bravo
Bertrand,je viens de lire ta lettre un moment je me suis cru en ta compagnie sur les chemins je vais bientôt reprendre le travail hé oui il me reste 2 ans et demie avant de pouvoir enfin être libre. Lorsque je serai enfin libre j'espère pouvoir parcourir tous ces chemins vers la lumière , oui c'est comme cela que je les appelle . Bientôt s'ils ne m'en empêche pas je partirai et aurait le temps de voire les beaux paysage des pirénées et de celà je m'en réjouis. 😉
Bertrand,je viens de lire ta lettre un moment je me suis cru en ta compagnie sur les chemins je vais bientôt reprendre le travail hé oui il me reste 2 ans et demie avant de pouvoir enfin être libre. Lorsque je serai enfin libre j'espère pouvoir parcourir tous ces chemins vers la lumière , oui c'est comme cela que je les appelle . Bientôt s'ils ne m'en empêche pas je partirai et aurait le temps de voire les beaux paysage des pirénées et de celà je m'en réjouis. 😉
Bertrand,je viens de lire ta lettre un moment je me suis cru en ta compagnie sur les chemins je vais bientôt reprendre le travail hé oui il me reste 2 ans et demie avant de pouvoir enfin être libre. Lorsque je serai enfin libre j'espère pouvoir parcourir tous ces chemins vers la lumière , oui c'est comme cela que je les appelle . Bientôt s'ils ne m'en empêche pas je partirai et aurait le temps de voire les beaux paysage des pirénées et de celà je m'en réjouis. 😉
Bertrand,je viens de lire ta lettre un moment je me suis cru en ta compagnie sur les chemins je vais bientôt reprendre le travail hé oui il me reste 2 ans et demie avant de pouvoir enfin être libre. Lorsque je serai enfin libre j'espère pouvoir parcourir tous ces chemins vers la lumière , oui c'est comme cela que je les appelle . Bientôt s'ils ne m'en empêche pas je partirai et aurait le temps de voire les beaux paysage des pirénées et de celà je m'en réjouis. 😉